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n° 20059Fiche technique21168 caractères21168
Temps de lecture estimé : 12 mn
12/02/21
Résumé:  Julien rencontre Magali, collègue de travail, qui va enflammer sa vie sexuelle jusque là très conventionnelle.
Critères:  fh extracon collègues hépilé fépilée hotel amour revede caresses fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fdanus hdanus init nostalgie -extraconj
Auteur : Conteurreveur  (Gentleman séducteur)      Envoi mini-message

Série : Magali, assistante commerciale, fait craquer son Directeur

Chapitre 01 / 04
Le séminaire

Je me lance après de nombreuses années à lire ces récits qui m’ont tant fait voyager et rêver, je décide de conter ma propre histoire.

Celle-ci commence il y a plus de dix ans lorsque, jeune manager, je fus nommé à un poste de directeur commercial d’une PME. Je me présente en fait, Julien, beau brun athlétique, 1,80 m pour 75 kilos, très bien éduqué et cultivé, j’ai plutôt une attitude de gentleman séducteur. J’ai cependant mis du temps à percevoir et maîtriser mon charme, ce qui m’a valu une sexualité et une vie amoureuse plutôt calme et réservée dans ma jeunesse. Marié, trois enfants, je pensais tout maîtriser dans ma vie professionnelle comme dans ma vie personnelle.


Mais je reviens à mon sujet. En bon manager, j’entame la tournée des sites sur lesquels nous opérons et je passe du temps à rencontrer mes équipes. Il faut avouer que je détonne un peu avec mon style. C’est un milieu archaïque, bien macho et assez âgé. La gent féminine est souvent reléguée à des postes subalternes et peu considérés.


Je reçois en entretien individuel chaque collaborateur sous ma responsabilité. Dans 90 % des cas, ils sont plus âgés que moi. Arrive enfin Magali, assistante commerciale. D’un seul coup, c’est un rayon de soleil qui entre dans le bureau. Vingt-sept ans, auburn carré mi-long, des formes généreuses portées par une femme épanouie. Maman de deux enfants dans les mêmes âges que les miens, le contact passe tout de suite très bien. Je suis un amoureux des yeux et j’accroche immédiatement son regard sublime. Des yeux clairs, rieurs, coquins, plein de vie. Je suis sous le charme…


Les différents déplacements m’amènent à croiser Magali deux à trois fois par an. Lors d’un premier séminaire et de son inévitable soirée, je danse avec elle et je sens qu’elle est plutôt sur la réserve, ayant peur de mal faire. D’un autre côté, elle me regarde assez directement et sa prise est ferme, comme si elle voulait savoir ce qu’il y a sous cette chemise. Il est plus de 4 h, j’ai pas mal bu et coupe court à mes illusions de mâle dominant.


Au fil des mois, nous sommes néanmoins en contact plus régulier et à l’occasion d’un échange par SMS, la conversation dévie sur le privé. Commence alors un jeu de séduction et de confidences par SMS où nous apprenons beaucoup l’un sur l’autre. Magali est assez à l’aise pour exprimer son vécu, ses sentiments ou encore ses désirs. Je découvre alors une femme qui aime les hommes et le sexe, avec un niveau d’expérience bien supérieur au mien et qui s’ennuie dans son couple où la communication est rompue.


Elle s’amuse à me décrire ses sous-vêtements noirs préférés, me raconter ses expériences les plus chaudes, notamment son plan à trois ou encore comment elle aime (aimait) faire craquer son homme en le rendant fou de désir par une très bonne fellation. Elle me demande de lui raconter un de mes fantasmes et je me laisse aller à lui conter mon rêve d’une fellation suivie d’un cunnilingus un soir au bureau avec une collègue, lorsque tout le monde a quitté les lieux. Je sens que la situation m’échappe et je décide de couper court à ces échanges. Son dernier message est laconique :


« Au revoir mon beau fantasme… »


Six mois plus tard, nouveau séminaire. Nouvelle soirée à un détail près, nous sommes tous logés au même hôtel, en chambre individuelle. Je danse avec mes différentes collègues et n’y laisse rien paraître. Vient le tour de Magali. Elle a changé de couleur de cheveux, elle est désormais blond très clair. Sans nous donner en spectacle (j’ai probablement vingt paires d’yeux braqués sur moi), la dance se fait plus intime, sensuelle. Joueur, je n’y tiens plus, je demande en souriant à Magali si elle a mis ses sous-vêtements noirs. Elle me regarde droit dans les yeux avec un large sourire et me chuchote :



Nous nous éclipsons chacun de notre côté plus tardivement et je remonte à ma chambre. J’hésite entre anges et démons, puis je me lance, descends et frappe à la porte…


Magali m’attendait visiblement avec une certaine impatience. Je referme rapidement derrière moi, nous ne nous parlons pas, un seul regard suffit. Magali se jette sur moi et me dévore littéralement la bouche. Je lui rends ce baiser fougueux et passionné et la serre dans mes bras. Je la sens très entreprenante. Ses mains caressent mon torse, glissent sous ma chemise puis descendent sur ma taille. Elle s’attarde sur les fesses pour en dessiner le contour, mesurer leur fermeté en les pressant plus ou moins fort. Elle m’avouera plus tard qu’elle fantasmait sur mes fesses et désirait ardemment pouvoir les caresser.


De mon côté, je ne suis pas en reste, mais suis plus timoré. Je caresse ses cheveux, le creux de sa nuque pour descendre délicatement sur le haut de sa poitrine qui m’attire.

Son aisance et ses initiatives m’excitent. Je suis dans cette chambre depuis quelques minutes et déjà sans même se parler une érection déforme mon pantalon.


Elle doit le sentir contre son pubis, car tout en continuant à nous embrasser, une de ses mains quitte mes fesses pour venir frotter mon sexe au travers du pantalon. Dans l’étroitesse de la chambre d’hôtel, elle me bloque entre le lit et le meuble qui fait office de bureau/support télé, déboutonne et descend mon pantalon. Elle me regarde avec ses yeux coquins, mutins même et prend un certain plaisir à me griffer délicatement les pectoraux puis les abdominaux pour finir par caresser mon érection et soupeser mes testicules au travers du fin tissu de mon boxer.


Je m’avance pour l’embrasser à nouveau et pouvoir la caresser, moi aussi, mais elle pose sa main sur mon torse, me regarde droit dans les yeux avec une lueur impérieuse et me repousse légèrement contre le meuble juste derrière moi. Elle s’assied sur lit juste devant moi puis passe ses mains sous l’élastique de mon boxer. Très doucement elle le baisse et se délecte du spectacle du membre raide jaillissant d’un seul coup. Moyennement long, mais plutôt large et très raide, elle le détaille sans aucune gêne. Surtout, sa main passe dessous semble apprécier mes bourses toutes lisses, récemment entretenues. Elle les flatte, les soupèse, les presse comme pour s’assurer que la source de plaisir est bien alimentée.


Je suis debout, appuyé sur le meuble, elle est assise devant moi, une main qui me masturbe doucement, une autre qui caresse mes testicules. Je suis paralysé par la tension sexuelle qui se dégage ce moment. Elle se baisse, relève la tête puis, avec un regard qui me rend fou, vient passer sa langue sur mes testicules et remonte tout le long de mon pénis pour venir gober mon gland. Commence alors une sublime fellation. Magali alterne les petits jeux de langues sur mon gland avec les prises en bouche profondes, pendant lesquelles elle aime m’attraper par les fesses et les serrer fort pour m’attirer en elle.


Elle lèche mes testicules tout en me masturbant plus ou moins vite puis revient saliver sur mon membre pour toujours le conserver lubrifié. Je suis proche du septième ciel et moi qui ai l’habitude de tout maîtriser et tout contrôler, je me rends compte que j’ai lâché prise et que je suis à sa merci. J’essaie de donner le change en glissant une main dans son soutien-gorge ou en lui caressant la nuque, mais encore une fois, je suis dépassé.


La fellation se fait plus directe, voire autoritaire. Magali maîtrise son sujet et dès qu’elle le peut, elle accroche mon regard pour comme pour lui dire : « toi, mon petit bonhomme, tu ne n’oublieras jamais cette pipe magistrale ». Je sens d’ailleurs que je ne vais tenir très longtemps. Je décide de ne pas me laisser aller et j’attrape son menton pour amener sa bouche contre la mienne. Je lui dis que je suis super excité et qu’à ce rythme elle va me faire jouir. Elle me répond toujours avec son regard mutin :



Je suis désormais hypnotisé, elle me sourit et replonge sur mon sexe avec voracité en le masturbant de plus en plus vite. Elle revient m’embrasser et me chuchote :



Sa main gauche remonte le long de mon torse, puis mon cou et ses doigts atteignent mon menton. Elle me donne son index et son majeur à sucer et, amusé, je me prête au jeu, me disant qu’en général ce sont plutôt nous les hommes qui faisons ça aux femmes.


Mais lorsque sa main quitte ma bouche et vient se glisser derrière mes testicules, mon esprit un peu embrumé s’enflamme et prend soudain conscience de ce qui va m’arriver. Je me crispe un peu, mais Magali une nouvelle fois accroche mon regard et me dit :



Je suis désarmé devant tant de maîtrise et délicatement je sens son majeur qui me masse l’anus puis force le passage pour s’introduire en moi. Là, c’en est trop, j’ai le sexe qui tressaille et Magali sent que le point de non-retour est atteint. Les yeux dans les yeux, elle pose mon gland sur sa langue et me masturbe très rapidement. L’orgasme vient du creux de mes reins et j’explose littéralement dans sa bouche. L’éjaculation est puissante, violente, abondante. Cinq jets épais viennent tapisser le palais de Magali qui n’a pas bougé d’un centimètre et ne m’a pas quitté des yeux. Avec une lueur de défi, elle passe sa langue sur ses lèvres et avale mon sperme.


Jamais je n’avais joui si fort auparavant. J’ai les jambes molles et pour le coup, j’apprécie de pouvoir m’appuyer sur le meuble derrière moi. J’émerge doucement de cet état de béatitude et je regarde à nouveau Magali qui m’observe en souriant, satisfaite de sa performance. Elle cajole doucement mon pénis, récupérant les dernières gouttes qui s’en échappent. Combien a duré cette pipe d’un autre monde ? Deux secondes, deux minutes ou deux heures ? je n’en ai aucune idée. Mais je prends conscience que je suis face à elle, la chemise ouverte, le sexe à l’air et qu’elle est assise devant moi, à peine déshabillée et surtout absolument pas comblée.


Mon profil de gentleman en prend un coup et je compte bien remédier au plus vite à cette discrimination. J’attrape de nouveau le menton de Magali et je viens l’embrasser à nouveau. D’abord timide, le baiser devient très vite fougueux et semble surprendre Magali. Il est vrai que je peux sentir dans sa bouche le goût de ma propre jouissance, mais je ne vais pas m’arrêter à ce petit détail.


Tout en l’embrassant, je déshabille Magali et enfin découvre ses beaux sous-vêtements noirs. Un ensemble soutien-gorge mettant en valeur ses seins voluptueux et un shorty mi-transparent qui invite à la découverte. Je peux enfin caresser sa poitrine qui semble sensible, car je sens son souffle s’accélérer. Je ne résiste pas plus et ma bouche vient dévorer ses mamelons qui durcissent sous le passage de ma langue. Magali a la peau douce, soyeuse et c’est un régal de la couvrir de baisers. Elle me confiera plus tard que m’attendant avec fébrilité et espoir, elle était passée à la salle de bain pour « se préparer » et notamment appliquer cette petite crème qui rend sa peau si douce.


C’est désormais mon tour de prendre la main et montrer ce que je sais faire. Je repousse Magali sur le lit et la fais allonger sur le dos. Je viens sur elle, l’embrasser, puis descendre le long de son cou, au creux de ses seins, titille le nombril pour venir lui faire sentir mon souffle chaud sur son pubis et ses grandes lèvres.


Avec la même délicatesse dont elle a fait preuve, je passe mes mains de chaque côté de son bassin pour attraper son shorty et le faire descendre tout doucement. Elle semble se laisser aller et ne remarque pas ma surprise lorsque je découvre un pubis finement taillé et surtout blond comme les blés. Lors de nos échanges SMS, Magali m’avait fièrement annoncé qu’elle était une vraie blonde et j’avais un peu oublié ce détail. C’est mon premier ticket de métro tout blond et c’est très esthétique.


Je remonte vers la bouche de Magali pour l’embrasser et lui chuchoter :



Sans plus de précautions, je redescends coller ma bouche sur son sexe déjà entrouvert et humide. Je me délecte de son nectar et ma langue vient fouiller entre ses petites lèvres pour faire éclore son clito. S’en suit alors un long ballet où j’alterne les succions intenses sur son clito avec les montées et descentes du pubis à la vulve. J’ai inséré deux doigts dans sa fente et Magali désormais soupire d’aise et ruisselle complètement sur mes doigts et ma langue.


Lors de nos échanges SMS, elle m’avait avoué qu’elle ne pratiquait la sodomie qu’occasionnellement, mais qu’un bon anulingus n’était pas pour lui déplaire. Je décide alors de pousser mon avantage et ramène ses genoux quasiment jusqu’à sa poitrine. Elle se laisse faire et désirante, offerte, impudique, me dévoile son anneau plissé. Ma langue glisse de sa vulve vers son anus et je commence à tourner autour avec délicatesse. Instantanément je la sens frémir, presque trembler et j’entends sa respiration qui devient lourde.


D’une main, elle me fouille plus qu’elle caresse les cheveux et de l’autre elle a attrapé une jambe pour être sûre de me laisser un plein accès à son sexe et son anus. Je sens qu’elle ne va pas tenir très longtemps. Aussi j’insiste avec ma langue sur son anus qui semble s’ouvrir doucement et que j’essaie de pénétrer avec la pointe de ma langue.


Ma main droite remonte sur son clito et je le caresse du pouce dans le même rythme que ma langue. Magali gémit, me tire les cheveux et s’arque dans un orgasme fort et intense. J’ai de la cyprine sur le nez, la bouche, le menton. Magali semble à bout de force et terrassée par l’orgasme. Je remonte m’approcher d’elle et c’est elle qui me saisit le menton pour m’embrasser à pleine bouche. Elle me dit :



Yes ! Ça c’est fait. Un partout, balle au centre. Je me sens ragaillardi et plein de confiance pour la suite des opérations…


Je m’allonge à ses côtés et laisse aller ma main le long de ses jambes, caresse son ventre puis remonte empaumer un de ses seins. Cette petite séance m’a redonné toute ma vigueur et Magali sent mon érection le long de sa hanche. Elle semble bien décidée à en profiter et saisissant mes testicules me dit :



Hasard des choses ou technique de femme d’expérience, il est clair que cette première fellation m’a mis en appétit et me permettra aussi de durer lors d’un second round. Tu ne perds rien pour attendre, je me sens d’une forme olympique ce soir. Je me lève et récupère un préservatif que j’enfile rapidement. Puis je viens me glisser entre les jambes de Magali pour me présenter à l’entrée de son sexe.


Nos premiers ébats semblent nous donner plus de facilité, plus d’harmonie. Avec moins de retenue, je viens m’enfoncer jusqu’à la garde dans ce sexe prêt à m’accueillir et colle mes lèvres sur celles de Magali.



Je prends appui sur mes avant-bras et entame un profond et puissant mouvement de va-et-vient. Implacablement, je pénètre Magali qui souffle à chaque percée de mon pénis. Le bas de mon pubis vient rencontrer son clito dans un petit clappement qui semble donner une étincelle jusqu’à la poitrine de Magali. Elle s’accroche à mes fesses comme si sa vie en dépendait. Son regard se trouble, une mèche de ses cheveux est collée sur son front par sa transpiration.


Je me sens fort et je pense que Magali veut me sentir fort, puissant, inépuisable. Je suis content de ne pas fumer, car là, clairement, je dois tenir le rythme et m’impliquer pour maintenir la cadence. Je sens Magali partir, mais contre toute attente, elle me repousse presque sèchement sur le côté.



Elle enjambe ma taille et vient guider mon sexe dans le sien. Le chemin n’est pas dur à trouver… Elle me chevauche désormais et c’est elle qui choisit le rythme, l’angle, la profondeur. J’ai compris qu’elle voulait un bel orgasme à sa manière. Je la regarde. Elle est belle à prendre du plaisir. Ses seins ballottent au-dessus de mon nez, j’en lape un de temps à autre avec ma bouche.


Puis Magali semble prise de frénésie, ses yeux ne me voient plus, elle accélère et donne de violents coups de reins lorsque je suis au fond d’elle. Je me redresse sur mes coudes et contracte mes abdominaux pour lui offrir un point de frottement pour son clito lorsqu’elle est complètement empalée sur moi. Elle souffle, ahane, gémit, puis son orgasme vient, fulgurant. Le temps semble suspendu. Magali, la tête renversée, bouche ouverte, donne l’impression de rechercher de l’air. Elle s’écroule à nouveau sur moi… 2 - 1 avantage… Oh, et puis on s’en fout. L’idée est que chacun prenne son pied, peu importe le nombre d’orgasmes…


Je suis toujours en elle, Magali a repris son souffle et m’embrasse à nouveau.



Oh mama mia ! décidément cette session de sexe restera gravée dans ma mémoire. Les idées les plus hard me passent par la tête, car Magali semble sans limites, mais d’un autre côté j’ai aussi envie de finir sur une bonne note pour elle.



Sans plus attendre elle me tourne le dos, mais encore une fois pour me surprendre, elle se met sur ses genoux et pose la tête et les épaules à même lit. Ses fesses sont relevées, je peux donc distinguer sa fente et son anus. Elle passe une de ses mains entre ses jambes pour se caresser. Je trouve cette position terriblement indécente et ressens une invitation explicite à venir la défoncer bestialement. Elle est de nouveau maîtresse de mon plaisir.


J’approche mon sexe et la pénètre sans trop de ménagement. Je sens sa main qui, de temps en temps, caresse mes testicules dès que je suis au fond d’elle. Je prends mon temps, je savoure l’instant. Je caresse la chute de ses reins, me penche pour l’embrasser dans le dos, viens titiller un de ses seins. Son anus m’attire aussi, il semble s’ouvrir légèrement à chacune de mes poussées et se rétracter lorsque je le retire. Je décide de jouer un peu avec et viens le masser avec mon pouce. C’est très tentant de le posséder, mais tous les trésors ne se dévoilent pas en un jour. Puis je sens que Magali s’impatiente.



J’accélère donc pour aller au plus profond d’elle. Je suis à mon tour à bout de souffle. Magali est en train de gémir et j’ai une pensée pour notre voisin ou voisine de chambre, car la discrétion n’est plus de mise. Je m’agrippe aux hanches de Magali fermement pour ne lui laisser aucun répit. Mon bassin claque sur ses fesses à chaque pénétration et je sens un plaisir profond monter en moi. Magali m’encourage et, dans un dernier aller-retour, j’insère mon pouce dans son anus et jouis dans le préservatif. Je sens alors Magali trembler sous moi et avoir un dernier petit orgasme…


Nous tombons dans les bras l’un de l’autre, fatigués, mais heureux de ce plaisir atteint au travers de cette belle communion. Nous parlons assez peu, car le l’horrible réveil rouge indique qu’il est près de 3 h du matin et que demain le quotidien reprendra ses droits… ou pas…



À suivre.