n° 20015 | Fiche technique | 20157 caractères | 20157Temps de lecture estimé : 12 mn | 17/01/21 |
Résumé: Elle a la maison pour elle seule. On joue donc à faire comme si on était en couple, avec un évènement imprévu en finale ... | ||||
Critères: fh jeunes amour miroir fellation cunnilingu 69 pénétratio fdanus hdanus -initiatiq | ||||
Auteur : Franckosaurus Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Fabienne, à jamais la première Chapitre 06 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
Fabienne est la meilleure amie de ma sœur, en cet été 1995, on décide ensemble de découvrir les plaisirs du sexe ensemble. Après quelques péripéties, enfin nous sommes passés à l’acte hier. J’ai des sentiments pour elle, mais elle refuse d’en avoir…
Mes parents sont prévenus dès le lendemain matin : jusqu’à nouvel ordre, je ne serai pas là le soir. Ils sont plutôt contents : enfin leur fils se dévergonde, c’est pas trop tôt !
La journée de taf est cool : ça y est, enfin je ne suis plus puceau, et ce soir, au programme, bête à deux dos ! Évidemment les collègues rigolent et font les gros relous, je réponds pas, je m’en fous. J’aime toutes mes collègues, et toutes mes clientes, elles sont toutes des reines, en vérité je plane total, l’extase sans taz. Mon boss le remarque et me prend en aparté pour me dire :
C’est mignon cette intervention paternelle.
À la sortie, je passe chez ma dealeuse de sourires prendre juste une rose rouge, sans emballage (ce plastique transparent, mon dieu, quelle horreur), qui sort de mon sac à dos. Plus ça va, plus j’aime les fleurs. Je roule vite, mais sans me mettre en vrac non plus, de façon à être présentable devant ma belle.
Je toque, la rose cachée dans mon dos. Elle m’ouvre en simple robe de coton blanche et pieds nus, sans aucun autre artifice, pas même un parfum autre que le sien propre, désormais familier. Ses tétons pointent déjà, c’est trop sexy ! La rose-surprise produit son joli petit effet automatique : un grand sourire (je comprends pas pourquoi les mecs n’abusent pas de ce stratagème éprouvé depuis le néolithique, c’est incompréhensible).
Mais elle a manifestement très faim de moi, porte fermée direct elle me déshabille tout en me galochant comme si elle n’avait pas mangé de la semaine. Je réponds direct à son désir, hé je suis un homme, m’en faut pas beaucoup hein. Mais c’est trop facile : bretelles à l’extérieur des épaules, et hop ça tombe, zéro sous-vêtement, je suis déçu ! Dès qu’on est tout nus, je la soulève par les fesses, et elle me guide dans sa chatte, déjà toute fondante ; impressionnant comme on apprend vite le chemin. Elle est soulagée :
La position est sympa, je sens que je vais au fond, elle kiffe, mais je fatigue vite. Alors toujours emboîtés, je la porte jusqu’au canapé, je manque de me gameller, on en rit. Une fois en place, elle relève bien son bassin, je la bourre avec force, en mode bestial, tout en lui dévorant le visage, son cou et sa poitrine. Elle s’est soumise avec joie, ses mains prennent mes fesses, caressent mon anus, et m’encouragent. Elle rue du bassin, ça claque bien fort, trop excitant ce bruit ! Mais à ce rythme, je tiens pas longtemps, je la préviens.
J’explose, ce qui déclenche son orgasme, qui est plus un soulagement. Repue, elle rigole.
Faut toujours être poli. Elle rigole encore.
Premier orgasme partagé, c’est super, on se fait un gros câlin emboîtés, avec plein de bisous dedans. J’adore que nos centres se touchent.
On passe à la douche. Comme j’ai pas tenu ma promesse de la veille, j’emprunte un rasoir jetable pour raser mes bouboules, et dégager ma toison pénienne. Mademoiselle apprécie cette attention, passant sa langue sur ses lèvres comme si elle était devant une pâtisserie.
Je me rhabille en vitesse et la laisse se préparer, j’apprends aussi la patience…
Elle a passé une robe bustier violette et ses sandales à talons. « Trop cool de taper dans la garde-robe de ma poufiasse de sœur ! » Elle se maquille dans les bruns, y compris ses lèvres. Ça lui donne un look oriental inédit, très attirant : c’est un peu comme si elle était une autre fille. Ce coup-ci, elle porte du musc, ce qui renforce cet exotisme. Ça lui plaît de se vieillir ainsi, de ne plus jouer à la jeune fille.
D’ailleurs elle porte des bijoux sûrement empruntés à sa mère : une parure en semi-précieuses jaunes et argent : collier, bracelets, et pendants assortis. Elle accepte que je conduise. On arrive au centre-ville de Montauban, exprès je me gare à la même place de parking où j’ai violé sa bouche, ça la fait sourire. Je lui ouvre la porte, présente mon coude, qu’elle prend en souriant, et ainsi l’on se dirige comme de jeunes mariés vers la Place Nationale. On joue aux amoureux, c’est très plaisant.
Un resto sri-lankais s’est installé, c’est l’occasion de tester, elle aussi aime bien manger et découvrir. Un point de plus pour elle (j’évalue les gens à ce qu’ils mangent, c’est plutôt pertinent). Vu qu’on n’y connaît que dalle, on fait confiance au serveur, qui nous apporte un curry de crevettes, du riz, des crêpes garnies et de la citronnade. J’ai beau avoir précisé « léger » niveau épices, ça arrache bien, bien fort, même si on trouve ça super bon tous les deux. C’est marrant de la voir rougir, grimacer, suer à grosses gouttes, on joue à « crevette épicée ou vérité », elle aussi rigole bien. J’en profite notamment pour aborder un truc qui me tracasse vraiment :
Elle éclate de rire.
Et on en trinque.
Le serveur nous fait découvrir de la purée d’avocat sucrée glacée, assaisonnée au citron vert et au rhum en dessert. Bizarre, mais super bon en fait !
Sur le chemin du retour, je la laisse partir devant pour l’admirer. Elle fait la belle en faisant chalouper son cul, perchée sur ses talons. Je la traite de petite coquine exhibitionniste, elle regarde à droite à gauche, personne. Hop, elle se tourne, et fait sortir sa poitrine, puis les remet en place. Attends, toi. À un moment on traverse un passage couvert, bien isolé. Je la plaque contre un mur et lui roule une grosse pelle bien sexe en soulevant une cuisse. Elle se laisse faire. Sa robe bustier m’excite. D’un coup, je mets sa poitrine à l’air, et commence à lui manger un téton.
Elle re rentre ses seins. Je la force à s’accroupir et je sors mon engin, ce fantasme du viol… Elle refuse, du moins joue à refuser : si c’était vraiment un VRAI « non » franc et massif, bien évidemment que j’aurais stoppé, hein : comment prendre du plaisir en faisant souffrir sa partenaire, non consentante pour cela ?
Je la biffle, elle me regarde, furieuse, mais elle n’attend que ça, je suis quasi-sûr. Rien à foutre, je lui pince le nez pour qu’elle ouvre la bouche. Elle cède, prend ma queue en main et commence à me sucer. Au bout d’un moment, ça lui plaît vraiment, elle commence à branler sa chatte dans sa culotte. Elle gobe mes couilles, toutes lisses, j’entends même un huuum de satisfaction, comme si elle mangeait un rocher Suchard. J’en profite pour de nouveau sortir ses seins et tirer ses mamelons. Elle me chasse pour remettre sa poitrine en place. Je recommence, elle s’énerve.
Du coup je m’arrête, la relève, et l’embrasse, tendrement cette fois.
Je touche son string, c’est chaud et bien humide.
Une cigarette pour se calmer, le temps d’arriver à la voiture. Elle me lance ses clés. Sitôt ceinture bouclée, elle s’attaque à ma ceinture, et me baisse pantalon et caleçon.
Je suis concentré sur la route, elle en profite pour me caresser mes couilles toutes lisses. C’est très agréable. Mais elle s’arrête vite, mouille son majeur, et commence à me masser l’anus.
Et je sens ce doigt qui me pénètre lentement, sûrement, complètement. Ma queue vibre tellement la sensation est puissante.
Et elle entreprend de me branler la bite en mesure avec son doigt. Ouf, je sens que je suis propre. Je veux la branler de ma main droite, mais elle refuse.
Bref, le temps de rentrer, je passe un sale quart d’heure, et j’aime ça. Le pire, c’est qu’elle me suce à chaque feu rouge, ou stop, mais pas quand on roule : « paske ça me file le gerbi ». Une fois arrivés, elle sort pour ouvrir le portail. Je gare la voiture, et remonte mon pantalon, elle est morte de rire en me regardant, puis court rentrer dans la maison.
J’entre, elle n’est pas dans le salon, ni dans la cuisine, ni dans le jardin. Wc., toilettes, non plus. Et là, une intuition : la chambre des parents. Bingo : elle est là, à poil, son beau cul en l’air, dans l’axe de la porte, et elle me fixe. Sur le côté il y a des miroirs sur les portes des placards, huum intéressant. Bref, je me déshabille en deux-deux, et viens lécher amplement sa chatte, déjà bien ouverte, et qui sent fort, elle a un goût bizarre, un peu âcre. À moi de me venger. J’arrête, elle me regarde au travers de la glace lui faire un doigt d’honneur que je lèche, puis qui vient se planter, lentement, au jusqu’au fond de son trou du cul. Elle hulule pendant que je touille son anus brûlant qui s’ouvre et me serre, la chair de poule apparaît sur ses fesses, c’est impressionnant. Je déguste ensuite tout son arrière-train, j’adore ça, elle voit dans le miroir mon visage disparaître entre ses fesses, qu’elle remue d’avant en arrière en soufflant…
J’ai trop envie d’enculer cette salope. Je vis un rêve éveillé : comme dans les films, je lubrifie ma queue contre sa chatte, puis la place sur son anus. Mais sa main vient la replacer contre sa chatte, elle attend de se faire saillir par là.
Ah bon, si tu me frustres, moi aussi je vais te frustrer. Je pars en arrière, elle grogne, insatisfaite. Depuis l’épisode avec cette robe bustier, j’ai envie de jouer avec ses seins. Je la retourne sans douceur sur le dos, puis m’assois à genoux sur son ventre. Je commence à caresser ses tétons avec ma queue. Ça la surprend, et en rit « t’as de ces idées, toi ! »
J’essaie ensuite une branlette espagnole, mais comme elle n’a pas de gros seins et qu’ils sont écartés, c’est pas terrible-terrible. En fait ce que j’aime dans cette position, c’est de caresser son minou.
Alors je bascule en avant et commence à baiser sa bouche, très sensuellement, dans la même position que pour faire des pompes. Je la vois la bouche pleine, elle aussi dans la glace, elle caresse mes fesses. Il y a pire pour faire du gainage des abdos.
Sauf qu’à un moment je dérape et l’étouffe. Elle me vire par réflexe et a des haut-le-coeur. J’ai super peur de lui avoir fait mal. Putain, quel con !
Elle se remet à quatre pattes, le dos rond, bof.
Elle s’exécute, et se mate.
Lentement, je la pénètre jusqu’au bout. On savoure ensemble cette première levrette, c’est pas pareil que par-devant. Me voir la baiser au travers du miroir nous excite à tous les deux. Ses seins balancent, c’est beau. Il faut que je baise ces fesses du mieux que je peux, alors je m’applique à bien quasiment ressortir pour revenir bien profond. Elle est très ouverte dans cette position : sa chatte pète, elle gémit. Sans compter que je suis aux premières loges pour mater sa belle rondelle. Ça sera un vrai crève-cœur si je l’investis pas dans les prochains jours. Je viens sur elle pour l’embrasser, je ne peux attraper que sa langue, c’est super bon.
Je sors, puis re rentre, c’est trop bandant de mater un film X dont tu es le héros.
Ok ma grande, tu veux du rodéo. Comme Rocco, je lui attrape les cheveux et j’y vais super fort, la forçant à tenir la tête en l’air, ses fesses claquent sous mes coups. J’entends que des « oh oui, vas-y, c’est bon, j’aime ça, chuis ta salope ». Bordel, quand c’est la grosse baise, elle devient grossière, je vis un film de cul, putain. Au bout d’un moment, elle me signale qu’elle va pas tarder à partir. Alors je la défonce pendant quelques secondes, et jouis dans au fond de sa chatte en rageant. Elle me serre la queue très fort, elle crie. Puis je m’effondre sur son dos. Elle fait un grand « ouh, c’est bon sa race » puis rigole. On se lèche nos langues comme des chiots. C’est le paradis !
Un long moment passe, très tendre, plein de caresses et de bisous, elle est trop belle, trop parfaite, je l’aime. Mais quand on se sépare, il y a des traces de sang sur les draps et nos sexes, ça m’inquiète.
… S’en suit une conversation toujours sur le lit où je découvre cet aspect qui m’était inconnu. Maintenant que je suis rassuré, ce sang ne me dégoûte pas du tout, elle non plus. Ça aussi, c’est vraiment super de partager cette intimité qui est tout sauf glamour, ça nous renforce même je trouve. Je veux tout savoir sur les menstruations : tout ce qui concerne le sexe d’une femme me passionne. De son côté, elle est contente de faire mon éducation : au moins ça fera un mec moins bête sur la planète. Je me sens très amoureux, j’ai envie de rester dormir avec elle.
On se douche ensemble, sauf qu’elle veut laver sa chatte seule. De la pudeur subsiste malgré toutes ces cochonneries, mais ce sont ses règles, je comprends la petite gêne. Une fois rhabillés, elle est juste avec un boxer vu qu’elle porte une serviette hygiénique, on s’embrasse très tendrement. Chatte indisponible, grr, juste au moment où j’ai découvert ça, va falloir vivre avec ! Elle est gentille :
Elle est soucieuse.
Je la joue Grand Seigneur, bien que j’aie une énorme envie de découvrir la sodomie avec elle. Et j’ai l’intuition qu’on va adorer ça tous les deux, vu qu’elle aime déjà mes doigts. Mais c’est son cul, c’est elle qui décide, en aucun cas je ne la forcerai (quelle horreur). Et puis on a mangé bien épicé ce soir, si j’avais su !
Je pense à tout ça tout le temps que je rentre, et aussi à ce qui se passe dans ma tête : amour ? Désir ? Les deux ? Punaise de punaise, il me tarde déjà qu’elle me rappelle. Ce qui est sûr, c’est que je suis de plus en plus accro.
À suivre…