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n° 19798Fiche technique25351 caractères25351
Temps de lecture estimé : 16 mn
10/09/20
Résumé:  Lors d'un entraînement, Laurent espionne Hélène, la chef de Sandrine, dans une posture très compromettante. Surpris par Sandrine en plein voyeurisme, Laurent, excité, embarque sa belle militaire pour une séance qui les amène au sommet du plaisir.
Critères:  fh ff ffh collègues uniforme travail amour voir fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio hdanus -totalsexe
Auteur : Lauchris  (Les éditions Harlequin, c'est pas pour moi !)      Envoi mini-message

Série : Sarajevo

Chapitre 03 / 04
Sandrine et Nicole

Voilà presque trois mois que je suis en OPEX sur le territoire Bosniaque. Nous sommes au mois d’octobre et le temps s’est grandement rafraîchi après un été torride. Pour ma part, côté boulot, on ne chôme pas avec Enzo. Les journées sont dures entre les pannes et les maintenances récurrentes sur les matériels. Mais comme nous nous entendons bien et que le boulot est prenant, les jours et les semaines passent à vitesse grand V. Côté cœur, c’est l’amour fou avec Sandrine, ma douce blonde. Que ce soit sur le plan intellectuel ou sexuel, notre entente est parfaite. Sandrine est simple à vivre, pleine d’humour et aime l’amour sous toutes ses formes sans avoir de tabous avec moi. Bien que nous soyons dans un milieu militaire, confiné avec très peu de sorties autorisées et un couvre-feu à 22 h, nous arrivons à nous aménager des moments où nous pouvons nous retrouver seuls et nous aimer tranquillement. Ma dulcinée aux yeux émeraude a un don avec sa bouche et la fellation est un art qu’elle maîtrise à la perfection. Quand je lui confie ma queue et mes boules, mon cerveau se déconnecte de la réalité et je rentre dans une autre dimension où seul le plaisir compte.




Ce soir, nous sommes tous les deux avachis dans un canapé dans le noir devant une télé où passe un film diffusé sur le réseau interne du DETAIR. Les filles se sont aménagé une petite salle au fond d’un couloir où les mecs sont normalement interdits. Pour y venir, il faut montrer patte blanche et y être invité.


Nous sommes seuls dans la salle. Il y a une soirée organisée chez les commandos et toutes les filles du camp y sont.


Nous avons décidé de rester tranquilles. La veille avec Enzo, nous étions sur une panne qui nous a pris une grosse partie de la nuit et nous sommes rentrés à quatre heures du mat. Le temps de prendre une douche et de manger un bout de gras, nous devions partir sur Mostar amener un groupe électrogène. Arrivé en début de soirée, je viens de prendre ma douche et ce soir, je ne vais pas faire long feu. Habillé d’un bas de survêtement, d’un tee-shirt et en claquettes. Je suis complètement naze et bâille de plus en plus devant le film que je regarde distraitement. Sandrine a sa tête posée sur mes cuisses, son visage tourné vers moi et les yeux fermés. Le film avec Bruce Willis ne l’intéresse pas. Elle me raconte sa journée épouvantable et ses malheurs qu’elle a eus aujourd’hui avec sa chef. Elle a besoin d’être câlinée et que je lui remonte le moral. Je lui caresse ses fins et soyeux cheveux et je compatis à ses malheurs. Elle en a gros sur la patate et Hélène en prend pour son grade.


Au bout d’un moment, ses paroles se tarissent et le silence s’installe. Je sens sa main s’infiltrer à l’intérieur de mon pantalon. Je descends mon regard et dans la pénombre, je vois ses yeux qui me fixent.



J’obtempère de suite, je lève mes fesses et elle me descend le haut de mon pantalon. Je n’ai pas mis de slip et ma verge au repos apparaît devant son nez.



Nicole, c’est la camarade de chambre de Sandrine. Âgée environ d’une trentaine d’années, elle est sergent-chef comme Enzo. C’est la gérante du mess du DETAIR. En plus d’avoir à s’occuper du ravitaillement en nourriture, elle donne ses ordres aux cuistots et au personnel chargé du service.


Son taf est primordial pour le moral des troupes et elle s’en sort pas trop mal. Grande, brune, cette fille respire la joie de vivre et ne se prend jamais la tête. Avec son physique de bombe mexicaine et sa voix grave, elle fait baver d’envie les mâles présents sur le site.


Mariée et maman, Sandrine m’a dit qu’elle était en manque de sexe, mais qu’elle n’avait eu aucune relation sur le DETAIR. Sandrine est sa confidente et les deux femmes se racontent tout.


Sandrine saisit mon sexe et le décalotte. Elle commence une lente masturbation et je sens mon vit prendre vie lentement et grossir entre ses doigts fins. Son visage s’est approché, elle souffle dessus et lui dit :



Sourire aux lèvres, Sandrine lève les yeux vers moi d’un regard plein de promesses. Elle me sort une petite langue qui vient laper le bout de mon gland comme si elle voulait déguster une glace. La pointe s’incruste et me titille le méat. Elle redescend lentement sur toute la longueur de ma verge qui est maintenant en totale érection. Elle me prend d’une main le gland et me plaque le gland sur mes abdos.


Elle approche ses lèvres de mes testicules puis les prend délicatement l’un après l’autre entre ses lèvres.



Lui aussi est passé par la case rasage. Ça n’a pas été facile, mais j’ai pris mes précautions pour ne pas me blesser, mon petit trou est tout propre et vierge de tout poil. Le passage de mes doigts sur mon anus m’a fait une impression bizarre et pas désagréable au toucher.


La belle, tout en me fixant, met l’index dans sa bouche pour l’humidifier puis l’approche de mon anus. Elle le présente puis entame une petite rotation pour le faire entrer doucement. Je commence à bien m’exciter, la sensation est divine et ma queue devient aussi dure qu’une barre de fer. Elle remonte et me prend mon gland devenu énorme dans sa petite bouche. Sa langue se met tout de suite en action et vient s’enrouler autour. Dans le même temps, elle enfonce son doigt plus profondément dans mon fondement. Je ferme les yeux, me mets à gémir, la sensation est divine. Que demander de plus ? Une blonde au visage d’ange qui vous fait la pipe de votre vie, ça n’a pas de prix. Le contraste entre son air innocent et sa perversité est saisissant. Je lui aurais donné le Bon Dieu sans confession en la voyant la première fois, mais Sandrine m’a prouvé qu’elle ne reculait devant aucune pratique et qu’elle avait très peu de tabous.


La belle descend la bouche lentement et m’avale sur toute la longueur. Mon gland passe ses amygdales et se retrouve bien au chaud dans sa gorge. Son nez vient me toucher mon pubis et sa langue me caresse les testicules. Ma dulcinée est étonnante et pleine de qualités. Elle s’active sur mon vit et émet des sons baveux qui me font rouvrir les yeux.


Soudain, j’entends du bruit, quelqu’un est dans le couloir et se rapproche rapidement de nous.



Ma belle a juste le temps d’ôter ma bite de sa bouche, de la cacher sous mon tee-shirt et de s’essuyer la bouche d’un revers de la main. Nicole apparaît et se poste devant la porte de sa chambre. Celle-ci est attenante à la petite salle où nous nous tenons. Quand elle entend le son de la télé, elle se retourne et nous voit dans la pénombre.



Elle entre dans la pièce et s’installe à côté de moi dans le canapé. Je relève ma jambe pour cacher comme je peux ma bite en érection. Sandrine a toujours son doigt enfoncé dans mon cul et mon survêtement est toujours descendu à mi-cuisses. On est mal !



En même temps, je regarde du coin de l’œil Sandrine qui ne bouge plus. Elle s’est positionnée sur mon bassin et si elle remue, Nicole ne manquera pas de voir mon état.



La main de Nicole se pose sur la tête de Sandrine pour lui ébouriffer les cheveux. Dans le mouvement, sa main touche ma verge qui pointe encore sous mon tee-shirt.


Nicole comprend de suite à quoi nous étions occupés et que sa venue nous a interrompus en pleine action.



Au lieu de se lever pour repartir, Nicole se penche vers Sandrine et lui glisse malicieusement :



Sandrine lève ses yeux vers moi et d’un air salace me dit :



Elle se relève, soulève mon tee-shirt. Mon torse musclé parsemé d’une courte toison apparaît. Sandrine me passe une main sur les seins et en profite pour me pincer un téton.



Ça pue le piège à plein nez. Ces deux garces ont manigancé leur coup dans mon dos. Je me rappelle soudain qu’aujourd’hui le mess était fermé et que Nicole avait donc sa journée de libre. Les deux donzelles ont préparé leur coup à l’avance et je suis leur proie. Ce n’est pas pour me déplaire.


Ma verge surgit et vient se planter face aux deux femmes qui se font face. Sandrine ôte son doigt de mon fondement, se dirige vers la porte et la ferme à clé. Pendant ce temps, Nicole s’est positionnée entre mes jambes et embouche mon vit en fermant ses yeux comme si sa vie en dépendait. La belle est en manque. Trois mois sans voir une queue, Nicole ne tient plus. D’une main, elle me tient la base de ma queue et fait de grands va-et-vient avec sa tête. Elle ouvre ses yeux et me regarde fixement. La « latina bomba » me fait une pipe ! Sa technique est redoutable, je sens le plaisir monter rapidement.


Sandrine, quant à elle, s’est rapprochée et s’est positionnée à côté de sa copine. Elle se baisse et vient m’avaler les boules. Elle aussi me fixe droit dans les yeux. Elle joue avec, quelques secondes puis descend un peu plus bas pour positionner sa bouche sur mon petit trou. Une langue habile vient se positionner à l’entrée et titille mon anus amoureusement. Pendant une minute, Sandrine me donne l’impression de lui rouler une pelle bien baveuse. Sa bouche se détache et je vois sa langue laper de haut en bas à une vitesse folle l’extrémité anale de mon anatomie. Elle se relève puis rejoint Nicole, elle positionne sa bouche à l’opposé de celle de sa copine avec ma queue au milieu. Pendant quelques minutes, ces deux voraces s’acharnent sur mon vit.


Complètement abandonné à leur volonté, je les laisse maîtresses du jeu. Quelles sensations ! Deux nanas pleines de perversité me font ce que tout homme rêve. Je ferme les yeux, je sens le plaisir monter de plus en plus fort. Je les préviens de l’imminence de l’explosion, mais aucune des deux filles ne s’écarte. Soudain un jet de foutre surgit pour venir s’écraser sur le visage des deux madones qui me dégustent. Un deuxième puis un troisième jet s’évacuent et dégoulinent le long de ma verge. Les deux filles récupèrent le précieux liquide dans leur bouche sans en perdre une miette et viennent s’embrasser tendrement en se partageant mon fluide.


Nicole, gourmande, prend mon gland en bouche et aspire comme une malade pour me nettoyer et terminer ce qui sort encore de mon corps. Ma bite à la lumière de la télé ressort luisante et propre comme un sou neuf.


Sandrine récupère le sperme qui lui coule de la joue vers son menton avec un doigt et l’avale sensuellement en me regardant intensément. Elle se rapproche de mon oreille et me susurre :



Je l’embrasse tendrement dans le cou et elle rejoint son amie. Je profite de ce moment de répit pour enlever mon tee-shirt et mon pantalon. Je m’installe nu dans le sofa et attends la suite des événements. À la lumière tamisée diffusée de la télé, je vois une chevelure blonde se rapprocher de celle plus sombre de Nicole et les deux corps se confondent. J’en profite pour allumer une petite lampe située à côté du canapé. Cet apport de lumière me permet de mieux voir le show qui débute et dont je suis le seul spectateur.


Les deux filles s’embrassent, Nicole domine Sandrine d’une bonne dizaine de centimètres et commence à déshabiller ma belle. Elle lui fait passer son tee-shirt par-dessus la tête puis lui fait sauter son soutien-gorge. La lourde poitrine de ma dulcinée apparaît. Je sais pour avoir regardé un de ses soutifs qu’elle fait du 95D. Ses seins sont bien ronds et ne connaissent pas encore les lois de l’attraction. Ils sont haut perchés avec des aréoles brunes et des tétons prédominants qui ressortent même quand elle n’est pas excitée. Sandrine adore sa poitrine qu’elle maintient souvent avec des brassières de sport pour la préserver.


Ma belle s’attaque à son tour à Nicole et défait les boutons de sa chemisette. Elle écarte les pans puis fait glisser l’habit pour le retirer et le laisse tomber au sol. Elle passe derrière sa partenaire, lui défait l’agrafe puis me jette au visage le dessous. Les seins en forme de poires apparaissent à un mètre de mon visage. Sandrine a pris dans chacune de ses mains un sein et les malaxe en pinçant du pouce et de l’index les bouts qui durcissent immédiatement. La belle brune me fixe et se pince la lèvre supérieure avec ses dents. Sa respiration est forte, elle semble apprécier les caresses de Sandrine qui descend une de ses mains et lui caresse le ventre.


Adroitement, elle lui défait le bouton de son short et fait descendre la fermeture éclair. Sa main se faufile sous une culotte de dentelle noire et commence un lent massage au niveau du pubis de sa partenaire. Nicole bascule alors sa tête vers l’arrière et vient happer la bouche de Sandrine pour un long baiser. Elle glisse une main sur celle qui la caresse et accompagne sa bienfaitrice dans la lente masturbation de son sexe. Sandrine retire sa main puis lui chope les pans du short pour faire descendre le vêtement et le slip qui l’accompagne. Nicole enlève adroitement ses vêtements à ses pieds et les repousse devant mes pieds. Il ne lui reste plus que ses pataugas et ses chaussettes enroulées qui viennent les recouvrir. Je me penche, récupère la culotte de fine dentelle puis la glisse sous mon nez pour sentir les effluves qui remontent. Son parfum intime est un mélange puissant et piquant de son intimité et d’urine. La flagrance puissante de sa chatte me monte à la tête et m’enivre. Je suis au paradis !


Sandrine en a profité pour enlever son bas de survêtement et son string et j’ai maintenant deux femelles nues en chaleur qui sont tout à leur plaisir. Une fine bandelette de poils noirs tapisse le pubis de Nicole qui me donne envie d’y mettre ma langue et de la goûter. Mais pour l’instant, je ne bouge pas. Je ne veux pas rompre le charme et le délire érotique des deux amantes. Les belles se font à nouveau face et Nicole pousse Sandrine sur le canapé. Elle veut butiner sa partenaire et s’installe pour lui bouffer la chatte. Son cul musclé m’apparaît pour la première fois et vaut le coup d’œil. Haut perché sur des cuisses musclées et fuselées, la belle à un arrière-train qui mérite une visite en profondeur.


Elle s’installe au-dessus de la tête de Sandrine, cambrée excessivement, son sexe et son anus sombre se découvrent à moi. Quelle vision de rêve ! Des lèvres charnues se posent sur la bouche de mon amour qui lui tend une langue nerveuse pour la laper. Sandrine a passé ses mains de manière à lui écarter les fesses et lui permettre une approche plus aisée de son intimité. Des gémissements de plus en plus forts s’élèvent dans la salle. La chaleur dans la petite pièce vient de monter d’un cran, le show est torride et en même temps empreint de beaucoup de douceur et de tendresse. Hypnotisé, je vois ma belle manger amoureusement la chatte mise à sa disposition. Sa bouche et sa langue virevoltent et alternent les caresses appuyées sur le clitoris et l’entrée du vagin. Elle fait gémir sa partenaire qui devient de plus en plus bruyante dans son plaisir.


À la voir aussi à l’aise, Sandrine n’en est certainement pas à sa première expérience saphique. C’est un nouveau pan de sa sexualité que je découvre et qui nous offre de nouveaux horizons qui ne sont pas pour me déplaire. La belle prend le plaisir quand il se présente et ne se pose pas trop de questions. Ça me convient pour l’instant.


Nicole est complètement cambrée et ses orifices sont bien ouverts, aidée en cela par Sandrine. Ma bite est aussi dure que de la pierre et je me caresse doucement en attendant le signal. Sandrine, qui ne m’a pas oublié, quitte le sexe de Nicole et bascule sa tête en arrière où d’un petit geste elle m’invite à m’approcher. Je me lève et me dirige vers le fessier de Nicole, mais la bouche restée ouverte m’incite à faire pénétrer mon gland à l’intérieur. Sandrine m’accueille et je me sers de sa bouche chaude et humide comme d’un sexe. Je la baise lentement et seule sa glotte m’arrête à chaque aller et retour. Je ressors mon sexe bien lubrifié puis je me présente à l’entrée de la chatte de son amie. Je m’accroche à ses hanches et d’une poussée vigoureuse, j’investis son vagin et commence un labourage en bonne et due forme. Le manque de pratique subit depuis plusieurs semaines me fait ressentir l’étroitesse vaginale de Nicole due à son manque d’activité.



Nicole se tait, rabaisse sa tête pour reprendre son activité buccale et moi, je poursuis mon pilonnage. Je suis trop bien dans cet antre encore inconnu il y a encore quelques minutes. Je ressors et je présente mon vit devant la bouche de Sandrine qui me l’avale aussi sec. Les sécrétions de sa copine n’ont nullement l’air de la gêner et elle me nettoie la bite avec appétit. Je ressors une nouvelle fois de sa bouche et réinvestis le con de Nicole. J’alterne entre l’orifice vaginal et l’orifice buccal pendant plusieurs minutes. J’ai chaud et je suis maintenant complètement en sueur. J’ai éjaculé une première fois quelques minutes plus tôt, j’ai l’impression de pouvoir endurer se traitement pendant des heures.


Nicole ahane de plus de plus fort et ses gémissements montent crescendo. Elle pousse soudain un long feulement, je sens son vagin s’humidifier et m’inonder la bite. Son orgasme est long et sa jouissance dure un long moment. J’arrête mon action et j’attends que la belle se calme et récupère.



Bien au fond dans la chatte de Nicole, je sens une langue venir chatouiller mes couilles puis me gober un à un mes testicules. La belle a de l’idée dans la tête. J’ai dans cette position les jambes écartées et mon cul est disponible aux vices de ma tendre blonde. Elle approche un pouce précédemment humidifié et me le glisse malicieusement dans le fondement. Pendant quelques minutes, elle accompagne mon mouvement et son mouvement circulaire chauffe l’entrée de mon conduit anal.


Son action prolongée fait durcir encore plus ma bite et dans un ultime assaut, j’éjacule tout ce que mes testicules peuvent encore contenir de sperme. Je ne peux refréner un grognement tout droit sorti des cavernes. Je sors mon sexe accompagné d’un son de baiser gluant, je recule et je vois Sandrine bouche béante venir récupérer le sperme épais qui sort du vagin de son amie. Soudain, elle pousse un cri étouffé. Sous les coups de langue démoniaques de sa colocataire, elle vient, elle aussi, d’avoir un orgasme qui la fait vibrer pendant de longues secondes.



Nicole se relève et permet à Sandrine de s’asseoir normalement sur le canapé. Je m’approche de sa bouche et elle me nettoie consciencieusement mon engin. Mon gland disparaît et elle m’aspire fortement pour récupérer tout le sperme encore disponible.



Sandrine tend mon vit encore gluant vers sa copine qui m’avale langoureusement pour profiter du moment. Je sens sa langue virevolter autour de mon gland, ferme les yeux quelques secondes pour apprécier ce moment. Elle recule sa tête, me regarde et me fait un clin d’œil. Elle ressort ma bite de sa bouche, se lève et commence à récupérer ses affaires dispersées.



Elle nous claque un bisou à chacun puis commence à se rhabiller. Je m’assois à côté de ma belle qui vient se glisser contre moi. Elle aussi est en sueur et un regard malicieux me fixe.



Nous nous levons, chacun récupère ses affaires et nous nous rhabillons. Je remets mon tee-shirt, je me tourne vers Sandrine, la prend dans mes bras et on se regarde amoureusement. J’approche ma bouche de la sienne et je l’embrasse tendrement. On se décolle à nouveau, nos regards vissés l’un à l’autre.



Je rêve d’une bonne blonde, mais cette fois-ci, avec de la mousse.