n° 19717 | Fiche technique | 28423 caractères | 28423Temps de lecture estimé : 16 mn | 22/07/20 |
Résumé: Où les deux amants enchaînent les jeux érotiques et finissent par se faire surprendre par Hélène. | ||||
Critères: f fh ff sport magasin cinéma voir lingerie fmast caresses pénétratio -couple -lesbos | ||||
Auteur : Xochiquetzal |
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Résumé de l'épisode précédent
Stéphanie a fait la connaissance d’un homme, Yoann, qui lui a fait découvrir de nouveaux plaisirs.
Au début de la semaine, Stéphanie retrouve avec plaisir Hélène et son magasin. La jeune vendeuse a réalisé d’excellentes ventes, ce qui lui vaut un baiser de Stéphanie. Elle ne veut pas parler de son aventure avec Yoann. Pour le moment, c’est son secret à elle. D’habitude, elle ne cache rien à Hélène, mais dans ce cas précis, c’est tout de même une affaire d’une autre nature. Toutefois, cela ne change aucunement ses rapports avec Hélène : elles sont toujours si proches et leurs rapports empreints d’une permanente sensualité.
D’ailleurs, les deux femmes s’organisent rapidement une séance de gymnastique dans l’appartement de Stéphanie. Elles ont découvert que cette activité, lorsqu’elles la partageaient, était synonyme de plaisir. Ce soir-là, Hélène est simplement vêtue d’une culotte haute et d’une brassière assortie, confectionnées dans un tissu très doux de couleur bleu pâle. Quant à Stéphanie, elle a passé une combinaison qui cache son corps du cou jusqu’aux chevilles. Le fin tissu extensible colle à sa peau et révèle tous les détails de son anatomie. Le bout de ses seins, la toison de son pubis apparaissent en léger relief.
Les deux partenaires se livrent à différents exercices physiques, alternant ceux dont la vocation est de muscler leurs corps, et ceux destinés à détendre leurs muscles. Ainsi, elles se serrent mutuellement les pieds et réalisent quelques séances de raffermissement abdominal. Après cela, l’une d’elles s’assied par terre, les jambes jointes, et l’autre pousse sur son dos avec délicatesse. La première sent ses muscles s’étirer, mais la légère douleur est suivie d’un état de délicieuse sérénité. Quant à l’autre, elle peut, tout en réalisant l’exercice, prodiguer quelques baisers sur la nuque de sa partenaire.
Au bout d’une heure, Hélène est lasse de torturer son corps, elle demande à Stéphanie d’arrêter. « Mais je veux me faire pardonner ! », ajoute-t-elle immédiatement. Elle entreprend de retirer la combinaison de sa partenaire, ce qui n’est pas aisé, tant elle serre de près le corps de la jeune femme. Hélène finit tout de même par mettre Stéphanie à nu. Elle s’allonge sur elle, mordille ses seins avec frénésie. Elle pose ses mains partout : sur les épaules, sur les hanches, sur les cuisses, sur le ventre de Stéphanie.
Tous les soirs, Stéphanie et Yoann s’appellent au téléphone. Ils passent des heures à se raconter les détails de leurs vies quotidiennes, à faire des projets de voyages, de sorties. Quand l’un des deux semble prêt à conclure la conversation, l’autre s’empresse de trouver un autre sujet pour prolonger le plaisir de l’écouter. Quand enfin, un agent extérieur tire les deux amants de leur tendre échange, il faut encore de longues minutes pour envoyer le dernier baiser, le dernier mot d’amour.
Comme convenu, Yoann arrive à l’aéroport de Blagnac le vendredi en fin de soirée. Un taxi le conduit jusqu’à l’appartement de Stéphanie. Arrivé devant l’entrée, il actionne la sonnette. La porte s’entrouvre, mais il ne voit que le visage de Stéphanie. « Entre vite ! » lui dit-elle, et elle referme immédiatement la porte derrière lui. Quelle n’est pas la surprise de Yoann de découvrir Stéphanie habillée d’un slip, d’un soutien-gorge et d’un porte-jarretelles de velours noir. Ses bas, dont la fine maille de nylon noir est transparente à la peau de Stéphanie, complètent la panoplie séductrice que la jeune femme porte à l’occasion de la première venue de son amant.
Les deux amants s’embrassent longuement. Yoann pose ses mains sur les hanches de Stéphanie et la serre contre lui. Il est séduit par ce corps presque nu qu’il retient fermement. Lorsque les deux amoureux interrompent enfin leur baiser, Yoann cherche à découvrir l’univers de son amante. Il est persuadé que l’on apprend beaucoup sur quelqu’un en étudiant le lieu où il vit. Mais Stéphanie ne semble pas prête à le laisser regarder indéfiniment son appartement :
Yoann s’amuse de l’impatience de son amante :
Elle le prend par la main et le conduit jusque dans sa chambre. Là, elle l’abandonne et s’enfuit dans le lit se cacher sous la couette.
Yoann se plie avec bienveillance à cette exigence légitime.
Il s’exécute, puis la rejoint dans son lit :
Stéphanie s’allonge sur lui. Les deux amants s’embrassent avec avidité. Leurs langues se croisent, se découvrent, se serrent, s’excitent mutuellement. Leur baiser dure longtemps, avant que les mains de Yoann ne se posent sur le dos de Stéphanie, glissent sur ses hanches, caressent fermement ses fesses à travers le velours. La jeune femme ne fait rien d’autre que de se concentrer sur son baiser. Elle se contente d’exercer une légère pression sur le pénis de Yoann qui durcit rapidement. Elle écarte les jambes pour qu’il se dresse en direction de son sexe. Yoann a ouvert le soutien-gorge et libéré les seins de Stéphanie. Il aime le contact de ces derniers sur sa poitrine. Pendant que son amante est encore allongée, il lui retire également son slip.
La jeune femme se fait plus active. Elle s’agenouille, offrant l’ouverture inondée de son sexe à la verge de Yoann. Elle se laisse pénétrer. Son partenaire la retient par les hanches pour guider son plaisir. Mais elle apprend vite à maîtriser les mouvements de son corps de telle sorte que l’un et l’autre en retirent d’intenses sensations, sans provoquer de douleur au pénis du jeune homme. Mais Stéphanie n’y tient plus : elle accélère son excitation en criant, jusqu’à ce que Yoann éjacule en elle. Avec précaution, elle s’étend sur lui, sans que la verge de son partenaire ne quitte son sexe, puis les deux amants s’endorment dans cette position.
Le lendemain matin, Yoann et Stéphanie se réveillent assez tard. Alors que le jeune homme est toujours prisonnier d’un demi-sommeil, Stéphanie récupère son slip et son soutien-gorge perdus dans l’immensité du lit, se lève et les remet aussitôt. Puis elle se dirige vers la porte de la chambre.
Alors que Stéphanie s’éloigne lentement, son amant se lève d’un bond et court jusqu’à elle. Il la rattrape dans la salle de séjour :
À vrai dire, elle n’attendait que cela. Elle se serre contre le corps nu de son partenaire :
Yoann qui n’est pas particulièrement vexé d’être tombé dans un piège si sensuel, s’agenouille aux pieds de son amante. Il couvre de baisers le bas de son ventre, le triangle de velours noir qui cache son pubis. Il enlève un à un tous les sous-vêtements de Stéphanie : tout d’abord les bas, puis le porte-jarretelles, le soutien-gorge et enfin le slip. Ses mains caressent tour à tour les seins, les fesses, les hanches, les cuisses de la jeune femme tandis que sa langue excite son sexe.
Stéphanie éprouve une difficulté croissante à rester debout à cause du plaisir qui se saisit de son corps. Elle s’assied à côté de Yoann, puis s’allonge sur le dos, les yeux fermés. Yoann s’étend entre ses jambes et pénètre en elle d’un seul coup. Stéphanie respire violemment. Le jeune homme va-et-vient en elle avec une vigueur sans précédent. Le jeu inventé par son amante l’a excité avec une intensité inconnue jusqu’à présent. Des larmes viennent aux yeux de Stéphanie qui entoure de ses jambes le bassin de Yoann pour faciliter l’accès de son vagin. Enfin, Yoann n’y tient plus : sa laitance envahit le sexe de la jeune femme. Plusieurs minutes sont nécessaires aux deux amants pour retrouver leur souffle et leurs esprits.
Dans l’après-midi, les deux amoureux font une longue promenade le long des berges de la Garonne, main dans la main. Ils restent parfois un long moment sans dire un mot, goûtant à la joie simple d’être ensemble. Ils s’arrêtent pour un rien : une fleur, un enfant qui joue, un oiseau qui passe. Ils ne se sont jamais sentis aussi proches du bonheur absolu. Rien ne perturbe leur vie commune, qu’ils prennent soin de soustraire à toute influence extérieure.
Au retour de leur promenade, Stéphanie s’assoit dans le canapé. Yoann prend place à côté d’elle. Il passe son bras droit autour du cou de la jeune femme et se tourne vers elle. Sa main gauche se pose sur les genoux de Stéphanie, dont elle n’est séparée que par un fin collant. La courte jupe ne cache qu’en partie ses cuisses. Yoann tente de sortir maladroitement son amante du silence heureux dans lequel elle est plongée depuis leur arrivée dans l’appartement :
Mais Stéphanie ne se laisse pas abuser par cette diversion mal camouflée :
Yoann sourit :
Mais Yoann n’entend pas céder aussi facilement. Il a réussi à parler de son fantasme à Stéphanie et cela lui paraissait l’obstacle le plus difficile à franchir. Sa main, posée jusqu’ici sur les genoux de la jeune femme, remonte vers le bas de son ventre, emportant avec elle la petite jupe. Elle écarte doucement les cuisses de la jeune femme, puis se saisit de la main droite de Stéphanie. Cette dernière veut résister à l’idée saugrenue de son amant :
Mais, Yoann persiste. Il a amené la main de Stéphanie sur son pubis et la presse fermement contre celui-ci, tout en lui donnant un mouvement imperceptible. Pendant ce temps, il embrasse avec passion la jeune femme, dont la détermination commence de fléchir. Déjà, elle ferme les yeux.
La main de Yoann a quitté l’entrejambe et entreprend d’exciter les seins de son amante à travers son vêtement. Dans un premier temps, Stéphanie ne fait rien. Ou plutôt, elle se contente de conserver la pression sur son sexe. Puis, alors que Yoann a glissé sous le chemisier pour sentir la peau brûlante du ventre de la jeune femme, cette dernière attise le désir de son corps par de timides stimulations à travers son collant. Mais, quand les doigts de Yoann entrent sous son soutien-gorge, entreprennent de saturer de plaisir l’extrémité de ses seins, elle n’y tient plus. Elle est gagnée par le jeu auquel l’a invitée Yoann. Elle en oublie d’ailleurs sa demande et pour tout dire presque sa présence. Mais n’était-ce pas son vœu ? Il veut la voir se caresser avec le même savoir-faire et le même succès que quand elle est seule.
Stéphanie remonte sa jupe sur ses hanches. Sa main rentre dans le collant, hésite quelques instants sur la dentelle de son slip, puis franchit l’ultime barrière qui la sépare de son objectif. Elle se dirige presque instantanément vers le clitoris qu’elle commence d’exciter. De temps à autre, elle descend jusqu’à l’ouverture de son sexe, parcourt du bout des doigts la muqueuse humide.
Lorsque Yoann estime que Stéphanie s’est complètement abandonnée à sa quête solitaire du plaisir, il interrompt ses caresses pour regarder son amante. Après de longues minutes de stimulation, elle exulte dans un cri. Ses deux mains, qui ont cessé leur action, se rejoignent dans l’entrejambe et serrent le pubis pour l’aider à contenir l’intensité des sensations qui l’animent. Quand Stéphanie retrouve enfin ses esprits, elle ouvre les yeux et se noie dans le regard de son amant. Il lui sourit, pose un baiser sur ses lèvres :
Les deux amoureux ont décidé de passer la soirée au cinéma. La salle n’est guère remplie : le film ne connaît pas un succès flagrant. Tout au bout de la rangée dans laquelle ils sont assis se trouve un couple relativement âgé. Une vingtaine de personnes au plus se répartissent dans le reste de la pièce. Yoann et Stéphanie suivent avec attention le début du film. La jeune femme a posé sa tête sur l’épaule de son amant, qui a passé son bras autour de son cou. Alors que le film n’a pas encore atteint son premier tiers, l’intérêt de Yoann pour celui-ci semble décroître vertigineusement. En revanche, sa main libre se pose sur les cuisses de Stéphanie et glisse sous la jupe dans l’entrejambe.
Stéphanie repose sa tête où elle était si bien. Après tout, elle est bien plus préoccupée par leur bonheur commun que par le regard hypothétique des deux personnes au bout de la rangée. Pendant ce temps, Yoann excite le sexe de Stéphanie à travers ses sous-vêtements. Il sent la chaleur de sa substance gagner le slip, puis le collant. Les caresses du jeune homme viennent à bout de la résistance de sa partenaire. Elle lui mord violemment l’épaule :
La main de Yoann se retire sur les genoux de son amante. Il pose un baiser sur ses cheveux.
Le dimanche matin, les deux jeunes gens sont réveillés de très bonne heure par la lumière du soleil qui envahit la pièce : ils ont oublié de fermer les volets de la chambre. Stéphanie est une fois encore la plus active. Exceptionnellement, elle a dormi nue, tout comme Yoann d’ailleurs. Elle s’allonge sur son amant et commence à le combler de caresses, de baisers. Elle découvre une nouvelle manière de l’exciter : elle recule de telle sorte que ses seins caressent son pénis. Le contact de la peau particulièrement douce produit un effet incomparable sur la verge de son partenaire. La rigidité de celle-ci contraste avec l’uniforme tendresse des seins de la jeune femme.
L’étape suivante consiste à couvrir de baisers le sexe de son amant sur toute sa longueur, à rehausser l’effet de ses lèvres par de petits coups de langue. Quand Stéphanie estime qu’elle a suffisamment préparé Yoann à la satisfaire, elle s’étend sur le dos à côté de lui et l’invite à venir se placer entre ses jambes. « Viens en moi ! » le supplie-t-elle. Le jeune homme n’est pas décidé à céder si facilement. L’extrémité de son pénis reste durablement dans la fente humide. Il remonte jusqu’au clitoris, accroît sa pression sur le petit morceau de chair si sensible. Stéphanie, qui apprécie cette caresse au plus haut point, se révèle du coup moins impatiente. Yoann entre doucement en elle, puis ressort et revient. Il ne veut pas l’exciter intensément, pas tout de suite du moins.
Le sexe de Stéphanie se remplit de sa substance, ce qui facilite l’action progressive de Yoann. Petit à petit, ses mouvements se font plus fermes, plus intenses, plus rapides. Parallèlement, la respiration de Stéphanie devient plus vive. Puis, Yoann se décide enfin à la prendre complètement, à lui donner tout ce à quoi elle aspire. Il relève légèrement le torse pour pouvoir entrer plus profondément en elle. Elle exulte, elle crie son plaisir. Il va-et-vient en elle, puis libère sa laitance dans un long jet saccadé. Il s’allonge sur son amante, l’embrasse tendrement :
Les deux amoureux restent un long moment couchés l’un sur l’autre, profitant du calme et de la félicité de la situation. Puis, Stéphanie invite son amant à se lever :
Elle ouvre l’armoire, se saisit d’un petit ensemble de coton blanc et d’une courte chemise de nuit, qu’elle enfile aussitôt. L’étoffe de cette dernière recouvre à peine la totalité de la culotte. Yoann regarde avec envie la jeune femme. La vue de ce corps si délicatement suggéré le remplit de bonheur, et il en vient à se demander s’il a vraiment besoin de le caresser. Mais Stéphanie le tire de sa rêverie :
Yoann ne s’était même pas rendu compte que son amante avait quitté la pièce. Elle a eu le temps de faire chauffer le café pendant que son image restait imprimée dans l’esprit du jeune homme. Cette découverte le remplit d’émotion. Il se lève et rejoint Stéphanie dans la cuisine.
Les deux jeunes gens savourent longuement leur petit-déjeuner. Ils discutent d’une grande variété de sujets, puis rangent la table et font la vaisselle sans cesser de parler. Yoann ne manque pas de prodiguer une légère caresse à Stéphanie de temps à autre. Elle lui répond par un baiser.
Puis, ils se dirigent vers la salle de bain. Stéphanie propose à Yoann de prendre son bain le premier. Ce n’est pas qu’elle désire faire quoi que ce soit de particulier, mais elle aime déambuler en chemise de nuit, fouiller dans ses nombreuses petites boîtes et bouteilles. Elle se brosse les dents, remplit un gobelet d’eau froide ; mais, au lieu de l’avaler, elle jette le liquide glacial dans la baignoire. Yoann, à moitié assoupi dans le bain chaud, se contracte violemment sous l’effet de la différence de température. Bien évidemment, de l’eau jaillit en dehors de la baignoire.
Yoann ne trouve pas de réponse plus appropriée que de s’emparer à son tour d’un récipient, de le remplir et d’en propulser le contenu sur Stéphanie. Elle riposte par une nouvelle salve d’eau glaciale et l’échange dure ainsi quelques secondes. Lorsque les deux amants reviennent à plus de sagesse, le sol de la salle de bain est recouvert d’eau, et la chemise de nuit de Stéphanie, complètement détrempée, colle à sa peau et laisse transparaître son slip et son soutien-gorge tout aussi humides. Yoann est sous le charme :
Cette bataille de gamins a excité le désir de la jeune femme. Elle franchit le bord de la baignoire et s’étend tant bien que mal sur son amant. Les deux amoureux, qui regrettent de ne pouvoir s’allonger tous les deux complètement dans l’eau bien chaude par manque de place, préfèrent se lever. Leurs corps se serrent l’un contre l’autre. Yoann retire avec difficulté la chemise de nuit et les sous-vêtements de Stéphanie. Son pénis se dresse fermement sur le ventre de la jeune femme. Elle s’agenouille pour le prendre un court instant dans sa bouche, en goûter la force, accroître son désir.
Puis, Stéphanie passe ses mains autour du cou de Yoann ; celui-ci la saisit par les hanches. Elle l’aide de son mieux à la soulever et à pénétrer en elle. Elle jouit déjà intensément. Les deux amants sont immobiles. La présence de la verge gonflée dans le corps de Stéphanie suffit à la combler de plaisir. Quant à Yoann, la chaleur liquide qui se déverse du vagin brûlant de son amante excite son sexe au-delà des limites de sa résistance. Un long moment passe ainsi, avant que quelques judicieux mouvements du bassin de Stéphanie ne libèrent en elle la semence de son amant.
Le lundi, Stéphanie est seule dans le magasin. Elle a laissé dormir Yoann qui a obtenu quelques jours de son employeur et qui les passe, bien entendu, à Toulouse. D’autre part, Hélène est à son tour en congé. Stéphanie retrouve ainsi une situation qu’elle n’avait pas connue depuis longtemps, mais qui ne lui manquait pas. Elle prend plaisir à servir ses clientes, sans cesse plus nombreuses. Elle se dit que, vraiment, la présence d’Hélène a du bon. Pour redonner un peu de sa personnalité à la boutique, dont la présentation doit tout à Hélène depuis un long moment déjà, Stéphanie modifie la place de quelques modèles, change les dessous exposés en vitrine, ceux que portent les bustes.
Sans que cela ne la surprenne particulièrement, Yoann la rejoint dans la matinée. Il veut découvrir l’« Amour de femme » dans d’autres conditions que la première fois. Stéphanie lui montre tous les détails de son magasin, et surtout son atelier, la table où elle coud. Yoann se laisse aller à quelques caresses. « Sois sage ! » lui demande Stéphanie sans grande conviction. Elle cherche tant bien que mal à continuer sa présentation :
Ce qui n’a comme effet que de déclencher une irrésistible envie chez le jeune homme. Stéphanie tourne le dos au plan de travail, les fesses posées sur le bord de celui-ci. Yoann s’approche d’elle, l’embrasse amoureusement.
Yoann la fait chavirer et l’aide à allonger délicatement son dos sur la table.
Mais Yoann n’est vraiment pas disposé à abandonner si promptement son projet. Il relève la courte jupe de Stéphanie sur son ventre. Ce matin-là, elle a revêtu un porte-jarretelles, des bas blancs, et par-dessus un slip de dentelle blanche qui cache bien peu la toison noire de son pubis. Yoann parcourt les motifs de la dentelle, les attaches des bas. Le contact des doigts de son amant excite la peau de la jeune femme. Désormais, elle n’est plus capable de prononcer un mot pour feindre de repousser son partenaire. Yoann retire le sous-vêtement qui barre l’entrée du sexe de Stéphanie. Les bas et le porte-jarretelles forment un cadre admirable à la toison sombre de son pubis.
Le regard de Yoann s’attarde sur l’objet de son désir. Puis il écarte les jambes de la jeune femme tout en caressant sa poitrine à travers le chemisier. Pendant ce temps, Stéphanie a discrètement déboutonné le pantalon de Yoann, l’a fait glisser, ainsi que le caleçon sur ses cuisses, et libéré le pénis déjà bien gonflé. « Prends-moi maintenant ! » exige-t-elle de son amant. Yoann s’exécute avec précaution. Pendant de longues minutes, il va-et-vient en elle, jusqu’à ce que l’orgasme étreigne les deux partenaires. Alors, il répand en elle sa blanche laitance par de longues saccades.
Stéphanie ne récupère ses esprits qu’après un long moment. « J’ai joui comme jamais ! » annonce-t-elle à Yoann. Celui-ci l’aide à s’asseoir sur la table. Elle remet à sa place le pantalon qu’elle a défait. Plus rien ne transparaît de la scène d’amour qui vient de se dérouler. On ne saurait l’imaginer si le slip de Stéphanie n’était pas posé négligemment à côté d’elle. Mais, alors que la jeune femme hisse son regard par-dessus l’épaule de son amant, elle découvre avec stupeur Hélène qui les observe.
Une immense tristesse envahit le visage de Stéphanie.
La jeune femme n’hésite pas une seconde, elle prend le parti de la franchise :
Elle est assez surprise par la réponse de Yoann :
Mais l’expression de Stéphanie modère rapidement l’enthousiasme de Yoann, qui tente de consoler son amante par de douces paroles. C’est alors que l’on entre dans la boutique.