n° 19732 | Fiche technique | 16556 caractères | 16556Temps de lecture estimé : 10 mn | 28/07/20 |
Résumé: Stéphanie et Valérie me proposent une sortie en club libertin. Si je refuse, elles divulguent ma liaison avec Magalie. | ||||
Critères: fh ff couple parking amour chantage cunnilingu pénétratio fsodo -extraconj | ||||
Auteur : Bernardo Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Le livre de Magalie Chapitre 04 / 05 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent :
Ma nièce n’est pas frigide, je l’ai testée et approuvée. Notre visite du jardin public s’est terminée en partageant un orgasme. Lors de cette balade, nous faisons connaissance de Valérie et Stéphanie qui me trouvent dans une posture très compromettante.
Me voilà stationné devant le café des Alpages. J’hésite à sortir de la voiture. Je me demande ce qu’il va s’y passer. Stéphanie et Valérie seront-elles là ? Je reste assis à écouter la radio en regardant la devanture du café. J’essaye de me décider à y aller. À chaque fin de chanson, je me dis « cette fois-ci, j’y vais ». Après avoir écouté M. Pokora, je me lance et ouvre la portière. Comme un robot, je traverse le parking et entre dans le bistrot. Alors que je n’ai pas encore fermé la porte, j’effectue un regard circulaire et je repère de suite les deux femmes qui m’attendent assises à une table. Je ferme la porte, inspire profondément, puis me dirige vers mes hôtes.
Ma bière est servie avant que je n’aie le temps de répondre et je constate qu’il s’agit d’une « levrette ». Une bonne bière blonde légère au goût d’agrumes avec un nom très suggestif. Elles ont dû faire exprès et s’amusent de moi.
Je ne réponds pas, mais elles sont convaincues d’avoir raison, car je refuse d’admettre que je puisse être exhibitionniste. Mon absence d’explication étaie leurs soupçons sur ma relation extraconjugale.
Je suis incapable de répondre à Valérie, tant j’ai honte de cette liaison intrafamiliale. Je bois une gorgée de levrette pour hydrater ma gorge nouée.
Valérie pose sur la table un masque qu’on pourrait confondre avec celui de Zorro. Je ne me sens pas capable de réaliser leur fantasme, mais il faut admettre que fréquenter occasionnellement un club libertin m’intéresse et les deux femmes face à moi sont attirantes. Stéphanie doit mesurer 1,70 m, elle est blonde aux cheveux courts. Elle est mince avec des petits seins. Valérie est légèrement plus grande et blonde aussi. Ses cheveux sont plus longs et descendent jusqu’à sa nuque. Elle a une poitrine bien fournie. Ce sont deux belles femmes et elles le savent.
Je finis ma bière rapidement, je salue Valérie et Stéphanie et je quitte le bar. Je suis satisfait que cette rencontre soit terminée et que son but ne soit pas de me faire chanter ou de briser mon couple. Je remonte dans ma voiture et, sans mettre le contact, je commence à réfléchir. Maintenant, il me reste à trouver une excuse pour la nuit de vendredi à samedi prochain. Je dois trouver quelqu’un qui pourra attester que je dois m’absenter. Au niveau du boulot, c’est impossible. Nous ne nous déplaçons jamais le week-end. Une sortie cinéma entre amis serait trop courte et risquée, car Sophie connaît tous mes amis. Il y aurait trop de risque que ça vienne à ses oreilles.
Je vois Valérie et Stéphanie quitter le bar et rejoindre leurs voitures stationnées côte à côte. Avant de se quitter, elles regardent autour d’elles pour s’assurer de ne pas être vues et s’embrassent longuement. Subitement Stéphanie s’accroupit devant Valérie, lui relève sa petite jupe et commence à lui bouffer la chatte. Effectivement, ce sont bien des exhibitionnistes et elles sont bien bisexuelles.
J’ai mon téléphone en main en train de chercher un motif pour mon absence de vendredi prochain et j’en profite pour filmer les deux libertines. Je zoome au maximum pour avoir le plus de détails. Je peux voir nettement le visage de Stéphanie dans l’entrejambe de son amie. Valérie fait le guet tout en se mordant les lèvres et se contorsionnant sous les assauts de la langue de Stéphanie. Valérie se contracte de plus en plus rapidement et de manière désordonnée. Je la vois jouir en gros plan sur mon téléphone et ma bite commence à être à l’étroit dans mon pantalon. Stéphanie se redresse et embrasse à nouveau Valérie. Elles s’écartent, se sourient et rentrent chacune dans leur voiture. Elles quittent le parking avant moi qui viens de me découvrir des talents de voyeur et cinéaste.
Je visionne la vidéo et prends plaisir à faire des arrêts sur image pour profiter des détails. Valérie ne porte pas de culotte et est entièrement épilée. Je regarde en boucle son visage lorsqu’elle jouit. Je me frotte la bite à travers mon pantalon. J’ai très envie de me branler. Je suis calmé par l’arrivée d’un poids lourd qui se stationne proche de moi. Je reprends mes esprits et recommence à réfléchir à mon excuse pour vendredi.
J’ai une idée, je consulte la liste des événements dans la région vendredi soir prochain. Il y a un match de foot et deux concerts. Je ne suis pas footeux et Sophie n’y croira jamais. Je ne connais pas le nom des artistes qui sont en concert. J’ai une idée un peu bancale, mais pour l’instant je n’en ai pas d’autre.
J’appelle Magalie pour lui demander d’être mon alibi pour justifier mon absence. Elle pourrait déclarer avoir besoin de moi pour l’accompagner à un des deux concerts. Étonnamment, elle connaît ces deux artistes et encore plus étonnamment, elle accepte. Je suis obligé de lui donner la raison de ma recherche d’alibi. Elle trouve ça super et espère que je vais bien m’amuser. Le scénario est posé : vendredi prochain nous irons voir les Stranger’s days, un groupe hard rock. En réalité, elle dormira chez une copine. Pour que ce soit plus crédible, elle se propose de l’annoncer à Sophie comme si c’était une sollicitation de sa part. Je raccroche et prends la route vers chez nous.
Sophie m’accueille en m’embrassant avec un sourire :
Après une fausse hésitation et quelques questions, je feins d’accepter. Sophie est toute contente et prévient de suite Magalie. Tout est donc calé pour pouvoir rejoindre Valérie et Stéphanie. La pression descend d’un cran et l’envie de voyeur que j’avais eue sur le parking du bar me revient. Je rejoins Sophie qui est encore en train de papoter au téléphone avec sa nièce.
Elle est debout dans la cuisine, car elle devait préparer le repas de ce soir. Sans faire de bruit, j’arrive derrière elle, me mets à genoux et remonte sa jupe. Surprise, elle se retourne brusquement et nous voilà dans la même position que Stéphanie et Valérie. Avant qu’elle ne réagisse, j’abaisse sa culotte et commence à embrasser son mont de Vénus. Sophie tente de me repousser, mais je la maintiens fermement en enserrant ses fesses. Sa main libre repousse ma tête alors que je commence à lécher sa fente.
Je n’obtempère pas et continue. Sophie a du mal à garder le fil de la conversation avec Magalie. Elle est plus silencieuse et moins attentive à leur discussion. J’ai trouvé son clitoris et m’empresse de le lécher avec application. Je lâche ses fesses et Sophie reste collée à ma bouche. C’est la preuve qu’elle apprécie et souhaite que je continue.
J’écarte sa jambe gauche pour me permettre de glisser ma main toute proche de ma langue. Elle est mouillée naturellement et par ma salive. Un puis deux doigts entrent facilement dans son vagin. Je la pénètre d’abord doucement puis de plus en plus rapidement. Ma bouche quitte son clitoris et je me redresse en continuant mes va-et-vient rapides. Sophie me dévisage avec de grands yeux pour me faire remarquer qu’elle est toujours au téléphone avec Magalie.
Je souris en accélérant mon massage. Puis je pousse Sophie contre l’évier, j’enlève mes doigts et j’y retourne face à l’évier. Elle est immobilisée et je reprends un rythme rapide avec ma main. Je l’écoute avec plaisir, car elle éprouve de plus en plus de difficultés à converser avec Magalie. Elle parle comme si elle était essoufflée. Je savoure ce moment, mais j’en veux plus. Je déboutonne mon pantalon et libère ma bite que je colle contre ses fesses. Sophie comprend de suite où je veux en venir, elle baisse la tête vers mon sexe, tout en faisant non de la tête.
Je lui souris à nouveau et mes doigts quittent sa chatte. J’enserre ses hanches de mes mains et je la pénètre jusqu’à la garde en la tirant vers moi. Je la bourrine comme un sauvage. Elle respire de plus en plus fort et de manière désordonnée. Sophie ne peut continuer la conversation. Je l’entends dire à Magalie :
Et elle raccroche sans donner d’explication et attendre de réponse. Elle pose le téléphone ou plutôt essaye de le poser sur le plan de travail. Le téléphone finit à nos pieds sans que Sophie ne s’en soucie. Je ralentis le rythme pour m’approcher de son oreille pour lui dire doucement :
Je reprends le rythme rapide et je claque mon bas-ventre bruyamment sur ses fesses. Au bout de deux minutes, je la sens prête à jouir. Je me retire et lui dis :
Sans attendre une réponse, je pose mon gland sur son petit orifice et commence à pousser doucement et régulièrement. Sophie semble vouloir crier, mais aucun son ne sort de sa bouche grande ouverte. Je commence à m’introduire et Sophie est crispée. Je continue mon avancée et crache sur ses fesses pour lubrifier et limiter les frictions. Me voilà au plus profond. Je recule, puis m’avance à nouveau. Sophie est silencieuse, tête baissée.
Je continue mes mouvements en accélérant progressivement. Ma verge est tendue à fond et je suis inarrêtable. Je la défonce comme un animal, mon seul but à ce moment est de jouir, d’exploser et de me vider en elle. Je sens en moi monter le plaisir et je continue mon acharnement sans me soucier du ressenti de Sophie. Je suis proche de mon but. Je vais exulter de plaisir comme rarement. Les événements récents dont j’ai été témoin et victime ont décuplé mes émotions. Tout mon corps se tétanise et je me répands dans son anus.
Doucement, après plusieurs soubresauts, je reprends conscience et m’inquiète de savoir si Sophie a partagé mon plaisir.
Je ramasse le téléphone de Sophie et lui demande d’être moins étourdie.
Elle me sourit et imagine à tort en avoir fini de mes assauts pour ce soir. Elle jouira encore aujourd’hui et tout sera relaté en détail dans le prochain récit.