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n° 19757Fiche technique20049 caractères20049
Temps de lecture estimé : 12 mn
11/08/20
corrigé 01/06/21
Résumé:  Timide, je m'exhibe devant un oncle.
Critères:  f hplusag jeunes oncletante vacances voir exhib fmast -initiatiq
Auteur : Vixera  (Je suis timide mais je me soigne)

Série : Une histoire de famille

Chapitre 01 / 02
Une histoire de famille - Partie 1

Ma première expérience ? Comment lui expliquer ? Comment allait-il le prendre ?

J’étais chez un psy. J’avais vécu un traumatisme, suite à un accident de la route et mes parents tenaient absolument à ce que je fasse quelques séances. Pour ma part, je trouvais cela totalement inutile.


Lors de ce deuxième rendez-vous, il m’a fait parler sur ma vie intime. Ma première expérience ? Je suis d’une nature réservée. De mes douze à mes dix-huit ans, j’étais plutôt un peu ronde. J’avais perdu toute confiance en moi.

Pourtant j’ai un corps et un visage harmonieux et la nature m’a offert des seins qu’envient mes cousines. Je le sais à présent. Je me suis mise au sport et suis devenue addict’ à cela. En quelques mois mon corps s’est transformé et ma silhouette s’est nettement affinée. J’ai même vu, petit à petit, des garçons se retourner dans la rue sur mon passage. Ce fut nouveau pour moi.


Ma première expérience ? Comment vous l’expliquer sans vous choquer ? Sans être jugée… Et si je vous disais que c’est une histoire de famille ?

J’avais vingt et un ans. J’avais les hormones en ébullition, mais une angoisse terrible à l’idée de me retrouver avec un garçon. Je ne me trouvais toujours pas belle.



Nous étions en vacances chez mes grands-parents. C’était une grande réunion de famille estivale pour fêter les quatre-vingts ans de mon grand-père. Tout le monde était présent. Cousins, cousines, oncles, tantes… Vu le nombre, lors du repas, les jeunes étaient d’un côté et les « adultes » de l’autre. Nous rigolions, deux de mes cousins faisaient les pitres. La chaleur du jour était tombée et il commençait à faire meilleur avec l’arrivée de la brise du soir.


Ma mère, c’est un peu mon opposé : exubérante, sûre d’elle, toujours très sexy. Ayant une poitrine de taille très modeste, elle ne porte que rarement un soutif. Moi, je ne me vois pas sortir sans cet accessoire. Pourtant, cette soirée-là, je traînais depuis deux jours, un énorme coup de soleil sur les épaules. L’idée même d’avoir une bretelle qui frotterait dessus m’était insupportable. Ma mère venait de me mettre de la Biafine et me suggérait de me décoincer un peu en profitant des vacances pour enfiler un simple débardeur tout en abandonnant temporairement mon cher soutien-gorge. J’avais préféré choisir un tee-shirt plus fermé. Je voulais garantir à mon torse une protection efficace contre les regards obliques.


Lorsque je suis sortie de ma chambre pour aider aux préparatifs du repas, j’étais mal à l’aise. J’avais l’impression que tout le monde m’observait. Que chacun savait que mes seins étaient sans protection sous mon haut. Mais je me rendis vite compte que personne ne faisait attention à moi. Je restais clairement la fille anonyme. Lorsque mes inquiétudes furent dissipées, je me surpris à apprécier ces nouvelles sensations. Le léger mouvement de mes seins qui ondulaient discrètement au gré de mes pas. Ils semblaient profiter de leur liberté nouvelle pour se frotter contre le tissu du tee-shirt. La sensation de ce contact éphémère avait tendance à raidir légèrement mes pointes. On ne peut pas dire que j’avais les tétons tendus, mais…


À quelques reprises, j’ai poussé le vice en trottinant volontairement pour aller chercher des accessoires dans la cuisine. J’aurais très bien pu y aller sans me presser, en marchant, mais je voulais sentir le mouvement de mes seins, je voulais accentuer leur contact avec le tissu. Depuis ma puberté, mes plaisirs étaient solitaires et j’en découvrais un nouveau. C’était comme se caresser dans la nature, devant tout le monde. C’était presque excitant et mes seins semblaient dire à mon bas-ventre alors ? Et toi, qu’en penses-tu ? En guise de réponse, une douce chaleur partait de mes épaules pour se glisser entre mes cuisses. Je me laissais bercer de la sorte.


J’avais une jupe. Nous étions dans l’herbe. J’ai soudain surpris deux de mes cousins de dix-sept et dix-neuf ans regarder entre mes jambes en se donnant des coups de coude. Je les ai fusillés du regard en me réajustant. Ils sont partis. Je n’ai pas aimé cette intrusion visuelle.


Il est à présent plus tard, aux environs de 23 heures peut-être, le volume sonore des conversations est moins fort, à part quelques éclats de voix ou de rires gras et sonores. Je vais dans la cuisine déposer un plat. Stéphane s’y trouve. Il a trente-cinq ans. C’est le mari de la petite sœur de mon père. Elle le trompe. Tout le monde le sait. Je n’aime pas cette femme.



Je suis surprise par ce compliment.



Je rougis, je ne comprends pas…



Ma voix marque mon inquiétude. Il me prend les mains, délicatement.



Il me tourne le dos à présent et repart déjà à l’extérieur. Je suis sonnée. Je ne m’y attendais pas. Je prends sa remarque comme un compliment, comme une drague, comme… une caresse.


Je suis à nouveau avec mon groupe. Je me rassois, perdue dans mes pensées. Je le cherche du regard. Il est assis sur une chaise. Il discute avec mon père. Sa tête se tourne dans ma direction. Il me fixe. Je suis rouge. Il me sourit. Je lui réponds. Je fonds face à son regard. Mon cœur bat vite. Il baisse les yeux légèrement. Quelle conne ! Je m’étais remise assise par terre avec les genoux pliés. Cela a eu pour effet de remonter ma jupe, de découvrir mes cuisses. Je dois sûrement laisser apercevoir ma culotte. Je serre mes genoux l’un contre l’autre. Je tire sur ma jupe. Je baisse les yeux puis les relève. Ça y est, il a tourné la tête et rediscute avec son groupe. Quelle gourde. Je l’ai perdu.

Mon portable vibre. C’est un SMS. Je le lis. C’est lui ! C’est mon oncle !

Un seul mot :


« Pourquoi ? »


Je ne comprends pas, je le regarde. Je lui envoie un simple point d’interrogation. Il le reçoit. Je le vois, il a repris son téléphone. Il me répond, ses pouces tapotent le clavier.


« Pourquoi as-tu fermé tes genoux ? Pourquoi as-tu tiré sur ta jupe ? Je ne faisais que regarder. C’était délicieux. C’est dommage. »


Je lis et relis. Mon cœur tente de parler à mon cerveau qui lui dit de se calmer. Je regarde autour de moi. Mes cousines comparent leur page Facebook. Il fait nuit. La lumière douce provient juste du léger éclairage des vieux lampadaires du jardin. Mon pied gauche s’écarte de mon pied droit… encore un peu… je sens le tissu de la jupe qui glisse à nouveau sur mes jambes, je sens l’air frais qui s’engouffre entre mes cuisses.


Il tourne la tête. Il me sourit. Je lui réponds le cœur battant. Je suis une fille, c’est un homme. Il m’a demandé de lui montrer mes cuisses et je le fais. Je brise un interdit. Nouveau SMS. Je prends mon téléphone fébrilement, je lis :


« Tu peux faire mieux, tout le monde a bu, personne ne sait faire attention aux belles choses, moi si. Ouvre-toi comme une fleur. »


Je le regarde. Il confirme son message par un hochement de tête. Je suis immobile. Et puis… tout doucement… sans bouger mes pieds… je laisse mes genoux chuter légèrement par gravité de chaque côté. En clair, j’écarte pour la première fois mes cuisses pour un homme… et c’est bon ! Je regarde autour de moi. Mes cousines me tournent le dos pour avoir plus de lumière, un peu plus loin, un cousin cuve, vautré dans le gazon, les yeux fermés. Les autres sont partis, fumer en cachette sûrement. Alors je reste les cuisses ouvertes et je soutiens son regard. Il prend son téléphone. Il écrit à nouveau… pourvu que ce soit à moi ! Le SMS tombe.


« Tu es superbe. Laisse-toi complètement aller. Mets-toi sur les coudes. Ouvre-toi bien. Prends le temps de découvrir ton corps qui se réveille. Concentre-toi sur tes sensations. »



On m’avait dit que mon oncle donnait des cours de yoga. Est-ce une initiation à cette pratique ? Je m’en fous. Je veux lui obéir. Je me cale sur mes coudes. Pour m’ouvrir davantage, je dois bouger les pieds : comme des soldats en combat dans un milieu hostile, ils font un pas de chaque côté, lentement, silencieusement, prenant toutes les précautions pour ne pas être démasqués. La phase un étant terminée, j’entame la phase deux, la plus délicate, la plus sensible : m’ouvrir encore. Alors j’incline doucement mes cuisses et les guide vers le sol. Elles y sont presque. En suspension à 20 cm de chaque côté. Je deviens indécente. De plus, cette position se répercute sur l’élasticité des fibres de ma culotte. Cet écartement volontaire m’écrase légèrement la vulve. Ma respiration s’accélère, je vois mon ventre monter et descendre. Il me regarde. J’aperçois un geste discret de sa main… j’essaye de l’interpréter… lentement ? doucement ? Je me rappelle alors son message : se concentrer sur ses sensations.


Je bascule la tête en arrière. Dégage ma gorge juvénile. Je contemple les étoiles d’un ciel d’été. Je ferme les yeux. Je perçois à présent les conversations des uns et des autres. Je continue de discerner mon ventre qui se meut de haut en bas. Je sens mes seins profiter de leur liberté pour se développer au rythme de mon souffle, je sens le sang qui circule en moi, dans mes pieds, dans mes mollets, dans mes cuisses… Ah, ce sang chaud ! Il circule dans mes veines à grande vitesse, au rythme de mes pulsations. Il court dans mon bas-ventre, sur mon pubis, sur mes lèvres. Je me remémore ma position : cuisses grandes ouvertes, culotte visible, lèvres intimes gonflées, le tout sous le regard voyeur et volontaire de mon oncle, devant tout le monde.


Alors oui, je sens de mieux en mieux mon sang affluer comme un torrent dans un canal dont on aurait ouvert les vannes. Il s’éclate avec puissance sur les parois de mon sexe, vient bousculer l’équilibre de mon entrejambe, il lui ordonne d’ouvrir son entrée. Je le sens autoritaire, battre sur ma petite chatte, je le sens dominateur, prendre possession de mon clitoris, je le sens provocateur, se répandre en lui pour le forcer à bander comme une verge masculine. Je sens aussi à présent ma mouille qui se libère, ce doux liquide que je lèche timidement sur mon doigt après un plaisir solitaire. Mais là, ce jus suave semble couler sous haute pression dans mon sillon féminin. Heureusement ma culotte fera barrage. Le coton de ce linge pourra faire office de buvard. Dans la pénombre, personne ne remarquera la tache qui s’en suivra…


Je me laisse bercer par ce moment. Je repense à mon oncle, à cet après-midi où il avait récupéré une fine baguette de bois puis, le pied sur une pierre saillante, il tapotait machinalement le sol avec, tout en discutant avec son beau-frère. J’aimerais tant qu’il reprenne cette baguette, qu’il vienne me donner ces petits coups délicats sur mon sexe réveillé. Mes palpitations à cet endroit les ressentent presque poc, poc, poc… oooh je coule.


Ma mère m’appelle ! Aussitôt je refais surface. Je me lève d’un bond. Les filles doivent aider à finir de débarrasser. Pourquoi est-ce toujours nous ? Je me dirige vers le coin des grands, le téléphone à la main. J’arrive dans leur cercle. « Ting » nouveau SMS. Je regarde mon oncle. Il plaisante le dos tourné, sans me regarder.


« Ravissant spectacle. Très érotique. J’étais en érection. Sois inventive pour ton tee-shirt trop grand… »


Je lis et relis. Il était en érection ! J’ai mis en érection un homme ! Moi, la timide, la prude, la gauche, j’ai fait bander un bel homme. Pour sa deuxième partie, c’est plus délicat. Comment veut-il que je trouve une idée pour changer de tee-shirt en pleine soirée ! Ma cousine arrive en rigolant tout en tenant un plateau. Elle tourne la tête en parlant à sa mère et ne regarde pas où elle va. Sans réfléchir, je me mets devant elle, paf, elle me cogne, un verre bascule avec un fond de vin qui se renverse sur moi. Je le récupère par le pied en le tenant vers le bas, histoire d’être sûre de le vider.



Je la suis. On va dans ma chambre. J’enlève mon haut et lui demande de me passer autre chose. Sur le lit il y a le débardeur. Elle me l’attrape sans réfléchir et me le lance. Elle récupère le tee-shirt et se dirige vers la salle de bain. Elle me parle en le frottant. Je tiens toujours le haut dans ma main. Je regarde mes seins nus dans un grand miroir fixé à une armoire. Je me trouve désirable. Je pose ma main sur mon sexe et j’y exerce une pression continue. Aaah c’est booon ! Ma mère ferme l’eau. J’enfile le débardeur et l’accompagne. J’aide dans la cuisine. Une cousine me regarde drôlement. Qu’est-ce qu’elle me veut ?



Elle part alors en direction de sa chambre. Moi j’aide. Je discute, je pense à mon oncle. Plus vite on aura fini dans la cuisine et plus vite on y retournera.



C’est vrai, que fait-elle ? Je pars la chercher. J’arrive dans le couloir des chambres. J’ouvre la porte de la sienne. Elle se regarde dans une glace, une main sous son tee-shirt. Elle sursaute, rougit et se dépêche de me suivre. En fermant la porte, je découvre son soutif sur le lit. Elle a été l’enlever. Je l’interpelle.



Elle se retourne, figée, comme un enfant pris la main dans le pot de confiture. Je ne dis rien et me dirige vers elle. Je glisse la main sous son tee-shirt, vais directement au contact de son sein gauche. Elle tressaille. Je lui pince le téton et le tire. Il se raidit. Elle se mord les lèvres en silence.



Elle comprend que je sais. Elle rougit.



Elle ne se fait pas prier. Elle court rejoindre les cousins dans la pénombre. Elle a quinze ans, mais je suis sûre qu’elle va essayer de se faire peloter.


Dans la cuisine le dernier café a fini de couler. On les pose sur un plateau et on sort. Mon oncle Stéphane me voit tout de suite. Je me dirige vers lui avec le plateau, je lui offre presque mes seins dessus, fièrement dressés. Je crois que cela lui plaît. Il est presque mal à l’aise devant mon audace soudaine. Je continue à faire le tour. J’ai moins de succès. Je suis juste une fille de la famille. Je m’assois sur un tabouret de façon à être sur le côté par rapport à mon oncle. Je me penche vers l’avant et discute gentiment avec mon grand-père. Stéphane m’observe. Je sais que l’échancrure des manches de ce débardeur est grande. S’il ne voit pas tous mes seins, il en voit forcément une partie. Un bout de poire, le fruit que l’on voudrait cueillir en tendant le bras. Hélas pour toi. Tu ne peux que me mater. Mon sang se remet à circuler rapidement.


Il est 1 h du matin. Tout le monde part se coucher. Je traîne un peu dans les couloirs. J’attends inconsciemment mon oncle. Je feuillette un magazine sur une table basse.



Je ne l’ai pas entendu. Il parle à voix basse, il est juste derrière moi.



Ses mains m’enlacent la taille.



Il pose ses délicatement ses lèvres sur ma nuque. Je sens l’effleurement d’un baiser. Ses mains se glissent sous mon débardeur. Je respire fort.



Sa femme l’appelle depuis leur chambre à l’étage.



Il n’y a pas à dire, je déteste cette femme.


J’entre dans ma chambre. Enfin, celle que l’on m’a attribuée. J’ai un lit deux places. Je devais le partager avec ma petite sœur, mais elle est partie à un camp scout. Je me déshabille. J’enfile toujours le même grand tee-shirt trois fois trop grand, pour la nuit. Je me jette sur le lit. Je vais éteindre et dormir. Je me saisis de la poire électrique. Je me vois dans la grande glace de l’armoire posée au pied du lit. J’arrête mon geste. J’écoute… pas de bruit. J’écoute encore pour être sûre : tout est calme. Je me déplace alors au centre du lit et me mets sur mes coudes. Je plie les jambes et j’écarte les cuisses. Je me découvre dans la glace. Je vois clairement ma culotte de la nuit. Je m’ouvre complètement. C’est chaud. C’est impudique à souhait, c’est érotique. Je m’assois. J’enlève mon tee-shirt. Je caresse mes seins. Je les brusque un peu pour les réveiller. Je me remets sur les coudes… et j’ouvre à nouveau mes cuisses. Je m’observe, immobile.


Je me regarde en imaginant que c’est Stéphane qui le fait. Je pose mon dos à plat, soulève le bassin et baisse ma culotte. Je suis nue à présent. Je me remets sur les coudes, je replie une nouvelle fois les genoux. Je fixe le miroir et j’écarte complètement mes cuisses. Je vois mon sexe, je vois mes lèvres, je suis clairement indécente. Je m’excite toute seule. Je m’observe encore. Je bombe le bassin. Ahhhh, j’ai chaud. Je me couche sur le dos, mes pieds se rejoignent pour une prière, une supplication. J’éloigne mes genoux l’un de l’autre, ma main gauche caresse mes seins, ma main droite descend, elle atteint mon nombril, elle poursuit sa route, elle atteint mon clito… elle poursuit sa descente, elle atteint ma grotte… aaaah… j’y enfonce deux doigts enfin… aaah… je fais de lents allers-retours… Je ressors à contrecœur mon index et mon majeur qui sont bien lubrifiés… ils remontent ensemble, en territoire conquis, en écartant mes lèvres sans ménagement. Par une action commune à laquelle s’est joint mon pouce, ils pincent délicatement mon clitoris. Fièrement ce dernier se dresse comme un gladiateur qui sait qu’il va mourir sous les coups. Pendant ce temps ma main gauche tire sur l’un de mes bouts de seins… le combat commence… aaaah… aaaah… je ne vais pas être longue à jouir !