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Temps de lecture estimé : 10 mn
02/07/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Promenade au parc en famille.
Critères:  fh hplusag alliance nympho campagne exhib fellation cunnilingu pénétratio -exhib
Auteur : Bernardo      Envoi mini-message

Série : Le livre de Magalie

Chapitre 03 / 05
Promenade au parc en famille

Dans l’épisode précédent, excité par le libertinage de ma nièce je calme mon excitation lors d’une réunion de famille en couchant avec sa mère.




Pendant quinze jours j’ai été aux petits soins pour Sophie. Nous avons à nouveau baptisé chacune des pièces de notre appartement.

Lundi, au petit déjeuner, juste avant qu’elle ne parte au travail, je l’ai prise debout contre la table de la cuisine. Un rapport rapide et motivant pour passer une bonne journée de reprise au boulot. J’eus mon trophée en lui piquant sa culotte. Sophie eut beau râler, elle est partie travailler nue sous sa jupe. Ça faisait bien longtemps qu’elle n’avait accepté ce caprice pour satisfaire mon fantasme.


Le salon eut aussi son heure de gloire quand je lui ai fait un cunnilingus dans le fauteuil alors qu’elle regardait sa série. Je crois qu’elle n’a pas réussi à suivre son épisode jusqu’à la fin. Elle a joui sous ma langue. C’était la première fois qu’elle arrivait à s’abandonner, à prendre un plaisir « solitaire». Auparavant elle appréciait ces caresses mais ne parvenait à jouir qu’avec une pénétration.


Le lendemain soir, dans le parking souterrain, au retour des courses, j’ai sorti mon sexe alors que Sophie s’apprêtait à quitter la voiture. J’ai eu le droit à une pipe mémorable, cachés dans notre véhicule. Je ne suis pas près d’oublier le moment où Sophie a reçu ma décharge en bouche sans vouloir avaler. Elle a rejoint l’appartement au pas de course pour cracher ma semence dans les toilettes. C’est dommage pour moi mais Sophie a toujours refusé d’avaler.


Le lieu qui m’a généré le plus de sensations fut le balcon. Sophie y subit un long cunnilingus cachée derrière la balustrade et je l’ai pénétrée par derrière à la vue de quelques promeneurs intrigués par notre proximité et nos mouvements suggestifs.


Quinze jours ont passé et ce midi nous accueillons Patrick, Carine et Magalie. On sonne à l’interphone et j’aperçois le visage de Patrick.



Sophie est impatiente de retrouver sa famille. Depuis ce matin, elle est en effervescence et s’attache à mettre les petits plats dans les grands. Une fois la porte ouverte, nous accueillons nos invités avec des embrassades et accolades. Mon regard croise celui de Carine et je distingue dans ces yeux une pointe d’espièglerie. Je suis ravi de susciter cette attention mais j’appréhende d’être démasqué. Je croise maintenant le regard de Magalie. Il n’y a pas de doute : c’est bien la fille de sa mère. Je ressens le même sentiment d’être une proie. Étrangement ça me plaît et ça me fait peur en même temps.


Le repas se passe bien et Sophie propose de faire une balade digestive avant de passer au dessert. Il fait beau et nous voilà en route pour le parc municipal situé à cinq minutes à pied. Magalie reste proche de moi et nous papotons de choses banales. Elle est très tactile et ne cesse de poser ses mains sur mes épaules et mes bras.


Soudainement, alors que nous venons de franchir l’entrée du parc, elle me pique ma casquette et se sauve en courant. La surprise et mes jambes de cinquantenaire ne me permettent pas de la rattraper. Magalie s’enfonce dans les buissons et je la perds de vue. Sophie, Carine et Patrick rigolent de la blague de Magalie. Me voilà donc seul dans le parc en train de chercher après une coquine qui se cache dans la verdure. Je m’enfonce dans le parc et cherche Magalie parmi les buissons.



Magalie est assise en tailleur à même le sol. Elle dissimule son entrejambe en maintenant abaissé le bas de sa jupe. Elle a trouvé une bonne cachette en contre-bas du sentier qui sillonne dans le parc.



Je sens que je vais encore subir une manipulation. Magalie ne répond pas et sort de son sac à main un petit masque en dentelle noir. Je reconnais de suite ce masque, je l’ai vu en photo et vidéo. Magalie porte maintenant le masque et me regarde avec un grand sourire.



Magalie sort de notre cachette et marche doucement sur le sentier. Après s’être assurée qu’elle était seule, elle remonte lentement sa jupe. Je suis subjugué et mes yeux sont fixés sur les cuisses de Magalie. Je regarde le tissu remonter en espérant qu’elle découvre rapidement ses fesses. Magalie fait demi-tour et se rapproche de moi.



Magalie est à deux mètres de moi sur le sentier et elle continue de monter sa jupe. Je vois maintenant apparaître sa petite culotte blanche. Cette apparition me fait perdre la voix. Je deviens un spectateur muet.



Magalie, contente de l’effet qu’elle me procure, tourne sur elle-même et me montre des fesses mises en valeur par un ravissant string blanc. Je reste muet devant ce charmant postérieur exhibé. Magalie entame une petite danse et je suis hypnotisé comme le serpent charmé par le joueur de flûte. Je ne remarque pas qu’un couple de personnes âgées approche au loin. Magalie les aperçoit mais continue son exhibition sur le sentier. Le couple est maintenant à son niveau. Ils semblent choqués par un tel comportement et continuent leur chemin rapidement.



Dès qu’ils ne sont plus visibles, Magalie se dépêche de me rejoindre. Elle pouffe de rire en se jetant dans mes bras.



Effectivement face à moi, j’ai une charmante jeune femme qui porte un masque. Effectivement si je le souhaite, je peux me dire que ce n’est pas ma nièce. C’est à moi de décider entre une magnifique paire de fesses qui ne demande qu’à être cajolée ou ma morale interdisant l’adultère. Pretty girl ne me laisse pas le temps de trouver une réponse et vient poser ses lèvres sur les miennes. Ce doux baiser me paralyse et elle en profite pour tâter mon entrejambe. Il y a déjà un bon moment que mon sexe a fait son choix. Il bande depuis le début de l’exhibition.



Nos regards se croisent sans que je la repousse. Je suis embarqué et reste sans réaction. Magalie déboutonne mon pantalon et sort mon sexe tendu. Tout comme avec sa mère, je me laisse guider. Elle me branle fermement en soutenant mon regard. Je n’en peux plus, mes sens ont été trop sollicités et je réagis instinctivement. Mes mains parcourent son corps ferme. Je remonte à nouveau sa jupe et caresse ses fesses parfaites. Mes doigts se glissent sous le string et massent sa vulve. Elle mouille abondamment et je la pénètre facilement avec deux doigts. Magalie s’abaisse vers mon sexe et débute une fellation. J’ai toujours mes doigts en elle et je savoure le va-et-vient de ses lèvres sur ma verge. Au même moment, j’entends des voix qui me sont familières. Patrick, Carine et Sophie approchent sur le sentier. Ils ne peuvent pas nous voir et doivent s’imaginer que je suis toujours à la recherche de ma casquette. Je suis dehors en train de me faire sucer par ma nièce alors que son père, sa mère et sa tante sont là devant moi. Ce contexte extraordinaire génère en moi une excitation considérable. J’éjacule dans la bouche de Magalie qui, à mon grand plaisir, avale ma semence. Je ne me souviens pas avoir joui aussi intensément depuis longtemps.


Les promeneurs continuent leur chemin et disparaissent. Je regarde Pretty girl qui me sourit avec un filet de sperme sur le menton. Elle a toujours mon sexe en main et s’attache à lui redonner vigueur. Une fois chose faite, elle me tourne le dos se positionne devant moi à quatre pattes et attend. Je m’approche et la pénètre facilement. Je glisse en elle. Son jeune fessier est adorable. Ses hanches sont étroites et suscitent en moi une vigueur dont je ne me croyais plus capable. Magalie halète sous mes assauts et soudain se contracte par saccades. Elle jouit sur ma queue et je l’accompagne en éjaculant au plus profond d’elle.

Je suis encore en train de reprendre mes esprits alors que Pretty girl se relève, rectifie sa tenue et enlève son masque pour redevenir Magalie.



Je suis à genoux avec le sexe à l’air et j’ai du mal à comprendre ce qui vient de se passer. Je suis en train de réaliser que j’ai à nouveau trompé Sophie et encore une fois avec un membre de sa famille. Il faut à tout prix que cela reste secret.



Tel un automate, je sors de notre cachette et je me relève. Je ne réalise pas que j’ai le sexe à l’air dans un parc public à la vue de tout le monde. Dans mon esprit embrumé, je ne remarque pas que deux joggeuses arrivent.



Lorsque je prononce la dernière syllabe de ce prénom, je réalise que je m’exhibe devant notre factrice et une amie à elle que je n’ai jamais vue auparavant. Je me retourne brusquement pour leur tourner le dos et remballer mon sexe précipitamment. Les deux femmes pouffent de rire en continuant leur sport. Magalie s’est éloignée de moi et fait semblant de rien.



La brume de mon cerveau s’est dissipée instantanément. Je m’imagine devoir m’expliquer devant Sophie. J’appréhende de sortir du parc pour la retrouver. J’ai envie de rester seul pour toujours. Magalie est une vingtaine de mètres devant moi et me fait signe de la rejoindre.



Nous rejoignons l’entrée du parc et je marque un temps d’arrêt. Devant nous, Stéphanie et en train de discuter avec Sophie. Elles semblent joviales et souriantes.



Sophie explique à Stéphanie le vol de la casquette et pourquoi j’étais parti à la recherche de ma nièce. Avec un sourire complice Stéphanie explique à Sophie qu’elle m’a croisé dans le parc en pleine investigation. Tout le monde se met encore à rire de moi puis Stéphanie et son amie nous quittent en ayant pour moi des regards appuyés et des grands sourires.


Pour le reste de la journée, je suis transparent, évitant les regards et ne parlant presque pas. Le soir est maintenant venu et il est temps que Patrick et mes deux amantes rentrent chez eux. Je suis songeur et j’essaye d’analyser la situation dans laquelle je me suis fourré. J’ai trompé ma femme avec sa belle-sœur et sa nièce. En plus, je risque d’être dénoncé comme exhibitionniste. Je me réconforte car j’ai réussi à faire jouir Magalie. Mon instinct de mâle est satisfait mais je viens peut être de briser ma vie de couple. J’essaye de trouver une solution pour conserver ma vie paisible.


Lundi, je retourne au travail. Je suis rassuré que Sophie n’ait rien constaté d’anormal durant ce samedi en famille. Ce matin, j’ai été réveillé par une très agréable fellation. En sortant de mon sommeil, j’ai dû m’assurer qu’il s’agissait bien de Sophie avant de profiter pleinement de cette charmante attention. J’ai encore en mémoire les allers et venues des lèvres de Carine et Magalie sur ma verge. Je ne rêvais pas, c’était bien ma femme qui me réveillait avec autant d’attention. Je bandais dur et j’appréciais grandement ce genre de réveil. Dans la pénombre, j’ai regardé Sophie s’appliquer. Nos regards se sont croisés et j’ai distingué un sourire à la commissure de ses lèvres entourant mon sexe.



Sophie m’a enjambé et s’est empalée sur mon sexe mouillé par sa salive. Je me suis introduit en elle facilement et j’ai compris qu’elle n’attendait que ça. J’ai pris en main ses hanches pour lui donner le rythme. Ce fut d’abord lentement pour bien sentir son bassin se placer et profiter d’une pénétration profonde. Ce fut ensuite plus rapidement pour nous exciter au mieux. Je choisi enfin de rester immobile et de laisser Sophie gérer la cadence. Mes mains pétrissaient ses seins alors qu’elle écrasait son bassin sur ma verge. Subitement, elle s’immobilisa puis s’arc-bouta et jouit. Elle profita longuement de sa jouissance en regardant droit devant elle avec des petits soubresauts qui faisaient frémir sa poitrine. J’étais en admiration de cette magnifique perte de contrôle.


Un moment paisible pour moi mais avec l’envie de continuer, pour moi aussi jouir. J’attendis qu’elle commence à redescendre de son nuage pour reprendre mes mouvements en elle. Je bascule Sophie sur le côté et me place à genoux sur la jambe droite tendue alors que je replie la gauche. Je la pénètre à nouveau dans cette position genre levrette affalée. Sophie assaillie par cette profonde pénétration commence à gémir à nouveau. Sa réaction me pousse à continuer pour à mon tour jouir rapidement en ne pensant qu’à moi. Ma jouissance est rapide et explosive. Sophie m’accompagne avec une longue contraction musculaire généralisée dans tout son corps. Voilà comment bien commencer une semaine et essayer d’oublier mes aventures avec la belle famille.


Maintenant je suis en route pour aller au boulot. Je fais un arrêt à la poste pour prendre le courrier de mon entreprise. Parmi les courriers habituels se trouve une lettre manuscrite. Je l’ouvre et la lis :


Cher Bertrand,


J’ai été étonnée de te voir au parc et j’ignorais que tu pratiquais ce genre d’activité. J’ai été agréablement surprise que tu puisses agir de la sorte. Je te rassure, je garderai tes agissements pour moi. Je serai muette comme une tombe.

Je souhaite te rencontrer pour en parler. Je te donne rendez-vous jeudi à 15 heures au café des alpages situé dans la zone artisanale proche de ton travail. Je serai accompagnée par mon amie Valérie.

Amicalement,

Stéphanie.


Je suis interloqué. Pourquoi le sort s’acharne-t-il sur moi ? J’ai le choix, soit ne pas répondre à cette lettre mais risquer d’être dénoncé, soit me rendre à ce rendez-vous. J’ai besoin de réfléchir. Ma réponse sera dans mon prochain récit.