n° 20012 | Fiche technique | 19349 caractères | 19349Temps de lecture estimé : 12 mn | 15/01/21 |
Résumé: Elle revient par surprise de ses vacances, et l'on se dépucelle ! | ||||
Critères: fh jeunes caresses intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio init -prememois -initiat | ||||
Auteur : Franckosaurus Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Fabienne est la meilleure amie de ma sœur. Après des années on a décidé de franchir le pas ensemble. On fait plein de cochonneries dans la joie et la confiance, mais on est toujours puceaux, et elle ne veut pas tomber amoureuse. Malheureusement elle est partie en vacances à l’océan, et j’ai commis l’impair de lui conseiller d’en profiter pour se faire dépuceler…
Voici maintenant deux jours que j’ai les boules. Elle est partie à Mimizan. On s’est quittés sur une énorme boulette de ma part. J’ai complètement sous-estimé l’investissement émotionnel et charnel dans ce qu’est l’acte de la défloration pour une jeune femme. Dans le fond, je pense plutôt avoir eu raison, mais complètement tort sur la forme. De toute façon, Steph, ma sœur, lui fait toujours la gueule.
Je passe donc mes nerfs dans le vélo et la course à pied, car je compte bien me remettre au rugby à la rentrée. Sur les conseils de Steph, avec laquelle j’évoque ces problèmes de cœur avec « ma copine » de façon super vague, je fais livrer à sa résidence de vacances de famille (merci les pages blanches) un énorme bouquet de roses roses et jaunes – qui me coûte bonbon, mais faut ce qu’il faut – avec une carte « je suis un imbécile. Toutes mes excuses, F. ». Je n’attends pas grand-chose d’elle en retour, c’est surtout pour soulager ma conscience en fait, je fais ça de façon très égoïste. Mais c’est impossible de ne pas penser à elle lors de mes branlettes quotidiennes. Akim n’est toujours pas là, et je ne vais pas sortir en boîte avec ma sœur, c’est un peu glauque non ?
Le mardi matin de cette deuxième semaine, il n’y a personne au magasin, je suis en train de ranger au sol des panneaux de carreaux quand j’entends des pas légers s’arrêter derrière moi.
Pas d’autres bruits, il faut donc prendre contact visuel avec le client, pro, quoi. Je me retourne. Spartiates à talons compensés, de fines attaches, que je reconnais déjà, alors je prends mon temps. Des mollets bronzés, jupe en jean, top à bretelles bleu marine. Des cheveux libres sertissent le visage hâlé et très légèrement maquillé de celle dont je me morfonds depuis une dizaine de jours. Pas un mot, elle traque grave, c’est trop sexy. Je me remets vite du choc, et veux l’embrasser direct, absolument rien à branler des collègues. Elle refuse en posant son majeur sur mes lèvres, et me dit juste :
Et elle repart, très classe. Tous les collègues sourient et font les gros yeux !
Nom de Dieu. Je vous raconte pas la longueur de la journée, surtout quand vous vous faites vanner par tous les membres de la boîte (jaaaloux !). Mon patron, lui, me sourit en opinant du chef. Je repars du boulot en mode contre-la-montre, j’arrive juste à la fermeture de ma fleuriste (qui m’aime bien, donc elle accepte de faire des minutes sup’), et prends des roses rouges, soyons fou ! Mon bouquet fait un sashimono rigolo qui attire les sourires aux feux rouges. Arrivé à la maison, j’annonce à la famille, fier comme Artaban, que « j’ai un rendez-vous galant ce soir ». Tous rigolent, ma sœur me fait un high five (si elle savait, la pauvre !), mon père, fier, me sort un Saint-Émilion 86 de la cave (il est libournais) avec un clin d’œil, et ma mère est d’accord pour me prêter sa Twingo. Je me douche, rase, parfume, et passe un pantalon de lin beige, une chemise blanche, et mes mocassins.
Je pars en avance, de façon à avoir le temps de m’en fumer une pour me calmer, puis sonner à l’heure pile chez elle. J’oublie pas de sucer une pastille de menthe avant. La porte s’ouvre, surprise ! Elle est passée chez le coiffeur et arbore un carré plongeant court et de jolies boucles d’oreilles pendantes dorées. Sandales à talons, une jolie robe noire à fleurs rouges, et le même rouge – du péché – sur ses lèvres. Ses yeux finement maquillés s’éveillent lorsqu’elle voit son bouquet, qu’elle accepte avec un sourire radieux.
Je ne résiste pas à baiser ces lèvres qui n’attendent que ça. Craignant qu’on ne soit pas seuls, ça reste chaste, juste un smack, mais ça y est, enfin je l’ai embrassée. Elle sent la vanille.
Je résiste à l’envie de faire une vanne en vantant mon irrésistible charme.
Je comprends pas, puceau que je suis, vite-vite changeons de sujet.
Je débouche ma bouteille pendant qu’elle se mire dans le miroir de l’entrée, satisfaite. Elle prépare un ti-punch qu’on va déguster en terrasse, installés dans des fauteuils individuels. Je roule un joint léger, que l’on partage.
On rigole.
À table. Melon, salade, et coupe colonel. 1986 est une bonne année, la bouteille est vite sifflée. Je lui parle de mes anecdotes de boulot, elle de ses entretiens d’embauche du mois d’août. La conversation est agréable, mais on sent bien qu’on n’est pas là non plus que pour conter fleurette. J’ai envie, mais j’ai peur aussi, elle aussi sans doute, mais le cache bien. On est bien installés dans cette hypocrisie du sud-ouest très… britannique.
Pendant qu’elle débarrasse, je roule un joint dans le salon, installé sur le canapé en cuir. Elle me rejoint et s’installe à mes côtés. J’allume, prends deux lattes, et le lui passe. Elle en fait de même. On n’a pas arrêté de se fixer dans les yeux tout le long du repas, c’est tendu. Mais après une longue inspiration, plutôt que de me le repasser, elle le pose dans le cendrier, me regarde, me prend le visage dans ses mains, et finalement me colle directement sa langue dans ma bouche. Merci Fabienne !
La première grosse pelle de ma vie, et c’est pas si compliqué, en fait. Au bout d’un moment, elle a envie qu’on se frotte tout de suite, mais je l’arrête en me mettant debout. J’ai envie d’elle nue, que ça soit beau, solennel, sacré. J’ai beau faire mon malin, hé hé, c’est très important pour moi aussi ! Je la mets elle aussi debout, et entreprends de la déshabiller lentement, en embrassant chaque endroit nouvellement découvert. Cette petite coquine n’a d’ailleurs aucun sous-vêtement. Elle a compris ce rituel, se laisse faire, ravie, puis fait pareil pour moi ensuite. Ce moment est très chouette : on est novices, mais on se fait confiance, et on a déjà une certaine expérience de nos corps. On est déjà sûrs et certains tous les deux que ça ne pourra être que bon.
Nus, on s’affale côte à côte dans le canapé, bouches soudées. Ses seins sont durs, tendus, je gobe ses mamelons avec attention tout en caressant sa chatte finement taillée, elle aussi. Elle me branle doucement, je suis méga-dur. On gémit de concert. Passé un temps, je la sens bien humide, prête. Je la couche sur le dos, écarte ses jambes. Je lui demande « pilule ? », elle fait oui de la tête. Je me couche sur elle et cherche à la pénétrer, mais je galère en fait. Elle comprend et saisit ma queue pour la placer entre ses lèvres intimes. Mon gland est déjà à l’intérieur, c’est très chaud !
Je pousse, ça bloque un peu, j’ose pas, j’ai peur de lui faire mal. C’est elle qui débloque la situation en avançant son bassin, qui avale doucement et sûrement ma queue, tout en m’embrassant. Ses yeux trahissent une douleur, vite dissipée. La sensation de son vagin est divine, c’est très chaud, serré, doux, inédit. Putain, c’est tellement bon que si je bouge, je pars de suite. Mais elle commence à onduler, elle est contente et surprise à la fois. J’ai pas le temps de la prévenir que je jouis en elle en râlant. Elle est surprise et fait de grands yeux.
On se fait un gros câlin, les yeux dans les yeux, moi dans elle encore, et c’est ça qui est très fort : on ne fait qu’un. Fatalement on se sépare, elle part se laver. Avec des kleenex, je nettoie ma queue et le canapé, elle a très peu saigné en fait. Je me dis que j’aurais dû me branler avant pour tenir plus longtemps, et me sers un shot de rhum, que j’avale cul sec. Puis je rallume le pétard, et tire dessus comme un tox, tellement je suis dégoûté d’avoir été si peu performant. Je l’entends pas revenir, elle se glisse dans mon dos, me prend entre ses bras et ses jambes, et me fais des bisous dans le cou. Elle est reconnaissante quand même, sur le coup, ça m’énerve envers moi-même encore plus : je me fais un film : je ne la mérite pas.
Je me retourne, et fais se coucher MA femme. Je lui écarte ses jambes épilées et contemple sa jolie chatte en ticket de métro.
Trop beau pour ne pas y goûter. La forêt vierge a disparu, c’est désormais un green de golf. C’est tout aussi excitant, mais plus pratique, j’adore la lécher de partout, surtout c’est dedans que ça m’attire, je découvre un vagin. Elle aussi veut participer. On s’installe en 69, moi dessus. Ça lui plaît, elle peut caresser mon anus et sucer mes boules plus facilement, j’adore ça, et des fois, je donne des coups de bite dans sa gorge. Je veux pénétrer son vagin avec mes doigts.
Ô, Randy Spears, saint patron du cunnilingus, guide-moi : je fais saillir son clitoris, que j’aspire et lèche en même temps. Merci Randy, mademoiselle s’arque et donne des coups de bassin, je suis arrimé à son clito pendant cette tempête. Elle se met à vibrer et à gémir fort. Je ne fais plus rien, riveté sur son clito, titillé par ma langue en interne. Puis je me relève, et la regarde par l’arrière. Une fois repue, elle rouvre ses yeux qui viennent de vieillir d’un coup, et me font un énorme sourire. Je viens chercher ma récompense : une femme heureuse qui m’embrasse.
Rassuré, je rallume mon pet’, genre le guerrier victorieux après la bataille, vu que mon « ennemie » est défaite. Elle émerge finalement, veut fumer aussi, mais après deux lattes, m’informe qu’elle veut « fumer autre chose ». Du coup, je me cale au fond du canapé avec le cendrier, et la laisse me sucer.
Elle est très gourmande dans sa fellation : elle me lèche, suce bien profond, gobe mes couilles, tout en me regardant avec un air de grosse cochonne. Elle se branle en plus. Puuutain, elle a grave progressé !
(Tout ce temps, elle me parle en me suçant, trop bon.)
Elle se plante sur ma queue jusqu’à la garde en me roulant une pelle d’enfer. Me sentir en elle, dieu que c’est bon ! Je dirige ma cavalière, une main sur chaque fesse, vroum-vroum c’est ma moto à moi. Cette nouvelle position est vraiment super : on a ses mains disponibles et on peut caresser, toucher, presser, goûter à tout, de ses seins jusqu’à son front. J’adore sa poitrine, que je tète comme un bébé. Bordel, j’ai trop envie de lui doigter son cul en même temps, et je sais qu’elle aime ça, mais je respecte ses volontés de découvrir les sensations de son vagin, moi aussi d’ailleurs.
Je suis bien raide, et bien endurant désormais. Elle est ravie et chevauche à son gré, c’est elle la patronne. Elle prend clairement son pied à me baiser, et c’est magnifique à voir : ses roulements de bassin, ses seins qui gigotent en rythme, c’est excitant en diable. De temps en temps, je la bloque et lui donne de bons coups de bite en lui bouffant la gueule. En fait, le coït doit être atavique, c’est comme marcher, on sait ça d’instinct.
Elle est trop belle, rayonnante, en sueur comme ça. Tellement que je sais que je vais pas tenir longtemps.
Je lui broie ses fesses, les écarte, elle se frotte sur mon pubis, je tape le fond de sa chatte, on souffle fort, ça la déclenche. Je la vois et je la sens violemment orgasmer sur ma queue, son vagin est une pince. Jamais ressenti autant de puissance, c’est primal. C’est tellement bizarre que ça me coupe en fait : pour moi c’est passé, j’ai raté le train, mais en même temps, je m’en fous complet de pas avoir joui. Elle s’effondre sur moi, et se marre dans mon cou. Du coup, avec ses contractions son vagin chasse ma bite qui a dégonflé.
Elle commence à me masturber, toujours à califourchon. Elle est trop belle, toute dégoulinante de sueur, avec son regard de femelle. Je lui dis que je viens, alors elle m’enfourche, se carre mon pieu au plus profond de sa chatte et se frotte très fort. Elle pousse un long soupir de ravissement quand j’éjacule, puis descend m’embrasser. Ce relâchement après l’effort, en elle, c’est le vrai nirvana !
On reste encastrés, on se roule encore une énorme pelle, on se remercie, on se chérit, on peut mourir ici et maintenant.
Et on en rigole.
Mais je suis pas d’ici, demain je bosse, et c’est pas ma voiture. À mon grand regret, on se débranche et on va se doucher ensemble. On se savonne et se shampouine mutuellement, c’est très tendre, très romantique de prendre soin l’un de l’autre comme ça. Une fois rhabillés, on se donne rendez-vous pour demain, chez elle, après mon boulot. On se roule une méga pelle d’amour très très longtemps sur le pas de sa porte. Je bande pour elle, le lui fais sentir en lui plaquant la main sur mon entrejambe. Elle rigole, ça lui plaît de sentir que je bande encore pour elle. Je doigte sa chatte pour garder son goût sur la route du retour, elle me laisse faire en souriant. C’est extrêmement macho, je sais, mais pour moi, désormais, elle est mienne. Je suis à jamais son premier. Toute sa vie, elle se souviendra de moi, et moi aussi. Le pied !
À suivre…