n° 20036 | Fiche technique | 18711 caractères | 18711Temps de lecture estimé : 11 mn | 29/01/21 |
Résumé: Après un énième rapport avorté, ma femme accepte d'envisager l'idée de se donner à un autre homme devant moi. | ||||
Critères: fh revede intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio -couple -candaul | ||||
Auteur : Mac2mac Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Sophie et moi formons un couple heureux depuis vingt ans. Mon manque d’endurance me donne l’impression de ne pas combler mon épouse lors de nos rapports, et après avoir longuement hésité, je lui suggère de tenter l’expérience avec un autre homme qui pourra la satisfaire pleinement. Choquée et déçue que je puisse formuler une telle proposition, Sophie m’oppose une fin de non-recevoir.
Le quotidien a repris ses droits au sein de notre couple. N’étant pas d’un naturel rancunier, Sophie semble avoir pardonné l’excès de franchise que je me suis autorisé à son égard, et si ce n’est pas le cas, elle n’en laisse rien paraître.
De mon côté, ce fantasme qui consiste à imaginer ma femme dans les bras d’un autre homme ne m’a pas quitté et je dois avouer que j’y pense encore presque quotidiennement. Je ne regrette en rien de m’en être ouvert à mon épouse, mais force est de constater que cela n’a pas été très concluant. Mais je finis par me poser des questions sur le bien-fondé de ma démarche. Finalement, ce fantasme n’est-il pas que mien ? Après tout, Sophie n’a jamais témoigné le moindre agacement suite nos rapports, que j’ai pu trouver avortés pour certains. Tout juste a-t-elle reconnu par moments qu’elle aurait aimé que ça dure un peu plus longtemps.
Ne suis-je par en train d’imaginer mon épouse comme une autre personne, qui serait à l’écoute du moindre de mes désirs et y répondrait favorablement. Sophie semble être la femme d’un seul homme, ce qui en comblerait plus d’un. Elle n’a jamais manifesté le désir de voir s’immiscer une tierce personne dans notre couple, alors serais-je en droit de lui imposer ou plutôt de l’inviter à avoir un rapport avec un autre partenaire contre son gré. Le paradoxe est que mon fantasme peut paraître égoïste alors que je ne cherche qu’à la voir ressentir plus de plaisir.
N’ayant pas les enfants pour le week-end, Sophie et moi profitons pour réserver une table dans notre restaurant favori. Mon épouse se pare d’une robe noire, près du corps, mais discrète. Jeune quarantenaire, Sophie est une femme voluptueuse, aux lignes avenantes et aux formes agréables ; un mètre soixante-cinq, une belle poitrine sur une taille marquée, des hanches bien dessinées et un fessier généreux et rebondi que je ne me lasse pas de parcourir de caresses et de baisers. Sa tenue souligne délicieusement ses courbes et, à notre arrivée au restaurant, si elle ne fait pas tourner toutes les têtes, mon épouse récolte quelques regards appuyés jetés à la va-vite par un certain nombre d’hommes présents ce soir-là. Voilà une chose qu’elle ne semble absolument pas remarquer ni rechercher d’ailleurs, car elle donne l’air de s’en ficher éperdument.
Se retrouver en amoureux est toujours des plus agréables, et le plaisir de partager ce moment à deux, ainsi qu’un apéritif suivi d’une bonne bouteille de rouge nous font passer une soirée divine. Sophie émaille nos conversations de regards suggestifs et de sous-entendus sans équivoque qui me laissent présager une fin de soirée mouvementée.
Nous quittons le restaurant, et à peine ai-je démarré que Sophie dépose négligemment sa main sur ma jambe. Elle commence à me caresser délicatement l’intérieur de la cuisse, tout en remontant lentement mais sûrement, vers l’entrejambe, ce qui rend ma conduite bien appréciable et me provoque une érection plus que manifeste.
Arrivée au but, mon épouse saisit alors fermement ma queue à travers le pantalon et commence de lents va-et-vient le long de ma cuisse, comme si elle voulait mouler le jean autour de mon sexe gonflé. Puis, elle se met à défaire un à un les boutons de ma braguette et non sans mal parvient à libérer ma queue qu’elle laisse ainsi dressée et offerte à son regard. Il est toujours particulier de se retrouver en voiture, la bite à l’air, et je dois reconnaître que la situation provoque en moi un surcroît d’excitation.
Sophie me reprend alors en main et, m’enserrant fermement de tous ses doigts comme si elle dirigeait le manche d’un avion, elle s’applique à imprimer de très lents, mais très appuyés mouvements de bas en haut le long de mon sexe ; une masturbation au ralenti exercée par une main décidée. La conduite devenait plus difficile, et je n’aurais sans doute pas tenu très longtemps si je n’avais eu à me concentrer sur la route.
Enfin arrivés, et rapidement remballé en ce qui me concerne, nous parcourons, enlacés, la distance qui nous sépare de notre chez nous. À peine la porte refermée, Sophie se laisse glisser à mes pieds, libère rapidement mon sexe et se jette littéralement sur ma queue, telle une gourmande frustrée, trop longtemps privée de sa friandise préférée. Elle m’embouche et commence à me sucer avidement, tout en branlant frénétiquement ma queue de ses deux mains, comme si elle voulait en extraire une substance bienfaitrice. Après quelques minutes de cette dégustation goulue, je glisse la main derrière la tête de mon épouse et accompagne sa fellation de vigoureux coups de bassin auxquels elle répond par des gémissements satisfaits qui m’encouragent à garder la cadence.
Je m’approche ensuite d’elle, l’obligeant à reculer progressivement jusqu’à sentir le mur dans son dos. Des deux mains, j’attrape sa tête et la maintiens contre la cloison alors que je commence à accentuer mes mouvements. Je sais qu’elle aime ça. Je sens mon sexe glisser sur sa langue et je commence alors à lui baiser la bouche par de puissants coups de queue. Sophie a posé ses mains à plat sur mes cuisses pour éviter que je ne m’insère trop profondément en elle, avalant malgré tout du mieux qu’elle le peut une bonne moitié de mon sexe à chacun de mes coups de queue. Je continue ainsi un long moment à lui pilonner méthodiquement la bouche, sentant ma queue venir buter par à-coups à l’orée de sa gorge, jusqu’à ce qu’elle se libère elle-même de mon sexe, étourdie et hors d’haleine.
Je la redresse et l’embrasse passionnément, puis je la retourne brusquement, la plaquant contre le mur. Là, je fais glisser ma main le long de son dos puis soulève sa robe jusqu’à la taille. J’attrape alors sa culotte et la descends d’un coup sec, lui arrachant un petit cri de surprise. Je me laisse alors glisser le long de son corps, sentant son arrière-train frotter mon torse, jusqu’à arriver à hauteur de ce cul que je commence à embrasser doucement puis plus généreusement. Je saisis alors ses fesses et les écarte religieusement, me régalant de la vue de ses deux orifices offerts, que j’espère longuement visiter l’un après l’autre.
Je dessine de ma langue le contour de ses lèvres puis prends son sexe, trempé d’excitation, à pleine bouche et le déguste goulûment. Je lape amoureusement son nectar et m’attarde ensuite sur son petit bonbon que je suce avec avidité, encouragé par ses gémissements de plaisir. Je reprends ensuite mes coups de langue, remontant le long de son entre-fesses, jusqu’à sa rosette que j’embrasse d’abord délicatement. Sophie n’est pas une fan absolue d’anulingus et son enthousiasme se fait moindre. À l’aide de mes doigts, j’entrouvre malgré tout son anus et commence à la lécher délicieusement, tout en caressant le contour de mon pouce, afin de préparer sa rondelle à la pénétration sans retenue que je compte bien lui administrer, même si la sodomie n’est pas une pratique régulière dans nos rapports, à mon grand regret. Mais ce soir, il n’est pas question de sodomie. Je compte bien l’enculer sauvagement, la faire crier jusqu’à ce qu’elle en redemande.
J’attrape ses fesses à pleines mains et termine en lui léchant la rosette de façon appuyée, la repoussant contre le mur à chaque coup de langue. Alors je me redresse subitement et présente ma queue devant son sexe, que j’entreprends de caresser de mon gland. Sophie vient poser sa main sur la mienne et guide mes caresses. Je la pénètre alors brusquement, jusqu’à la garde, et reste quelques instants sans bouger, planté en elle. Puis, je me retire doucement et recommence. Sophie place ses mains à plat contre le mur tandis que j’entreprends de lents va-et-vient. Je la saisis alors par les hanches et me mets à la pilonner brutalement, encouragé par des « oui », « continue » lancinants. Je délivre de puissants coups de queue, auxquels Sophie répond par des cris de plaisir manifestes, mon bassin venant claquer contre ses fesses à chacun de mes coups de boutoir. Je saisis Sophie par les cheveux, la maintiens plaquée au mur et augmente la cadence, accompagnant chaque assaut par une poussée vers le haut, afin de la pénétrer le plus profondément possible, tout aussi profondément que j’espère posséder son cul d’ici peu.
Mais alors que Sophie, haletante, me lance des « comme ça », « ne t’arrête pas », « continue », je perds soudainement le contrôle et sens inexorablement l’orgasme monter en moi. Tétanisé par la déception, je me retire et assiste impuissant à ma jouissance prématurée : je me répands, défait, sur les fesses de ma femme, devenue silencieuse. Nous restons quelques secondes ainsi, puis Sophie se retourne et m’adresse un regard, teinté de déception et d’agacement, qui me laisse perplexe. Puis, semblant se reprendre, elle m’assure que c’était malgré tout très bien, comme en réponse à ma déception manifeste. Sur quoi, elle m‘annonce qu’elle va se débarbouiller.
Il est évident pour moi qu’elle a pris du plaisir, oui, mais une nouvelle fois, on est loin de l’orgasme auquel je comptais la mener. Je reste planté quelques instants, déconfit. Ses paroles, se voulant réconfortantes, n’effaceront pas ma déception de l’imaginer, de la savoir, frustrée de ne pas être comblée, même si, par gentillesse ou pour ménager mon orgueil, elle ne le dira pas.
Je voudrais moi aussi me débarbouiller de ce problème, qui m’empêche d’honorer mon épouse comme elle le désire sûrement sans se l’avouer, mais également de finir cette partie de jambes en l’air comme je l’avais souhaité.
C’est avec ces sombres pensées que je rejoins Sophie au lit et que nous nous endormons, lovés.
Les semaines suivantes se déroulent dans une ambiance étrange. Ce nouvel échec a eu sur moi un impact plus profond que je ne l’aurais pensé sur le coup. Si nos relations n’en ont pas pâti, nos rapports ont pris une teinte différente. Mon désir est toujours intact, mais la conviction que j’ai toujours entretenue d’arriver à la combler vacille. Sophie semble, peut-être inconsciemment, s’être mis en tête de me redonner confiance en mes capacités à la combler. Elle est plus disponible qu’à l’accoutumée, plus volontaire aussi. Elle paraît plus attentive à mes désirs, alors que je ne me soucie que des siens. Elle donne à nos ébats un rythme plus lent, sûrement pour favoriser mon endurance, et sans toutefois être prise en flagrant délit de simulation, donne l’impression de prendre plus de plaisir lors de nos rapports.
De mon côté, le cœur n’y est pas. Durant chacune de nos étreintes, je suis en proie au doute, et son attitude et ses gestes, si spontanés soient-ils, suscitent plus en moi la méfiance que l’engouement. À tel point qu’un soir, au sortir d’un câlin, elle me lance :
Je la sens réfléchir à la tournure que prend la discussion, mais elle finir par poursuivre :
Je déploie mes mains pour répondre, mais les laisse aussitôt retomber, ne sachant que dire.
Je réponds d’un haussement de sourcils.
Je confirme, d’un hochement de tête approbateur.
Je la sens en ébullition. Elle poursuit :
Cette évocation concrète la laisse silencieuse pendant quelques secondes, puis elle reprend :
Je sens que ce n’est pas le moment de lui montrer que je partage effectivement certaines de ses angoisses et je préfère minimiser les miennes.
Je ne peux réprimer un sourire et lui réponds :
Je regrette presque d’avoir posé la question de cette façon, de lui avoir suggéré un refus, mais elle finit pas me répondre :
Nous en restons là pour ce soir, et je dois dire que j’ai la sensation d’avoir quand même bien avancé sur le sujet. Je me félicite d’avoir pu discuter de la sorte avec Sophie, d’avoir réussi à exprimer plus précisément mon fantasme, en lui expliquant que c’était réalisable et sûr si l’on s’y prenait bien. Je dois avouer que tout au long de cette discussion, une douce excitation m’a accompagné, et que, la voir douter, réfléchir, et imaginer ce que cela impliquait m’a clairement émoustillé.
Je suppose qu’au cours de la discussion, Sophie a dû s’imaginer aux prises avec un autre homme, et j’ose espérer qu’une part d’elle, même infime, est excitée ou curieuse à cette idée. Et peut-être par pudeur ne peut-elle pas se résoudre à me le dire.
Quelques jours plus tard, Sophie interrompt un baiser plein de promesses pour se lover contre moi et me susurrer :
Je reste quelques secondes abasourdi par cette décision que j’espérais tant, submergé par une excitation incroyable, des images défilant dans ma tête à toute vitesse. Puis, je sens une angoisse sourde me gagner, quant à la mise en place et la réalisation d’une telle expérience.
Ce soir-là, nous faisons l’amour passionnément, dans une étreinte ininterrompue, nos corps serrés l’un contre l’autre, comme pour mieux nous prouver notre amour.
Et voilà. Après avoir digéré la nouvelle, il me reste maintenant à trouver un candidat.
Comment vais-je trouver l’homme qui va baiser ma femme ?