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Temps de lecture estimé : 11 mn
26/11/20
Résumé:  Début de nos premières vacances ensemble, et ce n'est que le début !
Critères:  fh couple copains vacances plage douche voir nudisme caresses fellation cunnilingu pénétratio -lieuloisi
Auteur : Mr WWW      Envoi mini-message

Série : Vacances au bord de l'océan

Chapitre 01 / 02
Une fort agréable première journée

Bonjour,


L’histoire suivante est librement adaptée de mes pérégrinations oniriques inspirées par ma muse nocturne.


Justine et moi nous nous connaissons depuis de nombreuses années, depuis que nous avons travaillé ensemble.


Bien qu’étant en couple tous les deux à cette époque, une véritable intimité (non physique) s’était créée, étant l’un pour l’autre le confident et « psy » de l’autre. Quelques années ont passé et nous nous sommes retrouvés tous les deux célibataires.


Désirant tous les deux rester libres, nous avons alors vécu différentes histoires chacun de notre côté, sans pour autant perdre ce lien indéfectible, en conservant notre osmose et compréhension mutuelle, le tout saupoudré d’attirance mutuelle, tout en sachant que si un jour nous franchissions le pas, ce serait pour de bon, donc nos relations en seraient différentes…



Alors que nous étions tous les deux en congés, sans avoir l’un et l’autre de projets clairement définis, Justine fut invitée par une ancienne copine de fac à passer la voir sur la côte basque à Bidart près de Biarritz, copine qui avait emménagé là-bas récemment et qui se faisait une joie de la revoir.


Elle me proposa donc de venir avec elle, histoire de s’aérer la tête (et autre chose tant qu’à faire…), de voir du pays et profiter de ce beau début d’été qui nous tendait les bras.

Invitation qui me mit en joie à l’idée de passer quelques de jours de congés en sa compagnie dans une région que je connais et que j’affectionne particulièrement.


Nous voici donc prenant un billet d’avion pour Bordeaux (les vols pour Biarritz étant moins fréquents) dès le lendemain, avec une petite valise cabine pour tout bagage, la fin juin étant déjà propice aux tenues légères…


Rendez-vous pris pour passer la prendre avec un VTC pour l’aéroport, un petit smack quand elle monte dans la voiture, augurant de bonnes choses en ce début de vacances…

Le chauffeur se marre en nous voyant, tel deux lycéens partant en vadrouille après le bac !


Enregistrement, embarquement, et nous voici arrivés à Bordeaux dans la matinée.

Direction la voiture de location que j’avais réservée, et on trace vers l’océan, quoi de mieux que de rouler si possible en bord de côte !


La fenêtre ouverte, elle assise sur le siège passager, les cheveux au vent, pieds nus… jamais assise classiquement, bougeant souvent sur le siège, se mettant sur le côté, dans son petit short moulant et son tee-shirt ample ; j’étais aux anges, surtout qu’on se marrait bien.


Biscarosse, Mimizan, jusqu’à Capbreton, route fluide, grand soleil et les bonnes odeurs de pin au rendez-vous, c’est top !

Arrivée à Capbreton, direction le grand parking au sud-ouest pour aller se balader vers les grandes plages loin de la foule (même si en juin y’a pas grand monde à part des surfeurs…)


Après un bon quart d’heure de marche dans le sable, l’équilibre est parfait… la plage, l’océan sans trop de vagues, le soleil et nous ! Un spot nous convient bien, on pose nos petits sacs de balade, sortons les mini serviettes de plage et hop en tenue (j’avais déjà mis mon maillot ce matin en partant…)


Justine que j’avais toujours vue dans un deux pièces « sérieux » qui mettait bien en valeur sa silhouette mince et sportive, voilà qu’elle a un bas de maillot ficelle, et qu’elle ne fut pas ma surprise (enfin surprise… pas tant que ça car j’avais bien vu dans la voiture qu’a priori rien n’entravait sa respiration sous son tee-shirt blanc) la surprise de la voir retirer son débardeur, sans rien dessous, et tout ceci avec un sourire espiègle !


Bon là où nous étions, les proches voisins de plage, à moins d’avoir des jumelles, auraient du mal à voir sa jolie poitrine menue mais fort agréable à savourer visuellement (en espérant pouvoir la savourer sous peu différemment…)


Elle se met face à la mer, donc dos à moi, respire, soupire d’aise, et dit « oh et puis merde profitons ! » et la voilà en train de retirer son bas de maillot et de partir en sprint vers la mer !

Ni une ni deux, hop je retire en deux secondes aussi le mien et tente de la rattraper en courant ; on rigole, on respire les embruns, on apprécie l’air sur nos corps nus, et on plonge dans l’eau fraîche…


Vivifiant c’est le mot, mais quel plaisir de ressentir tout ça, surtout avec elle à mes côtés ; moment de liberté totale que je savoure après ces semaines bien chargées…


On plonge, on ressort, on tente de nager, mais avec les vagues pas si simple (surtout vu mon niveau de natation…), donc on barbote, on profite à fond. Elle me regarde, me sourit et explose de rire, crie de joie et de plaisir d’être nue dans les vagues, un vrai moment de bonheur !


Je lui dis :



Sans se poser de question elle acquiesce.



L’eau lui arrive un tout petit peu en dessous de sa toison bien taillée. Elle profite des embruns sur tout son corps, en fermant les yeux. Les cuisses, le bas-ventre, tout est massé par les petites vagues, elle s’en délecte un long moment puis se tourne pour que ces mêmes sensations soient ressenties sur ses fesses, elle ferme les yeux et est transportée ailleurs…

Les pointes de ses seins sont bien dressées (par le froid ou le plaisir ? les deux mon capitaine !), elle jubile.


Je profite de son moment « d’égarement » pour me mettre derrière elle, plonger sous elle, me faufiler entre ses jambes et hop je remonte debout avec elle sur mes épaules.

Quelle sensation fabuleuse de sentir ses cuisses sur les deltoïdes, ses fesses autour du cou, et son intimité dans les cervicales… Un pur bonheur qui restera gravé à jamais dans ma mémoire et mes chairs.

Mes mains sur ses cuisses pour la maintenir, elle les bras grands ouverts, on tourne sur place, on avance dans les vagues, on se marre comme des gamins !


Je la bascule en arrière… plouf, dans l’eau ! On se relève, on se prend l’un contre l’autre, nos corps frais à l’extérieur mais incandescents à l’intérieur… nos lèvres goulûment se pressent, nos mains caressent mutuellement nos dos et nos fesses, puis les frissons de fraicheur reprennent le dessus, on file aux serviettes se sécher mutuellement (et rapidement car le petit vent soufflant sur nos corps frais, brrrr…)


On profite un peu du soleil, on s’allonge, nus toujours, histoire de bien finir de sécher ; une terrible envie de la caresser me prend mais on ne sait jamais qui peut passer par là et on est quand même bien en vue…


Elle est sur le dos les bras tendus au-dessus de sa tête, position qui décrit une courbe très gracieuse et hautement érotique, pour ma part je préfère être à plat-ventre, histoire que mon anatomie grandissante ne soit pas à la vue de tous…


Du dos de la main gauche, je caresse légèrement son corps depuis la hanche jusque dans son cou, en effleurant à peine le téton, ce qui la fait vibrer (limite chatouilles !), en montant et descendant, de manière discrète et légère, ça a l’air de lui plaire ! Caresses douces mais fort agréables en ce qui me concerne aussi, moi qui adore en donner !


On reste très soft, je l’embrasse tendrement sur la lèvre supérieure, puis inférieure, puis les mordille l’une après l’autre, un grand plaisir, mais je ne bouge pas de mon plat-ventre, afin de cacher mon anatomie grandissante si regard externe il y avait !

Elle se laisse faire, s’abandonne à mes caresses, je lui dis :



Malgré son laisser-aller, elle a toujours le sens de l’organisation (c’est vrai qu’elle pense toujours à tout la bougresse !).



Ok donc, on remballe nos petites affaires, je remets mon short allongé afin de ne pas montrer mon sexe au garde à vous aux potentiels « voisins », Justine se rhabille sans mettre aucun dessous (j’adore), et on file à la voiture pour aller se garer près des commerces et donc des snacks afin de manger un morceau et potasser sur l’emplacement de notre première nuit lando-basquaise…

Devant une tartelette et un thé, collés l‘un à l’autre comme deux collégiens, on potasse sur mon téléphone les chambres d’hôtes du coin.


On tombe d’accord sur une chambre d’hôtes situés dans la pinède à deux pas de la plage, et hop on réserve pour le soir.

Balade sur le port de Capbreton, petite glace au passage, la vie est simple et fort agréable…

Retour à la voiture et on file à la chambre d’hôtes. Deux kilomètres plus tard, nous voici arrivés, accueillis avec un grand sourire par la maîtresse de maison.



On la suit, et voici donc la suite, bel espace, terrasse sur les pins avec bains de soleil, très calme, ça va être chouette.



Elle nous laisse, et on ferme la porte…



Direction la salle de bains, on retire juste nos shorts et tee-shirt, et nous voici en tenue d’Ève et d’Adam. Je m’approche d’elle, l’embrasse goulûment, lui caresse le dos, le haut des fesses, puis descend gouter le sel sur ses seins avant que l’eau ne l’enlève. Un vrai régal.


Elle se tourne pour faire couler l’eau de la grande douche à l’italienne, met en marche le gros pommeau au plafond, puis se glisse sous l’eau, eau coulant de ses cheveux à ses pieds en passant par ses fesses, c’est magnifique… je reste là à la regarder.


Puis je m’approche (moi aussi faut que je me rince !), me colle à son dos, l’embrasse dans le cou, mets mes mains sur son ventre, puis les remonte sur sa poitrine, puis redescend jusqu’à son pubis, et monte et descend ainsi tout doucement plusieurs fois. Elle colle ses fesses à moi et, tout doucement aussi, bouge son arrière-train en ondulant autour de mon pénis.


Mes doigts s’insinuent doucement dans son intimité qu’elle m’offre en écartant les pieds, et malgré l’eau qui coule, je sens son plaisir sous mon index en elle qui se couvre d’une belle texture lubrifiante.


Elle se retourne, s’assied sur le rebord du fond de la douche, je me mets à genoux devant sa vulve ouverte et offerte, du bout de la langue je titille doucement son bouton de plaisir, puis passe toute la largeur de ma langue sur ses grandes lèvres, m’insinue un peu plus en elle et me délecte de cette offrande…


Elle a l’air de bien apprécier, gémit, remue pour que ma langue aille plus profondément en elle, de haut en bas, en rotation, puis mordille tout doucement son clitoris - elle pousse un petit cri - puis je le gobe complétement entre mes lèvres et l’aspire doucement ce qui la fait chavirer de plaisir…


Elle passe un peu de temps sous l’eau toujours assise à profiter de son état, puis me dit : « j’ai profité, à ton tour maintenant… »


Elle prend mes génitoires dans sa main, les caresse doucement, puis se baisse, toujours sous l’eau, et commence à remplacer sa main par sa langue, puis elle remonte le long de ma hampe jusqu’à la naissance du gland, et redescend, ainsi de suite… elle a l’air de bien apprécier ce qu’elle fait…


Et tout d’un coup, elle prend mon pénis dans sa bouche, le fait aller en va-et-vient doucement en le frottant contre ses joues… mes sens sont en éveil, elle continue ainsi et dit « j’ai envie de te sentir en moi », elle se relève, se tourne, saisit mon sexe, le met à l’entrée de sa cavité détrempée, et l’insère très facilement, en poussant un râle de plaisir.


Elle cale ses mains contre le mur de la douche, moi en elle, en train de lui caresser les seins… on se sent vraiment bien, nos plaisirs montent crescendo au fur et à mesure jusqu’à une apothéose simultanée qui nous met dans tous nos états, moi les jambes flageolantes, et elle qui se retient au mur…


Passé ces moments intenses, quoi de mieux pour se remettre que de se savonner mutuellement, de la tête aux pieds, avec au passage un massage du cuir chevelu en guise de shampoing pour la demoiselle, et un effet moussant bien appuyé sur tout le corps, ce qui réveille agréablement les sens et tout en douceur.


Je finis de me rincer, me sèche et laisse la salle de bains à Justine (oui, c’est bien connu les filles ont besoin de plus de temps que nous après la douche, surtout pour s’occuper des cheveux…). J’en profite donc pour m’allonger sur le lit, histoire de faire une petite micro-sieste bien méritée et appréciable.


Je l’entends sortir de la salle de bains, fais mine de toujours dormir, les yeux fermés. Je me guide à l’ouïe pour savoir où elle se trouve, je perçois du mouvement au pied du lit, je sens que le matelas bouge un peu, puis sens un souffle d’air léger sur mes parties intimes, une caresse autour de mon anatomie endormie (plus pour longtemps je pense), enfin elle prend mon sexe encore souple et le met en bouche après m’avoir dit :



Étrange sensation déroutante et fabuleuse que de sentir mon sexe grandir dans sa bouche ! Une fois qu’elle estime que tout le monde est en forme, elle se met à genoux, au-dessus de moi, et le prend pour caresser sa vulve déjà bien glissante de plaisir…


Doucement, elle insère mon sexe en elle, me chevauche, gère tout ça à son rythme et à sa manière, fort agréable je dois dire… Puis elle reste toujours sur moi, met les pieds à plat, et fait aller son corps d’avant en arrière ; peu après elle met ses pieds sur mes épaules, et s’allonge carrément sur moi, mon sexe quelque peu tordu par l’exercice est tout de même ravi de la position !


Voulant changer de position elle se remet à califourchon sur moi, fait un demi-tour sur elle-même, en gardant mon anatomie en elle, et se met de l’autre côté, ce qui fait qu’elle me tourne le dos, et donc j’en profite pour le lui caresser ainsi que son joli fessier ; un grand plaisir que tout ça ! Et partagé jusqu’au bout !


Nos ébats étant terminés, quoi de mieux que d’aller manger poissons et fruits de mer. Nous demandons conseil auprès de la propriétaire qui nous indique un petit restaurant près du port qui ne paye pas de mine, mais qui a de bons produits frais. Et hop ni une ni deux, on file au resto, ayant bien faim tous les deux.


Arrivés au resto, on prend une table sur l’extérieur, il fait bon même si on sent la fraicheur de l’océan le soir qui arrive. Plateau de fruits de mer pour elle, mix grill de la mer à la plancha pour moi avec un bon vin blanc sec pour agrémenter tout ça, nickel le repas. Une fois le dessert avalé on flâne sur la berge, la marche aidant à la digestion.


Retour à la chambre d’hôtes, je propose depuis le parking qu’on aille marcher un peu sur la plage avant de rentrer à la chambre ; la pleine lune donne une légère clarté nous permettant de nous déplacer.


On suit le petit sentier qui nous mène à la plage. Belle sensation d’entendre les vagues de l’océan sans les voir complétement… On marche pieds nus sur le sable, en repérant le tronc qui nous servira de cairn pour retrouver le chemin au retour. L’air est frais et vivifiant, on est bien tout simplement.


Au bout d’une demi-heure nous voici en vue de la chambre d’hôtes. Il y a de la clarté dans la partie privée des propriétaires, et machinalement on regarde…

Regards amusés, car notre chère propriétaire est en train de se déshabiller (pour qui, on ne sait pas)…


De là où on est, on n’est pas visibles donc on s’arrête amusés et curieux, on se met derrière un fourré pour être sûrs de ne pas pouvoir être aperçus.

Madame fait un effeuillage, bien conservée pour ses cinquante ans, elle doit être sportive, et le surf ça raffermit les chairs !


On se marre, puis elle disparaît derrière un canapé, on reste là à regarder… on voit de temps à autre un bras où une jambe mais rien de plus ; discrètement nous rejoignons la chambre comme deux gamins ne voulant pas se faire surprendre.


Nous revoici dans la chambre, après cette super journée, un beau début de vacances.


Justine se couche nue, moi aussi bien sûr, et se met sur le côté. Je viens derrière elle, et profite de sa peau chaude et suave, que je goûte dans son dos, mes mains caressant ses mamelons, lentement et longuement… on reste comme ça un long moment avant de s’assoupir et de tomber dans les bras de Morphée…


Réveil ensoleillé après une nuit bien reposante… on va se préparer pour aller prendre le petit-déjeuner en terrasse, ça va être top.


Une fois habillés, avant d’arriver à la terrasse, Justine me dit :




À suivre…