Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20021Fiche technique20763 caractères20763
Temps de lecture estimé : 12 mn
20/01/21
Résumé:  On s'est dépucelé il y a à peine deux jours, et ses anglais viennent de débarquer. Que faire ?
Critères:  fh jeunes amour caresses fellation cunnilingu anulingus fdanus fsodo -initiatiq
Auteur : Franckosaurus      Envoi mini-message

Série : Fabienne, à jamais la première

Chapitre 07
Jeux

Résumé des épisodes précédents  :

Avec Fabienne, nous sommes d’anciens amis qui, à vingt ans, se sont dépucelés ensemble. C’est l’été, on se découvre dans la joie, guidés par notre absence de tabous. Mais elle ne veut pas tomber amoureuse, comme moi. Et là ses anglais viennent juste de débarquer…






La journée se passe dans l’attente de l’appel de Fabienne… qui ne vient pas. Je suis très déçu, elle n’a pas assuré, c’est pas son habitude, du moins, je crois. Sont-ce ses règles qui l’influencent ? Arrivé à la maison, je me tiens le plus proche du téléphone, de façon à intercepter tout appel entrant (les portables étaient rares encore). Passé dîner, ça sonne enfin. Je me rue.



Le lendemain, j’embarque ma PlayStation, de quoi me changer, ma brosse à dents et la boîte à bédo dans ma sacoche. L’appelle vers 11 h, quand il n’y a personne à servir au guichet.



J’arrive chez elle, avec des pizzas commandées en avance par téléphone au resto-snack de son village. Elle est en tongs, short court en jean et top coton blanc, pas maquillée ni parfumée, l’air un peu soucieuse, pas rassurée du tout, la damoiselle. Alors gros baiser, tendre, profond, suivi d’un bon gros câlin façon nounours. Pour le coup, là j’apprécie d’avoir un peu de bide ! Je passe à la douche, puis on mange devant les clips (en jouant au même jeu que l’autre fois, je finis avec la blonde d’Ace of base, elle avec Tupac), on fume, on joue. Grosse marrade lorsque notamment je la compare aux mensurations de Lara Croft, et qu’elle multiplie les accidents à Grand Turismo. Mais son grand kiff, c’est Tekken, le jeu de baston. C’est marrant d’ailleurs, elle préfère combattre avec des gros balèzes plutôt qu’avec les filles !


On se brosse les dents ensemble en se regardant dans la glace, elle en short noir lycra, moi nu, c’est un moment un peu ambigu. Puis elle m’attend au lit, dans sa chambre. Sitôt sous les couvertures, après un bon câlinou, elle me lance :



On se couche en cuillère. Mais ça l’empêche pas de caler son derrière contre mon sexe, qui naturellement durcit. C’est pas pour ça qu’elle s’en va, bien au contraire.



Je regarde sa nuque, ses épaules, longtemps. C’est dur de résister à l’envie de la caresser encore et encore. Je me retourne, et m’endors en chien de fusil.


Le réveil sonne, elle râle, pas l’air d’être du matin. Juste un long bisou dans son cou, je la laisse flemmarder, et m’en vais seul au boulot après petit-déj et salle de bain. Elle n’a même pas daigné se lever cette marmotte. Je lui laisse la Play et ma boîte à bédo avec un post-it « bon entraînement, jeune padawan, à ce soir. »


Journée normale de vendredi au taf, suffisamment de monde pour ne pas s’ennuyer, mais pas trop non plus pour bien s’en occuper. Je suis heureux de passer encore une soirée avec elle se soir, même sans sexe.

Le soir, elle m’ouvre dans la même tenue que la veille, sauf qu’elle a troqué son top contre son soutien-gorge de bikini bordeaux, que je connais déjà. Elle s’est maquillée léger et son parfum sent le sous-bois, et n’a pas l’air d’avoir abusé sur la fumette. Je sais qu’elle a encore ses règles. Tiens, tiens, y a donc une chance que, si je me débrouille bien, on fasse des trucs inédits ce soir, miam.


Je l’embrasse tendrement, et la suis dans sa cuisine. Elle tortille des fesses, hum, yabon. On prépare une grosse salade ensemble, elle tient à ce qu’on découpe ensemble, moi derrière elle, comme dans Ghost.



Et vas-y qu’elle écrase son beau derrière contre mon pubis, le message est limpide, plus besoin de clin d’œil. Mais qu’elle ne compte pas sur moi pour faire le premier pas. Si elle veut jouer, on va jouer : j’embrasse sa nuque et ses oreilles, mes mains sur ses hanches. Elle apprécie, sans aller plus loin. C’est un poker menteur délicieux auquel on joue, c’est bon ça. On sait tous les deux parfaitement ce qu’on va faire ce soir, on est seuls, on a le temps, y’a pas le feu.


On mange dehors, avec un coup de rosé frais, et en ce début du mois d’août, on a les premières reines-claude en dessert. Sitôt débarrassé, je la laisse rouler un pétard – elle est nulle il est tout tordu –, on fume en la charriant sur ses compétences en roulage. Une fois consommé, je lance :



Elle est manifestement déçue, frustrée, eh hé c’est le but ! D’autorité, elle prend Jack, le gros bourrin russe, je prends Michelle, l’américaine. Exprès je baisse parfois la garde pour qu’elle gagne, elle passe ses nerfs en enchaînant les coups. Elle se lâche en faisant l’accent russe.



Après je lui fais découvrir d’autres trucs, ça l’amuse un temps, mais au bout d’un moment, manifestement ça la saoule. Elle s’absente aux toilettes, j’en profite pour nous servir deux rhums secs.



Je me glisse derrière elle sur le canapé, la tête sur son épaule, mes mains sur ses hanches.



D’autorité, elle cale ses fesses entre mes jambes, j’ai l’impression qu’elle a enlevé sa culotte sous son short : pas les mêmes sensations que tout à l’heure. Pendant qu’elle prépare, je caresse sa poitrine doucement et lui fais des bisous dans le cou. Je sens son cul qui bouge tout doucement, je sens qu’elle mouille, elle sent que je bande dur, c’est très excitant. Puis je guide des mains pour réaliser le roulage.



Elle me porte le joint sur son épaule pour que je colle avec ma langue.



Elle tourne sa tête, je l’embrasse. Direct elle ouvre la bouche et me donne sa langue, elle a goût de rhum. Je fais sortir ses seins de son soutif, et les malaxe bien fort, ça lui plaît, je trempe mes doigts dans sa bouche (on se galoche toujours), et caresse ses mamelons qui deviennent très durs. Puis je descends vers son short, et oui, en effet, il n’y a plus de culotte. Les mains sur sa ceinture, je lui demande :



J’ouvre son short, elle veut me débraguetter aussi, mais galère grave, alors je m’en occupe. Comme je veux pas bouger de peur de briser ce moment, quand je sors mon paquet, le zip de la fermeture irrite mes boules, tant pis !


Cette coquine est désormais vraiment chaude et mouille bien malgré le tampon. Faut dire que je la branle bien fort, en circulaire, assez brutalement, pour bien lui faire sentir que ce soir, ça va être hard. Son short me gêne, je le tire en bas pour l’enlever. Elle comprend en soulevant un peu ses fesses, mais elle reste dans la même position. Désormais ma queue est contre son anus, elle commence à frotter sa raie sur ma hampe de bas en haut, de plus en plus fort. C’est tellement bon que je suis au bord de la rupture.



Elle se marre de me sentir aussi tendu, et moi aussi en fait : je pensais que j’allais maîtriser l’acte comme tous mes héros de films X, mais je suis un jouet entre ses fesses. Je pensais dominer la situation, et elle avoir super peur, c’est exactement l’inverse ! Je mouille bien ma queue partout, et je la vois se travailler l’anus avec deux doigts direct. J’ai l’impression que cette petite cochonne a l’habitude : ses gestes sont assurés, et son anus s’ouvre bien. J’évite de trop la regarder faire, trop peur de jouir.



Toujours assise, elle empoigne ma queue, la présente devant son anus. Mon gland est déjà à moitié dedans, elle a vraiment envie. Puis elle s’empale très, très lentement, irrémédiablement, jusqu’aux couilles, waou. Elle a la chair de poule sur les fesses, et commente :



C’est chaud, humide, serré, on dirait du velours. Chaque millimètre carré de ma queue est au contact de son trou, c’est au-delà du délicieux, je suis au fond de son fion, putain. Et je sens qu’elle se détend, se relâche. J’en profite pour dégager ce soutif qui désormais m’emmerde.


Elle se repose alors sur mon torse, j’embrasse sa nuque. Elle tourne son visage, on se roule une pelle ultra sensuelle, je vois qu’elle n’a pas mal, je suis très content ! Elle se met à onduler super doucement, mais c’est déjà trop pour moi. Je jouis très fort, sa langue dans ma bouche, elle gémit lorsque je tressaute dans son rectum.

Je me sens vidé, incapable de bouger. Elle a pas joui, mais ça n’a pas l’air de l’ennuyer.



On reste emboîtés même si je débande, je la caresse, et fais des bisous partout où je peux, éternellement reconnaissant. Au bout d’un moment, je sens que mon sperme se liquéfie, ça coule sur mes couilles, et on va en mettre partout sur le canapé. Elle décule doucement, ça lui fait un peu mal, puis elle file aux toilettes, une main contre son anus. Je regarde ma queue, elle est flasque, anesthésiée, mais propre. Néanmoins, je vais me laver à la salle de bains, puis retourne sur le canapé fumer le tarpé qu’elle a si bien roulé.


Elle revient avec un flacon de gel lubrifiant qu’elle pose, fière, sur la table basse, prend le cendrier et vient se blottir dans mes bras, très câline, avec ses yeux de chaudasse.



Elle s’installe à genoux sur le tapis, entre mes jambes. Se faire sucer en fumant, les amis, c’est quand même le super pied. Elle s’applique bien, elle sait que mon point faible, ce sont mes couilles et mon anus, qu’elle lèche en me branlant. Forcément, je ne mets pas longtemps à rebander, elle est contente. Je suis à la moitié du joint, alors je repose le cendrier, et attrape le gel, pour lire l’emballage. Tiens, tiens, il est déjà bien entamé.



Elle dit ça, décontractée, ça me surprendra toujours. Là, tout se rembobine dans ma tête : la première soirée au resto, sa semaine seule, ses vacances. Tout ce temps, elle s’explorait. J’imagine ma Fabienne se travailler le cul toute seule avant/après m’avoir vu, dans son lit, nue, habillée, en bikini… Je chope une érection de tous les diables.



Oh pu-tain. Je chasse dans ma tête toutes ces images d’objets qu’elle a pu se fourrer dans son trou de balle. Je lui file le cendrier et le briquet, et la balance sur le canapé. Elle écarte en grand ses jambes (merci la danse) avec un sourire ravi, et relève son bassin.



Sa chatte est trop tentante pour ne pas y goûter, elle ne sent quasiment plus par rapport à l’autre jour. J’adore la lécher, son clito est tout dur. Et puis cette ficelle qui sort, ça a un côté pervers super excitant. Mais j’oublie pas son anus. J’ai envie de la faire jouir avec ma langue, mais pas elle, bizarre. Au bout d’un moment, je lui dépose une noisette de gel, lubrifie bien mes doigts, et entreprends mon forage, elle s’ouvre sans problème. Comme elle veut, ça peut !



Je forme alors le fameux cône index-majeur-annulaire, et je lui enfonce très doucement, très lentement, ça glisse bien. J’ai arrêté de la lécher pour jouir du spectacle : ma meuf, jambes écartées, relax, remplie par mes doigts.



Je suis bien excité, mais là, je maîtrise, je domine (du moins je crois sur l’instant). Je me lubrifie la queue avec le gel, viens sur elle, et la pénètre. Mais je dérape, rentre trop vite – ça glisse trop en fait –, trop pressé aussi. Elle hurle, et me fait des gros yeux colériques que je découvre aussi pour la première fois. Elle est impressionnante : ça me fait peur.



Je m’en veux, ça m’affecte grave, je voulais tellement que ça soit parfait. Je me mets alors la pression, mais trop de pression. J’essaie de la baiser du mieux que je peux, mais je sens que le ressort est cassé, je ne domine plus : j’ai fait mal à ma chérie, je fais trop attention. J’apprends là que la sodomie est un art difficile, très psychologique, faut être bon, et des fois passer outre quand on se loupe. Elle sent que je galère, je suis moins dur, et c’est un paradoxe, car ça lui fait mal : elle grimace.



Je me retire, elle grimace encore. Je suis dégoûté total. On va se laver à la salle de bains, séparés par mon initiative, orgueil blessé. Je me rhabille, et lui crie au revoir sans l’embrasser, je suis pitoyable.

Mais elle a cette intelligence toute féminine (avec le recul) de me rattraper alors que j’allais enfourcher mon vélo, prend mon visage dans ses mains et me roule un patin d’enfer, très amoureux. Ce médicament fait extrêmement de bien.



Elle rigole, rassurée. On s’embrasse encore et on se serre fort. Je pense à elle, à l’intelligence des femmes, au fait qu’elle m’a sûrement testé la veille pour voir si je n’en voulais qu’à ses fesses, à nos différences… tout le chemin du retour.

Pour ces questions-là, nous les mecs, parfois on est des bêtes sauvages, et j’ai désormais envie de me civiliser le plus possible…



À suivre…