n° 20068 | Fiche technique | 28112 caractères | 28112Temps de lecture estimé : 16 mn | 17/02/21 |
Résumé: Une nouvelle partenaire est en place, mignonne, mature et très gentille. Comment réagira la compagne du narrateur ? | ||||
Critères: fh fplusag jeunes campagne parking jalousie exhib noculotte fmast caresses intermast fellation cunnilingu préservati fdanus fsodo coprolalie -initiatiq | ||||
Auteur : Franckosaurus Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Fabienne, à jamais la première Chapitre 11 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
Un jeune homme découvre le sexe avec une copine d’enfance. À l’occasion d’une fête, ils ont fait l’amour avec une femme mature qui souhaite ne pas en rester là…
C’est un vrai dimanche de repos. Levé en plein après-midi, petit-déj à 15 h, genre. Chacun cuve de la veille, fait la gueule donc s’isole dans la maison, le temps tourne à la pluie. Fabienne appelle le soir, ma sœur bloque longtemps avec elle, mais ensuite me passe le combiné.
Je raccroche, frustré.
Le lendemain, il fait plutôt frais et couvert, ma dose de cul hebdo me manque déjà. Maintenant qu’on a goûté à la vraie chair humaine, les magazines et les cassettes vidéo sont désormais bien fades en comparaison. Je réagis comme un tox : je sais où bosse Marie-France, j’appelle le standard de sa boîte en me faisant passer pour le petit ami de sa fille, demandant juste quand elle finit sa journée. Je descends au centre-ville à vélo.
Elle sort, en mules à talons, tailleur strict gris, chemisier, chignon. Elle scrute tout autour, puis me voit, surprise, puis souriante. Elle sort une clope, me fait signe discrètement de patienter le temps que ses collègues partent. Puis elle vient me serrer la main. Putain, ces yeux bleus, quel enchantement quand ils sourient !
En effet, je prends une grosse avance en ville (en respectant le Code de la route), mais deux bornes avant l’arrivée, elle me double en klaxonnant dans son Austin Mini rouge vintage. Je coupe l’effort, elle est déjà en terrasse avec deux cocas, et rigole de me voir débarquer en sueur.
Je lui parle de ma relation particulière avec Fabienne, et de sa sœur qui l’emmerde depuis gamine. De son côté, elle me cause de sa fille, appréhende son départ du nid familial. Elle me fait notamment promettre de ne JAMAIS la toucher, à cet instant ses yeux se transforment en canons de 75, houla ! Elle refuse de parler de Robert son mari, néanmoins, je lui indique que ça serait bien qu’ils fassent un test HIV tous les deux. Elle me dit surtout qu’elle a envie de s’amuser désormais, j’apprendrai plus tard que les rescapés du cancer sont souvent ainsi : une fois pleinement rétablis, c’est carpe diem !
Fait rigolo, elle me confie avoir dragué mon père dans une soirée d’anciens du rugby pour se venger de son mari, mais il a décliné, par amitié masculine. Elle m’indique qu’elle finit tôt le vendredi après-midi avec un clin d’œil. On passe un bon moment, je suis très fier d’être attablé avec une si jolie femme qui n’arrête pas de m’allumer (sans le vouloir sans doute) avec ses yeux et ses sourires, une vraie poupée. Impossible de s’attarder plus longtemps, c’était déjà bien, ce moment. On se lève, se fait la bise, elle frotte fort mes bras en me disant « encore merci pour cette soirée », et je vois s’envoler la petite voiture rouge avec regret, mais espoir pour cette fin de semaine.
J’ai un coteau à monter pour rentrer à la maison, j’en suis à la moitié quand sa voiture me double, ralentit, puis prend un chemin forestier. Quand j’arrive, elle a déjà tombé sa veste, et attends contre sa portière, une jambe pliée contre la portière, tête penchée, et sourire sans équivoque. Je jette le vélo de côté, et me rue sur elle, je suis déjà chaud avec la montée à vélo. Elle se marre !
Une fois nus, je la penche contre la portière et lui demande d’écarter ses fesses avec ses mains. Je lui bouffe son cul poilu avec appétit tout en enfilant une capote (j’avais prévu). Ça lui plaît, sa main maintient ma tête en position.
Je sonde ses trous avec un doigt pour les lubrifier, et voir si son cul est propre, oui, chouette. Sitôt fait, je m’introduis dans sa chatte si confortable et viens chercher sa bouche. Rouler une pelle à ton amante tout en la bourrant par derrière, putain, j’adore.
Je ressors et la laisse saisir ma queue et la pointer sur son anus. Elle s’ouvre sans difficulté et s’empale plutôt rapidement par rapport à Fafa.
J’y vais donc franco de gros porc, ses petites fesses fermes sont magnifiques, j’ai l’impression d’avoir une grosse bite, et c’est super bon d’enfiler un rectum rôdé. Elle m’encourage avec ses propres mouvements. J’ai d’ailleurs l’impression qu’elle a déjà pris son pied, mais je suis pas sûr, vu que je ne la connais pas. Mais elle est trop petite, j’ai mes jambes fléchies depuis un bon moment, je fatigue, et j’ai envie de voir son visage aussi. Je l’invite à s’allonger dans l’herbe, sur le dos. D’elle-même elle relève des jambes avec ses mains, son anus c’est le gouffre de Padirac, putain, jamais vu ça en vrai.
Après l’avoir pénétrée, je place ses chevilles sur mes épaules, je suis d’ailleurs surpris que notre écart de taille soit résolu, merveille de la biomécanique ! J’y vais vraiment à fond, très violent, vu qu’à son regard elle apprécie. Je fais des pompes dans son fion. Ces yeux et sa bouche sont un régal, je la recouvre aussi de bisous. C’est ultra excitant de défoncer cette daronne, je lui dis que je vais pas longtemps me retenir. Elle se met à remuer frénétiquement du bassin en branlant son gros clito, ça me serre, me déclenche, elle le sent, je vois son visage et ses yeux qui s’illuminent, Dieu que c’est beau ! Elle maintient notre étreinte en pressant ses mains sur mes fesses, c’est très, très bon. Je tète son sein unique comme un bébé. J’ai envie de rester, mais pas elle :
On se roule une grosse galoche ultra baveuse, en baisant encore un peu. Je me redresse pour la mater, jambes écartées avec ma queue entièrement disparue dans son trou du cul poilu. Elle sent que ça m’excite trop, en sourit. puis je sors, la capote est nickel. Elle s’essuie avec mon tee-shirt, y compris son derrière, se rhabille et se repomponne. J’ai l’air malin en enfilant mon tee-shirt souillé, elle rigole :
Je la prends dans mes bras, on s’embrasse, pour rigoler je la soulève et commence à simuler un accouplement, elle est morte de rire, trop belle. Elle me file son tél. perso et pro.
Heureusement qu’il n’y a personne quand je rentre à la maison, et il est hors de question de mettre ce tee-shirt au sale !
Le lendemain matin, je demande à mon boss d’avoir mon vendredi après-midi. Il me propose un deal : prendre une courte pause tous les midis pour ranger du stock. OK, ça me va.
J’appelle Fabienne pour l’inviter à dîner en ville. OK pour passer la prendre mercredi soir chez elle.
Le jour dit, sa mère m’ouvre, je lui offre des tulipes. Elle est ravie, me tape la bise puis file à la cuisine. Le père me salue d’un air absent, plongé dans un magazine. Sandrine, la fille aînée, en pantalon de jogging et sweat-shirt semble contrariée, jalouse, je le lui dis en lui faisant la bise, elle ne répond pas, et boude, je lui dis que c’est bien dommage pour un visage pareil.
Enfin ma chérie. Sandales à talons, longue jupe plissée noire, cache-cœur beige à mailles fines et veste cintrée en jean. Elle s’est fardée dans les bruns, avec des puces dorées aux oreilles. Elle ose me faire un baiser sobre sur la bouche. Je caresse, puis caresse les fesses de ma belle, qui répond en souriant et m’offrant sa langue très discrètement, les yeux fermés. Je fais un clin d’œil à sa sœur, puis, d’une petite tape sur les fesses, je lui dis :
Sitôt partis, Fabienne me dicte mon itinéraire, c’est bizarre. On aboutit dans un hangar agricole désaffecté à l’écart. Dès que j’ai éteint le moteur et mis le frein à main, elle sort, bascule son siège et file à l’arrière.
Bon. Une fois rejointe, elle me repousse et me dis :
Elle remonte sa jupe, écarte en grand ses jambes, pas de culotte, vue directe sur sa chatte fraîchement rasée, déjà humide. Puis elle dénoue son cache-cœur, pas de soutif non plus. Hé hé hé, c’est une tenue très, très pratique tout ça. Je veux la goûter, c’est trop tentant, elle me repousse fermement.
Surpris, je baisse mon pantalon, lubrifie mon outil au garde-à-vous, et plonge en elle. Elle est ardente, très active du bassin, très pressée aussi. Je me concentre sur sa poitrine, que je lèche, aspire, pétris.
Comme je la sens très active, je l’invite à me chevaucher, et se servir de moi, comme Marie-France samedi soir dernier. J’ai bien l’impression que c’est ce qu’elle voulait.
Elle s’accroupit sur ma queue, et coulisse en se branlant le clito très fort. Je veux lui mettre un doigt au cul, elle refuse, alors je presse sa poitrine très fort et me concentre sur mon érection, la laissant se donner seule du plaisir, les yeux fermés. Je suis soucieux de la voir ainsi, elle meurt assez vite dans un soupir de soulagement, se met à genoux et continue de se baiser lentement en me parlant.
On va en ville, se garer comme d’habitude. Envie d’un bon kebab, puisqu’elle a un visage oriental. Le réfugié kurde qui tient l’échoppe est adorable.
Elle me tire une de ces tronches : toute trace de séduction y a disparu.
Comme je lui ai caché cette incartade, je décide de lui raconter absolument tout. En fait, je suis un idiot, je m’écoute parler, je deviens même très vulgaire en n’omettant aucun détail. En plus vu qu’il y a des clients qui viennent prendre à emporter, il y a des coupures, et je reprends de plus belle, grisé par ma faconde, croyant exciter mon amante, plutôt sidérée, et… curieuse, en fait. Le pire, c’est que je pense que vu que c’est un espace public, et donc au moins ça oblige ma convive à rester calme. Je fais très fort dans la goujaterie ce soir !
Ça ne loupe pas, dès qu’on est revenu au parking du plateau et qu’on est seul, elle commence à me pourrir la gueule pendant que j’en roule un. Je lui file direct le joint pour qu’elle se calme, effet contraire : ça catalyse sa réaction. Je l’observe en colère, fumant comme un pompier. Dieu, qu’elle redevient sexy ! C’est bizarre : elle a des moments, des gestes, des mimiques, conscientes ou pas, qui trahissent une volonté de séduction. Du coup je me fais un stick pour moi, sans l’interrompre dans ses loooongues diatribes. Comme au bout d’un moment elle commence à me faire du disque rayé, répéter les mêmes trucs, je la surprends en lui volant un baiser. Je ramasse une baffe. Je fixe son regard furieux, naffoutre, je l’embrasse encore. Re-baffe, une énorme celle-là. Elle fait bien mal.
Allez, faut y retourner, souffrir sa passion. Car si elle me gifle, elle se laisse néanmoins embrasser et ça c’est bon signe. Re-bisou. J’en mange une troisième, mais là, c’est elle qui fourre sa langue dans ma bouche en me prenant dans ses bras.
On se roule la putain de méga-pelle du millénaire de la mort qui tue ! Elle pleure un peu, son rimmel coule, moi aussi je pleure, car je me rends compte que j’ai été un imbécile, et que j’ai un bol de cocu (!) de pouvoir rattraper cette méga-cagade.
Naturellement on commence à se chauffer, j’ai envie d’elle, tout de suite. Elle aussi. Nos bassins sont scotchés, ont faim l’un de l’autre. Je farfouille dans son cache-cœur d’où ses tétons pointent super dur. Elle serre ma queue dure comme jamais au travers de mon pantalon, puis me la sort. Je remonte sa jupe, elle n’a jamais été aussi mouillée malgré la beuh. Mon récit a dû bien la chauffer malgré tout.
Toujours personne autour, alors je la plaque contre un platane, relève sa jambe et la pénètre, elle est brûlante, je suis en acier trempé. Nos bouches sont soudées, c’est très fort, on gémit, j’ai énormément de mal à ne pas jouir de suite malgré que ça soit pas super comme position niveau sensations. Très, très vite, elle m’implore de venir en elle, ouf. Je la soulève complètement par les fesses pour aller au plus profond, et lâche tout, elle me mord le trapèze jusqu’au sang, c’est dur de pas crier. On reste comme ça, on savoure, les yeux dans les yeux. Toujours personne autour, merci mon Dieu. Et puis merde, moi aussi je mords son cou, elle éclate de rire.
Vite je prends des kleenex dans son sac, ça coule jusqu’à ses genoux. On s’essuie avec des airs de conspirateurs, c’est marrant. Sur le chemin du retour dans la bagnole, elle est super câline, tournée vers moi, et me caresse l’entrejambe, et moi ses fesses. Il faut que je le lui dise :
Je la regarde, elle sourit à la vitre d’un air satisfait, revanchard, avec une moue pas sexy du tout, je ne l’ai jamais vu faire ça. Arrivés chez elle, on sort ; devant son portail on s’embrasse, mais c’est pas un bisou d’au revoir, c’est une grosse galoche, bizarre parce qu’elle garde tout le temps ses yeux ouverts.
Direct je dénoue son cache-cœur, pour caresser sa poitrine. Trop envie de peloter ses fesses, je les mets à nu et j’écarte son cul dans la rue, elle frissonne et sourit, sûre de ses atours.
Je sens qu’elle joue à la salope, sa bouche est ouverte machinalement, sa langue sortie lèche la mienne et elle roule des hanches comme une mauvaise actrice de film de cul. C’est à la fois excitant et inquiétant cette comédie. Elle s’accroupit et sort mon attirail, et commence à me sucer très fort. Elle n’est pas contente, car je ne me suis pas rasé. Comme d’habitude elle se masturbe, et innove en jouant avec ma queue sur ses tétons, en me regardant de cet air un peu absent. C’est plus mécanique qu’inspiré.
C’est une impasse de lotissement, peu de risque d’être surpris, alors je la relève, retrousse sa jupe, et la prends directement par-derrière, contre la Twingo de ma mère. Elle est quand même bien mouillée, ça glisse bien, c’est chaud et serré. Je pelote sa poitrine, et embrasse ses oreilles, elle souffle fort. Elle se branle et caresse mes couilles par dessous. Habillée et la jupe retroussée sur son dos, ça met ses fesses super bien en valeur, une poire parfaite !
Elle se désarrime, et vient me sucer toujours très fort, debout, son derrière bien cambré. Naturellement je me penche pour masser ses fesses. Mais elle me devance en se carrant directement deux doigts bien profond dans son anus. Je la sens pas là, pas avec moi, seule avec son délire, d’ailleurs je vois bien qu’elle souffre, et c’est pas étonnant vu comment belle s’y prend. Et elle en rajoute.
À voix basse elle n’arrête plus de me chauffer en me suçant. Le pire c’est qu’elle me fixe avec des yeux à damner un saint, tout en étant moi-même convaincu qu’ils sont faux, il n’existe pas cette flamme que j’ai appris à reconnaître. Je ne suis plus qu’un pantin, à sa merci, et elle en joue. Je devrais l’arrêter, mais je suis faible, car c’est plutôt bon. J’ai beau la prévenir qu’elle en fait trop, elle s’en fout. Elle se relève, me branle très fort en me chuchotant des saloperies, elle est habile dans sa technique. Mais là ça fait « stop » dans ma tête. Je m’échappe de son emprise, brutalement, en faisant deux pas de côté. Ça y est, je suis réveillé, et la colère me monte au nez. Je la regarde : elle est devenue laide, repoussante.
Il a dû y avoir un truc dans mes yeux, où je sais pas quoi, mais elle prend mon sexe, le range, et remonte ma braguette. Puis me prend dans ses bras. On se fait un gros câlin sans s’embrasser. Puis à mon tour je noue son cache-cœur, non pas sans avoir déposé un beau baiser sur ses deux seins. Elle rigole, mais cette fois-ci vraiment. On se regarde en silence. C’est fort.
On rentre chez elle, seule sa sœur Sandrine est devant une série à la con sur M6. Fabienne me demande de lui préparer un punch pendant qu’elle file aux toilettes. Même boisson pour moi, je connais le chemin du bar. L’aînée se manifeste :
Enfin ma « meuf » arrive, je prends congé en saluant sa sœur, on va s’installer dehors, sur le canapé où l’on s’est embrassé pour la première fois. Friendly bédo de fin de soirée. Néanmoins Fafa part aux infos, l’air inquisiteur :
Je prends un air sévère. Elle a l’air inquiète, et là c’est pas du chiqué. Bien.
Mais son regard de fille mouchée me fait marrer encore plus. Et forcément, elle s’y met aussi. Nos consommations étant finies, on repasse devant la sœur aînée, que je salue.
Devant ma voiture, on s’embrasse très tendrement, bisou de réconciliation (encore un). Je maintiens son bassin contre le mien pour lui faire ressentir mon envie pour elle, et lui caresse ses cheveux. On est bien, ça dure longtemps.
Je la regarde rentrer. À mi-chemin, elle relève sa jupe, et écarte ses fesses, sans tourner la tête, puis passe la porte.
Dans la voiture, je me demande si je ferais bien d’aller toquer à nouveau. Mais je m’en empêche, car je sais qu’elle se sent en sécurité avec moi, que je la protégerai d’elle. D’ailleurs voulait-elle tester cela ? La psyché féminine, c’est compliqué.
C’est con, mais je me sens comme un prince charmant.
À suivre…