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n° 20063Fiche technique14318 caractères14318
Temps de lecture estimé : 8 mn
15/02/21
corrigé 31/05/21
Résumé:  Si tu me lèches comme la dernière fois, tu pourras faire de moi ce que tu veux, TOUT ce que tu veux...
Critères:  fh extracon cadeau collègues hépilé fépilée hotel travail lingerie caresses cunnilingu anulingus fdanus fsodo init -rencontre
Auteur : Conteurreveur  (Gentleman séducteur)      Envoi mini-message

Série : Magali, assistante commerciale, fait craquer son Directeur

Chapitre 02 / 04
Le cadeau

Dans le premier épisode :

Julien est nommé Directeur commercial d’une PME. Il rencontre Magali qui ne le laisse pas indifférent. Ils apprennent à se connaître et s’échangent des SMS brûlants jusqu’à un séminaire où, n’y tenant plus, ils passent une nuit torride ensemble…






« Si tu me lèches comme la dernière fois, tu pourras faire de moi ce que tu veux, TOUT ce que tu veux… »


Boom, le SMS de Magali tombe comme un couperet en cette fin de journée. Je suis un des derniers au bureau et je pense que quiconque passerait par-là me verrait changer de couleur. J’ai chaud, la gorge sèche, je desserre ma cravate et arrête toute activité, car la concentration sera désormais impossible.


Lors du dernier séminaire, trois mois plus tôt, nous nous étions quittés avec tendresse et respect pour que chacun retrouve sa vie d’avant. Nous pensions certainement qu’il s’agissait d’une aventure sans lendemain, un coup de folie qui peut se produire sans que l’on sache pourquoi ni comment. Cependant, combien de fois ai-je revécu cette nuit dans ma tête, combien de fois ai-je eu le besoin irrésistible de me masturber lorsque j’y repensais. Je revoyais Magali allongée sur le dos, offerte pour un bouillant cunni/anulingus, Magali me chevauchant et rejetant la tête en arrière anéantie par l’orgasme, Magali me suçant et les yeux dans les yeux avalant mon sperme. Le désir est resté intact, brut, omniprésent…

Je ne peux résister – décidément, lorsqu’il s’agit de sexe, nous les hommes avons une volonté à tenir des bonnes résolutions proches de zéro – et réponds en quelques instants :


« Tout, TOUT, ce que je veux ? Mais que tu voudras aussi ? »

« Absolument TOUT et je le veux aussi. »


Tempête dans mon cerveau. Je me refais l’intégralité de nos échanges SMS depuis le début. Magali m’avait avoué pratiquer la sodomie occasionnellement, sans s’étendre sur le sujet. Je pensais qu’elle le faisait par soumission ou désir de faire plaisir à son homme, en prenant sur elle et attendant son tour. Pour autant, elle avait vraiment bien réagi lors de ma « mise en bouche » et le passage de ma langue sur son œillet la faisait vibrer systématiquement. Plus encore, lors de notre levrette, j’avais osé insérer mon pouce et elle a semblé apprécier cette caresse. Je ne sais pas trop quoi penser, car je suis novice en la matière et elle le sait. Elle sait aussi que je suis monté plutôt large. Mais je ne vois pas de quoi d’autre elle pourrait parler…


« À l’hôtel, je voulais me donner entièrement à toi, découvrir chaque partie de ton corps et te faire profiter de chacune des miennes. »


C’est moi ou il fait chaud dans ce bureau ?


« Oui, j’ai senti que nous étions en parfaite osmose, que sans même se parler on arrivait à trouver ce que l’autre voulait »


Bon, là je mens un peu tout de même, car à bien y repenser, c’est quand même Magali qui avait pris les choses en main…


« J’avais envie de toi et je n’avais pas fait l’amour depuis un long moment. Je m’étais imaginé plein de choses avec toi et j’ai adoré cette nuit, bien au-delà de mes attentes.

Même si j’avais beaucoup fantasmé, tout n’était pas prémédité, il y avait de la spontanéité. Quand tu m’as fait jouir, je t’appartenais complètement, intensément, profondément. Je voulais être comme ta chose, ton objet, assouvir tous tes fantasmes. Je te l’ai déjà dit : On ne connaît vraiment les gens que lorsqu’on est au plus profond d’eux-mêmes »


Je suis relis ces dernières lignes deux ou trois fois, car ma vue se brouille tant je suis excité. J’ai une érection et une envie de sexe immédiate. D’un autre côté, la dernière fois qu’elle m’a dit ça, elle m’a surpris en me doigtant. Si son délire c’est de me prendre avec un gode-ceinture, je ne vais pas kiffer du tout là… Je relis une dernière fois son message, non j’ai bien compris, c’est sans équivoque, elle m’offre son cul, ma première sodomie…


« J’aime entendre cette phrase venant de toi. Cela promet des moments intenses de plaisir et d’extase. Je vais m’arranger pour venir faire une tournée dans ton secteur, je ne peux y résister… »

« Je t’attends, tiens-moi au courant. »


Avec en prime une photo suggestive de ses fesses en sous-vêtements, un peu à la mode Aubade…

Nul besoin de dire que la tournée fut organisée dès le lendemain, pour un déplacement la semaine qui suit dans son secteur.


Semaine suivante, je prétexte un appel stratégique avec nos actionnaires pour aller m’isoler le temps de la pause déjeuner à mon hôtel. Magali, elle a prévenu ses collègues qu’elle déjeunait à l’extérieur et aurait peut-être un peu de retard. Trois coups sur la porte et elle entre dans ma chambre. On se regarde, on rigole devant l’incongru de notre situation, obligé d’inventer un stratagème de Sherlock pour ne pas se faire prendre.



L’ambiance est plus légère et décontractée que trois mois plus tôt. On se parle, se regarde avec plus de légèreté, car on sait que ça colle entre nous. Je m’approche d’elle, l’attrape par la taille pour la coller à moi. Ses mains passent immédiatement derrière mes fesses pour les caresser, les malaxer, les dessiner.



Puis elle vient coller sa bouche sur la mienne pour un long baiser.

Sans gêne, je commence à déboutonner son chemisier et fais ressortir sa poitrine. Nouveaux sous-vêtements, nouveau plaisir des yeux. Je décide de la déshabiller quasi intégralement et je m’attaque dans la foulée à sa jupe qui tombe à ses pieds. Je la regarde intensément, elle est en bas autofixants, tanga (celui de la photo) et soutien-gorge. Elle, belle, radieuse, avec une lueur lubrique dans le regard. Elle me plaît. Je retire rapidement ma chemise et mon pantalon. J’ai une érection monstrueuse qui déforme mon boxer, mais je ne m’en cache pas. Elle veut me faire bander et je lui montre qu’elle parvient à ses fins sans aucune contestation.


Ses mains viennent caresser mon sexe et mes testicules.


« Quelque chose semble présent ici et je ne lui ai même pas dit bonjour »


Elle s’apprête à baisser mon boxer et je sens qu’elle est prête à me refaire le coup du séminaire. Mais malheureusement le temps nous est compté et j’aimerais que nous profitions différemment. Je ne lui laisse pas le temps de me sucer et je la pousse sur le lit. Cette fois c’est moi qui prends la direction des opérations.



Elle s’exécute en souriant.



Lorsqu’elle prononce cette phrase, je ne la trouve pas vulgaire. Juste l’expression simple et brute d’une pulsion immédiate.



Je me glisse derrière elle et commence à embrasser ses fesses. Mes mains effleurent son tanga, pour venir passer sur ses grandes lèvres. Je décide de retirer cette dernière entrave. Magali est devant moi, en bas, à genoux, la croupe relevée, prête à recevoir mes plus intimes caresses. J’approche ma bouche et colle ma langue sur son pubis pour remonter jusqu’à son anneau plissé. Elle feule quasiment sous ce premier coup de langue.


Ses grandes lèvres sont déjà ouvertes et j’ai pu sentir ses premières gouttes de cyprine. Si j’avais un doute, il est balayé. Je commence donc mon travail de sape où j’alterne des mouvements insistants sur son clito avec ceux sur son anus. Comme lors de nos derniers ébats, ce dernier semble très sensible. Je vais et je viens de haut en bas et je veille à bien insister sur son clito ou son anus.


Magali désormais respire fort, commence à se tortiller sur le lit. J’ai moi-même une érection qui me fait presque mal tant elle est puissante. J’introduis directement deux doigts dans la fente de Magali et je viens caresser son point G. Ma langue est remontée sur l’œillet de Magali et tournoie frénétiquement dessus, essayant même de pousser sur la corolle pour tenter de se frayer un chemin. Je décide de pousser mon avantage et y introduis le pouce de la main gauche. La résistance est assez faible et bien aidée par la salive, je m’amuse à le faire aller et venir au même rythme puis au rythme opposé de celui de mes doigts dans son sexe. Magali halète littéralement et dans un dernier souffle, se cambre et jouit sur mes doigts…

Je la laisse reprendre ses esprits en l’embrassant dans le cou, sur ses épaules et ses seins.



Elle s’allonge sur le dos et me regarde avec un mélange d’appréhension et d’excitation.

J’en profite pour enfiler un préservatif et attraper le tube de lubrifiant acheté pour l’occasion.



J’ai beau être novice, je me suis tout de même renseigné pour pouvoir faire une belle première sodomie. Je demande à Magali de relever très haut ses jambes, de ramener ses genoux quasiment de chaque côté de ses seins et de les maintenir en plaçant ses mains derrière. J’ai ainsi plein accès sur son anneau. Je badigeonne deux de mes doigts et délicatement je masse le rectum, le presse, le titille, l’assouplit. Un doigt pénètre facilement, puis un deuxième suit aussi facilement. Il faut dire que mon pouce a déjà ouvert la voie. J’en profite pour remettre un peu de lubrifiant et je les fais désormais aller et venir sans trop de difficultés. Mes deux doigts au fond d’elle, je me penche sur Magali et l’embrasse à pleine bouche.



Je me redresse, retire doucement mes doigts et viens présenter mon gland sur l’entrée de son étroit fourreau. Je pousse très lentement et scrute chaque signe de douleur sur le visage de Magali. Son regard va de mon sexe la pénétrant à mes yeux. Ils sont beaux lorsqu’ils sont coquins, rieurs. Elle respire fort, la bouche ouverte, comme essoufflée après un effort. Je sens qu’elle se crispe un peu et sa main vient caresser son clito comme pour s’encourager dans l’épreuve. J’hésite à stopper là maintenant, mais finalement mon gland est entré.



Soutenu par ses paroles, je continue ma lente progression jusqu’à la moitié de ma verge. La sensation est inédite pour moi. Je me sens serré, comprimé, emprisonné. J’ai l’impression de ressentir les moindres palpitations de Magali au travers de mon pénis. Je tente un premier va-et-vient et j’ai la nette sensation que Magali se détend quasi immédiatement. La pression est moins forte et je peux coulisser plus facilement. Je commence alors mes mouvements de bassin et je regarde Magali changer d’attitude. Son expression d’appréhension a disparu, elle semble plus zen. Elle a toujours la bouche ouverte, comme si elle recherchait de l’air et à ce moment je me demande si elle me voit réellement.


Je décide d’accélérer et d’amplifier la profondeur de mes coups de reins. Magali gémit et caresse frénétiquement son clito. Effet de la nouveauté, sentiment de braver l’interdit ou encore harmonie avec Magali, je ne cherche pas à résister à mon orgasme tant je sais que c’est inutile. Dans une dernière cavalcade, je viens me caler au fond d’elle et explose dans mon préservatif. Je ne sais pas si elle a véritablement joui, mais elle a pris du plaisir, c’est sûr. Elle m’avouera plus tard que l’orgasme anal était différent en sensation et qu’elle ne savait pas trop comment le décrire, mais que cela avait été très agréable.


Je me couche sur elle pour venir chercher ses lèvres. Nous échangeons de tendres baisers, lovés dans les bras de l’autre. Nous savons tous les deux que le temps imparti est dépassé.



Nous nous enlaçons une dernière fois et durant l’après-midi, j’avoue ne pas avoir fait preuve d’une grande énergie lors des rendez-vous. La tournée touche à sa fin et je me demande où cela peut aboutir avec Magali…