n° 19884 | Fiche technique | 43296 caractères | 43296Temps de lecture estimé : 24 mn | 02/11/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Quand Ekwoos, le Dieu Cheval, nous a raconté sa première expérience avec une petite humaine, j'ai bien rigolé, car ça va faire bien longtemps que je profite moi-aussi des bipèdes femelles. | ||||
Critères: fh hplusag grossexe fsoumise hdomine fellation pénétratio fsodo fantastiqu -fantastiq | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Il y a longtemps, très longtemps, dans les vastes plaines vertes, bien avant bien des choses…
Ce récit est lié à l’histoire Le Dieu Cheval, mais peut se lire indépendamment.
Les noms propres utilisés sont issus du proto-indo-européen, sauf celui de Ningal venant du sumérien.
Bonne lecture :)
Quand Ekwoos, le Dieu Cheval, nous a raconté sa première expérience avec une petite humaine, j’ai bien rigolé, car ça va faire bien longtemps que je profite moi aussi des bipèdes femelles. Quand il a narré la suite de ses découvertes avec la même petite humaine (dénommée Ningal), je me suis dit qu’il devait en rajouter. Mais voilà, aujourd’hui, lors de l’Assemblée des Dieux, il est venu avec sa maîtresse, et je dois reconnaître que cette petite humaine est diablement excitante, charnelle et qu’il se dégage d’elle une aura à la fois candide et vicieuse.
Pour un peu, je serais jaloux. Pourtant, moi, Gwoows, en tant de Dieu Taureau, vénéré comme symbole ultime de la fertilité et de la virilité, j’en ai connu des humaines et pas des moindres !
Ekwoos désire que sa compagne devienne une sorte de petite divinité liée à la fécondité, au sexe ou à quelque chose comme ça. Son but avoué est de se la garder longtemps pour lui, nettement plus que la durée de vie limitée des humains, et si possible avec le vieillissement prématuré en moins. Plus je regarde cette Ningal, plus je commence à comprendre ce souhait. Les débats sont houleux : faut-il accepter qu’une simple mortelle accède à l’immortalité, même si on en fait une simple mini-divinité très locale ?
Même s’il est souvent bourrin, Ekwoos n’est pas un imbécile. Il a pris la précaution de présenter sa maîtresse quasiment nue, sauf quelques colliers, bracelets et ceintures, ce qui met en relief les évidents charmes de celle-ci, son côté nature de belle pouliche (comme il dit), son aspect primal et charnel, ainsi qu’un flagrant pouvoir de séduction naïve teintée de perversité latente. De plus, Ningal est respectueuse et docile. Bref, la maîtresse parfaite…
Sacré Ekwoos, la première fois que tu te tapes une humaine, il faut que tu tombes aussitôt sur le top du top en la matière !
Soudain, alors que je suis plongé dans mes réflexions, on m’apostrophe :
Voyant en moi un potentiel allié, Ekwoos me remercie :
À cette révélation, je rigole franchement, je ne suis pas le seul !
L’air pincé, Haranaš, la Déesse des Aigles intervient :
S’engouffrant illico dans la porte à moitié ouverte, Ekwoos répond immédiatement :
La Déesse s’approche de Ningal, qui est visiblement très impressionnée :
Dissimulant un petit sourire, la Déesse se tourne vers Ekwoos :
Le Dieu Cheval fronce des sourcils, puis répond :
Ekwoos s’esclaffe :
Perso, il ne m’est jamais venu à l’esprit de vouloir garder une humaine pour moi. Pour faire simple, quand une donzelle me plaît, je la séduis, je la baise intensément, la laissant rompue, comblée et heureuse, puis je passe à une autre. C’est aussi simple que ça. La fécondité, c’est de se répandre partout ! Des humaines, il y en a plein dans tous les coins, et en général, elles sont bien heureuses d’écarter les cuisses pour un dieu, surtout un dieu comme moi, l’un des plus virils, si ce n’est le plus viril. C’est un grand honneur que d’être baisée par moi !
Fronçant des sourcils, Haranaš demande à son interlocuteur :
Ekwoos ouvre de grands yeux, puis esquisse un sourire :
L’assemblée continue durant un certain temps, puis les participants décident de reporter la décision à plus tard. Je pense qu’Ekwoos aura gain de cause, il a de son côté la plupart des mâles, et aussi quelques femelles qui sont plus ou moins solidaires ipso facto avec sa compagne. Sans parler de celles et ceux qui souhaitent enquiquiner les grands Dieux. Pour ma part, ça m’amuse, et je sens que je vais aider mon collègue chevalin.
En général, une assemblée divine, c’est pépère, c’est broutage et ruminage, c’est même parfois barbant. J’en sais quelque chose, j’y assiste à chaque fois, j’y suis hélas forcé, car je suis quand même un grand Dieu. Mais cette fois-ci, avec la petite humaine, c’est devenu plus animé, et c’est tant mieux ! Sur le sujet du jour qui était aussi celui de la veille, les Dieux et les Déesses sont divisés en plusieurs catégories.
Il y a ceux qui s’insurgent franchement :
Il y a ceux qui modèrent :
Il y a ceux (et surtout celles) qui sont sentimentaux :
Et enfin, il y a ceux qui s’enthousiasment :
N’oublions pas ceux qui s’en foutent royalement, non, divinement, les plus nombreux…
Moi, ça m’amuse. À sa façon, Ekwoos vient de donner une sacrée ruade, et ça s’agite dans tous les sens. D’habitude, on n’entend pas beaucoup parler de lui, son truc à lui, c’est de courir à travers les plaines et de saillir les juments. Mais depuis qu’il a changé de type de pouliche, il fait beaucoup parler de lui. C’est bien l’une des premières fois qu’un Dieu souhaite élever de rang une simple humaine. J’avoue que sa Ningal vaut le déplacement. J’ignore ce qu’elle a pu lui faire pour qu’il soit accro à elle, mais je pressens bien que la petite humaine doit avoir un certain savoir-faire, c’est indéniable. Elle est docile, mais experte.
Pour ma part, je goûterais bien aux appas savoureux de cette mortelle, mais j’ai des doutes qu’elle soit d’accord, car elle est visiblement entichée de ce grand canasson d’Ekwoos. Quant à celui-ci, s’il sait que j’ai osé effleurer sa pouliche préférée, même s’il est moins puissant que moi, ça risque d’être un beau carnage. Car le Ekwoos, il est capable de devenir un foutu berserker, et quand il est dans cet état-là, il vaut mieux se sauver sous terre plutôt que de se trouver sur son chemin…
Cela étant, malgré les risques, ça me tenterait bien de goûter à la petite. Mais comment ? Je rumine dans mon coin, la tentation est forte. Je pourrais aller la lutiner, elle ne pourrait rien faire pour me contrer, mais comme déjà dit, ce n’est certainement pas la bonne solution. À la place, je pourrais aller voir dans les grandes plaines s’il n’y a pas une donzelle qui pourrait la remplacer, mais je ne suis pas certain de mettre la main rapidement sur une femme de la même nature et du même calibre. Au pire, je me monte un harem de femelles humaines, et en prenant un morceau de l’une et un morceau de l’autre, ça pourrait le faire, mais ça ne serait pas pareil que de baiser en long, en large et en travers l’original(e).
C’est alors que la solution me vient à l’esprit, tel un soleil en plein midi :
Puis, faisait fi de l’assemblée, reprenant ma forme animale, je me rue au dehors, cavalant des quatre pattes comme un fou, me traitant de crétin et d’abruti congénital (pardon, papa et maman), tellement la solution est évidente et idiote ! Il y a des jours où je me flanquerais bien des tonnes de baffes !
J’ai déjà couru dans ma vie, pourtant bien longue, mais je pense avoir battu des records. Ma visite impromptue étonne Dheig’h, mon interlocutrice qui ne s’attendait pas à me voir débarquer chez elle, alors que nous sommes en pleine Assemblée des Dieux. La vénérable et ancienne Dheig’h fait bande à part, elle n’en a rien à faire de l’Assemblée, elle est au-dessus de tout ça, elle est surtout préoccupée à découvrir de nouvelles formes de vie, à les observer, et si ça ne suffit pas, parfois elle en modèle de nouvelles. Rapidement, je lui explique ma demande et le contexte, et comme elle est joueuse de nature, après avoir bien gloussé de rire, elle accepte de se prêter à mon petit jeu :
Faisant monter ma complice sur mon vaste dos, je reviens dare-dare vers l’Assemblée, sans toutefois y mettre un pied. Il ne me reste plus qu’à mettre la main sur Ekwoos et surtout sur sa dulcinée. Je ne mets pas bien longtemps pour dénicher ces deux-là qui se sont isolés dans un coin pour se faire des mamours.
Ekwoos se retourne, il est nettement surpris par la présence de ma complice. Aussitôt, il s’incline respectueusement :
Celle-ci hoche simplement de la tête. Moi, durant ce temps, j’en profite pour zieuter à fond du coin de l’œil la petite. Le Dieu Cheval s’adresse ensuite à moi :
L’œil luisant, Ekwoos hoche la tête :
Devant cette offre alléchante, il ne réfléchit pas trop :
Bien que ma proposition soit fort séduisante, Ekwoos reste soupçonneux :
Houla, il va falloir que je me modère, sinon mes intentions vont devenir transparentes comme de l’eau de roche ! C’est Dheig’h qui me sauve la mise en ajoutant :
Bien sûr, auparavant, j’avais demandé à ma bonne amie s’il était possible de faire en catimini une copie la plus fidèle possible de Ningal, lui demandant en plus s’il était réalisable de remplacer, dans la tête de la donzelle, son inclination pour Ekwoos en ma faveur. Paisiblement, Dheig’h m’avait alors répondu que c’était éventuellement faisable, mais pas toujours évident. Mais avec quelques marchandages, même l’impossible est concrétisable…
Surtout pour une déesse créatrice de vie !
Mais ma bonne amie est dure en affaires ! J’espère que cette petite humaine en vaudra le coup, mais je sens que je ne fais pas fausse route et que je serais largement récompensé.
Après avoir fait les copies officielles et après avoir été copieusement remerciés par Ekwoos et sa pouliche, Dheig’h et moi, nous nous sommes isolés dans mes appartements. J’en profite pour reprendre ma forme mi-humaine. Tout en marmonnant des choses incompréhensibles et faisant des gestes étranges, elle réalise devant mes yeux une nouvelle réplique de Ningal.
Excité, je fais trois fois le tour de la fausse donzelle qui n’est pas encore éveillée, puis je déclare à ma bonne amie :
Dheig’h fait la moue :
Ironiquement, ma partenaire en magouille me demande :
Ma complice profère quelques incantations, et c’est fini. Elle m’explique quels sont les mots pour réveiller et aussi pour endormir mon nouveau jouet. Ils sont faciles à retenir. Après un ultime remerciement, et juste après son départ, j’emporte mon nouveau jouet vivant dans ma chambre, bien décidé à en profiter illico. Un jouet très cher, mais quelque chose me dit que je vais être largement remboursé !
Fébrile et impatient, je décide de réveiller ma fausse Ningal afin de vérifier si Dheig’h a bien fait son travail. Je prononce le mot magique, mon clone ouvre les yeux, puis elle me regarde avec un grand sourire adorateur, ce qui est un bon signe. Elle cligne des yeux :
Ah zut, Dheig’h a tout cloné, y compris sa mémoire des derniers événements. Je la rassure :
Et sans attendre ma réponse, s’agenouillant devant moi, elle se saisit déjà de ma grosse verge pour la branler délicatement. L’instant d’après, sa langue fait des merveilles sur mon gland. En effet, Dheig’h m’a bien ajouté l’option « très cochonne », mais je ne vais pas m’en plaindre !
Je me laisse aller, je crois que les prochaines heures vont être bien comblées ! Ningal essaye d’enfourner le haut de ma verge, mais elle semble avoir quelques soucis. Je réalise que mon sexe est resté en mode bovin, ce qui n’est guère adapté aux humains. Je le rétrécis un peu.
Puis elle enfourne posément mon gland, me procurant une caresse subtile. Une fois de plus, je me laisse faire, cette petite sait très bien s’y prendre. Je comprends de mieux en mieux l’engouement d’Ekwoos à son égard.
Elle ne répond pas, car sa bouche est pleine. Appliquée, elle continue ses caresses suaves du bout de ses lèvres et de sa langue, tandis qu’elle branle lentement ma verge. Oui, elle est très efficace, cette petite humaine ! Tellement efficace que le résultat ne se fait pas attendre, un premier jet inonde sa bouche tandis que je meugle de plaisir !
Malgré le volume de sperme que j’éjacule dans sa bouche, elle arrive à suivre le rythme, des filets de sperme s’échappant de ses commissures, ce qui est très excitant ! J’expulse d’autres jets, sa bouche déborde, du foutre part s’écraser sur ses lourdes mamelles. Un très beau spectacle !
Les jets se tarissent. Je me sens soulagé et aussi très content de cette première approche. Pour l’instant, je suis content de mon nouveau jouet !
Honteuse, elle baisse légèrement la tête :
Tandis que je récupère, rechargeant rapidement mes réserves, elle reste silencieuse. Soudain, elle rompt le silence :
Eh merde ! Encore un truc auquel je n’avais pas songé. Je trouve illico une explication :
Docilement, elle se positionne à quatre pattes sur les draps. Aussitôt, je la couvre de mon large torse, et ma verge trouve sans problème l’entrée de sa grotte déjà détrempée. La première partie de celle-ci s’introduit facilement dans sa fente humide. Puis arrive la suite moins fine, elle halète sous l’effort, mais résiste bien.
Les humaines restent étroites, même si je diminue mon phallus. Mais j’apprécie de baiser de la sorte. Ce n’est pas pour rien si le nombre de filles d’hommes que j’ai pu saillir est énorme ! Je constate que ses mamelles pendouillent agréablement, je capture avidement un de ces globes laiteux et mous. J’apprécie beaucoup le moelleux de cette grosse boule de chair.
Oui, je ne fais que commencer à goûter à cette Ningal, et je comprends de mieux en mieux les raisons d’Ekwoos. Fiévreusement, je commence à pistonner ce si beau jouet, tout en malaxant avidement ce sein qui s’agite gélatineusement au gré de mes coups de boutoir.
Tant bien que mal, je réfrène l’envie de m’enfoncer complément en elle, car une humaine est nettement moins profonde qu’une génisse. Je décide de rétrécir encore un peu ma colonne de chair, je veux pouvoir tout mettre en elle, tout en malaxant cette mamelle pendouillante.
Il ne faut pas me le dire deux fois ! Je la pistonne de plus en plus fort. J’aime le son de ses gémissements. Son étroitesse amplifie les sensations. La chair fraîche de son corps m’excite énormément. Non, je ne regrette pas, je sens qu’il va y avoir un océan de sensations à découvrir avec cette petite. Pourtant, des humaines, j’en ai baisé par centaines, par milliers, mais elle, c’est différent.
Peu après, j’éjacule fortement en elle, la remplissant de flots de sperme qui ne tardent pas à s’échapper aussitôt de cette grotte trop petite. Je mugis de plaisir :
Je m’attarde un peu en elle pour bien savourer ce nouveau corps. Puis je me retire pour contempler le spectacle d’une jeune humaine qui déborde de mon foutre, et ça me plaît, ça m’a toujours plu, même si ce spectacle peut paraître vulgaire aux grandes âmes. Je ne suis pas le Dieu de la Fécondité pour rien ! Foutu Ekwoos, il se tape une seule humaine, et paf, il tombe tout de suite sur la bonne, alors que moi, j’en ai baisé des milliers et des milliers, et aucune ne m’a fait cet effet-là ! Oui, cette Ningal a un petit quelque chose en plus.
Tandis qu’elle dégouline de sperme, mon nouveau jouet soupire de soulagement :
Obéissante, elle se couche sur le dos, écartant un maximum les jambes. Fébrile, j’entre à nouveau en elle, frottant mon pubis contre le sien, ce qui est très jouissif, sans parler du fait que ses deux mamelles s’écrasent voluptueusement contre mon large torse. Ningal gémit :
Et elle commence à chanter à nouveau tandis que je la baratte copieusement. Les yeux fermés, la bouche ouverte, elle gémit, de sa bouche sort une longue mélopée :
Nous jouissons encore bien des fois, sans relâche, cette petite femelle me fait un effet bœuf, c’est le cas de le dire ! Je découvre qu’on peut jouir de trente-six façons avec le même corps sans se lasser. C’est pour moi une expérience intéressante, car la plupart du temps, je baise trois à quatre fois la même femelle puis je passe à la suivante.
Momentanément repus, nous sommes en train de nous reposer dans des draps trempés de sueur. Blottie contre moi, elle me confie :
Je continue joyeusement l’exploration de mon nouveau jouet. Une bien belle petite humaine avec plein de formes partout, docile comme il faut, perverse comme il le faut ! Je sens que je vais profiter d’elle encore quelques jours !
Alors que, souillée de mon sperme, elle est en train de récupérer de mon dernier assaut, je lui demande :
Je me croyais spirituel, je constate qu’Ekwoos a l’esprit aussi mal tourné que moi !
Elle ne répond rien, se mettant en place, mais son sourire vicieux parle pour elle.
Je me positionne pour être à bonne hauteur, j’écarte ses deux belles fesses, pour dénicher un petit trou sombre qui s’évase déjà. Je parie qu’Ekwoos a l’habitude de passer par là, je ne vais certainement pas lui jeter la première pierre d’aimer ce sombre passage !
Mon dard maculé de sperme bien en main, je le positionne contre cette petite cuvette ourlée, puis je m’introduis lentement mais sûrement. Cette petite garce soupire sous mon offensive, on sent qu’elle est aussi confirmée de ce côté-ci. Quand j’arrive au fin fond de son fion, je farfouille légèrement dans ses profondeurs pour avoir une idée des lieux. Maintenant que je suis bien planté en elle, je caresse son petit bouton rose de ma main droite, tandis que la gauche s’occupe de ses masses blanches, pinçant et étirant les tétons, malaxant ses molles mamelles.
Visiblement, elle apprécie le traitement :
Les yeux fermés, elle respire bruyamment, son plaisir monte en elle. Je commence lentement mon pistonnage dans ce sombre conduit. J’adore ça, ce goût de l’interdit, cet abandon de la femme ! Puis je me laisse aller, allant et venant dans son fin fourreau brûlant et étroit. Je beugle de plaisir. Je constate que la jouissance monte de plus en plus en elle. Alors j’accentue le pelotage de ses mamelles et la masturbation de son clitoris. Sous cette double attaque, elle se tord, balançant sans relâche la tête à droite et à gauche :
Ningal est secouée de multiples spasmes, son corps frémissant est envahi de vibrations, de tremblements et de sensations extrêmes ! Devant ce spectacle, je n’y tiens plus et j’éjacule au plus profond de son cul, râlant et grognant, inondant ses entrailles de mon puissant foutre !
Comme figés, nous restons un moment, haletants et tremblants, ma vigoureuse verge toujours rivée dans son petit trou bien élargi maintenant, mes deux mains agrippées à ses masses molles et blanches. Cette petite femelle est à moi, rien qu’à moi !
Foutu Ekwoos !
Tandis que la lucidité me revient petit à petit, je me dis que je suis tombé dans mon propre piège, cette Ningal est un poison insidieux qui vous ravage le corps et l’âme. Et pourtant, je suis un dieu, et pas n’importe lequel ! Il va falloir que je trouve une solution à mon problème, mais en attendant, il convient de profiter à fond de mon nouveau jouet ! Lentement, je me retire, puis je viens présenter ma verge toujours raide et poisseuse près de ses lèvres rosées :
Oui, il va falloir que je trouve une solution si je ne me lasse pas de cette petite, mais certainement pas tout de suite.
Finalement, deux jours plus tard, l’assemblée des Dieux a accepté assez vite que Ningal, la vraie, devienne une petite divinité locale. Enthousiaste, Ekwoos ne se sent plus de joie, il me remercie sincèrement, puis il repart chez lui au triple galop avec sa femelle toute nue sur son dos, afin de profiter au plus vite des charmes de sa presque parèdre. Quelque chose me dit qu’ils s’arrêteront plusieurs fois en cours de route !
Pour ma part, je ne lui jette certainement pas la première pierre de vouloir user et abuser de sa compagne. De mon côté, il reste encore un peu moins d’une lune avant que la copie ne s’évapore. J’espère m’être lassé d’elle d’ici là.
Je demande à ma Ningal de s’habiller de façon qu’on ne la reconnaisse pas trop. Obéissante, elle obéit sans chercher à comprendre. Puis, moi aussi, je l’emporte chez moi sur mon vaste dos, afin de profiter des trois semaines qui restent encore.
Trois semaines de stupre et de débauche !
Jamais je n’ai connu une telle période, surtout en me contentant que d’une seule humaine ! Je me demande quels coin ou recoin de son anatomie je n’ai pas explorés. Quelle folie bien cochonne je n’ai pas faite avec elle. Cette nuit encore, ce fut dantesque, une pure folie ! Et une fois de plus, sous mes trois formes : animale, mi-humaine et humaine…
Puis nous nous sommes endormis au petit matin, l’un contre l’autre. C’est bon de dormir auprès de la petite humaine très câline et perverse !
Au petit matin, quand je me réveille, je constate que Ningal n’est plus à côté de moi. Il lui arrive de se lever avant moi pour diverses raisons, dont celle de me préparer un copieux petit déjeuner. Même quand nous ne baisons pas, j’aime sa présence, nos petites discutions, alors que je ne suis pas vraiment un grand causeur. Je me lève pour aller la rejoindre. Mais cette fois-ci, j’ai beau chercher partout, je ne la trouve pas.
C’est alors que je me fige : la lune serait-elle déjà passée ?
Je continue de fouiller partout : rien de rien. Je retourne tout chez moi, à droite, à gauche, en haut, en bas, en travers, Ningal est introuvable ! Craignant le pire, je me rue comme un forcené chez Dheig’h, même si elle habite bien loin. Les paysages défilent, le corps couvert de sueur bouillonnante, je franchis à toute allure les plaines, les fleuves, les montagnes, les déserts.
Ayant sans doute deviné mon arrivée, mon ancienne complice m’attend, assise sur une grosse souche. Alors que je reprends mon souffle, elle me désigne du doigt une mare :
Ayant repris ma forme mi-humaine, je m’agenouille en gémissant :
La déesse fait un petit geste de la main :
Un pauvre rictus tord mon museau :
Nous sommes peut-être des dieux, mais je sais pertinemment que nous ne pouvons pas tout faire. Et Dheig’h n’est pas du genre à mentir. Je ne suis peut-être pas un grand intellectuel, mais je connais quand même certaines choses, et je sais en déduire d’autres. Accablé, je gémis :
Ah oui, il y a aussi cette contrainte ! Il faut que j’invente une combine pour que Dheig’h puisse me refaire une copie. Je dois faire venir la vraie Ningal, mais comment ? L’enlever ? Aller voir Ekwoos chez lui ? Il doit bien y avoir un moyen d’approcher cette petite humaine ! Oui, il doit y avoir un moyen !
Devinant mes pensées, Dheig’h me tance :
Me redressant, je proteste :
Elle a raison, c’est peine perdue. Et si je capture Ningal pour mon seul profit, Ekwoos va devenir fou-furieux et ça risque de mal finir. Implacable, Dheig’h continue :
Je le sais au fond de moi, Dheig’h a raison. Pourtant, je m’y attendais, mais je croyais que j’allais me lasser de cette humaine, je me lasse toujours des humaines ! Et dans pareil cas, tout reviendrait comme avant : je saute de l’une à l’autre et je les saute, comme on franchit un gué en allant de pierre en pierre.
Entrevoyant une solution différente, je me résigne :
Posant ses mains entre mes cornes, Dheig’h récite quelques incantations. Je sens que quelque chose s’évade de moi, j’en éprouve à la fois du regret et du soulagement. Puis, je suis reparti vivre mon ancienne vie de débauche, avec parfois la nostalgie qui remontait en moi.
Parfois, quand ce souvenir s’échappe de la prison dans laquelle il reste enfermé la plupart du temps, j’ai presque envie de pleurer comme un veau sur cette profonde absence que je ressens en plus profond de mon être. Quel triste tableau pour le massif et puissant dieu que je suis, alors que toutes les femelles se pâment devant ma virilité.
Toutes, sauf une.
Celle qui s’en est approché le plus, fut Eurôpê, fille d’Agénor, que j’ai enlevée sur mon dos, et avec laquelle j’ai fait énormément de galipettes en Crête, me faisant passer pour un autre dieu, plus humain, lui. Que ce temps est devenu lointain !
Quand je pense que, maintenant, mes ouailles finissent leur pauvre vie dans des hamburgers, c’est à la fois révoltant et affligeant ! Mais il n’est pas dit que ces honteux sacrilèges resteront impunis. Oh non ! Déjà, nous les Anciens Dieux, nous complotons dans l’ombre, et un jour prochain viendra où ces fichus bipèdes seront rayés de la carte. Pas tous quand même, il faudra que je me garde quelques humaines bien en chair pour que je les saille dans la joie et l’allégresse.
Alors reviendront les anciens jours bénis où, avec mes confrères, je galoperai sans fin et sans contrainte dans les vastes plaines du monde ici-bas, situées entre lever et coucher du soleil !