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Temps de lecture estimé : 14 mn
15/08/20
Résumé:  Les suites des aventures avec mon oncle, lors d'une réunion de famille.
Critères:  fh hplusag jeunes cadeau alliance vacances piscine fsoumise hdomine cérébral revede voir exhib noculotte fellation cunnilingu pénétratio -prememois
Auteur : Vixera  (Je suis timide mais je me soigne)

Série : Une histoire de famille

Chapitre 02 / 02
Une histoire de famille - Suite et fin

Résumé de l'épisode précédent :

Timide, je me suis néanmoins exhibée devant un oncle par alliance. Il a su me commander et cela m’a plu.




Il est presque onze heures du mat, j’émerge lentement de ma torpeur. L’orgasme d’hier soir m’a littéralement anéantie. Je descends et me dirige vers les paroles confuses que j’entends. Cela provient de la cuisine. Les mères sont en pleine préparation du repas de ce midi. Ce sera quelque chose de froid et léger, surtout des crudités et des tomates. Après les excès de la veille au soir cela ne fera pas de mal et puis… les hommes feront un barbecue vers 20 h. J’opine du chef. En fait, je m’en fous un peu. J’aimerais voir Stéphane et en même temps je redoute cet instant. J’apprends qu’il est dans la grange en train de bricoler avec mon père et son frère, sous la direction du patriarche. Je retourne dans ma chambre prendre une douche en dégustant une mandarine.

L’eau me fait du bien. Je suis en short court et en débardeur. Après une brève hésitation, je poursuis mon expérience sans soutien-gorge.


Le repas se termine, tout le monde est enthousiaste à l’idée d’aller à la mer. Tout le monde, sauf moi ! Cette dictature du bord de mer, dans le Sud, m’agace profondément. En plus je trouve cela stupide parce que grand-père a une piscine. Certes ce n’est pas pareil, mais…

Bref, mes tantes sont en négociation : « Si, ce sera bien, tu verras, en plus on emmène grand-père, cela fait longtemps qu’il n’y a pas été…etc., etc. » Elles demandent de l’aide à mon père : comme d’habitude il n’a pas d’avis, ou il ne veut pas être mêlé à cela. Bref je suis assez grande pour décider… Finalement je trouve une alliée imprévue en la personne de ma mère. Elle ne trouve pas raisonnable que je m’expose encore au soleil alors que mes épaules sont toujours bien rouges !

Voilà, c’est ça, préserver ma peau ! J’y serai bien allée, mais…

C’est tranché, je n’irai pas. Oui, je garderai la maison, oui, je penserai à vider le lave-vaisselle oui, je laisserai les fenêtres fermées pour préserver la fraîcheur…


13 h 30, je regarde tous ces excités du sable et de l’eau salée monter en voiture bruyamment. Les petits cousins portent des bouées plus grosses qu’eux. C’est un peu pitoyable, un peu bidochon… mais c’est ma famille. Je regarde la voiture de mon oncle. Manifestement c’est sa femme qui va conduire. Lui est encore dehors. La voiture se remplit de cousines… et elle part sans lui ! Alors il reste aussi ? Mon cœur s’accélère.


Les voitures sont parties. Il passe devant moi et me dit bonjour. Me demande si j’ai bien dormi. Je lui réponds que oui et lui retourne la même question. Il poursuit son chemin en levant sa main le pouce pointant vers le haut puis me dit « je vais lire un peu et me reposer ». Il s’éloigne et disparaît dans la maison.


15 h, je me suis assoupie sur mon lit. Je crois que j’ai espéré secrètement qu’il vienne, mais rien. Je me raisonne en me disant que la soirée d’hier était juste spéciale. J’entends du bruit dehors. Je jette un œil à travers les persiennes et je vois mon oncle en maillot se diriger vers la piscine. Il a une serviette sur les épaules. Je crois que j’ai un besoin physique de sentir sa présence. Je me décide à le rejoindre.


Ma mère m’a apporté trois maillots. Un une-pièce et deux deux-pièces. Parmi ceux-ci, il y en a un que je ne mets jamais. Il est blanc, tout simplement. Sur une peau bronzée, il est du plus bel effet certes, mais je me suis aperçue que sous certains éclairages, il était un peu trop transparent à mon goût. Pourtant aujourd’hui, le cœur battant, je le prends. Je l’enfile, et me dirige vers la glace. Il me va bien, c’est évident. Je suis cependant déçue. Moi la fille prude, je le trouve à présent presque trop sage, trop banal. Certes, en étant particulièrement attentif, on distingue à peine une partie légèrement plus foncée au centre des bonnets. Et encore…


J’ai une idée folle. Sur la pointe des pieds, je file dans la chambre de mes parents. Je récupère les petits ciseaux à ongles et retourne dans ma chambre. Je me déshabille, retourne le maillot sur l’envers et entreprends de découdre soigneusement la doublure de ce dernier. Quinze minutes plus tard, l’opération est terminée. Je l’enfile à nouveau et me repositionne devant le miroir. Ah oui, quand même… la doublure n’était pas inutile. Mes aréoles se distinguent clairement à présent. Je baisse les yeux et je constate qu’une fille non épilée ne pourrait plus mettre ce bas. On apercevrait sûrement le relief de sa toison. Je décide donc de le resserrer par l’intermédiaire des cordons latéraux. Le tissu se plaque sur mon pubis. Mon sexe se dessine. C’est particulièrement sexy. Cela me plaît et me fait peur en même temps. Je mets une serviette autour de ma taille en guise de protection puis je me décide à descendre.


Mon oncle se trouve sur un transat en train de lire. Manifestement il s’est déjà baigné.



Il a mis sa main devant ses yeux et me regarde.



Je lui tourne le dos et enlève ma serviette que je laisse choir.



Le contact de l’eau m’électrise. Je fais quelques longueurs. Je me détends et reste plusieurs secondes sous l’eau. Cela fait maintenant dix bonnes minutes que je barbote et il ne m’a pas rejoint. Il a toutefois arrêté de lire et me regarde. C’est un surveillant de baignade personnel en quelque sorte. Et si je me noyais ? Cela me fait sourire. Je me rapproche de l’endroit où l’eau est moins profonde. J’ai pied à présent et me dirige vers les marches. Je penche la tête pour voir si mon maillot est bien ajusté et… oh mon dieu ! Je m’accroupis aussitôt. Sans la doublure, le tissu est devenu carrément transparent. En fait, je suis quasi nue dans la piscine avec mon oncle juste à côté sur le bord. Quelle conne ! Comment sortir à présent ? Mes tétons, réveillées à la fois par la fraîcheur de l’eau et mes précédentes pensées inavouables dardent à travers le fin morceau de lycra qui ne sert plus à rien. Je passe discrètement ma main sur mon bas-ventre et je me demande si j’ai encore la culotte tellement je sens la forme de mon sexe. Que faire ? Je suis perdue dans mes pensées lorsque mon oncle entre dans l’eau face à moi. Il me sourit. Il se dirige droit sur moi.



Il m’a pris les mains et me relève. L’eau m’arrive au niveau du nombril. Il descend ses yeux sans pudeur sur ma poitrine et me dit :



Je rougis. Je baisse les yeux. Il reprend :



Je tente alors de me baisser à nouveau.



Un silence s’installe. Il lâche mes mains et recule d’un bon pas.



Alors, joignant le geste à la parole, il enlève son maillot et le jette sur le bord de la piscine. Du coup c’est moi qui aimerais baisser les yeux. Juste pour voir, juste quelques secondes… Il se rapproche à nouveau de moi. Il me prend délicatement les mains et les dirige vers son membre. Le bout de mes doigts le touche. Je sens sa verge, mais ne peux la voir. Je la découvre comme un aveugle. Elle est longue, large, dressée, manifestement légèrement veineuse. Ses mains lâchent mes poignets et se dirigent vers mon corps. Je sens à présent ses doigts sur mon intimité. Son majeur découvre mon sillon pubien, il le frôle, je le laisse faire et soupire….


Il me guide à présent vers le bord de la piscine. Sans que j’aie pu encore comprendre comment, je me retrouve assise sur la dernière marche de l’escalier et lui est allongé dans l’eau devant moi. Ses doigts agrippent mon maillot et me le retirent. Hypnotisée, je ne m’y oppose pas. Il pose ses mains sur mes genoux.



Je suis sous son contrôle, mon cerveau semble avoir disjoncté. J’écarte mes cuisses de manière indécente. Je m’expose à son regard si proche. Il s’avance alors comme un crocodile devant une proie innocente restant sur la rive d’une rivière paisible. Aaaaah, sa bouche m’embrasse la vulve, c’est délicieux… Aaaah, sa langue me lèche doucement… aaaaah, elle m’ouvre les lèvres, elle prend possession de mon trésor… aaaaah oui… aaaahh… là… oui… elle suce mon clitoris à présent. Dans une sorte de réflexe féminin, j’ai posé ma main sur sa tête. Je veux la garder encore un peu pour moi. C’est mon premier cunnilingus… c’est terriblement bon… c’est fort, c’est doux, c’est puissant… c’est… ooooh oui… ooooh oui… ne t’arrête pas… je connais ce plaisir qui monte… je me concentre dessus… oooh oui… oui… encore…


L’orgasme me surprend et me terrasse. Je jouis de manière impudique, les pieds tendus vers le bas, les orteils recroquevillés, la bouche ouverte, mes mains crispées sur sa chevelure mouillée. Je reprends mes esprits, il me regarde tendrement, il continue d’être allongé dans l’eau, il me caresse les jambes. Je le regarde dans les yeux :



Il me sourit largement et se redresse devant moi. L’impudeur des hommes est étonnante. Il exhibe presque avec fierté sa queue dressée à quelques centimètres de mon corps. Je me redresse et la caresse à nouveau. J’ai entendu parler de la fellation naturellement. Certaines aiment et d’autres semblent fuir ce geste. J’ai même une amie qui, paraît-il, est devenue lesbienne après que son ami l’ait forcée à le prendre en bouche. Mais là, à cet instant précis, j’ai à la fois envie de découvrir cette action et de le remercier pour son cadeau précédent. Je caresse doucement cette tige et glisse sur le côté. Je suis à genoux dans l’eau et il est debout devant moi. J’approche mes lèvres, il ne semble pas bouger. Je sors la langue puis la tends à l’horizontale pour estimer la distance de sécurité entre ma gorge et cette verge. Il sursaute, je touche manifestement quelque chose de sensible (je sais maintenant que cela s’appelle le frein), je le regarde, il me sourit. Je ne lui ai donc pas fait mal. Je lui embrasse son sexe. Je remonte vers son extrémité. Un liquide transparent sort de son gland. C’est une goutte, une perle. Ma langue s’y risque. Hummm, ce n’est pas mauvais du tout.


Je descends ma main accentuant légèrement ma pression sur son membre. Je tente en fait maladroitement mon premier mouvement masturbatoire. Je suis en phase d’apprentissage. En faisant ce geste innocent, une autre goutte de son liquide est apparue. Je ne veux pas la perdre. Je veux en vérifier le goût. Dans ma précipitation, c’est ma bouche entière qui gobe la tête de son sexe… aaaaaahhh… je relève les yeux… il a fermé les siens. Je remets ma bouche sur son gland et accentue la succion… aahhhh… je crois que j’ai compris ! C’est presque une satisfaction scolaire devant un problème résolu ! Je l’enfonce plus profondément dans la gorge, et entame un lent va-et-vient sur son membre… aaaah oui, c’est bon.


Ce qui est curieux c’est que pour moi aussi, c’est bon ! Je découvre avec étonnement que j’aime sucer cet homme, j’aime le goût de sa virilité, j’aime la sensation qui en découle, j’aime le pouvoir que cela me donne. Suis-je normale ? Dans le doute, je me dis qu’il vaut mieux que je profite de l’instant présent et je décide de le sucer avec avidité, de profiter presque de manière vicieuse de cette queue qui bouge en moi. Finalement, en y réfléchissant, c’est le tout premier orifice de mon corps qui accepte un appendice masculin et qui le fait avec excitation !


Mon oncle se retire :



Je ne comprends pas le problème… j’ai bien joui moi aussi tout à l’heure… je le regarde interrogatif tandis qu’il me tient la tête à distance même si ma main continue de le branler lentement…

Il tente de reprendre son souffle, de se calmer :



Il ne le sait pas, mais je suis frustrée… Je veux découvrir cette étape supplémentaire, je veux… je veux…. oui, je veux tailler une pipe à un homme jusqu’à ce que mon action l’empêche de se retenir et que je le sente jouir dans ma bouche. Après, je ne suis pas sûre d’avaler sa semence, mais est-ce un problème ?



Il me prend pas la main et me fait sortir de l’eau. Il allonge sa serviette sur le sol et me couche doucement dessus. Il s’approche de mon visage et pose ses lèvres sur les miennes. Est-ce lui ou mon état d’excitation ? J’adore sa façon de m’embrasser, de découvrir ma bouche, de toucher ma langue, de jouer avec mes lèvres. Ce baiser semble être le code attendu par mon corps pour laisser le libre accès de ma grotte. Un mécanisme s’enclenche, mes jambes s’ouvrent, mes cuisses remontent sur les côtés, son dard se présente, l’exploration du tunnel peut commencer.


Je sens sa queue qui progresse, c’est bon et puis… cela pique un peu… cela semble bloquer… je grimace imperceptiblement… il s’arrête net.



Il s’est retiré.



Il s’est mis debout et a pris ma main. Nous nous dirigeons vers la maison. Nos deux bas sont restés au bord de la piscine et j’ai toujours mon haut sur moi. Nous montons à l’étage… il ouvre la porte de sa chambre, se dirige vers son lit. Il m’assoit dessus.



Il est dans la salle de bain. Il ramène une serviette. Il la pose sur le lit. Je remarque que son sexe n’a plus la même rigidité. Il se met à genoux devant moi et me libère les seins. Il les masse, les embrasse, les titille du bout de ses dents… Clairement il a le chic pour faire circuler mon sang ! Sa main se glisse derrière ma nuque et me force à venir coller ma bouche à ses lèvres. Cette virilité érotique m’excite, je me défends comme je peux à travers un baiser enflammé.


Il se redresse et je constate avec plaisir qu’il est à nouveau pleinement en érection. Il s’allonge sur le lit, la serviette sous ses fesses. Il me demande de le rejoindre. Cette fois, c’est moi qui suis sur lui. Je me penche et sens mes seins qui touchent ses pectoraux. J’ondule pour profiter de la sensation. Je l’embrasse à nouveau. J’aime ça. Mon sexe s’est positionné sur le sien, naturellement, comme une prise femelle attend sa fiche mâle. Il me prend la tête à deux mains et me fixe dans les yeux.



Je le regarde. Je suis surprise par ce grand discours. Je veux en discuter pour savoir exactement ce qu’il veut dire et me redresse sur lui. Aussitôt, son sexe entre de quelques centimètres en moi. J’ouvre la bouche de surprise, mais aucun son ne sort. Tout devient clair en un instant. Si je descends sur sa tige, c’est sûr, je m’empale. Il me sourit, pose ses mains sur mes seins et ne bouge pas. Il est beau.


Alors j’entame ma descente, mon émancipation, mon dépucelage. Je sens que cela résiste. Mais que fait la police lorsqu’elle doit perquisitionner un endroit fermé ? Attend-elle sagement qu’on lui ouvre ? Non, parfois, nécessité fait loi, elle défonce la porte. Alors cette porte, je vais me servir du bélier qui est en moi pour l’ouvrir. Je reprends très lentement ma descente. J’ai l’impression que cela se déchire, je grimace un peu, mais poursuis mon action. Le pieu rigide de mon oncle ne me lâche pas dans cette tâche, il reste dur et force le passage pour moi. Mes fesses touchent à présent son bassin. Je ne sais pas combien de temps a duré ma descente, mais je ne bouge plus. Je récupère. Il me caresse le corps, les seins, le dos, les épaules. Je me penche vers l’avant et je l’embrasse. Je me relève un peu, libère le pieu qui peut repartir en arrière puis…je ré-avance lentement. La douleur s’estompe et je découvre une nouvelle sensation bien agréable. J’accélère le mouvement en embrassant l’homme qui m’accompagne.


Je transpire, j’en veux plus… mais j’ai chaud. Il le voit. Il me souffle dessus et me demande de bouger. Je bascule à regret sur le côté. Il se met sur moi et me regarde dans les yeux :



Il me caresse les cheveux avec tendresse.



Soudain il stoppe ses mouvements et me demande inquiet



Et le délicieux vilebrequin se remit en marche. Comment vous dire, c’était tellement bon que j’en ai encore presque honte. J’avais vingt et un ans, il en avait trente-cinq, c’était mon oncle, mais je me souviendrai toujours de ce moment hors du temps. Au fur et à mesure que son sexe allait et venait en moi, j’ai eu sincèrement l’impression que mon vagin se faisait à sa taille. Cette sensation m’a fait perdre pied, je me faisais pistonner par la queue d’un homme, les cuisses grandes ouvertes et j’aimais cela, j’ai contracté tant et plus pour le sentir encore et encore, je voulais lui rendre la tâche compliquée pour qu’elle dure, je voulais que ma première fois soit magique, j’avais honte, mais je voulais me faire labourer. Je voulais subir son piston sans ménagement… oui, je crois qu’à ce moment précis je voulais être chienne, je voulais l’exciter à fond, je revois encore ses yeux surpris lorsque je lui ai plaqué les mains sur les fesses en lui disant:



Franchement je ne sais plus qui a joui en premier ! J’ai souvenir d’avoir crié comme cela ne m’est pas arrivé depuis, j’ai souvenir de cette violente électrisation de tout mon corps, de cette envie que cela cesse pour préserver mon cœur, mais qu’en même temps cela ne s’arrête jamais, j’ai compris le sens de l’expression « petite mort », j’ai compris qu’il serait à présent difficile de me passer de sexe, j’ai compris qu’il fallait que je profite de ma vie, j’ai compris… j’ai compris… j’ai compris.



Alors, les yeux pleins de larmes, je lui ai dit d’une traite :



Puis j’ai regardé ce maudit psy qui semblait jouer avec son crayon et je lui ai dit :



Et je me suis effondrée en larmes une nouvelle fois.