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n° 19845Fiche technique30053 caractères30053
Temps de lecture estimé : 18 mn
10/10/20
Résumé:  Chloé a passé son casting avec succès. Le grand jour est enfin arrivé, elle va jouer son premier rôle d'actrice X dans un film à petit budget.
Critères:  fh fhhh hplusag nympho grossexe fépilée collection fsoumise cérébral revede voir exhib noculotte vidéox facial fellation cunnilingu pénétratio fsodo -totalsexe -videox
Auteur : Volupta  (Jeune femme délurée aux fantasmes démesurés !)      Envoi mini-message

Série : Casting

Chapitre 02 / 02
Casting - 2

Résumé du chapitre précédent :

Chloé à moins de vingt ans, à la recherche du plaisir et de sensations, insatisfaite par ses partenaires, n’ayant pas froid aux yeux, n’a qu’une idée en tête : devenir actrice de films X… Après avoir passé un casting, accompagnée de son amie qui s’est révélée très amoureuse lors de cette « entrevue », elle a signé un contrat pour trois courts films à petit budget dans une production de films pornographiques. C’est le premier jour du tournage.





Je referme derrière moi la porte du bureau du producteur, m’essuyant la bouche encore pleine de sperme juste au moment où je croise l’actrice principale du film, entièrement nue, se dirigeant vers la salle de bain, suivie d’un acteur habillé en pompier, enfin en demi-pompier puisqu’il est nu lui aussi à partir de la taille. Elle me sourit et me fait un clin d’œil complice lorsque je m’essuie la bouche dans un mouchoir en papier, puis me lance :



Je pénètre dans le studio où on m’attend… la porte à peine passée, le réalisateur me hurle dessus :



Je me fais maquiller, pomponner par Sophie la maquilleuse/habilleuse, la quarantaine bien sonnée, physiquement assez banale, mais si douce et gentille, elle me pose un tas de questions, s’appliquant à faire de moi une « petite pute ». C’est mon rôle dans ce film X à petit budget, dont le tournage ne doit pas excéder deux jours, voire moins, si possible ! Elle termine chaque phrase par : « ma chérie » ! Mon futur partenaire est là, assis sur une chaise, nu.



Je m’exécute, faisant glisser ma robe par terre, retirant culotte et soutif… et me dirige vers la cabine de douche.



Instinctivement, suite à cet exposé, mon regard se pose sur son sexe qu’il tient et caresse doucement, et effectivement elle a raison sur le détail de son anatomie… lui aussi m’a détaillée, nous nous sourions.



Les présentations sont faites, nous ne nous connaissons pas, pourtant dans quelques minutes, nous serons sur le plateau, à baiser comme des fous, entourés par les cameramen, le perchiste, la maquilleuse, la script, nous devons tourner les scènes hard en premier, au cas où nous devrions les recommencer. Sans avoir peur, une boule me noue l’estomac, je n’ai jamais fait l’amour avec autant de monde me regardant et encore moins devant des caméras et ce n’est pas la petite sexe tape qu’un de mes ex avait faite lors d’un de nos ébats qui pouvait être comparable. Vidéo que j’avais acceptée de faire naïvement, émoustillée par cette coquinerie. Ébats ? Enfin surtout le mien, car son petit film s’était surtout concentré sur ma bouche lui pratiquant une fellation se terminant entièrement sur ma langue qu’il avait filmée jusqu’à la dernière salve. Vidéo qu’il avait pris soin ensuite de montrer à tous ses potes, à mon insu bien sûr, ce qui m’avait valu la réputation de « p’tite suceuse » dans mon quartier. Qualificatif dont je me serais bien passé à dix-huit ans…


Le scénario est simple, je suis une prostituée tapinant sur le bord de la route, abordée par un jeune homme en voiture en quête de sa première fille. Me rendant compte de son inexpérience, je lui propose de m’emmener chez lui moyennant un gros billet, afin qu’il termine ce qu’il avait du mal à faire dans la voiture, je lui fais découvrir toutes les coquineries qu’une petite pute expérimentée peut lui apprendre en lui ouvrant tous mes orifices… Basique, mais efficace. Tout y est : prostitution, inexpérience, perversion féminine, éducation sexuelle, fellation, pénétration classique et sodomie. La scène chez lui se faisant en studio, les scènes extérieures et autres scènes de cul se feront plus tard…


Je pénètre sur le plateau, en porte-jarretelles, bas résille, corset à balconnets, jupe en cuir à ras le bonbon, avec mes hauts talons démesurés, mon maquillage outrancier et mon mini sac à main bourré de capotes et de mouchoirs en papier, j’ai vraiment l’air d’une fille de joie, voire même un peu trop caricatural, mal à l’aise devant tous ces regards portés sur moi, je suis la petite nouvelle même si, par habitude, ils restent occupés à leur tâche. Le réalisateur m’explique une fois de plus la scène et ce qu’il attend de moi…



Il est gay ou il le fait exprès ? me dis-je…

C’était parti, première scène dans mon premier film X, à la fois excitée et perturbée, j’essaye d’être la plus naturelle possible.



Christophe, enfin, Laurent dans le film, m’ouvre la porte de sa chambre, je rentre derrière lui…



Je le pousse et l’assois sur le lit, relève ma jupe et lui plonge la tête sur mon berlingot tout frais rasé (pas de poil, m’a dit le réalisateur), j’écarte les cuisses afin de lui faire une voie royale à mon sexe. Il pénètre dedans et se pose directement sur mon petit bouton, le bout de sa langue agile en fait le tour, Mumm ! Il me lutine et il est doué. Rapidement je sens comme de petits papillons dans mon bas-ventre, je ferme les yeux et réalise que je ne me rends même plus compte que nous ne sommes pas seuls… Sa langue roule autour de mon clito, je commence à avoir chaud aux joues, Nicky fait de gros plans sur ma petite chatte… je pousse des gémissements non simulés, il me fait réellement du bien, cela s’annonce prometteur, être payée à prendre son pied ! Extra, non ?

Sa langue est une merveille de mécanique, sans aucune faiblesse elle me frétille le clito énergiquement…



Je m’assois sur le lit, le dos calé par les deux gros oreillers, je lui ouvre mes cuisses et il plonge bouche grande ouverte sur mon sexe humide. Je pose mes mains sur sa tête, ferme les yeux et me laisse aller à cette douce caresse.



De temps en temps, je regarde autour de moi, impressionnant de voir ces personnes derrière les caméras me regarder pendant que je me fais titiller le clito. Mais tout de même moins gênant que j’aurais cru… Christophe me fait chavirer, sa langue est un pur délice, il me broute le minou à en tomber par terre, j’en ai les tempes qui bourdonnent et le bas-ventre en feu, à tel point que je soulève mes reins pour aller au-devant de sa caresse.



On inverse la position, je suis à genoux face à lui, je déboutonne un par un très lentement les boutons de son jean, sors son sexe… je le caresse, soupèse ses testicules…



J’aurais dit la même chose en réel, Christophe est particulièrement bien pourvu, en plus son gland est joli et d’une belle couleur mauve, genre sorbet myrtille… mmmmm !

Je le palpe, commence par donner de petits coups de langue sur ses testicules bien rasés et bien ronds, je les gobe un par un et tenant sa bite dans ma main.



J’ouvre en grand ma petite bouche et plonge sur son sexe, me l’enfonce le plus loin possible dans la gorge tout en le regardant, je me retire, crache sur son gland et replonge à nouveau encore plus loin… La caméra est à quelques centimètres de mon visage, mais je ne la vois déjà plus, trop occupée à impressionner le réalisateur et Christophe par mes talents de suceuse, devenir la reine de la pipe. Il faut dire que je ne me force même pas, j’adore sucer, alors j’y mets tout mon cœur…


Tout en le suçant avidement, je le branle dans ma bouche baveuse en tournant légèrement la main avançant et reculant la tête puis j’accélère, ma langue le léchant du gland jusqu’aux couilles… mon autre main lui triturant les testicules. J’entends les petits râles de Christophe, vu la raideur de son sexe dans ma bouche, je sens bien qu’il apprécie. Je ne suce plus, je pompe… je m’étouffe en me l’enfonçant jusqu’à la glotte et je recommence. Sa bite est vraiment grosse, j’en ai mal à la mâchoire tant je suis obligée de l’écarter, mais je me régale…



Nicky fait des gros plans, les flashes des photos crépitent, je ne suis plus qu’une bouche faite pour sucer, une goutte de precum me coule sur la langue ; là, je sais que je suis bonne et que je dois continuer ainsi ! Christophe, enfin Laurent, me triture les pointes des seins pendant que je m’occupe de lui, il me les pince, me les tortille, je les sens durcir sous l’action de ses doigts. Pas besoin de glaçons pour stimuler mes tétons, pas comme certaines filles de films X. On entend le bruit de succion, pas un bruit sur le plateau, je l’avale goulûment, vraiment sa queue est bonne. Je m’applique et me régale. En fait, c’est excitant d’être regardée. Je le rentre dans ma bouche le plus loin possible, la mâchoire dilatée par l’engin, je le ressors tout en sortant la langue.


L’assistance ne fait pas un bruit, apparemment en admiration devant mon savoir-faire, Nicky ne dit plus rien et filme sans dire un mot. Le souffle de Christophe se fait de plus en plus court ; surexcitée, je lui fais une pipe d’anthologie, si bien qu’au bout de quelques minutes il se retire d’un coup et dit à la cantonade :



Abandonnant à regret cette queue au goût délicieux, je me mets au-dessus de lui…



Laurent m’arrache mon string (prédécoupé pour les besoins du film)… au-dessus de lui, je prends sa queue, puis la guide vers mon vagin. Dans la main c’est impressionnant, mais dès que son gland ouvre mes grandes lèvres, ça l’est encore plus, je sens chaque centimètre me dilater comme jamais, j’appréhende la sodo, pourquoi ai-je accepté ? Il va m’éclater l’anus, mais pour l’instant il m’empale. Je regarde autour de moi, ils sont tous concentrés sur la scène qui se passe devant eux, même l’actrice principale est venue voir comment j’allais réagir face à ce pieu pénétrant mon minou. Mais je les soupçonne tous d’attendre la sodo…


Je finis par m’asseoir complètement dessus, je me sens pleine, comme si un gourdin fouillait mes entrailles. Je monte et je descends, de petits sons sortent de ma gorge, puis de plus en plus fort à chaque pénétration, je vais réellement prendre mon pied devant tout le monde. À chaque coup de queue, mon ventre me chatouille, mes tempes battent fort. Les couilles de Laurent tapent sur mes fesses, il monte et descend son bassin à un rythme effréné, je ne crie plus, je glousse à chaque coup de bite. Nicky tourne autour de moi, un son rauque sort de ma gorge, je ferme les yeux, je gémis en feulant comme une lionne en chaleur, dégoulinant de cyprine sur son sexe, pendant qu’il continue de me pilonner comme une bête… Mon ventre est secoué de spasmes à n’en plus finir, il n’est pas gros en moi. Il est énorme ! Jamais je ne me suis sentie aussi pleine, je le sens jusque dans le milieu de moi, il continue à me bourrer comme un âne, je jouis dans un long souffle en criant… avec l’approbation de Nicky.



Il frotte sa queue sur ma vulve, et me pourfend en deux d’un seul coup de reins, je pousse un cri non simulé et ferme les yeux d’extase, il reprend son rythme en me baisant comme un fou, ses testicules claquent sur mes fesses… Il me met un doigt dans la bouche, puis deux, que je suce goulûment… Les caméras tournent autour de nous dans un silence total, mis à part nos cris et gémissements… Christophe se déchaîne, se met à quatre pattes au-dessus de moi posant ses mains sur ma taille, je sens chaque centimètre de sa bite s’enfoncer en moi, la sueur dégouline sur nos corps, face à la caméra faisant un gros plan sur mon visage, je hurle des : « Ouiii ! ouiii ! ouiii ! » à n’en plus finir, puis il ralentit, je reprends mon souffle… J’ai envie qu’il reste, qu’il me prenne encore et encore, pourtant Nicky me fait comprendre qu’il faut que nous passions à la sodo, dure réalité qui me rappelle que je suis au travail…



Profitant des caméras axées sur l’expression de son visage pour badigeonner abondamment de lubrifiant l’entrée de mon orifice rectal… Ça va être la fête à ton cul, Chloé ! me dis-je, imaginant avec effroi, l’état de mon derrière après le passage de cette queue gigantesque… Il se retire, pose son gland monstrueux sur mon petit trou, j’écarte à deux mains mes fesses, l’équipe ne perd pas une miette de la suite de l’évènement… Il commence à forcer le passage, le souffle court, un peu crispée, une décharge électrique me parcourt le dos, je sens ma chair se dilater, je respire comme une femme enceinte ayant des contractions (pourtant, je n’ai jamais été enceinte !), chaque millimètre de cette tige me donne l’impression qu’on m’ouvre dans le sens de la longueur, j’ai mal, pourtant il faut que je sourie et que je fasse semblant d’apprécier…


J’imagine qu’on m’enfonce une batte de base-ball dans l’anus, j’en ai le souffle coupé, pourquoi ai-je accepté la sodo ? Des larmes me montent aux yeux, je les retiens, puis enfin, le lubrifiant aidant, il est entièrement à l’intérieur de moi. Il va-et-vient tout doucement, de la sueur me coule dans le dos et le front. Je sens cet énorme pieu dans mes fesses, la douleur est terrible, mais curieusement mêlée de plaisir.


Il accélère le rythme, chaque coup fait sortir de ma gorge un petit cri de douleur que tout le monde doit prendre pour du plaisir, Nicky fait des gros plans de cette queue plantée en moi, les mains de Christophe agrippent ma taille et c’est parti… il me pilonne en cadence, tranquillement. Le mal se dissipe, dire que j’éprouve du plaisir serait exagéré, mais ce n’est pas si désagréable, cette sensation de dilatation est assez curieuse. Dans ma tête, c’est un mélange bizarre de soumission, de gêne et de plaisir, mon cerveau me passe en boucle cette phrase :



Je suis tellement concentrée que je ne me rends même pas compte que Christophe me bourrine comme un fou en ahanant, sa queue glisse et sort de mes fesses, il replonge dans ma chatte à la même cadence, des sons que je ne connaissais pas sortent de ma gorge, il se retire à nouveau pour replonger avec délice dans mon anus béant, lubrifié à souhait. Nicky ne murmure plus rien, il tourne autour de nous en levant le pouce, satisfait. Christophe sort de moi, me retourne et plonge sa queue dans ma bouche en me tenant par les joues et me pinçant le nez, son gland me laboure le palais et touche ma luette, je manque de m’étouffer, de la salive me sort des côtés de la bouche, je reprends ma respiration.


Après de longs va-et-vient torrides, il m’allonge sur le côté, se colle à mon dos et s’emboîte dans mes fesses, me soulevant une jambe pour que Nicky fasse un plus gros plan sur cette bite énorme dans mon petit trou. Je prends conscience que je ne suis qu’un objet, un corps ne servant qu’à la baise, une jolie petite chose que l’on maltraite gentiment pour le plaisir masculin. Christophe me laboure l’anus, je me suis habituée à la présence de ce monstre dans mes entrailles au point que je ferme les yeux et commence presque à apprécier cette sodomie. Je sens son sexe grossir, son rythme s’accélérer, son souffle devenir plus court et des petits cris s’échapper de sa bouche… ses doigts me tapotent doucement les fesses… c’est le signe de préparer ma bouche à l’arrivée de sa salve que je dois recueillir goulûment.


Je me retourne à genoux sur le lit face à ce pieu géant qu’il tient à pleine main, bouche grande ouverte.



La première giclée, je la prends en pleine bouche jusqu’au fond de la gorge, chaude et épaisse, la deuxième sur l’œil et le front, Christophe pousse un long cri de plaisir, la troisième sur la joue, il pose son gland sur ma langue pour finir de couler dessus, je suis pleine de sperme, j’en ai plein la bouche, il m’en coule sur le visage. Je gobe son gland et aspire la dernière goutte sortant de son méat, prends son sexe dans ma main et le presse pour en extraire toute la liqueur. Il a un goût d’amande et de noisette mélangées.


J’adore le goût du sperme, mais le sien est presque délicieux, Nicky approche la caméra de mon visage, j’ouvre ma bouche encore pleine et déglutit doucement cette crème, puis l’ouvre à nouveau pour bien faire voir que j’ai tout avalé. Je reprends son sexe en bouche, j’adore suçoter doucement le membre qui m’a donné du plaisir. Christophe reprend son souffle, me regarde ravi. Je n’arrive pas à ôter son sexe d’entre mes lèvres, j’ai encore le goût de sa semence sur la langue, Nicky filme toujours, puis lance :



Tout le monde se met à rire. Nicky aussi.



La honte ! Je suçotais encore Christophe, la bouche collée à son sexe alors que la scène était finie. Sophie vint jusqu’à moi avec des lingettes humides parfumées :



Et elle partit en riant aux éclats.

Je m’apprêtais à quitter le studio, lorsque Christophe m’interpella :



Je m’approche maladroitement, encore nue, je fais ma pudique devant l’équipe, alors qu’ils viennent tous de me voir à poil, faisant des cochonneries qui feraient rougir une nymphomane.



Je vois les petits sourires du reste des membres masculins de l’équipe, le cameraman et le perchiste et j’ai peur de comprendre…



Puis il me glisse à l’oreille :



Nicky étant vraiment gay, je ne l’appris que plus tard. Ils ont déjà baissé leurs pantalons, laissant apparaître deux kikis bien dressés, la scripte quitte le plateau en disant :



Je regarde autour de moi, je me sens un peu seule et mal à l’aise, je sais que c’est le genre de situation à laquelle peut s’attendre une actrice porno, mais seulement dans un script… là on est dans le réel, non pas que deux queues me fassent peur (j’ai déjà pratiqué, avec une de plus… ), mais c’est le contexte. Le comble, c’est que j’ai accepté, après tout si c’est un bizutage, vidant l’une après l’autre ces deux sexes de leur trop-plein de jus, au grand bonheur de leurs propriétaires. Pendant que Christophe filmait avec son portable : « pour mes archives », dit-il.


Ainsi commença ma (brève) carrière d’actrice porno ; je ne fis que les trois films prévus à mon contrat… du moins en tant que longs métrages, sans jamais devenir l’actrice principale. Sauf que je n’avais pas tout compris ce qui y était écrit ou l’avais mal lu, il était aussi stipulé le tournage de petits clips durant un an, sans aucune précision du nombre. Petits clips d’à peine dix à vingt minutes, voire moins. Les demandes actuelles étant pipes et sodomies, je peux dire que j’ai eu quelques kilomètres de membres virils qui ont défilé dans ma bouche et mes fesses durant cette période à raison d’un à trois clips tous les deux jours, voire tous les jours… Eh oui, il faut mériter son salaire ! J’en ai joué des rôles de soubrettes, de collégiennes lubriques, de filles à papa, ainsi que de fausses amatrices ou de faux castings pour satisfaire la demande des sites internet de jolies « teens coquines ». Sans compter les copains du producteur qui viennent juste pour se taper une jeune et jolie actrice, et se faire sucer gratos, avec l’accord de ce dernier ; on les reconnaît vite, souvent la quarantaine bedonnante ou plus, et mal à l’aise devant une caméra.


Mais bon, comme il y a aussi des demandes de « vieux » se tapant des petites jeunes, et puis une queue est une queue ! Il y eut de bons moments sympas avec les équipes de tournage ou les acteurs. Certains m’ont fait jouir comme une folle. J’aimais bien aussi lorsqu’il y avait une autre fille ou plus, mon côté lesbien ressortait… Se prendre une sodo et bouffer une chatte en même temps, un vrai régal, puis venir l’embrasser goulûment la bouche pleine de sperme et partager avec elle ce nectar, j’en ai des frissons rien qu’en l’écrivant.


Parfois pour deux tiers d’heure maxi, parfois pour la journée complète, je me retrouvais le visage collant de sperme, puis vite passer à la douche, ensuite de nouveau maquillage et se reprendre une autre bite dans la bouche, pour finir avec une sodo. Cela n’a l’air de rien, mais il m’arrivait de tourner jusqu’à quatre clips par jour, et de me taper quatre fellations et trois sodomies dans la même journée, même qu’un jour j’ai eu une ampoule sur la lèvre tellement j’avais sucé. Mais à la longue, je me suis lassée. J’allais faire mon porno comme j’allais au bureau, j’avais sucé ! Je rentrais fourbue et le derrière en compote…


Mais le plus dur, c’est la vie privée, impossible de tenir un petit copain, au début ils acceptent, mais deviennent très vite jaloux, ou se mettent à faire des complexes sur la taille de leur kiki en rapport à ceux que je voyais toute la journée ! Ou alors c’était moi, beaucoup moins joueuse et moins demandeuse forcément, si bien qu’il ne reste que les acteurs de films X, mais qui rentrent le soir vidé de leurs jus, blasés et vous font l’amour en cherchant la caméra, et comme souvent on tourne avec les mêmes acteurs, je retrouvais le soir avec dans mon lit celui qui m’avait baisée dans la journée : manque de libido total ! Quoique des fois, tourner avec son amoureux a son avantage, cela me donnait envie d’être encore plus coquine et gourmande, à la grande joie du réalisateur.


Alors si en allant satisfaire vos envies sur des sites coquins, vous voyez une mignonne petite brunette française, qui suce merveilleusement, se fait sodomiser juste après pour se prendre la giclée à pleine bouche et avaler, c’est peut-être moi !