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n° 20038Fiche technique32342 caractères32342
Temps de lecture estimé : 19 mn
31/01/21
Résumé:  Nouvelle base de relation, une nouvelle partenaire, expérimentée !
Critères:  f fh ffh fplusag jeunes extracon fête fmast caresses intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio sandwich fdanus fsodo -couplea3
Auteur : Franckosaurus      Envoi mini-message

Série : Fabienne, à jamais la première

Chapitre 10
Renaissances

Résumé des épisodes précédents :

Fabienne est la meilleure amie d’enfance de ma sœur, et depuis quelques semaines celle avec qui je découvre le sexe. Après avoir cru en un amour, nous sommes désormais qu’amants, et désormais notre relation n’en est que plus forte !






Le soir même ma sœur Steph vient aux nouvelles. Je lui explique qu’avec Fabienne on a aplani notre relation : plus d’amour, de projet de vie ensemble, mais on continuera à flirter et baiser ensemble, et que c’est au final pas ses oignons. C’est aussi une façon pour moi de marquer une limite, un ascendant sur Steph : c’est ma cadette, mais elle a toujours été la plus forte. Elle accuse un peu le coup, mais finalement elle est contente de voir son frère s’affirmer aussi.


J’espère un coup de fil de la miss, c’est une douce torture, qui n’est évacuée que mercredi après-midi :



Le lendemain soir donc, j’attends pépère ma miss, assis sur le parapet, et j’ai prévu une veste pour pas me cailler dans la salle comme la dernière fois. Elle a son 501, un body blanc, veste longue en laine épaisse noire, et ses Buffaloes blanches, un peu de khôl, joli rouge soutenu sur les lèvres, et des créoles blanches. Je la siffle de loin, avec les doigts, bien fort. Elle rigole et fait un tour sur elle-même sur la pointe des pieds pour me montrer son joli cul si bien fendu.


Maintenant qu’elle est devant moi, on est un peu comme des cons. On va pas se faire la bise, ni se rouler une pelle non plus. Alors, va pour un bisou sur la bouche, mais bien long. Je tente la langue, juste pour rire !


Une fois mon vélo dans son coffre, on va se faire un chinois au Faubourg Lacapelle, et commandons tout d’un coup pour que ça aille vite. Elle me raconte ses entretiens d’embauche qu’elle a passés à Toulouse, dont un qui a donné suite à une journée de test hier. Elle est contente. Je lui conte mes anecdotes de taf.


On va ensuite fumer un gros pétard sur le plateau, parce qu’on va voir Bad Boys avec Wil Smith, et qu’une série B, c’est mieux quand on est bien foncedés. Un sentiment de nostalgie plane, qu’elle évacue avec intelligence :



À chaque fois qu’on se passe le joint, nos mains se touchent plus longtemps qu’il ne le faudrait. C’est très romantique, ça fait du bien, pourquoi s’en interdire ?

Puis on se fait un gros câlin plein de soupirs, suivi d’un smack léger sur la bouche. On se regarde, c’est émouvant. Quand on marche, c’est dur de ne pas lui prendre la main.


Heureusement, on passe un bon moment avec ce popcorn movie. Wil Smith et Martin Lawrence en font des tonnes, et les feux d’artifice de Michael Bay, c’est mieux sur grand écran avec du gros son.

À la sortie, petit pétou, et on rentre chez moi en bagnole. Je ne tente rien : elle ne m’a donné aucun signe, du moins je n’en ai remarqué aucun. Arrivés, elle me donne un baiser, mais ne résiste pas à l’envie jouer avec ma langue. On se roule une bonne petite galoche adolescente, et… c’est tout.



La faire sourire, ça n’a pas de prix.


Vendredi soir, ma sœur Steph m’annonce qu’elles sortent en copines. Je peux pas les accompagner, taf demain, ça me gonfle. Mais bon, je comprends Steph qui veut passer du temps avec elle. J’encaisse, la joue gentleman, mais marque le coup en annonçant me coucher tôt, et éviter ainsi de les croiser. Tu parles, j’ai peur de la voir apprêtée pour sortir, oui !


Du coup, le lendemain soir quand je rentre du boulot, je suis très surpris de voir Fafa dans la piscine, avec toute la famille. Ouf, ils ne sont pas à poil. Ce même bikini bordeaux me colle direct le barreau. J’enfile mon short, plonge, et fais juste un petit smack discrétos sur la bouche de mon amie-amante.


J’avais complètement oublié qu’on avait méchoui ce soir chez des amis kabyles de mes parents. C’est une grande fête, plusieurs moutons sont prévus, il y a tous les anciens de l’équipe de rugby de mon père. Impossible d’y couper, et puis le mouton grillé comme ils le font, c’est trop bon. Je propose à Fafa de venir, elle accepte, curieuse de découvrir cette cuisine. Mais elle n’est pas habillée pour, et doit aller se changer chez elle. En plus c’est assez galère pour y aller. Bref, je propose de l’accompagner, ça sera plus simple. Je passe un pantalon de toile, une chemisette et mes mocassins.

Arrivés chez elle, elle me demande de rester dans la voiture, je refuse aussi sec :



Je dis bonjour à ses parents, sa sœur, Sandrine (que je connais déjà, cf. Épisode 1) et Xavier, son fiancé (un blond mince, genre Jason Donovan, avec la même coupe de cheveux). Le temps que la miss se pomponne, on me propose un verre, je prends un planteur. La maîtresse de maison est occupée en cuisine, le futur gendre allume le barbecue sous le regard de son futur beau-père. Je suis seul avec la sœur aînée, en paréo et spartiates. Elle est objectivement très, très belle, un visage plus fin que sa sœur, mais ça m’étonnerait qu’elle soit aussi bonne au pieu. C’est dommage, car elle a l’air d’avoir aussi une poitrine choupinette. On cause de son chantier, elle me saoule, car c’est vraiment du discours estampillé FFF (Fofolle Fifille Futile). J’ai trop envie de lui casser sa bouche. Elle embraye sur Fafa(fa) :



Putain, qu’elle me les gonfle ! Cette absence de complicité entre sœurs, grr. Du coup, grosse inspiration (au sens propre et figuré), aidée par ce rhum bien tassé, et je lui lâche :



Enfin ma cavalière. Elle a noué ses cheveux, créoles argent, top col roulé sans manches, veste courte noire, corsaire moulant satiné gris, sandales noires, elle s’est juste fait les yeux, noirs, et du gloss sur ses lèvres. J’ADORE.

On salue tout le monde, clin d’œil particulier pour sa sœur aînée, coite.


Tout le trajet, je ne peux m’empêcher de caresser gentiment son genou, elle se laisse faire et sourit. Je ne lui parle pas de sa soirée en boîte de la veille : c’est sa vie. On arrive, plein de voitures garées dans le pré en face du méchoui. Notre hôte, un dénommé Ali, nous accueille et embrasse mon amante comme si c’était un makrout sorti du four. On dit bonjour aux invités, que je connais presque tous. On rejoint mes parents et ma sœur qui discutent avec des amis proches, des pomiculteurs. Ils sont super fiers que leur fille unique soit admise en classe prépa dans le meilleur lycée de Toulouse, alors qu’elle fêtera ses dix-sept ans en septembre. Cette petite Nadège est en fait une grande blonde vénitienne aux très beaux yeux bleu clair, charpentée, mais féminine, cheveux en brosse, percluse d’acné, et visiblement mal à l’aise dans sa robe à fleurs et ses talons. Tout le contraire de sa mère, Marie-France, brune menue, frisée, avec les mêmes yeux magnifiques, sauf que les siens ont en bonus des cils interminables. Elle est en robe légère et talons hauts et, comme sa fille, n’a quasiment pas de poitrine. Quant au père, c’est un double-mètre macho italien blond roux à moustache, très sympa mais il a l’air super relou. Mon père annonce :



A-t-on le choix ? En tout cas, à sa réaction, ma Fafa n’a pas l’air super réjouie. On n’est pas ensemble, mais on dirait qu’elle est jalouse, c’est marrant.


Il y a des tables rondes, les anciens du rugby s’installent ensemble, entre « couilles ». Avec Fafa et ma sœur, on s’assied avec Nadège, nos mères, et un des fils de notre hôte, Mahmoud, un grand garçon obèse, mais super mignon et plutôt brillant, qui a l’air d’avoir fait craquer ma sœur, à voir ses sourires béats. Les daronnes causent entre elles, ma sœur drague son cavalier, j’essaie de briser la glace avec Nadège. Ma compagne me caresse la cuisse, gentiment. La viande arrive, baston rigolote pour chopper les morceaux avec la peau, le couscous est délicieux, le tout arrosé de rouge de Tlemcen, pas mal du tout. J’essaie de briser la glace avec notre future coloc.



Marie-France, un peu pompette maintenant, en fait des tonnes, ça gêne manifestement sa fille. Heureusement, ma mère discute désormais avec elle, libérant Nadège. Enfin, je peux blaguer tranquille avec elle. Je l’invite à se déchausser, elle a de beaux pieds, dommage de les blesser plus. Fabienne est assez love, voire louve. Sa main désormais a glissé sur mon entrejambe en loucedé. Marie-France nous regarde avec un clin d’œil. Cette daronne m’excite, je le chuchote à ma chérie, qui la regarde elle aussi, sa main occupée à me débraguetter. Ça prend un temps fou, car on fait ça très, très discrètement. Ma sœur et son mec se caressent gentiment en mangeant.


Ma mère commence, elle aussi, à être ivre, elle devient super bavarde. Marie-France l’écoute en nous matant, on est quasi sûr qu’elle sait ce qui se passe sous la table. Sa fille pas du tout, malgré qu’elle soit juste à côté de moi, on parle de Toulouse ensemble, elle massant ses orteils, moi perdu dans ses beaux yeux bleus et doucement branlé par mon amante. C’est un quadrille érotique très excitant. Fabienne part aux toilettes « si ça continue, j’inonde mon string, ça va se voir ». Je me rebraguette discrétos en fixant cette maman dont les yeux désormais sentent clairement le cul. Sa fille discute avec ma mère, qui la fait boire « profite, ma petite ». Fabienne revient et discute avec ma sœur. J’en profite pour allumer une cigarette, Marie-France aussi. On se bouffe des yeux en silence, cette daronne est une démone. Nadège détourne son regard. Je pose mon coude sur la table, avant-bras levé, ferme mon poing, et fais vibrer le tout. Marie-France rigole !


Il y a un buffet pour les desserts : fruits et pâtisseries orientales. Tout le monde s’éparpille, je vois ma sœur entrer dans la maison enlacée avec le fils du proprio, sûrement pas pour jouer à la PlayStation. J’embarque mon amante devant le buffet.



Et elle me colle un gros baiser mouillé, se foutant du monde autour. Marie-France nous rejoint, nous regardant tous les deux avec envie.



Les sourires sont équivoques, mais bon, restons calmes, faudrait pas commettre d’impairs. On se remet à table, on a juste une bouchée chacun, on se caresse furtivement tous les trois nos mains, c’est parfait, on se régale. Ma mère (qui n’a rien capté de notre manège) trouve que c’est une bonne idée, et partage avec Nadège, pompette, qui n’arrête plus de rigoler à ses blagues. Fafa est désormais chaude comme une cocotte-minute, j’annonce à la table qu’on va bientôt prendre congé.


Je sors ma boîte à beuh, et en roule un discrètement. Nadège est très intéressée. Puis je m’éloigne sous le vent pour ne pas faire un scandale : les anciens rugbymen et la beuh, non, faut pas. Fabienne me suit avec Marie-France, et, surprise, sa fille !



Elle tire dessus bien fort, genre je suis grande. Ça loupe pas, la demoiselle vomit tout son repas dans les lavandes cinq minutes après. Elle est très pâle, le tourbillon de la mort dans sa tête, pauvrette. Sa mère nous fait un clin d’œil, et va voir son mari.

Trois minutes après, elle revient, très satisfaite.



On passe devant la table des rugbymen, Robert le père, se lève et me remercie avec une tape sur l’épaule. Je suis pas petit du tout, mais je lui rends 15 cm et 30 kilos au moins, c’est un mastard, sa main me prend toute l’épaule.


C’est dingue, on est dans un Feydeau avec la femme adultérine, la fille éméchée, le mari cocu, et la bonne copine qui comprend que dalle !


Nadège s’endort dans ses bras de sa mère sitôt installée sur la banquette arrière. On démarre, Fabienne au volant, je sens vite un pied nu toucher ma hanche droite, entre le siège et la portière. Je le masse en la matant au travers du miroir de mon abat-jour, elle kiffe. Je porte son pied à ma bouche, et suce son pouce. Fafa observe le tout, et doit regretter de conduire. Je chuchote « capote ? ». Marie-France panique et me fait un non de la bouche.


Bon, on fait un détour en ville pour trouver un distributeur. C’est chiant, peur que ce charme s’envole. Ouf on en trouve un qui marche. Je rentre dans la voiture, c’est Fafa qui caresse le pied, et a fourré ses doigts dans la bouche de la dame qui les suce.


Enfin on arrive à la baraque, très classique, avec un jardin sans style (tout est planté comme dans un verger), mais une très belle piscine.

La mère va coucher sa fille, je roule un pétard sur la table de la terrasse. Fabienne a déjà envie de se foutre à poil, mais je lui demande d’attendre, on n’est pas chez nous, elle s’assoit sur mes cuisses.


Enfin la maîtresse de maison arrive avec une bouteille de Manzana, trois verres, et une lampe-piège à moustiques. On trinque, cul sec.



Je passe le joint à Marie-France qui, en le passant à ma chérie, demande à prendre sa place sur mes cuisses. Sans un mot, Fabienne se lève, me roule une grosse pelle bien sexe en prenant mon visage entre ses mains, et va s’asseoir en face de nous. Marie-France vient s’installer. Ouf, elle est bien plus légère. Direct elle me galoche, elle a grave faim : elle relève sa robe et met sa chatte à l’air en écartant sa culotte. Elle est taillée, très noire, fournie. Son clito est déjà bien gros. Elle sent un parfum floral et exotique à la fois. C’est une nouvelle partenaire, tout y est à découvrir, c’est super !


J’ai envie de la prendre de partout, une main devant sur son minou, une derrière sur son anus, je la caresse doucement et puissamment, ça glisse et tout s’ouvre déjà bien, aucun besoin de saliver. Je suis pas brute, très doux, mais bien puissant.


Elle essaie de mettre ma queue à l’air, mais galère avec notre position, je l’aide. Dès qu’elle voit mes couilles lisses, elle se lève, me déculotte comme un bébé, puis s’agenouille à mes pieds et commence à me sucer. Jamais été aspiré comme ça, heureusement que je suis bien excité, sinon elle me ferait mal. J’en profite pour mater ma chérie, elle a le cul à l’air, et relevé son top. Elle se branle ses trous et ses seins en me faisant un clin d’œil. Je l’invite à nous rejoindre avec un préservatif. Elle se lève, et on entreprend d’installer la capote. Tous les trois on n’a aucune expérience du truc, mais on fait gaffe à pas la péter, car on n’en a que trois. Marie-France enlève sa culotte, me grimpe dessus, et se carre direct ma queue dans sa chatte toute fondante. La position ne la satisfait pas assez, elle se relève, monte sur la chaise et s’accroupit pour m’accepter au plus profond.


J’enlève sa robe, elle a un soutif blanc sans bretelle qui ressemble à un gros bandeau. Je veux l’enlever aussi pour goûter ses petits seins, elle refuse, bon. Marie-France est très égoïste dans son plaisir, clairement je lui sers de sex-toy, elle se branle le vagin sur ma queue. Mais c’est chouette, toutes ses fesses tiennent dans mes mains, et comme elle est petite, je peux mater ma chérie dès que cette furie lâche ma bouche. On essaie d’être silencieux au maximum. Même si sa fille doit dormir à poings fermés, on sait jamais.


Sans me demander mon avis, à un moment où je suis sorti (elle est bourrine, ça arrive souvent et je suis pas Rocco), elle présente mon gland sur son anus, et se sodomise direct, jusqu’aux couilles.



Elle s’encule directement aussi vite et fort que par-devant. Waouh, ça fait drôle, une femme expérimentée ! Son cul est très bon, je vais pas tenir longtemps, mais je sens très, très vite, au toucher et bientôt à l’odorat que c’est plus propre du tout, Fafa confirme en faisant un « non » de la tête en grimaçant.



Je me force à rire pour dédramatiser ce moment gênant comme j’ai l’habitude avec mon amante habituelle, c’est communicatif, on éclate tous de rire. Fafa va prendre le rouleau de sopalin dans la cuisine, et nettoie sa partenaire. La dame s’enfuit aux toilettes, je planque la capote sale dans du sopalin puis la mets à la poubelle. Je prends une bouteille d’eau fraîche dans le frigo, j’en tombe le quart, et la donne à la chérie.



On se fait un long bisou, très sensuel, se caressant partout. Je veux rassurer mon amante, il fait un peu froid, alors j’allonge ma chérie à l’intérieur dans le canapé, et lui fais un long et doux cunni comme j’ai appris. Mes doigts, ma langue rentrent partout, mais je sens qu’elle me veut en elle. Je la place en enclume, ses pieds contre son cou, et la baise tendrement, très amoureusement, perdu dans ses yeux. J’oublie où on est, je ne pense qu’à elle. Marie-France revient, toujours avec son soutif, s’installe dans un fauteuil et commence à se caresser. Avec Fafa, on la regarde.



C’est chouette, je me sens très bien, très en contrôle, valorisé par ce fait d’en avoir deux pour moi tout seul. J’intensifie mes mouvements, et quand elle me dit « viens, maintenant », je galère un peu, mais y parviens après elle. On a des spasmes ensemble, on se sourit, on rigole. Mais Marie-France pleure. Voir ces si beaux yeux remplis de larmes nous brise le cœur à tous les deux.


Je me lève, la charge dans mes bras comme une enfant. On s’assoit dans le canapé. Fabienne vient nous rejoindre, et on lui fait un énorme câlin. On lèche ses larmes chacun notre tour comme des petits chiots. Elle se calme, on commence à se battre pour lécher ses larmes, ça la fait rire.



Elle se lève, se tourne, enlève son affreux soutif, puis nous fait face, bras pendants, l’air pas fière. À la place du sein gauche, il y a une méchante cicatrice qui court de son aisselle jusqu’à ce qui fut son téton. L’autre est magnifique, un magnifique bonnet B en poire qui tombe un peu façon gant de toilette, avec un superbe téton bombé.



Je me place derrière elle, Fabienne devant, on la caresse, la couvre de bisous, partout, je bande contre ses fesses. Marie-France se laisse faire, et embrasse Fabienne. Celle-ci me regarde, lui roule une belle pelle et rigole des yeux, car je me mords les lèvres de désir. D’autorité je prends la mâchoire de Marie-France pour violer sa bouche avec ma langue, puis j’embrasse. Fabienne, qui l’embrasse à nouveau, commence à la branler. Je m’attaque à son anus par-derrière, des fois je rejoins les doigts de ma chérie. Notre amante commence à rouler des hanches en silence, elle est très belle les yeux fermés. Directement je l’encule à fond avec deux doigts, je sens que Fabienne remplit sa chatte avec les siens. C’est excellent cette sensation de complicité dans l’intimité d’une troisième.


Mais maintenant j’ai envie de baiser cette femme. Je fonce chercher un préservatif, je m’installe assis dans le canapé en matant ces deux cochonnes qui se galochent, je me branle et l’appelle :



Elle a désormais un sourire de gamine, ça fait trop plaisir, et s’assoit à genoux très sensuellement sur ma queue. Je gobe son sein unique, et caresse son torse à gauche. Ce coup-ci, elle est très altruiste, elle me baise très bien, me regarde, m’embrasse, entraîne Fabienne, l’embrasse elle aussi et n’arrête pas de nous dire merci. Au bout d’un moment, je vois Fabienne choper son fameux regard carnassier de cochonne. Elle s’approche de l’oreille de Marie-France.



J’écarte bien ses fesses en continuant à la baiser, ma chérie fourre TOUS ses doigts dans la bouche de Marie-France, puis commence à la sodomiser très lentement, mais sûrement. C’est très fort, ma queue est comprimée par ses doigts, Marie France gémit, me bouffe la bouche, ses yeux sont crispés, elle a très chaud.



Elle rigole, elle est totalement détendue, de corps et d’esprit, et radieuse de se retrouver, de se réconcilier avec tout son corps, d’être désirée, et fourrée de partout. C’est une chance d’en être témoin, Fabienne et moi. On est complice de cette renaissance, c’est très fort entre Fafa et moi.



Je gobe son sein, et me mets à lui défoncer la chatte. Marie-France se transforme en sirène, je la sens se liquéfier en bas, mais Fabienne lui plaque sa main libre, d’autorité, sur la bouche pour l’empêcher de réveiller tout le quartier. Ses beaux yeux bleus écarquillés, son couinement hyper aigu, ma Fafa en maîtresse super sévère, j’en peux plus. Je me rends, qui lui remet une deuxième couche au jambon de ce sandwich.

Fabienne vite enlève sa main, Marie- France souffre un peu, lui prend et mord la main, puis viens me mordre le cou.



Et on s’embrasse en rigolant, french kiss à trois, c’est très sympa !


On part à la salle de bains. Les filles se démaquillent entre elles pendant que je me douche, elles ont l’air de bien s’entendre en dehors de la baise, chouette ! Puis une fois rhabillés, on se fume le dernier bédo tous ensembles sur la terrasse, sans un mot. Il est très, très tard (voire très tôt), il est temps de partir. Elle nous étreint très fort, très longtemps à tous les deux, c’est très émouvant.



Fabienne laisse passer cette dernière phrase sans y objecter, c’est ambigu. Marie-France est tout sourire, quel bonheur. Robert a beaucoup de chance d’avoir une femme aussi belle.


Fabienne me passe les clés. Je m’attends encore à ce que ça dégénère, alors que franchement je suis kaput.

En fait non, elle est juste d’humeur câline, sa tête vient chercher ma poitrine, je l’étreins, à la condition que ce soit elle qui passe les vitesses quand je lui en donnerai l’ordre. C’est trop bon ce câlin. Le soleil se lève en plus.


À la maison, une fois dehors et face à face, passées trois longues secondes. Impossible de ne pas nous rouler une méga pelle d’enfer de la mort qui tue, avec supplément ventres collés et attrapage mutuel des fesses. Elle n’a plus son string, je ne résiste pas à venir doigter gentiment son petit trou du cul. Ça la fait marrer, surtout qu’elle ne peut pas ne pas sentir aussi que j’ai encore envie d’elle.


Elle fait mine de partir, mais je lui demande de patienter. Je reviens, toujours torse nu, avec une k7 du dernier album de Roxy Music.


Je ne voulais pas qu’elle rentre seule.



À suivre…