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n° 20069Fiche technique22863 caractères22863
Temps de lecture estimé : 13 mn
18/02/21
corrigé 31/05/21
Résumé:  Deux ans après une première nuit torride et une initiation anale entre midi et deux, Julien et Magali se retrouvent pour un plan à trois.
Critères:  ffh extracon grosseins hépilé fépilée hotel caférestau revede voir fmast caresses intermast fellation cunnilingu pénétratio init confession nostalgie -totalsexe
Auteur : Conteurreveur  (Gentleman Séducteur)      Envoi mini-message

Série : Magali, assistante commerciale, fait craquer son Directeur

Chapitre 03 / 04
Le trio - Partie 1

Résumé partie 1 :

Julien est nommé Directeur commercial d’une PME. Il rencontre Magali qui ne le laisse pas indifférent. Ils apprennent à se connaître et s’échangent des SMS brûlants jusqu’à un séminaire où, n’y tenant plus, ils passent une nuit torride ensemble…


Résumé partie 2 :

« Si tu me lèches comme la dernière fois, tu pourras faire de moi ce que tu veux, TOUT ce que tu veux… » Magali ravive le souvenir de leur nuit torride et propose de combler les lacunes de l’éducation sexuelle de Julien par de nouvelles découvertes.






Le temps a filé entre nos mains. Quelques mois après notre « midi - 14 heures » coquin, un grand groupe a racheté la belle PME, je ne me voyais pas continuer avec eux. J’ai quitté l’entreprise et suis parti vers d’autres horizons. Nous restons en contact avec Magali, mais les messages sont plus espacés, plus sérieux aussi et surtout je perçois pas mal de tristesse. Après des années pendant lesquelles cela ne fonctionnait pas, Magali a décidé de divorcer et cela ne se passe pas au mieux. J’essaie de la réconforter autant que possible, mais la distance ne nous aide pas. Elle m’envoie cependant un message positif :


« Je voulais te remercier, car au milieu de ces années tristes, tu m’as fait entrevoir la lumière. Je me suis sentie belle dans tes yeux, aimée dans tes bras, désirée dans ton corps. Cela m’a fait un bien fou d’être une femme à nouveau. »

« Tu n’as pas à me remercier. C’est venu naturellement, je n’ai pas eu d’effort à faire. C’est comme une alchimie qui s’est mise ne place simplement pour notre plus grand plaisir. »

« Oui, c’est vrai, tu as raison. D’ailleurs en parlant de plaisir comment ça va, toi ? »


Tiens, tiens… Dire que j’attendais cela serait un peu exagérer, mais c’est vrai que j’adorais nos « sextos » qui me permettaient de me lâcher, moi le gentleman très (trop) propre sur lui. Mais justement, je ne voulais pas être lourd et je respectais cette période difficile pour Magali. J’étais à son écoute et plutôt prévenant qu’entreprenant.


« Pour être franc, c’est assez calme à la maison. On s’entend bien et on se complète bien, mais ce n’est pas le feu. C’est comme ça, il y a des hauts et des bas. Et toi, comment vis-tu ta nouvelle vie de célibataire ? Tu trouves du temps pour draguer du petit jeune ? »

« Honnêtement non, je n’ai pas une minute à moi avec les enfants et j’avoue que je ne suis pas dans le trip de draguer et rencontrer quelqu’un. Je me concentre plus sur ce qui peut me réjouir ou me faire plaisir simplement. »

« Oui, j’imagine… »

« D’ailleurs, j’ai quelque chose à te demander… »

« Vas-y, n’hésite pas ».

« M’écrirais-tu un beau texte où tu me fais voyager, rêver, vibrer ? »

« Oui, bien sûr… »


Je suis passionné par la mer et le bateau et il ne m’a pas fallu longtemps pour lui envoyer un beau récit où, ancré dans une crique déserte, je lui faisais l’amour avec passion et fougue…


« J’ai adoré ton texte. J’aimerais bien que tu m’emmènes faire un tour en bateau, mon corps me le demande 😊. À ton tour de me demander une faveur. »


Eh bien, là je suis un peu sec et je perds de mon assurance. Je sais que Magali est très nature et spontanée et qu’elle aurait tant de choses à me faire découvrir. Mais je ne sais pas si elle se découvrirait elle-même. Je me lance tout de même.


« J’ai une demande, un fantasme. Tu m’as dit que tu avais testé le plan à trois dans ta jeunesse et j’aimerais bien que tu me racontes. Ce qu’on voit dans les pornos, c’est too much, il n’y a plus d’érotisme. J’adorerais que tu me racontes ton vécu en mode « vraie vie »… »

« Ahah, oui, je te le confirme, ce n’est pas comme au cinéma – si on peut appeler ça du cinéma – cela s’est fait tout seul, avec un copain et une de mes meilleures amies. »


Et Magali m’envoie son récit, criant de vérité, plein de douceurs et d’attentions, de complicité et de partage. On est très loin du ffm des sites pornos. J’ai aimé son texte, touché et ému par ce que j’y ai lu, rêvé et fantasmé sur une telle expérience. Et je lui ai dit, en toute franchise. Mais le temps file à nouveau et plusieurs semaines s’écoulent…


Magali a changé de travail également. Elle doit effectuer un parcours d’intégration au centre de formation du groupe en région parisienne. Elle m’envoie un message.


« Hello, je crois que tu es souvent à Paris. J’y suis toute la semaine prochaine, nous pourrions essayer de nous voir pour un dîner ? »

« Mais oui, avec grand plaisir. Dis-moi dans quel coin tu es et je m’organise. »


Pour moi, c’est un dîner ami/amant, mais ultra-soft. On ne s’est pas vu physiquement depuis deux ans. On aura pas mal de choses à se raconter, mais la suite de la soirée sera selon les souhaits de Magali, sans la brusquer… Je ne croyais pas si bien penser…


Le jour J :


« Coucou, toujours OK pour ce soir ? »

« Mais carrément. Je ne raterais ce dîner pour rien au monde. »

« Je voulais te demander, j’ai une très bonne amie, Sophie, qui est seule et cela m’embête de la laisser. Est-ce que cela te gêne si je lui propose de se joindre à nous ? »


Ah… bon, je suis un peu refroidi, là. Les sujets intimes, on oublie, la suite de la soirée on oublie… Cela sera un dîner « friendly » comme disent les américains.


« Non, pas de soucis. Plus on est de fou… »



Pfff qu’est-ce que c’est tarte comme SMS. Comme quoi je suis un peu « venere ».


Arrive le soir. Nous nous retrouvons devant le restaurant, ces dames arrivant naturellement avec le petit retard qui est dû à leur rang. J’embrasse sur les joues Magali qui est radieuse, sa main se pose sur ma hanche pour signifier une bise plus que chaleureuse. Puis Magali se détourne :



Sophie semble me détailler de la tête au pied et me gratifie d’un très large sourire avant de me faire la bise.


Nous nous installons à table et donnons nos vêtements au réceptionniste. Avec, je l’espère, plus de discrétion, je regarde les filles se mettre à l’aise. Visiblement elles se sont mises en beauté pour venir dîner avec moi. Magali porte une belle robe noire avec un beau décolleté et semble avoir maigri, mais reste telle que je l’ai quittée deux ans plus tôt. Sophie est dans le même style que Magali. Pas très grande, un regard vif, pétillant, rieur comme j’aime. Les cheveux bruns, longs, elle porte une jupe avec un collant opaque dessous, des jolies bottes et un haut avec les épaules dénudées, mais sans décolleté. Surtout, ce qui ne m’a pas échappé, c’est la taille de ses seins. Même si son haut a vocation à cacher un peu leur volume, j’évalue à un 90 D ou E cette poitrine que je devine magnifique. Je soupçonne immédiatement Sophie de les cacher pour que les hommes s’intéressent à elle dans son ensemble et pas seulement ses seins.


Mon regard revient sur Magali qui m’observe et une fraction de seconde, je sais. Et elle sait que je sais au vu de son petit sourire. Sophie est « La » Sophie du plan à trois que Magali a vécu dix ans plus tôt. Elle m’avait confié que son amie avait une forte poitrine et qu’elle avait aimé caresser ses seins, comme elle aime que l’on caresse les siens.


Ok, cette soirée risque de prendre une tournure inattendue. Magali semble diabolique et pleine maîtresse de ses moyens, à la manœuvre.


Le dîner est hyper sympa, décontracté, joyeux. Sophie s’avère très intéressante et curieuse. J’adore ce genre de fille qui, sans être naïve, a tendance à voir les choses positives de la vie. Le contact passe bien entre nous trois. J’ai porté une attention particulière au choix du restaurant et les filles semblent apprécier. Notamment l’ambiance feutrée des alcôves, le service discret et les cocktails et le vin qui sont magiques. À la fin du dîner, Magali prend les devants et propose :



En fait ce n’est pas vraiment une proposition. Je réfléchis à cent à l’heure pour trouver un coin sympa.



Ni une ni deux nous nous engouffrons dans un taxi.


Arrivés à l’hôtel, Magali m’attrape le bras et me glisse.



Bon, eh bien là, je crois que c’est clair. Encore une nuit qui restera gravée dans ma mémoire…


Je passe commande des caïpis et prends une bouteille de champagne en plus. Je demande un plateau pour emmener tout ça dans la chambre et le barman me regarde un peu moqueur et me dit :



Grillé ! Mais délicate attention tout de même. D’autant plus que les filles ont pris ma clé de chambre et que je suis bien content qu’il m’ouvre la porte.


Je pose le plateau sur la petite table basse et entreprends d’ouvrir le champagne. J’entends des fous rires qui parviennent de la salle de bain. Enfin, les filles sortent et sont belles comme le jour. Radieuses toutes les deux, souriantes, détendues. Il faut dire que l’on a déjà pas mal bu.


Elles s’installent dans le canapé qui me fait face et je sers une coupe de champagne pour Magali et une caïpi pour Sophie. Sans être dénudé, le décolleté de Magali semble plus plongeant et le top épaules dénudées de Sophie plus bas. Nous trinquons et savourons cette première gorgée puis Magali repose son verre et me fait un petit clin d’œil. Elle se redresse, caresse le visage de Sophie et vient l’embrasser très délicatement. D’abord des petits baisers sur le bout des lèvres puis un vrai baiser où leurs bouches s’unissent, leurs langues se mêlent. Sophie n’a pas posé son verre et n’ose pas bouger.


J’ai peur de rompre cet instant magique, mais je me lève pour lui prendre des mains. Elle n’a pas un regard pour moi et fixe intensément Magali. Magali commence alors à caresser avec beaucoup de douceur les seins de Sophie. Elle tire sur l’élastique de son top pour le positionner comme un balconnet et fait ressortir les mamelons qu’elle effleure avec le bout de ses doigts. La poitrine de Sophie est vraiment une invitation au plaisir et si pour moi Magali n’est ni lesbienne, ni même bi, je pense qu’elle a simplement envie d’en profiter et de partager cette intimité avec son âme sœur.


Je suis assis dans le fauteuil face à elles et je les regarde. Elles sont belles, douces, complices. Je n’ose prendre une quelconque initiative, de peur de rompre cet instant magnifique. Je suis hypnotisé et fasciné. Sophie souffle et respire plus rapidement désormais. Magali, inarrêtable, glisse une main sous sa jupe et je devine qu’elle vient caresser le clito au travers de la culotte, car Sophie réagit immédiatement. La bouche de Magali quitte celle de Sophie pour venir lui lécher un sein. Elle semble bien s’y prendre, car Sophie désormais a les yeux mi-clos, la bouche légèrement ouverte et soupire d’aise. Tout en caressant l’intimité de Sophie, Magali me regarde dans les yeux, avec une lueur lubrique, impérieuse, limite dominatrice. De son autre main, elle me fait signe de l’index de m’approcher. Je n’y résiste pas.


Je viens me positionner à genoux à côté de Sophie sans qu’elle semble sentir ma présence. Magali m’attrape par la chemise et m’embrasse fougueusement. Puis se recule et, avec une lueur de défi, me donne ses doigts à lécher. Je sens instantanément le goût du plaisir de Sophie et cela m’excite. Je pensais que Magali caressait délicatement le clito de Sophie, en fait elle la doigtait avec son index et son majeur. Pour moi, l’invite est explicite. Magali tire alors sur ma chemise pour que j’approche ma bouche du sexe de Sophie. Elle relève sa jupe et je m’aperçois qu’elle n’a plus de culotte et n’a conservé que ses bas. Je comprends maintenant les fous rires dans la salle de bain. Je suis sûr que Magali n’a pas plus de culotte non plus.


Je regarde une dernière fois Magali qui ne s’occupe plus que la bouche de Sophie ou de ses seins. Puis je plonge ma tête entre les cuisses de Sophie pour lui prodiguer un rapide cunnilingus. Elle semble déjà très excitée, toute mouillée et ouverte. Je n’ai pas beaucoup de peine à aller et venir de son clito à sa vulve. Sophie gémit maintenant et caresse mes cheveux avec sa main. Je sens que son plaisir monte, car son bassin s’agite. J’insiste une dernière fois sur son clito et Sophie me colle littéralement la bouche dessus lorsqu’un bel orgasme la submerge.


Je me redresse. C’est une drôle de sensation de faire un cunnilingus à une femme que l’on n’a même pas déshabillée, caressée, ni embrassée.



Sophie semble à cet instant se rappeler que je suis là aussi et me dit en riant :



Puis elle m’attire à elle pour m’embrasser avec passion. Le baiser à peine terminé, c’est Magali qui vient aussi m’embrasser avec passion. C’est très excitant et je dirais que c’est à ce moment que notre trio a vraiment démarré.


Magali, satisfaite de son entrée en matière, se lève et attrape son sac. Elle revient avec une boîte de préservatifs neuve et me dit en riant :



Je ne me le fais pas dire deux fois. Je me déshabille prestement et enfile un premier préservatif. La boîte de douze me semble un peu exagérée, mais l’avenir me donnera tort.


Les filles se sont déshabillées attendent que je prenne place au milieu d’elles sur le canapé.

À peine assis, Sophie me caresse partout, embrasse mes pectoraux, glisse sa main sur mon sexe et descend sur mes testicules. Comme Magali deux ans plus tôt, elle s’attarde dessus, apprécie leur fermeté et surtout leur douceur, lisses de tout poil. Je comprends que Magali n’a absolument rien caché de mon anatomie et en bonne contremaîtresse, Sophie vient s’assurer qu’elle n’a pas été flouée sur la marchandise.


Pendant ce temps, Magali m’a donné ses mamelons à mordiller et je m’y attarde avec passion tant je sais qu’elle aime ça. Sophie se lâche aussi et, sans permission, vient me chevaucher pour me caler au plus profond d’elle. Elle commence alors d’amples va-et-vient pour ressentir toute ma longueur. Magali la regarde, excitée, peut-être jalouse ou envieuse. Elle lui caresse les seins qui ballottent au rythme des montées et descentes. Soucieux de la combler, je me laisse glisser sur le côté pour m’allonger et propose sans plus de réserve à Magali de venir sur ma bouche. Elle m’embrasse avec fougue et vient positionner ses genoux de chaque côté de ma tête puis vient coller son sexe déjà humide sur ma bouche.


Immédiatement ma langue tournoie sur les petites lèvres de Magali et son clito. La position n’est pas très confortable, mais c’est grisant de se dire que l’on arrive à donner du plaisir à deux femmes en même temps. Je ne vois quasiment rien, mais je les entends respirer fort. Je suis presque sûr que Magali caresse les seins de Sophie. Peut-être s’embrassent-elles. D’ailleurs c’est plus Magali qui s’agite sur ma bouche et ma langue que moi qui vais et viens sur sa fente. Elle reproduit les coups de reins de Sophie et semble essayer de faire pénétrer et frotter ma langue selon le même tempo. Au bout de quelques minutes, Magali dit à Sophie :



Ouf, je peux reprendre un peu mon souffle. Changement de position, changement de préservatif. Je commence à comprendre qu’une boîte neuve n’est pas une mauvaise idée.


Magali s’installe à genoux dans le canapé et m’invite à la prendre en levrette, bestialement, sans aucune réserve devant Sophie. Je la pénètre jusqu’à la garde et commence un va-et-vient puissant, ample et profond qui fait gémir Magali. Sophie, d’abord en retrait, vient sur le côté me caresser les fesses qu’elle semble apprécier. Magali sent sa présence et tourne la tête pour nous voir. Elle décide alors de changer de position pour mieux nous observer. Elle s’assied au bord du canapé, les jambes très relevées pour que je vienne la prendre en missionnaire, à genoux à même le sol. Sophie vient alors coller sa poitrine sur mon dos, et me caresse le torse tout en regardant Magali par-dessus mon épaule. Elle m’embrasse à pleine bouche comme pour lui signifier « Il est à moi aussi… »

Puis elle me glisse dans l’oreille :



Sophie m’encourage alors :



Sa main quitte mes fesses pour passer devant moi et venir caresser du pouce le clito de Magali qui semble se redresser à chaque coup de boutoir. Le regard de Magali devient vitreux, je ne saurais dire si elle me regarde ou regarde Sophie. J’accélère mes coups de reins et Sophie, en bonne diablesse, suit le rythme sur le clito de Magali. Magali crie littéralement son plaisir et s’arque dans un orgasme très fort.


Je suis moi-même au bord de la jouissance tant cette position et la découverte du côté un peu pervers de Sophie m’ont excité.

Sophie continue à m’embrasser et me caresse, comme si elle s’assurait que mon excitation reste au top le temps que Magali reprenne ses esprits. Ce qu’elle ne tarde pas à faire.


Magali se redresse et vient se joindre à notre baiser. J’alterne entre la bouche de Magali et celle de Sophie. Magali décide de reprendre les choses en main.



Elle me fait asseoir sur le canapé et retire mon préservatif. Elle écarte mes jambes, se glisse entre elles, puis vient me lécher de la base des testicules au bout du gland avec ce regard qui me rend fou. Je repense à la fellation d’un autre monde, vécue deux ans plus tôt. Elle prend un malin plaisir à jouer avec mes parties sensibles en me jetant des œillades brûlantes. Elle se redresse un peu et invite Sophie à la rejoindre. D’abord un peu timide et désordonné, le ballet des langues s’organise et trouve son tempo pour un plaisir inouï. Magali joue avec mon gland quand Sophie titille mes testicules ou encore monte et descend le long de ma verge lorsque Sophie suce le gland. Parfois leurs bouches sont proches et viennent se donner un petit bisou. Mais la manœuvre de Magali ne souffre aucune contestation, elles vont me faire jouir et nul ne pourra s’y opposer. D’ailleurs elles me regardent régulièrement pour mesurer la montée du plaisir sur mon visage. J’essaie de repousser le plus longtemps le moment fatidique, mais c’est impossible de résister.



Sur ces mots, elle active sa bouche rapidement de bas en haut et déclenche mon éjaculation. Comme si elle était trop longtemps contenue, elle gicle tel un geyser. La première salve atterrit sur mes abdominaux, la deuxième très puissante sur mon cou et le bas de mon menton, puis les suivantes sur mes abdominaux et mon nombril. Oh, la vache ! je me sens épuisé d’un coup, fébrile.



Elle vient m’embrasser et, vicieuse à souhait, prend un malin plaisir à embrasser mon menton et revenir m’embrasser à pleine bouche pour que nous partagions un peu de mon sperme.


Puis toujours plus vicieuse, elle redescend avec sa bouche sur mes abdominaux, y récupère un peu de sperme et va embrasser Sophie qui était un peu en retrait. Sophie n’a pas l’air emballée, mais semble faire contre mauvaise fortune bon cœur, comme une promesse faite à Magali de goûter. Je me redresse et viens embrasser aussi Sophie pour dissiper tout malentendu.


Il est tard, les filles ne rentreront pas ce soir et je leur propose de rester, si elles le souhaitent. Il y a deux grands lits dans la chambre. Nous passons chacun notre tour à la douche et lorsque je reviens le dernier, les filles, qui ont passé les deux peignoirs de l’hôtel me disent en l’ouvrant et en riant.



Ok, round N°2, je repense à la boîte de douze préservatifs, mais c’est une autre histoire.