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Temps de lecture estimé : 10 mn
27/12/20
Résumé:  Je suggère à mon épouse de tenter une nouvelle expérience, elle se montre plus que réticente...
Critères:  fh fellation cunnilingu anulingus pénétratio -couple
Auteur : Mac2mac      Envoi mini-message

Série : Sophie et moi, et plus si affinités ...

Chapitre 01
Notre couple

Sophie et moi sommes mariés depuis presque vingt ans. Nous avons deux beaux enfants et notre vie se déroule sans encombre. Nous sommes très amoureux depuis le premier jour et au fil du temps, notre passion ne se dément pas.


Notre vie intime est également très harmonieuse ; Sophie est une femme très occupée par le quotidien, mais très réceptive à mes désirs et aux siens, et même si nos rapports sont moins fréquents qu’à la première heure, notre vie sexuelle est épanouie et il n’est pas beaucoup de pratiques que Sophie me refuse.


Mon épouse est une femme équilibrée, calme et d’humeur égale et si, la plupart du temps, nos rapports sont doux et précédés de longs préliminaires, elle aime également le sexe brusque et prend un plaisir non dissimulé lorsque je la prends par exemple brutalement en levrette, la tenant fermement par les cheveux. Elle aime également que je sois entre ses jambes, encourageant mes coups de boutoirs frénétiques de ses jambes enserrées autour de moi. Elle n’est, par contre, pas portée sur les mots crus, à mon grand désarroi. Ce n’est qu’à ma demande qu’elle a progressivement commencé à me dire des mots coquins, à petite dose, et le plus souvent lorsque je les lui suggère, ce qui est assez frustrant, je l’avoue, alors que la façon dont elle aime être « prise » mériterait des encouragements bien plus éloquents. J’adorerais entendre des : « baise-moi », « prends-moi comme une chienne », et autres.


De mon côté, je suis pétri de fantasmes divers et variés, et il est vrai que cet aspect sexe sauvage n’est pas pour me déplaire et entendre ma femme haleter et crier au rythme de mes violents coups de bassin génère en moi une excitation certaine.


Mais voilà, je suis sujet, et ce depuis mon plus jeune âge, à des soucis d’éjaculation précoce. La plupart du temps, il est vrai que je m’en sors plutôt bien. Disons qu’après des préliminaires prolongés, et si j’use de stratagèmes divers selon les moments, j’arrive allègrement à la contenter et nos rapports peuvent ainsi durer de très longues minutes.


J’ai, par contre, beaucoup de mal à résister aux manifestations de son plaisir et quand je suis en train de lui faire l’amour sauvagement, que je sens son plaisir monter et que ses mouvements de corps et ses cris de plaisir m’invitent à continuer à la pilonner, je suis obligé de baisser de rythme aussitôt et reprendre quelques instants plus tard. Il m’arrive aussi de ne pas m’arrêter (quand elle me le demande) et je jouis alors, sans l’amener au bout de son plaisir, ce qu’elle ne m’a jamais vraiment reproché d’ailleurs. Ce serait plutôt moi qui culpabilise et qui suis frustré de ne pas pouvoir la contenter comme je le voudrais, et comme elle le voudrait sûrement aussi, j’imagine.


Doucement et insidieusement, s’est alors développé en moi un fantasme ; celui de voir Sophie faire l’amour avec un autre homme. Ou plutôt, être prise par un autre homme. Un homme qui n’aurait pas besoin de se retenir ou de s’arrêter et qui la baiserait si fort qu’il la ferait crier et jouir comme je n’arrive pas à le faire. Même l’idée de la partager avec un autre ne me paraît plus impossible alors que je suis depuis toujours d’un naturel possessif. Je déteste tout autant la savoir ou la voir au contact d’autres mecs que d’imaginer que quelqu’un puisse avoir des vues sur elle. Mon esprit est tiraillé par l’envie que j’ai de la voir être sauvagement baisée devant mes yeux et la jalousie que je pourrais en ressentir. Je dois par contre reconnaître qu’une autre femme partageant nos ébats m’a de nombreuses fois traversé l’esprit, sans me provoquer le moindre état d’âme pour le coup.


Après des semaines passées à gamberger, je me décide et propose à ma femme de remplir un quiz sur les fantasmes, récupéré sur le Net et imprimé, ce qu’elle accepte avec plaisir. Un tableau égrène une longue liste de pratiques à la fin desquelles il faut cocher : Oui (ou déjà fait) – Pourquoi pas (ça dépend) – Non (impossible). Sophie remplit le test rapidement, le sourire aux lèvres, me jetant de temps à autre de petits coups d’œil interrogateurs.

Le résultat est pour moi sans surprise. Ma femme a été élevée dans un cadre familial et moral très classique, et toutes les pratiques incluant une autre personne au sein du couple, l’échange ou le partage avec un tiers et le voyeurisme ont reçu un « non » sans appel et lui apparaissent comme perverses. J’ai dû, bien malgré moi, laisser furtivement apparaître une pointe de déception sur mon visage, car Sophie me demande aussitôt :



Je lui réponds que non et passe le reste de la discussion qui s’en suit à la rassurer sur le caractère anodin de ce quiz, mais elle n’est pas dupe. Elle se rend bien compte que nous avons à peu près réalisé la moitié des fantasmes de ce test et que ceux restants tournent autour du même thème : moi avec une autre, elle avec un autre, nous avec un autre, nous avec une autre, nous devant d’autres… Pourquoi lui aurais-je proposé ce quiz si je n’étais intéressé par aucun de ces fantasmes ?

Il est vrai que nombre d’entre eux me laissent songeur, mais je sens bien qu’il ne serait pas une bonne idée de le reconnaître maintenant et je préfère nier farouchement. Je vois bien que remplir ce quiz ne l’a pas laissée indemne, malgré le côté léger qu’elle a semblé y mettre, et que l’idée que je puisse avoir envie d’une autre femme, avec ou sans elle, la décevrait beaucoup de ma part.


Je laisse, tant bien que mal, la discussion se terminer et décide d’en rester là. Clairement, j’ai failli franchir la ligne rouge de sa moralité et je ne veux pas qu’elle ait une mauvaise image de moi. Mais je continue malgré moi à gamberger.


Quelques semaines plus tard, nous sommes sur le canapé et Sophie est allongée, la tête posée sur mon entrejambe, lorsqu’elle commence à me prodiguer les caresses dont elle a le secret. Elle se met à me palper délicatement le sexe à travers le pantalon et il ne faut pas longtemps pour que je me sente à l’étroit. C’est le moment que mon épouse choisit pour me libérer et me prendre en bouche.

Elle commence par de petits coups de langue, fait le tour de mon gland puis commence à me sucer activement tout en entretenant un lent va-et-vient le long de ma hampe. J’accompagne cette délicieuse fellation de légers mouvements du bassin, tout en maintenant sa tête sur ma queue d’une main ferme.

Je sais ce qu’elle veut…


J’attrape alors ma queue et la lui maintiens dans la bouche et, après lui avoir fermement saisi les cheveux, je commence à lui baiser la bouche comme elle l’aime. Une de ses mains vient rejoindre la mienne derrière sa tête et accompagne mes mouvements. Ce qui veut dire, sans le formuler : « Mets-la-moi plus fort et plus profond dans la bouche. »


Je ne me fais pas prier et continue mon pilonnage buccal pendant de longues minutes. J’attrape sa tête de mes deux mains et je lui baise littéralement la bouche, à grands coups de queue, même si elle n’est capable de n’en avaler que la moitié. Avant de me répandre sur sa langue, ce qui ne serait pas pour lui déplaire même si malheureusement, il est rare qu’elle avale ma semence, je la redresse et la fais mettre à genoux dos à moi.


Je l’enserre de mes bras tout en lui embrassant fougueusement la nuque. Je saisis ses seins à pleines mains, agace les tétons du bout de mes doigts, lui arrachant de petits cris. Je m’attarde longuement sur sa poitrine, et à nouveau ses mains viennent rejoindre les miennes et m’invitent à accentuer la pression de mes caresses.


Une de mes mains glisse ensuite le long de son ventre puis passe sous l’élastique de sa culotte. Je glisse mes doigts dans son sexe déjà chaud et humide. Sa main vient recouvrir la mienne tandis que je m’insère en elle. Par moments, je lui présente mes doigts et elle les suce un par un avidement. Puis, subitement, je presse son dos et l’invite à coucher le haut de son corps sur le canapé, ne me laissant que sa croupe offerte. Je fais glisser la culotte le long de ses cuisses et contemple ce cul généreux.


Je commence par embrasser ses fesses, je les déguste littéralement, je les écarte progressivement, insérant ma langue dans son sillon, jusqu’à gagner son sexe, que je lèche de toute part. Je remonte jusqu’à son œillet dont je fais le tour de ma langue jusqu’à la glisser à l’intérieur. Sophie, la tête enfoncée dans le canapé, a placé ses mains sur ses fesses, qu’elle écarte pour m’encourager à continuer. Elle jouit presque aussitôt.


Je me redresse alors, saisis ma queue et continue à la caresser du bout de mon gland. J’effectue des allers-retours le long de son sexe, m’y insérant à peine par moments. Je remonte jusqu’à son œillet que je titille doucement. Je le vois s’ouvrir légèrement à chaque pression de ma queue. Une brusque envie de laisser ma queue entièrement pénétrer son anus et de la sodomiser sans préambule me traverse aussitôt et je résiste difficilement à tester cette solution.


Je glisse à nouveau vers son sexe et parcours ses lèvres de mon gland avant de la pénétrer sans ménagement, lui arrachant un petit cri de surprise.

Je commence par de lents mouvements puis j’accélère progressivement la cadence. Ma main caresse son visage et aussitôt Sophie entreprend de me lécher les doigts. Elle saisit mon majeur et se met à le sucer avec force comme s’il s’agissait de ma queue. Il n’en faut pas plus pour que, tout en la baisant, je l’imagine effectivement en train de me sucer.


Je visualise alors un autre qui serait en train de la pilonner avec rythme alors qu’elle me pomperait difficilement, subissant les à-coups répétés de son amant d’un soir. Je me représente son visage où se mêleraient le plaisir intense d’être vigoureusement et longuement prise comme elle aime et la gêne de l’exprimer devant moi. Je la vois, avoir un mal fou à me garder en main et en bouche, tant elle serait ballottée par les puissants coups de boutoirs de son baiseur. Je la devine, s’accrochant malgré tout à ma queue et continuant à me sucer tant bien que mal, ses yeux emplis de plaisir, plantés dans les miens. Puis je la vois, obligée de me lâcher, tant l’assaut qu’elle subit est intense, et tandis qu’accrochée à moi, elle part dans un orgasme insensé, je lui attrape le visage et la contemple. Je la vois, enfin, avachie sur mon ventre, étourdie tandis que je lui caresse les cheveux, tourner la tête dans ma direction et m’adresser un sourire gêné et un regard plein de reconnaissance. Lui saisissant doucement la tête par derrière, c’est le moment que je choisirais pour venir me répandre sur son visage, épuisé, mais réjoui.


Je l’imagine tout autant en train de se régaler d’une autre queue que la mienne pendant que je la baiserais brutalement. Je la verrais s’activer sur la queue de son amant, lui prodiguer des coups de langue appuyés tout en lui jetant des regards lubriques. Je la verrais le branler énergiquement, des deux mains, la langue sortie collée à son gland. Je me demanderais alors si elle savait vraiment ce qu’elle faisait et ce qui l’attendait. Il lui saisirait les cheveux et lui planterait le visage sur sa queue. Il se branlerait dans sa bouche. Peut-être même lui assènerait-il de brusques coups de queue sur les joues. Il lui intimerait l’ordre de sortir sa langue pour pouvoir se branler dessus. Puis sentant sa jouissance venir, il attraperait Sophie par les cheveux et s’enfoncerait au plus profond de sa bouche. Il giclerait alors puissamment en elle, ne lui laissant d’autre choix que d’avaler sa semence, ce qu’elle se surprendrait à apprécier. Elle s’avouerait alors qu’elle avait secrètement espéré qu’il le fasse, tout au long de la fellation avide et acharnée qu’elle lui avait prodiguée.


Je reprends soudainement mes esprits et tandis que je fais violemment claquer mon bassin contre ses fesses et que ma queue la pénétrant lui tire de petits cris de plaisir, je suis obligé de ralentir, sous peine de jouir. Sans réfléchir et tout en continuant de lents va-et-vient, je lui dis alors :



Et voilà ! C’était dit. Libéré, mais inquiet, je continuais à pilonner son délicieux et généreux fessier jusqu’à ce que je jouisse.

Après que je me suis retiré, s’ensuit un long blanc.

Elle se retourne alors vers moi et me demande directement en me regardant dans les yeux :



Je décide de ne pas vraiment répondre à cette question-là, car même si mon aveu du soir était assez spontané, le fantasme en question était lui plus ancien et le côté prémédité ne semblait pas la ravir.



Elle réalise doucement que mon idée n’était pas une autre femme avec moi, mais bien un autre homme avec elle… en elle. Elle tombe des nues et semble réellement consternée.



Quelques larmes discrètes suivent, et après quelques courtes phrases échangées, nous faisons mine de rien et laissons la soirée se finir en silence, moi inquiet, elle sûrement atterrée.


Je comprends sa déception. Qu’aurais-je dit si c’était elle qui me l’avait proposé sans que cela ne m’ait déjà traversé l’esprit ? L’aurais-je prise pour une salope tout comme elle doit me prendre pour un pervers ?


Je continue malgré tout à me demander : est-elle foncièrement opposée à l’idée ? Alors le principe la dégoûte moralement et ce n’est plus la peine d’en parler.


Mais on dit que certaines femmes ont le fantasme inavoué de faire l’amour avec un inconnu. Est-ce les modalités qui lui feraient peur ? Avec qui ? Où ? Comment le trouverait-on ? Que vais-je penser d’elle ? Et cet homme ? Va-t-il lui plaire ? Va-t-elle lui plaire ? (Question à ne pas se poser, Sophie est un régal pour les yeux) N’est-ce pas dangereux ? Et si ça se savait ? Quel impact sur sa vie sociale ?

Tant de questions auxquelles on pourrait répondre ensemble si elle s’ouvrait à moi. Mais depuis ce jour, elle ne m’en a jamais reparlé.


Retour à la case départ.

Avec une dose d’espoir évanouie en prime.



À suivre…