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Deuxième journée.....

Résumé épisode précédent :

En s’installant sur la terrasse de la chambre d’hôtes pour le petit-déjeuner, Axel est furax après Justine qui lui doit des explications quant à ce qu’elle a dit à Ingrid.

• — Pourquoi lui as-tu dit que j’étais gay ? Je n’ai rien contre eux, mais je ne peux pas faire semblant et ce n’est pas un jeu pour moi !
• — Je t’explique. Ingrid est venue habiter à Bidart, car c’est son ex-mari qui lui a donné la maison pour le divorce, elle y habite à l’année, car elle fait du télétravail.
• — Quel rapport avec moi, tout ça ?
• — Laisse-moi continuer ; depuis son divorce, elle profite de la vie sous toutes ces coutures, et je sais bien que en te voyant elle va te sauter dessus, et je n’en ai pas envie…
• — Ah donc, tu es jalouse…
• — Mais non, mais autant passer des vacances tranquilles sans passer mon temps à la voir te reluquer et te brancher. Donc en lui disant que tu es gay, elle va te laisser tranquille et j’aurai la paix.
• — Oui, mais ça veut dire qu’il faut que je joue le jeu, de ne pas répondre si elle me charme, et comment on va faire tous les deux ? Juste de bons copains ?
• — Voilà, on est comme avant en façade avec elle, après rien ne nous empêche quand elle n’est pas avec nous de se faire plaisir !
• — La coquine ! T’aimes bien jouer un peu avec le feu alors !

On se marre et la propriétaire nous amène nos cafés et thés respectifs.

• — Alors la soirée et la nuit ont été bonnes ? Vous avez bien dormi ?
• — Comme des loirs, un vrai plaisir !
• — Vous pourrez aller vous balader après si vous voulez en partant de la maison, vous prenez le chemin qui est juste là.
• — Oui, oui, on connaît, on est allé se balader hier soir à la nuit tombée.
• — Ah bon ? dit-elle en rougissant.
• — Oui et avec la luminosité qu’il y avait, on voyait bien, c’était très agréable, dit Justine en lui lançant un sourire espiègle, qu’elle lui retourne.
• — Parfait alors, mais vous pourrez y retourner de jour la plage est magnifique un peu plus loin.

Elle nous laisse à notre pantagruélique premier repas de la journée (on ne mangera rien à midi c’est sûr).

• — Bon donc on fait comment chez Ingrid ?
• — Elle nous donnera deux chambres séparées, et on la joue cool. Et ensuite on verra comment ça se passe pour lui dire la vérité.
• — Je préfère ça… Bon, allez, on va marcher un peu sur la plage, on profite du lieu !
• — Excusez-moi, ça ne vous dérange pas si on ne rend pas la chambre de suite ? On aimerait reprendre une douche avant de partir, on va aller un peu se balader.
• — Oui, bien sûr pas de soucis, autrement vous avez aussi une douche extérieure, dont je me sers après le surf, juste à côté par là.
• — Ah oui, ça peut être fun de se doucher au grand air ! Ça marche !

Retour à la chambre, brossage de dents pour retirer les morceaux de pain au chocolat entre les dents, on met nos maillots, avec une petite léchouille poitrinesque pour le fun le temps que Justine se vêtisse, et hop on part vers la plage. On passe la pinède, et on voit l’océan, bien mieux qu’hier !

Alors on part au sud ou au nord ? On ne voit pas grand monde vers le sud, donc allez hop, on file vers le sud.

On marche juste au bord de l’eau, ce qui est fort agréable d’avoir juste les pieds mouillés de temps à autre, on profite du grand air… et on digère en même temps !

On marche, on marche, et tiens ! des gens tout nus, et encore un peu plus loin.

• — On doit être sur une plage naturiste…
• — Et donc ? Ça te gêne ?
• — Non, mais peut-être que nos tenues les dérangent… dis-je en riant.
• — Arrêtons-nous là et faisons un petit plouf, histoire de se faire du bien.

Ni une ni deux nous voici de nouveau nus comme des vers, on file à l’eau, mais brr, elle est plus fraîche qu’hier ! Qu’à cela ne tienne, allez hop, on plonge ce sera plus rapide pour rentrer dans l’eau.

On batifole dans l’eau puis les frissons aidant, on retourne vite fait aux serviettes, sous les regards et sourires des « voisins » ; y’avait pas grand monde dans l’eau, on sait pourquoi !

On se laisse sécher au soleil sur le dos, ça fait un bien fou, après la fraîcheur, de sentir la caresse solaire nous envahir.

Discrètement allongés d’une main baladeuse je dessine les contours accessibles qui sont à ma proximité du corps de Justine, elle ronronne légèrement de plaisir…

• — Bon, comment dois-je me comporter chez Ingrid ?
• — Sois naturel !
• — Non, si elle voit que je la mate, elle va savoir que je ne suis pas gay !
• — Donc, fais-le discrètement, en plus y’a à mater…
• — Arrête, c’est que de la provoc ton truc ! Et bien sûr, ça t’amuse tout ça !
• — Bien évidemment !
• — J’espère être récompensé de mon jeu d’acteur alors, et pas qu’un peu !
• — Ça, tu verras bien, mais à mon avis, tu vas être largement récompensé ! me dit-elle dans un grand sourire.

Sur ce, nous remettons nos shorts, tee-shirts et retournons récupérer nos affaires à la chambre d’hôtes.

• — Alors elle est où cette fameuse douche extérieure ?
• — Là, regarde derrière les canisses, viens, on va voir !

Arrivés sur place, c’est une grande douche en caillebotis qui doit faire 1,50 m par 1 mètre avec un pommeau sur le côté.

• — Y’a même une patère pour accrocher nos affaires ; à voir si l’eau est chaude…
• — Hey, elle est bonne, pas super chaude, mais bonne !

Allez, hop ni une ni deux, on se dessape, et honneur à la demoiselle pour se rincer évidemment.

• — Elle doit avoir une réserve d’eau dans un bidon donc on ne va pas trop lui prendre d’eau.
• — Non, juste histoire de se rincer.

Elle me cède la place et je commence à me rincer, puis la vois s’approcher, elle s’accroche à mon cou, met ses jambes autour de ma taille (ça va, je suis plus grand et costaud qu’elle), m’embrasse et travaille pour tenter de « s’empaler » en moi, chose faite rapidement !

On se meut comme on peut, position bien agréable, mais qui ne va pas durer longtemps, car c’est sportif !

Elle s’accroche les bras à la poutrelle au-dessus d’elle et prend beaucoup de plaisir (moi aussi) à être suspendue ainsi ! Grand moment intense !

• — Merde, y’a plus d’eau !

Et on se marre !

Une fois notre affaire finie, on se sèche et on se rhabille.

On passe voir la propriétaire pour la prévenir du vidage de sa douche ;

• — Oh, ne vous inquiétez pas, elle se remplit toute seule et la plupart du temps les gens la vident, car c’est bien agréable comme douche !

On acquiesce, évidemment !

On fait nos bagages en deux minutes et hop, direction Bidart, Justine envoie un petit message à Ingrid pour la prévenir de notre arrivée bientôt.

Un peu stressé par le rôle que j’aurai à jouer, je ne suis pas très loquace durant le trajet, mais dès qu’on approche de la maison, un peu sur les hauteurs avec une belle vue dégagée sur les montagnes et la mer, je me détends.

On arrive devant le portail, Justine sort pour sonner, et je vois le portail s’ouvrir avec une belle plante tout sourire (grande blonde sculpturale alors que Justine est un petit (donc très charmant) modèle brun), qui accueille les bras grands ouverts sa copine !

Je me gare et descends donc saluer la dame de ces lieux…

• — Ingrid voici Axel, l’ami dont je t’ai parlé.

J’ai droit à un grand sourire et un regard bien appuyé qui confirme bien ce que m’avait dit Justine sur sa propension à aguicher les mecs.

On s’embrasse et je suis les deux donzelles vers l’intérieur de la maison.

Maison assez sobre, mais bel espace de vie, très claire, et avec une grande terrasse sans vis-à-vis donnant sur une jolie piscine avec un jacuzzi annexe, le tout vue mer !

Bref, moi je veux bien me mettre là avec un bon bouquin et y rester un moment !

• — Allez, venez, je vous montre vos chambres. Elles sont en face l’une de l’autre et vous partagerez la salle de bains, ça vous va ?
• — Oui, bien sûr, dis-je en évitant le regard de Justine…

On s’installe dans nos chambres, je pose ma valise dans ma chambre que je viderai plus tard, et Justine, elle qui a besoin que tout soit bien rangé, profite de la banquette adjacente à son lit pour y mettre toutes ses affaires, et récupère un maillot de bain deux-pièces à ce que je vois.

Une collation est servie dehors, moi en short, tee-shirt, Justine en maillot et tee-shirt, et Ingrid a gardé sa robe légère.

On discute de tout et de rien, Ingrid fait du conseil financier en entreprise et donc bosse souvent de chez elle (y’a pire comme bureau) ; je décide de laisser les filles papoter entre elles et vais faire une petite sieste post prandiale sur l’un des transats.

Sieste tactique, car ne suis pas trop loin d’elles et je peux donc prêter une oreille à ce qu’elles se racontent.

J’entends des « J’ai été avec untel, il était comme ça, puis avec X c’était pas mal, etc. ».

Apparemment elle les collectionne, et bien sûr j’ai droit à :

• — Dommage qu’Axel ne soit pas intéressé par les filles, j’aurais bien aimé le connaître plus en détail.

Ce à quoi rétorque Justine :

• — Oh tu pourras quand même profiter de lui, il fait des super massages relaxants, et il ne t’en refusera pas un !

Je la vois bien, la coquine, à vouloir m’exciter à masser sa copine…

J’entends les filles arriver près de la piscine

• — Allez, on se baigne !

J’émerge de ma soi-disant sieste et les rejoins dans l’eau. Justine dans son joli deux pièces et Ingrid avec un maillot (enfin si on peut appeler ça comme ça) une pièce avec un grand espace ventral nu et peu de tissu aux endroits stratégiques, ce qui fait que cela met bien en valeur ses formes rebondies, mais fermes. Encore une provoc pour moi !

L’eau est bonne, je nage et on discute tout en restant dans mon rôle et évasif pour ne pas me planter. Je récupère des lunettes de piscine pour soi-disant faire quelques longueurs, mais c’est surtout pour mater sous l’eau bien sûr… je me faufile entre les filles, les observe bien sous l’eau, c’est très agréable, avec les petites bulles d’eau un peu partout sur la peau.

On y reste un bon moment puis Justine veut tester le jacuzzi, qui n’est pas très grand, donc je laisse les filles seules dedans (surtout pour éviter de trop réagir avec deux naïades en maillot contre moi !).

Et blabla blabla, les filles discutent et moi je profite du paysage et du lieu.

Elles sortent du jacuzzi, Justine vient se mettre sur le transat à côté de moi, et Ingrid dit :

• — Je reviens vite, j’ai un mail à répondre pour le boulot, je ne serai pas longue, faites comme chez vous !

Elle rentre donc à l’intérieur et les transats étant assez cachés de l’intérieur de la maison, ma chère Justine jette un œil, puis se lève, vient à la hauteur de mon visage, écarte l’élastique de son maillot et pose son entrejambe sur mon visage !

Truc de fou, car je ne m’y attendais pas !

• — Vas-y, j’en ai très envie, le jacuzzi m’a bien chauffée, chuchote-t-elle, et ne t’inquiète pas je scrute son retour.

Genre de proposition qui ne faut pas me faire deux fois !

Je profite d’elle, elle a l’air ravie de la situation et de mon activité linguale, vu l’onctuosité et la suavité que je déguste…

Ses joues rougissent, ses seins sont très tendus sous le tissu, un grand moment de plaisir pour tous les deux.

Elle entend Ingrid revenir, hop, ni une ni deux, elle descend de son piédestal, remet son élastique et s’assoit très naturelle sur son transat.

Ingrid la regarde et dit :

• — Oh, t’as l’air d’avoir chaud, Justine !
• — Oui, le soleil tape bien, je vais aller me rafraîchir !

Moi qui avais pris une position ne montrant pas ma bosse sous le maillot, je dis :

• — Je te rejoins sous peu.

Histoire de faire retomber la pression !

• — Ça ne vous dérange pas, tous les deux, si je mets nue, je le fais souvent dès que je peux, Justine tu m’as déjà vue nue et toi Axel ça ne devrait pas te perturber.
• — Oui, bien sûr, fais comme tu as envie ! dis-je en souriant.

La voilà qui retire son maillot, elle me tourne le dos, elle a des fesses charnues, mais denses, une belle ligne dorsale et elle plonge.

Justine me regarde et rigole doucement.

• — Oh, tu as raison, je fais comme toi ! dit Justine.

Et hop, la deuxième demoiselle en tenue d’Ève, et à l’eau.

Punaise, comment je vais faire, moi, si je les suis dans leur tenue, je ne vais jamais réussir à me contenir… je joue le prude et garde mon maillot.

Les filles se baignent, je reste sur mon transat à les mater discrètement derrière mes lunettes de soleil.

• — Allez Justine, viens, on va dans le jacuzzi et tu verras c’est bien mieux quand on ne porte rien !

Ingrid sort de la piscine face à moi, me fixe du regard et sort doucement de l’eau, ses seins assez lourds, mais fermes se balançant et l’eau en coulant, et ensuite sort entièrement, histoire de bien faire voir son intimité bien épilée avec ses lèvres nues… Et hop, elle se met dans le jacuzzi, Justine la rejoint.

• — Viens, Axel, me dit-elle !
• — Non, allez-y, profitez, j’irai plus tard !

Les filles mettent la tête dans l’eau, leurs seins flottant avec les bulles tout autour, un régal pour les yeux.

Allez, faut que je me rafraîchisse et donc je plonge dans la piscine, ah ça fait du bien !

Chacun barbote dans son eau, puis les filles sortent et s’allongent sur les transats au soleil.

Je me remets de même sur mon transat et profite de la vue que j’ai, tant qu’elles sont sur le ventre et qu’elles ne me voient pas.

Justine, de temps à autre, me regarde et passe sa langue sur ses lèvres, histoire de me chauffer un peu plus ; la coquine…

Après la face nord, elles mettent la face sud au soleil, j’aime les deux, mais c’est vrai que la face sud a deux fois plus d’attraits !

Et ça discute, ça discute, je vais leur chercher à boire un jus frais.

• — Oh Axel, ça c’est gentil ! t’es un amour ! tu veux être encore plus un amour ?
• — Oui, dis-moi ce qui te ferait plaisir.
• — Justine m’a dit que tu faisais des massages, et j’ai le dos assez en compote, tu pourrais t’en occuper ?

Coup d’œil à Justine qui sourit en coin.

• — Oui bien sûr, par contre ça ne va pas être pratique sur le transat. Idéalement on met un coussin de transat sur ta grosse table en bois et tu te mets dessus.
• — Ça t’embête pas que je reste toute nue ? me demande-t-elle avec un regard profond.
• — (allez jouons) Non, au contraire, c’est plus pratique et plus agréable lors du massage pour toi et pour moi…
• — Oh, pour moi aussi, dit Justine, je vais m’en régaler les yeux de tout ça !

On installe le grand coussin recouvert d’une belle serviette sur la table, et je prends de l’huile solaire pour pratiquer le massage ; Justine s’installe debout au bout de la table.

• — Mets-toi sur le dos pour commencer, c’est mieux de finir par le massage du dos pour la détente.

Elle s’installe confortablement, je me mets derrière sa tête, fais couler de l’huile dans mes mains et commence à masser les épaules, les trapèzes, le cou.

Puis je continue par le haut des bras, et je dis :

• — Oh, tes pectoraux ont l’air tendus ?
• — Pff, c’est un muscle de gars, ça !
• — On en a tous, même vous…

Et donc je masse depuis l’épaule le pectoral en direction de la poitrine, et plus ça va plus je descends, mais tout en restant « sage » ; elle a l’air d’apprécier vu que ses tétons durcissent tous seuls…

Je lui demande de tendre les bras derrière la tête afin que je puisse masser depuis la main jusqu’à l’épaule en remontant ; au passage je frôle légèrement le côté du sein, ce qui la fait frémir.

Puis je travaille du bout des doigts les cervicales pour une détente encore plus profonde.

Justine s’est rapprochée pour bien voir, elle a l’œil qui pétille !

• — Montre-moi comment tu fais !

Je reprends donc le massage de la main à l’épaule et Justine fait de même sur l’autre bras. Ingrid a l’air toute chose et remue un peu le bassin (les chatouilles peut-être ?).

On repose ensuite les bras le long du corps, et je lui demande de mettre les pieds à plat sur la table, donc avec les genoux pliés.

• — Cela détend musculairement la zone des hanches et du ventre, c’est plus agréable et efficace pour le massage.

Latéralement je masse la hanche droite et toute la zone ventrale, en restant (pour le moment…) au-dessus du pubis, Justine observe et fait de même de l’autre côté. Ce massage ventral a pour effet de détendre tous les viscères et stimule aussi tout le bas-ventre tant en interne qu’en externe.

On poursuit ensuite le massage en remontant latéralement de la hanche jusque sous les côtes, en touchant de manière « involontaire » le bas des seins, elle soupire…

Justine se mordille les lèvres, elle est concentrée, mais est aussi en émoi de faire un massage.

Puis on reprend le massage du ventre au niveau des viscères, tout en rotation, et qui descend bien bas (de plus en plus bas) sur le pubis, le mont de Vénus est à peine touché, et cela a pour effet de tirailler les lèvres et donc de les faire frôler le clitoris qui se découvre à chaque passage.

• — C’est important au niveau énergétique de tout ramener ici, point physiologique central du corps…
• — Vas-y, vas-y, amène toute mon énergie, n’hésite pas…

Mais je reste toujours au-dessus du début de la fente, il faut faire monter le plaisir et le faire se désirer.

Puis, je rallonge doucement moi-même ses jambes, elle respire plus vite qu’au début, on se demande pourquoi !

Je commence à masser, les chevilles, le dessus du pied, puis chaque orteil individuellement ; Justine fait de même, elle suit mes gestes et mon rythme, et elle prend aussi plaisir à le faire, son regard pétille et ses seins sont plus denses que tout à l’heure.

Le travail latéral sous la malléole est un point névralgique bien apprécié des demoiselles, je mets donc un point d’honneur à bien insister dessus.

Je masse le mollet en soulevant sa jambe, ce qui a pour effet, d’ouvrir quelque peu sa fente, en partant du tendon d’Achille jusqu’à l’intérieur du genou puis je repose la jambe, puis Justine fait de même.

Ensuite, massage de la cuisse en remontant par l’extérieur de la jambe, de quinconce avec mon acolyte de massage, puis je fais de même sur le milieu de la cuisse jusqu’à la hanche, puis pour parachever la détente, en remontant par l’intérieur depuis le genou jusqu’à l’entrejambe, tout doucement, et en évitant, mais en frôlant son sexe.

On peut percevoir une humidification naissante, mais grandissante au niveau de ses grandes lèvres, Justine le voit aussi et ouvre la bouche sans s’en rendre compte ; moi je tente de me contenir et de me concentrer sur le côté thérapeutique du massage !

Je lui demande de se retourner, donc sur le ventre.

Afin (soi-disant) de détendre le bassin, je place un coussin sous son ventre (ce qui a pour effet de relever ses fesses).

Je place Justine devant ses pieds et lui demande de suivre mon rythme de massage, moi qui serai au niveau du crâne.

Je masse les épaules et les deltoïdes, elle masse les chevilles et les tendons d’Achille, en faisant rouler les doigts, puis en pinçant la peau, puis avec les phalanges.

Je descends sur les grands dorsaux, elle s’occupe des mollets, je vais et viens entre son cou et les lombaires, elle monte des chevilles jusqu’à la naissance des fesses, en alternant sur les flancs, au centre, descente sur les côtés, remontée au centre et vice versa.

On masse au milieu, sur les côtés, en croix, puis je me déplace sur le côté, Justine fait de même sur le côté opposé ; nous écartons les pieds l’un de l’autre ce qui a pour effet de bien ouvrir la partie depuis le sillon des fesses jusqu’au clitoris.

Je m’occupe du sacrum, puis pétris lentement une fesse, Justine l’autre, en rotation, à chaque passage les lobes (ça se dit ?) fessiers s’écartent, Ingrid a l’air d’y prendre plaisir, Justine aussi…

On fait durer quelque peu ce plaisir, puis on s’occupe de tout le corps en entier, remontant depuis la cheville jusqu’au cou, chacun de son côté, montée latérale puis descente centrale, ce qui fait que nos mains se rejoignent sous les fessiers pile au niveau de sa vulve ouverte, mais on ne s’arrête pas on poursuit jusqu’en bas, un vrai supplice pour elle que nous ne nous attardions pas sur cette zone en fusion !

Je mets un second coussin sous son bas-ventre ce qui a pour effet de faire encore plus ressortir son postérieur et nous offre une vue imprenable sur toute sa partie rosacée, magnifique.

Nous reprenons notre montée latérale simultanée des chevilles au cou, non pas avec nos mains, mais en soufflant tout doucement, les caresses légères de nos souffles respectifs la font frémir et trembloter de plaisir.

Puis nous remplaçons nos souffles par nos langues, un vrai plaisir tripartite, surtout lorsque nos langues se rejoignent au niveau de ses grandes lèvres, elle hurle de plaisir, et son plaisir inonde nos lèvres !

On s’embrasse goulûment avec Justine, puis je remets Ingrid sur le dos, je me place au-dessus de son crâne, le l’embrasse goulûment à l’envers, elle me mordille la lèvre, et pendant ce temps, Justine lui suce les tétons ainsi que lui caresse le clitoris.

Justine descend ensuite la lécher, elles s’enivrent de plaisir, le rythme de ces demoiselles est croissant !

Ayant depuis longtemps retiré mes oripeaux, Ingrid me caresse les bourses puis je me m’installe au-dessus d’elle, bourses qu’elle avale l’une après l’autre, elles sont lubrifiées par sa salive et glissent autour de sa bouche.

Justine monte sur la table et s’installe pour qu’elles fassent un 69 endiablé, quasi sauvage, et moi depuis ma position, je me mets à lécher le sillon fessier de Justine de haut en bas, elle a donc un cumulé cunnianulingus, grand moment de plaisir pour tous les trois…

Tout le monde descend de la table, elles m’y installent, se mettent de chaque côté, et me mangent le sexe tour à tour, pendant que de chacune de mes mains, mes doigts s’introduisent au plus profond d’elles, un doigt puis deux, elles frottent leurs poitrines luisantes sur mon corps, engouffrent tour à tour mon mât de misaine, cela devient ingérable pour moi tout ça, je me relève pour laisser retomber la pression. Justine se met sur le dos, Ingrid se jette sur elle, lui mordille les seins, un doigt s’insinue en elle, doigt qui remonte intérieurement au niveau du pubis ; Ingrid apparemment trouve vite son point G et le masse frénétiquement.

Justine tremble, bafouille, Ingrid insiste et un cri perçant et strident sort de sa bouche, alors qu’un flot ininterrompu exulte de son vagin. Une véritable éjaculation féminine comme j’en ai rarement vue !

Ingrid se penche pour laper ce nectar si particulier, et moi qui en ai peu goûté dans ma vie me mets à côté d’elle ; nous léchons mutuellement l’entrejambe détrempé de Justine qui dit ;

• — Ça ne n’était jamais arrivé, en tout cas pas dans ces proportions-là !

Ingrid est dans tous ses états, elle me regarde, colle ses fesses à mon sexe, le prend, l’insinue en elle, vous imaginez bien la facilité d’intromission que j’avais, je sentais à peine les frottements de son intimité, elle se penche de plus en plus en avant, cambre les fesses, puis dit :

• — Ça glisse trop… Remédions au problème !

Elle se saisit de ma verge et commence à en caresser son anus déjà bien ouvert, trempé de l’extérieur par ses réactions en chaîne. Petit à petit l’orifice s’agrandit, elle me fait entrer et sortir juste un peu, et tout d’un coup elle s’empale sur moi en poussant un petit cri mélange de plaisir et de petite douleur…

• — Là, je te sens mieux… Ah que ça fait du bien…

Les frottements plus intenses ont vite raison de mon anatomie et en quelques secondes j’explose en elle et m’affale ensuite sur elle.

On rigole un bon coup tout en s’embrassant tous les trois…

On se remet de nos émotions et Ingrid dit :

• — Je savais bien qu’il aimait les filles, ça se voyait à son regard !
• — Oui, on t’a fait marcher !
• — Tu l’as fait marcher, dis-je, juste pour pas qu’elle me saute dessus !
• — Ohoh, je vais me rattraper alors !