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Temps de lecture estimé : 15 mn
25/07/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Victoire se livre totalement aux deux chauffagistes.
Critères:  fhh hagé jeunes couleurs nympho enceinte fsoumise hdomine revede exhib facial fellation cunnilingu pénétratio -bourge
Auteur : Bcbg  (BCBG et classique.)

Série : Victoire et les chauffagistes

Chapitre 03 / 03
La visite des chauffagistes - 3

Dans les deux premiers épisodes de ce récit (voir « La visite des chauffagistes – première partie et deuxième partie), Victoire cède progressivement aux désirs qu’elle éprouve face à ces deux chauffagistes venus pour une intervention.

Elle se livre totalement à eux dans ce dernier récit.




Victoire reste les jambes serrées, emprisonnant la main du jeune homme. Les deux ouvriers ont lâché les mamelons meurtris et se sont redressés. Ils se regardent, car décontenancés face à l’attitude de la jeune épouse qui, les yeux fermés, commence de gémir. Le jeune beur se rend compte qu’il ne peut pas retirer sa main tant l’emprise est puissante. Il pose son regard sur le visage de la jeune femme qui semble comme évanouie. Lorsque la main qui s’est emparée de son mont de Vénus se referme encore un peu plus sur sa motte chaude, Victoire affiche une moue qui pourrait faire croire qu’elle éprouve une douleur prégnante.


Mais le gémissement continu prouve, au contraire, une satisfaction pas moins intense.

La bourgeoise a posé ses mains sur l’avant-bras à la peau couleur pain brûlé et lisse.

Comme si elle ne pouvait plus se contrôler, elle écarte légèrement ses cuisses et attire à elle l’avant-bras pour le repousser ensuite et afin de lui imposer un mouvement correspondant à une caresse. Le jeune chauffagiste affiche une face éberluée. Cette femme, ouvertement, lui fait comprendre qu’elle souhaite que sa main poursuive sa caresse initiale. Il affiche un sourire à la fois moqueur et plein de triomphe, maintenant conscient de quel type de femme il a à faire à présent.


Le chef d’équipe devient de plus en plus nerveux. Il se penche de manière à pouvoir positionner son visage face à celui de Victoire. Il saisit ce dernier entre ses deux mains et pose ses lèvres sur celles de la jeune femme. La langue du plombier n’a aucun mal à se frayer un chemin dans la bouche de Victoire qui répond à son baiser sans hésitation.

Leur souffle se mélange. Au bout d’un instant, Victoire repousse doucement ses deux amants qui se redressent. Les trois protagonistes se regardent, presque gênés.


Puis, Victoire, le regard fixe, comme totalement absent et le visage en feu, avance ses deux mains pour les plaquer sur les parties intimes de ses amants. Les deux compères se raidissent brusquement tant leur surprise est grande face à une telle initiative de la part de leur cliente. Le chef d’équipe serre ses mâchoires alors que le jeune ouvrier ouvre la bouche comme pour exprimer une parole inaudible et alors que ses yeux, grands ouverts, sont immobiles. Les doigts de la jeune épouse se referment lentement sur les testicules des deux plombiers au travers du tissu épais de leur combinaison de travail. La respiration de ces deux derniers est sifflante.


Victoire se met à masser lentement les quatre glandes, prenant garde de ne point provoquer de douleur. Les yeux fermés, elle voudrait pouvoir se gifler sans retenue tant un fond de culpabilité la possède encore et même si le plaisir dont elle se délecte à l’instant présent la domine sans aucun doute. Jamais elle n’aurait imaginé qu’un jour elle prodiguerait une telle caresse à un homme et encore moins à plusieurs en même temps. Pinçant la bouche, Victoire, tout en continuant ses câlins, essaie à présent de s’empêcher tant qu’elle le peut de céder à son envie folle d’entreprendre à présent les hampes raides de ses deux prétendants.


Pourtant, elle cède et ses deux mains se déplacent afin de permettre aux doigts soignés de saisir délicatement les deux queues raides. Les deux hommes, presque de manière simultanée, poussent un petit cri strident d’animal blessé et se courbent légèrement.

Victoire ouvre les yeux et les observe. Le chef d’équipe a le visage déformé par une grimace qui pourrait traduire une sensation d’écœurement.


Le jeune, lui, a les traits figés et les yeux grands ouverts comme ceux d’un enfant en train d’admirer des jouets disposés dans une vitrine de magasin. Victoire est consciente maintenant de l’ascendant qu’elle détient sur eux. De son pouvoir de domination qu’elle possède sur ces deux mâles gorgés de désir pour elle. Du bout des doigts, elle palpe et jauge les deux sexes offerts. Celui du jeune beur est long et fin contrairement à celui du chef d’équipe qui semble plus court et plus épais. Victoire regarde fixement devant elle, comme mue par un pouvoir extraordinaire et la dominant totalement. Les deux queues vivent, palpitent.


L’épouse en perdition les caresse délicatement, les masturbe lentement et les sent durcir encore un peu plus. Les deux victimes, comme prises au piège, respirent bruyamment tout en émettant quelques gémissements qui trahissent des sensations de plaisir, mais aussi des efforts afin que ce dernier ne parvienne pas à son paroxysme. Victoire poursuit son mouvement pendant de longues minutes, dégustant son plaisir de contrôler ses deux amants.


Ensuite, elle loge les paumes de ses mains sous les bourses des deux mâles pour les serrer progressivement et afin d’imprimer un lent mouvement de massage.

Les deux acolytes continuent d’émettre leurs gémissements et se mettent à trembler légèrement. Victoire a compris qu’elle est en mesure de les faire exploser et se ravise.

Elle retire ses deux mains et reste les bras ballants, laissant les deux compères reprendre leurs esprits.


Ensuite, elle se penche légèrement afin de libérer ses jambes de son collant et de sa culotte qu’elle pose derrière elle sur la table de sa cuisine. Ensuite, elle se penche en arrière pour s’allonger délicatement sur le dos en relevant les jambes pour les écarter le plus qu’elle le peut. Le visage de côté et les yeux fermés, elle attend, consciente du signal qu’elle lance ainsi aux deux hommes. Elle, Victoire de Saint-Cernin, épouse modèle, mère de famille, éduquée dans le respect des principes dans lesquels elle baigna pendant toute son enfance, est allongée sur une table, les jambes relevées.

Elle sait quel spectacle elle est en train d’offrir ainsi aux deux ouvriers.


Ces deux hommes, ces deux inconnus, complètement étrangers à son univers quotidien.

Ces deux plombiers auxquels elle se livre à présent, volontairement et en éprouvant une sourde satisfaction. Elle imagine bien ce que les deux chauffagistes peuvent voir.

Ses cuisses pleines, à la peau blanche et douce, rondes et écartées, ses fesses rondes,

ses grandes lèvres, enflées, se sont séparées d’elle-même, recouvertes de leur toison sombre, épaisse, ébouriffée, et en partie recouverte du liquide brillant émis par son ventre sous l’effet du plaisir trop longtemps freiné.


Et puis il y a sa plaie béante, épanouie, laissant voir les petites lèvres gluantes et qui semblent vouloir profiter au maximum de cette liberté inespérée. Les petites feuilles vivent, respirent, semblent même bouger. Le clitoris, petite ogive récalcitrante, a sorti sa tête, petit gland énervé voulant montrer sa vigueur. L’entrée du puits intime est là aussi, œillet serré pouvant faire croire à une virginité pourtant perdue. Pour finir, il y a l’autre entrée, elle aussi entièrement exhibée, bistre et close. Les deux hommes ont les yeux fixés sur cette exposition dont il n’aurait jamais cru pouvoir un jour profiter.

Victoire sait qu’ils la regardent, qu’ils nourrissent leurs pupilles de tous les détails de son intimité qu’une femme se refuse normalement de dévoiler ainsi, dans ces circonstances.


Mais la bourgeoise bien sous tous les rapports s’est résignée à ne plus tenir compte de toutes ces normalités. Ces deux hommes ont brisé une période trop longue de vide, d’absence d’un plaisir qu’elle a l’occasion de goûter depuis la présence des deux artisans. Les yeux toujours clos, elle attend. Elle attend et laisse le choix aux deux mâles échaudés. Le choix de la prendre, de prendre possession de son corps, comme ils le veulent. Le binôme s’observe.


Les respirations sont sifflantes. Le chef d’équipe s’agenouille au bout d’un long moment, le visage face à la moule pleine de vitalité. Il pose ses deux mains à plat sur l’intérieur de chacune des cuisses de Victoire. Cette dernière sursaute sous l’effet du souffle sur son ouverture accueillante et des deux paumes chaudes sur sa peau. Que va-t-il faire ?

Coller ses lèvres sur les muqueuses trempées ? Au lieu de cela, il décide de faire prendre à sa langue la forme d’un soc de charrue. Le bout de la muqueuse se pose au niveau le plus bas du sexe de Victoire puis remonte jusqu’au clitoris, labourant lentement les chairs détrempées.



C’est pour ainsi dire en hurlant que Victoire vient d’appeler à la rescousse et alors que ses deux mains se sont emparées subitement du crâne de l’homme dont la langue commence d’explorer les replis intimes. La muqueuse, appliquée, fouille, sépare, inventorie, passe en revue toute la surface des chairs qui composent ce trésor qui lui est livré sur un plateau, vient également agacer régulièrement le clitoris, prodiguant des estocades qui font se cambrer à chaque fois Victoire dont les doigts, aux jointures blanches, serrent encore plus la tête de son tourmenteur au fur et à mesure que ses cris se font entendre.


Les « doucement ! » succèdent aux « Seigneur, encore, mais encore, allez ! » ou aux « Oui, oui, oui, viens ! ». D’une voix cassée, la bourgeoise supplie et réclame.

Victoire aurait bien tenté de se reprendre une dernière fois. Mais ceci s’avère impossible tant le plaisir éprouvé est intense, véritable vague de bonheur. Lorsqu’elle s’entend crier et employer les mots qui sortent de sa gorge, elle ne peut qu’admettre qu’elle est devenue une femme, soumise à ses désirs et envies de femelle échaudée. Le jeune, pour ce qui le concerne, semble ne pas savoir quelle attitude adopter. Il regarde son patron se nourrir du sexe béant de la cliente. Jamais il n’aurait cru qu’une femme comme Victoire, qui l’intimidait tant lorsqu’il pénétra dans cette maison, puisse se donner ainsi, chez elle, et devant les photos de famille qui trônent au fond d’un plan de travail. La situation et la vue de cette femme implorant plus de plaisir finissent de le faire sortir de ses gonds.


Il se positionne nerveusement au bord de la table afin de se rapprocher le plus possible de Victoire. Ses mains se mettent à caresser pendant de longues minutes le ventre et les mamelles étalées. Ensuite, il se penche pour faire courir ses lèvres humides sur le ventre de Victoire, laissant de fines traces de salive, et sans oublier de sucer de temps en temps les mamelons dressés. La jeune femme gémit encore plus sous l’effet des deux sources de satisfaction dont elle est maintenant l’objet.


De sa main libre, elle saisit le crâne du jeune homme pour le presser contre son corps.

La langue experte du chef d’équipe combinée aux lèvres de son jeune apprenti donne à la mère de famille l’impression de surfer sur un nectar de jouissance extrême. Après avoir fait courir sa bouche sur le ventre et les seins de Victoire, le beur se redresse et porte une main sur la boucle de la fermeture Éclair située sous sa gorge. Il la fait descendre lentement. Le bruit métallique attire l’attention de Victoire qui dirige son visage vers le jeune beur. La fermeture Éclair est au niveau du ventre du chauffagiste.

En dépit des flots de plaisir qui la submergent, elle ressent comme un sentiment d’angoisse qui la gagne.


Son instinct de femme lui fait rapidement comprendre l’intention du jeune homme.

Victoire se souvient avoir pris quelques fois le sexe de son mari dans sa bouche, mais n’en garde néanmoins qu’un souvenir assez vague. Les conditions actuelles sont autres.

Son cœur s’emballe lorsqu’elle voit la main du plombier extirper lentement de l’ouverture de sa combinaison une tige longue, rectiligne et déjà raide, à la peau fine, sombre, et qui surplombe deux glandes déjà enflées et tendant la peau sombre, recouverte d’une pilosité foncée, qui constitue leur bourse.


La queue est surmontée d’un gland découvert, effilé, luisant, légèrement en forme d’obus et présentant une crête assez large et un peu recourbée. Le jeune homme tient sa virilité du bout des doigts de sa main droite. Il baisse sa hampe vers la table de manière à ce qu’elle fasse face au visage de Victoire et se penche vers elle.

La jeune maman regarde le méat, œil de cyclope qui semble la fixer comme pour faire connaissance. Victoire, figée, se demande ce qu’elle doit faire.


Elle a saisi qu’elle est sollicitée par le jeune pour qu’elle le suce. C’est un sentiment de crainte plus que le manque d’envie qui la pétrifie. Peut-être la peur de ne pas être à la hauteur, par manque d’expérience. Peut-être la peur d’être moquée si elle ne parvient pas à montrer, qu’elle aussi, Victoire de Saint-Cernin, bourgeoise classique, bon chic bon genre, est tout à fait capable de gober et accueillir la bite d’un homme dans sa bouche. De sa main gauche, le beur saisit l’arrière de la tête de Victoire pour l’attirer encore plus à lui.



C’est d’une voix suppliante et presque sanglotante que le chauffagiste vient d’adresser sa demande pour que Victoire s’occupe de lui. En entendant cette supplication, la jeune femme ressent une sensation faite d’un mélange d’excitation et de triomphe. Elle ferme les yeux et ouvre ses lèvres pour former un rond. Le jeune ne se fait pas prier et introduit délicatement le gland à l’intérieur de l’ouverture ainsi formée pour ensuite cesser sa progression.


Sous l’effet du plaisir procuré par le doux contact des muqueuses et de la chaleur de la bouche féminine, il ferme les yeux et ouvre ses lèvres sur un sourire de satisfaction.

Au bout d’un court instant, Victoire, maintenant plus sûre d’elle, rassurée, se met à faire coulisser lentement ses lèvres autour de la tige dure comme de l’acier. Elle sent le goût salé du liquide émis par le méat, équivalent à celui que toute femme produit lorsqu’elle ressent un plaisir intense. Le jeune respire en sifflant et fait avancer et reculer son bassin lentement pour accompagner les caresses buccales.


Victoire accueille la queue avec un plaisir allant crescendo. Le gland est comme un bonbon tendre dans lequel elle aimerait mordre. Le beur soupire, grogne, gémit comme un petit animal blessé. Victoire en ressent d’autant plus de satisfaction.

Sans compter que l’autre, entre ses cuisses, n’en finit pas de dévorer son ventre, faisant un festin de tout ce que sa bouche et sa langue peuvent saisir, lécher, sucer, grignoter.

Régulièrement, la jeune mère de famille sent le tonnerre gronder au fond de ses entrailles et elle ne peut freiner les vagues de jouissance qui surgissent alors.

Le chef d’équipe doit s’en apercevoir, car il stoppe alors son repas comme pour accueillir l’écume produite.


Victoire se montre plus entreprenante avec le jeune plombier en faisant sortir de temps en temps le gland de sa bouche pour l’agacer de petits coups de langue rapides et appliqués sur le méat, la crête et la surface lisse de l’obus. Le beur se cambre alors un peu plus à chaque fois et accompagne son coup de reins de grognements et petits cris.

Jamais la jeune épouse n’aurait pu penser qu’elle serait capable de donner autant de plaisir à un homme et surtout dans de telles circonstances. Elle suce cet amant qui se montre si reconnaissant si l’on en croît les plaintes de plaisir dont il est à l’origine. Il a l’impression de vivre dans un autre monde.


Se faire sucer par une belle bourgeoise face à laquelle, tout à l’heure, il était désemparé.

Se faire sucer par cette femme qui prend autant de plaisir que lui. Se faire sucer par une femme comme Victoire, rêve qui devient réalité. Un sourire triomphateur aux lèvres, il regarde sa queue luisante entrer et sortir du fourreau soyeux présenté par Victoire.

Le passage de la crête du gland, zone hautement sensible, entre les lèvres de la mère de famille lui procure à chaque fois une décharge électrique dans le creux de ses reins.

Il se cambre alors un peu plus en gémissant.


Le chef d’équipe cesse soudain le passage en revue de tous les plis intimes de Victoire pour se relever. Un peu surprise, elle le regarde se déplacer pour se positionner du côté opposé à celui où se tient son apprenti. Le visage rouge et des lueurs presque inquiétantes dans les yeux, il observe la scène qui s’offre à lui pendant un moment. Puis, il saisit la boucle de la fermeture Éclair de sa combinaison pour la faire descendre lentement. Victoire se demande ce qui pourrait se passer maintenant, un peu affolée.

L’homme plonge sa main droite dans le bas de sa tenue de travail pour en sortir ensuite une queue déjà allongée et raide ainsi que deux testicules ronds tendant leur enveloppe protectrice recouverte d’une pilosité plus claire que celle du jeune homme. La queue est assez courte, mais épaisse et semble puissante. Le gland, rond, est recouvert de son prépuce.


Victoire cesse momentanément de sucer la bite de l’apprenti pour diriger son visage vers cette nouvelle ogive qui la scrute de son œil unique. Le chef d’équipe retrousse le prépuce pour libérer un gland épais et large, lui aussi recouvert de ce liquide transparent sécrété sous l’effet du plaisir. Le plombier prend alors la main de Victoire afin de la poser sur son sexe. La bourgeoise ferme les yeux, mais ne résiste pas et entoure ses doigts autour de la hampe chaude et dure. Sans qu’il initie quoi que ce soit, l’épouse infidèle se met à caresser la queue, faisant aller et venir ses doigts sur le cylindre de chair. Le chef d’équipe pousse un grognement en se cambrant.


La jeune femme n’oublie pas pour autant son autre amant et dirige de nouveau son visage du côté où se tient le jeune beur pour absorber le gland toujours offert.

Victoire de Saint-Cernin, issue d’une des plus grandes familles de la noblesse bretonne, suce et masturbe deux chauffagistes qui lui procurent autant de bonheur et plaisir qu’elle s’attache à leur en donner. Victoire suce le jeune beur en continuant de s’appliquer, faisant coulisser la bite tout en gratifiant de temps en temps le gland et sa crête de petites attaques menées par le bout de sa langue.


Le chef d’équipe semble de plus en plus énervé, presque hors de lui, et se retire afin de se déplacer pour se positionner entre les jambes de Victoire qui extirpe la bite du jeune homme hors de sa bouche. En tant que femme, elle sait bien ce qui va se passer maintenant et ressent une angoisse soudaine en dépit du plaisir qu’elle a goûté jusqu’à maintenant. Elle sait qu’elle va être prise, possédée. Cela ne lui déplaît pas, mais elle est néanmoins prise de peur.


Le patron du jeune beur fouille rapidement dans la poche arrière de sa combinaison pour en sortir un préservatif dont il déchire nerveusement le sachet. Respirant de plus en plus fort, il l’enroule autour de sa hampe, raide et presque à l’horizontale. Il se cale ensuite entre les cuisses de Victoire, et passant ses bras sous les genoux de la bourgeoise, soulève les deux cuisses blanches pour ensuite faire reposer les deux jambes sur ses épaules. Victoire, comme abasourdie, regarde son futur étalon préparer sa saillie. C’est lorsqu’elle sent le gland contre sa vulve que la jeune femme a une réaction subite :



C’est presque en pleurnichant qu’elle vient d’exprimer cette requête. Le chef d’équipe la regarde, plantant ses yeux dans ceux de Victoire. Une moue déformant légèrement sa bouche, il fait délicatement pénétrer son gland dans l’antre en fusion.

Le gland n’est que partiellement à l’intérieur de la vulve. Cependant, Victoire a déjà l’impression d’être envahie.



Le cri est sec, strident.

Le chauffagiste stoppe son mouvement de reins, presque inquiet. Victoire a l’impression qu’une boule de feu vient de pénétrer dans son ventre, augmentant encore l’intensité de la fusion. Elle ne peut que se laisser aller, goûter, apprécier ce plaisir si paradisiaque.



Victoire s’abandonne, se donne et ces paroles sont la preuve de l’envie qui la taraude.

Son amant avance son bassin avec précaution et la queue pénètre progressivement dans les entrailles offertes. Victoire émet une longue plainte et ramène ses deux mains au niveau de sa bouche pour planter ses dents dans ses doigts. La bite de l’ouvrier est à présent totalement à l’intérieur du chaudron en ébullition. Maîtrisant ses ardeurs, l’étalon se met ensuite à faire coulisser sur un rythme régulier le bâton de chair dans le fourreau soyeux. L’épouse adultère poursuit ses longs gémissements. Il lime, lime, lime sa proie avec la satisfaction qu’éprouvent les hommes lorsqu’ils possèdent la femme qu’ils désirent. De temps en temps, il accélère un peu le rythme de ses coups de reins.

Pour son plaisir, mais aussi pour celui de Victoire qui gémit alors encore plus fort.


Le jeune beur réclame sa part d’affection. Délicatement, il fait pivoter le visage de Victoire dans sa direction et dirige sa queue vers la bouche de Victoire qui ne refuse pas de contenter une nouvelle fois son jeune amant.



Il y a à peine un peu plus d’une heure auparavant et s’il s’était avisé de prononcer ces paroles, surtout en la tutoyant ainsi, elle l’aurait giflé à tour de bras. Mais les circonstances sont autres. Elle n’est ni plus ni moins qu’une femme trop longtemps privée d’un plaisir qu’elle peut dévorer à présent. Victoire ouvre la bouche et accueille de nouveau le gland du jeune beur. Elle se remet à le déguster, faisant tourner sa langue autour de la crête, guettant ainsi à chaque fois la plainte plus appuyée qui traduit une augmentation supplémentaire du plaisir du jeune beur. L’autre ouvrier continue de la prendre, méthodiquement, transformant son ventre en véritable volcan.


Ce ventre, qui porte son futur enfant et ballotte tout comme les mamelles étalées et tremblant en suivant le tempo imposé par les coups de queue du chauffagiste. Le jeune frissonne, gémit de plus en plus et Victoire n’a que le temps de réaliser qu’il est sur le point de décharger le liquide crémeux conservé dans ses couilles de jeune fauve.

Elle le repousse à temps pour voir les jets puissants et successifs sortir du méat et se répandre sur son ventre, tels des filaments prenant leur envol avant de se reposer.

Elle reçoit cette offrande docilement, concrétisation de l’état dans lequel elle est parvenue à amener ce jeune loup, elle, Victoire de Saint-Cernin, bourgeoise et mère de famille.


Le chef d’équipe regarde la scène tout en besognant Victoire qui sent, au plus profond de ses entrailles, des crampes de plus en plus fréquentes, prémisses d’une explosion proche. Mais les doigts à la peau ridée du chauffagiste ne tardent pas à se refermer encore plus sur la chair chaude de l’intérieur des cuisses blanches de sa maîtresse.

Il se cambre, donne une dernière fois une série de petits coups de reins saccadés et désordonnés, le visage déchiré par une grimace qui pourrait donner l’impression qu’il souffre comme un martyr. Un grognement sourd et grinçant sort de sa gorge et Victoire sent aussitôt les jets brûlants remplir le réservoir du préservatif.


Le liquide a fait porter à son maximum la température du ventre de la bourgeoise.

Victoire sent la vague qui s’annonçait l’envahir subitement, lui faisant pousser un cri qu’elle n’a pas le temps de filtrer. Elle referme ses doigts sur les bords de la table et laisse passer l’orage qui éclate en elle. Les trois protagonistes reprennent ensuit lentement leur esprit. En silence.


Les deux hommes aident ensuite délicatement Victoire à se remettre debout après avoir remis de l’ordre dans leur tenue. L’épouse satisfaite leur demande de finir leur travail et de partir. Elle ne leur en veut pas, au contraire, mais se sent terriblement honteuse en même temps. Elle va dans sa salle de bain faire une toilette pour ensuite vérifier que son enfant continue de dormir. Ensuite, elle attend dans le salon que les deux ouvriers remontent. Une demi-heure plus tard, les deux compères entrent dans le salon.



Victoire signe le document avec le stylo que le patron lui tend, comme totalement absente. Elle raccompagne ensuite les deux employés vers la sortie et leur tend un pourboire qu’elle avait auparavant préparé. Les deux hommes la remercient en la regardant intensément et quittent la maison.