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Temps de lecture estimé : 17 mn
18/03/21
Résumé:  Sous le règne de Tonton 1er, un jeune coq suscite les émois de sa prof qui exerce dans un petit lycée de province.
Critères:  f fplusag jeunes couleurs profélève école cérébral revede voir lingerie odeurs fmast -rencontre
Auteur : Jimmychou      Envoi mini-message

Série : La prof de lycée

Chapitre 01 / 03
La naissance du désir

Fin des années 80. Monique C. Enseigne l’anglais dans le lycée d’une petite ville paisible de l’est de la France. Cette femme fière de trente-cinq ans, mariée à un ingénieur, est mère de deux jeunes enfants. De taille moyenne, la belle brune au caractère bien trempé ne laisse aucun de ses collègues indifférents, suscitant parfois l’envie, voire une jalousie malsaine chez certaines femmes et souvent l’admiration, sinon le désir parmi les enseignants masculins.

Aucun d’eux n’est en effet insensible à la sensualité diffuse qui émane de ses postures et de ses tenues élaborées avec une féminité assumée.


Monique est une fervente adepte des chemisiers au décolleté plus ou moins sage, des jupes étroites suffisamment courtes pour dévoiler ses jolis genoux ronds, des collants fins qui galbent élégamment ses jambes effilées et des talons hauts sans lesquels elle ne quitte jamais sa maison.


Cette année, la belle Monique a hérité de la classe la plus problématique du lycée polyvalent. La terminale G3 est en quelque sorte le déversoir où l’on envoie les cancres pour éviter de dégrader davantage les statistiques du chômage. C’est un vrai concentré des difficultés scolaires les plus symptomatiques de l’école républicaine. Un élève notamment inquiète particulièrement Monique : Youssouf n’Gambi, dont la famille d’origine guinéenne s’est installée quelques mois plus tôt dans le village voisin. Youssouf est un colosse athlétique qui aura dix-neuf ans au mois de janvier. Avec sa peau d’un noir de jais, et sa taille de 1,88 m, il dénote particulièrement parmi ses camarades.


À cette époque, les jeunes issus de l’immigration ne sont pas légion dans la région et c’est la première fois que Monique a un élève originaire d’Afrique noire dans une de ses classes de terminale.

Elle suspecte d’ailleurs la proviseure du lycée avec son faux-air de bigote républicaine de lui avoir fait ce cadeau empoisonné. Jusqu’alors, la professeur d’anglais était abonnée aux sections classiques et leurs contingents d’élèves généralement polis et respectueux, et elle était toujours parvenue à tenir ses classes sans difficulté particulière.


Mais Monique pressent en dispensant son premier cours de l’année aux TG3, que les choses se passeront différemment cette fois et que ce Youssouf va sans aucun doute lui occasionner quelques poussées d’adrénaline.


Le jeune noir a tout du mâle alpha en devenir et bien qu’il n’ait pas encore dix-neuf ans, il dégage une puissance animale qui perturbe Monique plus que de raison. Sans qu’elle s’en rende même compte, son corps est particulièrement réceptif aux phéromones libérées par l’élève parfaitement conscient de sa puissance sexuelle.

C’est pourquoi le soir de cette première journée, Monique a du mal à s’endormir et n’a d’autre alternative pour retrouver son calme que de se donner du plaisir en profitant du sommeil de plomb de son mari.


Les semaines passent et Monique peut de moins en moins ignorer les signaux émis par son corps et son inconscient depuis qu’elle a rencontré Youssouf, le jeune mâle alpha, élève de TG3.


Elle se remémore notamment cette nuit particulièrement agitée au cours de laquelle elle s’est réveillée en sueur au cours d’un rêve fort révélateur : elle était alors prisonnière dans un village perdu de la brousse. Face à elle une dizaine de grands guerriers nus et noirs comme le charbon s’apprêtaient à lui faire subir les pires outrages.


Monique qui dort habituellement sans culotte vêtue d’une chemise de nuit courte et transparente découvrit alors avec stupeur, la large tache humide qui, pendant son rêve, avait souillé son drap au niveau de son entrejambe.

Elle l’admettait difficilement, mais la situation qu’elle avait imaginée l’avait excitée au plus haut point. Et pour évacuer sa tension sexuelle, elle s’était masturbée en plantant ses doigts dans son vagin avant de les utiliser comme l’aurait fait un mâle bien doté avec son large pénis.


10 h du matin ce mardi. Le cours d’anglais vient de débuter. Monique interroge un de ses élèves dans la langue de Shakespeare. Le garçon fait partie des éléments les moins turbulents de la classe. Et malgré ses lacunes criantes, il essaie de construire des phrases sensées en répondant à sa professeur.


Le grand Youssouf s’en fiche. Il gesticule et finit par attirer l’attention de Monique. C’est ce qu’il attend. Il peut alors adresser des grands sourires à la belle femme brune avant de détailler sa tenue du jour sans aucune discrétion. Et à chaque fois que cet examen se produit, Monique se sent vulnérable et elle ne peut réprimer le trouble qui affecte ses sens à l’issue de cette inspection. Invariablement, son pouls s’accélère tandis que la pointe de ses seins se hérisse et qu’une douce chaleur se répand à l’intérieur de ses cuisses. Forte de ses douze années d’enseignement, Monique parvient à masquer son émoi au reste de la classe, mais il lui tarde d’entendre la sonnerie de fin de cours pour pouvoir retrouver toute sa sérénité.


Cela fait près d’un mois et demi que l’année scolaire a débuté. Alors que Monique regagne sa Peugeot après avoir dispensé son dernier cours de la journée à sa classe de seconde 3, elle reconnaît Youssouf adossé à sa voiture.


Inquiète, elle s’arrête et le fixe sans bouger.



Monique sent qu’elle devrait s’insurger et envoyer une réponse cinglante au jeune impudent, mais elle en est incapable.



Dans un réflexe pudique, Monique s’apprête à resserrer les pans de sa veste, mais elle interrompt son geste. Elle ne va pas se renier devant ce jeune coq arrogant.



Il tend alors le bras vers Monique et la regarde dans les yeux. Le cœur de la belle brune s’accélère alors que Youssouf se justifie :



À moitié rassurée, Monique tend sa clef au jeune homme. Celui-ci sourit de toutes ses dents avant de déverrouiller la serrure et d’ouvrir en grand la porte avant de la voiture.


La belle brune s’installe aussitôt au volant dévoilant une grande partie de ses cuisses à son élève qui n’en perd pas une miette avant de lui rendre les clefs, tout en s’arrangeant pour caresser la main délicatement manucurée de sa professeur.

À ce contact, Monique esquisse un mouvement de recul qu’elle parvient à maîtriser alors qu’un frisson lui traverse le corps.


Émue, la femme peine à maîtriser les palpitations de son cœur, jusqu’à ce que le jeune noir claque enfin doucement la portière libérant de facto Monique qui démarre en faisant crisser les pneus de sa Peugeot.


En roulant vers son domicile, la belle trentenaire sent une chaleur oppressante envahir le bas de son ventre. Elle devrait s’en offusquer, mais elle doit admettre que le compliment maladroit et le contact avec la main du jeune coq ne lui ont pas déplu. Elle espère qu’un passage sous la douche l’aidera à se calmer.


Dix minutes plus tard, entièrement nue dans sa salle de bains, la femme brune admire le reflet de son corps dans le grand miroir. Elle scrute avec intérêt ses tétons turgescents qu’elle fait rouler entre ses doigts. Puis sa main droite caresse sa hanche avant de se poser lentement sur sa fente humide. Son clitoris gonflé témoigne d’une excitation qu’elle ne saurait refouler. Incapable de résister plus longtemps à la pulsion qui l’oppresse, Monique se branle furieusement jusqu’à ce qu’un orgasme bref et violent libère la tension accumulée par son corps frissonnant.




#######




Pour Monique, la corvée hebdomadaire des courses a lieu le jeudi, jour où la professeur d’anglais finit ses cours à 15 h. Elle en profite généralement pour se rendre au supermarché situé à l’autre bout du bourg.

L’exercice est bien réglé : Monique gare sa voiture à proximité du hangar à chariots. Puis elle emprunte un caddie avant d’entrer dans le magasin.


La liste de courses à la main, elle peut alors entamer son parcours par l’allée des boissons. Après le rayon frais, la jolie ménagère s’assure qu’elle n’a rien oublié puis elle se dirige vers le stand des fruits et légumes dernière étape de son passage au supermarché avant d’atteindre les caisses.


Monique ne l’a pas remarqué, mais ce jour-là, Youssouf se trouve lui aussi dans le magasin. Il a aperçu sa professeur quelques minutes plus tôt et il la regarde discrètement en train de choisir ses légumes de la semaine.


Youssouf apprécie d’un œil gourmand la tenue que porte Monique. La belle brune a revêtu une jupe portefeuille marron en coton épais qui descend au-dessus du genou, de fins collants beiges, un pull moulant à col en V, des cuissardes marron à talons aiguilles et une courte veste en laine avec un col en fourrure.


Youssouf reconnaît que sa professeur sait mettre en valeur ses seins et son ventre plat et il se dit qu’il irait volontiers caresser sa croupe bien ferme.


Un sachet en papier dans la main, Monique s’attarde devant le bac des courgettes. En la voyant saisir un des légumes présentés, le jeune noir ne peut s’empêcher d’avoir une pensée égrillarde et il décide de s’approcher.



Monique sursaute et se tourne brusquement vers le garçon qui la dévisage en souriant. Le regard déterminé et les yeux d’un noir profond déstabilisent légèrement la femme.



Youssouf attrape alors le légume le plus imposant et le présente à Monique.



Monique se met à rougir violemment. Le garçon sélectionne trois autres courgettes de taille équivalente et les met dans le sachet que tient la jolie femme avant de lui souhaiter une bonne soirée et de disparaître.

Monique n’en revient pas et ne sait plus où se mettre. Elle décide de retourner dans un rayon moins exposé le temps que son visage retrouve sa teinte habituelle.


Vingt minutes plus tard, la ménagère a rangé pratiquement tous ses achats dans ses placards. Son cœur s’accélère alors qu’elle récupère le sachet de courgettes dans le sac à provisions. Monique repense à l’épisode du supermarché. Elle plonge la main par l’ouverture du sac et extrait le premier légume. C’est celui choisi par Youssouf. Elle le soupèse et l’enserre dans sa main constatant que ses doigts peinent à l’entourer.


Un trouble la gagne tandis que sa chatte s’humidifie. Elle rince longuement le légume sous l’eau chaude. Puis elle se dirige vers sa chambre et s’allonge tout habillée sur le lit. D’abord, elle écarte les pans de sa jupe pour libérer le bas de son ventre. Elle serre alors fermement la courgette dans sa main avant de la promener sur sa fente. La sensation est agréable même à travers l’étoffe de ses dessous.


Mais Monique aspire à plus.

Lorsque le bout de la courgette atteint l’entrée de son vagin, l’envie de pénétration est trop forte.

N’y tenant plus, elle déchire son collant d’un geste rageur, écarte son slip de sa main libre et enfonce lentement la courgette dans son fourreau trempé. Le diamètre imposant du légume distend ses chairs intimes. Monique se mord les lèvres et accentue la pression pour le faire glisser plus profondément. Lorsqu’elle ferme les yeux, apparaissent alors des images de Youssouf dont l’énorme chibre couleur charbon est en train de la remplir. Quand la grosse courgette atteint enfin le fond de son con, Monique jouit en criant de plaisir.


Allongée sur le lit, la belle femme brune reprend son souffle gardant le légume toujours planté dans sa chatte. Cette sensation d’être remplie la ravit et elle ne peut s’empêcher de s’imaginer subissant les assauts d’un étalon doté d’un membre démesuré.


La semaine suivante, Monique a décidé de profiter de l’après-midi réservé aux activités extrascolaires pour aller faire des emplettes à Mulhouse, la grande ville la plus proche de son domicile. Elle estime en effet que sa garde-robe a besoin d’un peu plus de fantaisie. Elle n’a après tout que trente-cinq ans et elle s’estime encore bien jeune pour mettre sa féminité entre parenthèses. Elle sait d’ailleurs qu’elle ne fait pas son âge et que de nombreux hommes rêveraient de coucher avec elle.


Il est environ 13 h 30, ce mercredi lorsque Monique se trouve à l’arrêt au niveau du feu rouge situé à la sortie du bourg.

On cogne à la fenêtre passager. En tournant la tête, la professeur reconnaît Youssouf, son élève, qui lui fait signe de baisser la vitre. Malgré sa contrariété, elle accepte d’ouvrir.



Monique hésite :



Cette remarque embarrasse Monique dont le visage s’empourpre légèrement. Youssouf se rend compte de la gêne ressentie par sa voisine. Il l’examine alors attentivement s’attardant longuement sur ses jolies cuisses gainées de nylon et sur ses bottes à talons aiguilles sans se soucier de l’inconvenance de son attitude.


Monique fait comme si elle n’avait rien vu, mais le picotement naissant dans son bas-ventre lui confirme l’importance qu’elle accorde malgré elle aux manifestations d’intérêt du jeune noir. Elle choisit à ce moment de s’abstenir de tout commentaire préférant se réfugier dans un mutisme distant pour masquer son trouble.


Désireux de ne pas braquer davantage la belle bourgeoise, Youssouf se focalise alors sur le paysage commentant à sa manière imagée les sites et les panoramas plus ou moins remarquables. La stratégie porte ses fruits puisque la belle brune se détend peu à peu et finit par sourire aux blagues du jeune noir qui ne boude pas son plaisir en voyant sa professeur se décontracter.


Après avoir déposé son élève, Monique se rend dans le parking souterrain proche de la zone commerçante. Elle profite de la journée ensoleillée pour faire le tour des grandes enseignes avant de s’arrêter un moment au rayon lingerie d’un grand magasin. Alors qu’elle examine avec attention une parure noire composée d’un ensemble slip et soutien-gorge, d’un porte-jarretelles et de bas en nylon, une voix puissante la fait sursauter :



En se retournant vivement, la trentenaire découvre Youssouf hilare qui se tient à un mètre d’elle. L’aurait-il suivie sans qu’elle s’en rende compte ? Ou bien, est-ce le hasard qui les fait se retrouver ici ?

Agacée Monique apostrophe le jeune homme.



Youssouf se rend compte que la femme est fortement contrariée. Alors il se dresse fièrement et lui jette un regard sombre.



Monique rougit violemment et se met à trembler de colère. Elle cherche une riposte cinglante pour recadrer le jeune noir, mais celui-ci disparaît dans la foule avant qu’elle ait pu réagir. Il faut une bonne minute à la jolie femme pour se remettre de la tirade agressive du lycéen.

Toutefois, malgré son émotion, elle parvient à suivre la démonstratrice jusqu’à la cabine pour essayer la lingerie que cette dernière est allée lui chercher entre-temps dans la réserve du magasin.


La tension accumulée lors du coup de sang de Youssouf finit par s’évanouir.

En retirant sa jupe dans la cabine Monique découvre étonnée la tache humide qui macule son slip beige au niveau de sa vulve. Serait-ce une conséquence de son échange tumultueux avec le jeune mâle ? Troublée par la réaction de son corps, elle vérifie la fermeture du rideau avant d’enfiler rapidement le tanga noir de la parure au-dessus de son slip. Puis elle retire son chemisier et son soutien-gorge avant de prendre ses seins à pleines mains et de les contempler dans le miroir de la cabine. Ses tétons volumineux sont hérissés comme jamais.


Troublée, Monique enfile le soutien-gorge et le porte-jarretelles de l’ensemble en dentelle noire et termine par les bas avant de remettre ses bottes. La femme se trouve extrêmement désirable et elle se rend compte à la marque qui apparaît sur le slip noir que la lubrification de son sexe n’a pas cessé. Une intense bouffée de chaleur s’empare de son corps.


Monique n’a pas le choix : elle se doit d’acquérir les dessous souillés par son abondante cyprine se laissant même convaincre par la vendeuse, juste avant de rejoindre la caisse, d’ajouter une paire de bas coutures rétro à sa collection d’articles.


Alors qu’elle s’apprête à payer ses achats, la superbe trentenaire remarque un bel homme en costume. Le type aux cheveux poivre et sel lui fait un grand sourire et s’approche d’elle.



La belle brune rougit ce qui fait rire le type.



Le type disparaît avant que Monique ait pu prononcer la moindre parole. Quelque peu déstabilisée, elle décide d’aller passer un petit moment dans son salon de thé favori. Elle en profitera pour parcourir d’un œil distrait les revues qu’elle a achetées plus tôt pendant sa séance de shopping.


En sirotant son Perrier, Monique remarque un homme frisé et moustachu non loin d’elle. Le type basané porte un costume beige et une chemise rouge largement ouverte sur son poitrail velu. Il tient compagnie à une blonde décolorée trop maquillée et court vêtue. Le gars taillé comme un videur de night-club jette de fréquents coups d’œil vers Monique lui souriant de toutes ses dents blanches lorsqu’il croise le regard de la belle brune.


L’homme porte une grosse montre chronographe au poignet gauche qu’il montre à la cantonade lorsqu’il prend ses aises dans la banquette, cuisses largement écartées, sa jambe droite posée sur son genou gauche. Son pantalon moule ses cuisses et son énorme paquet permettant à Monique de distinguer les contours marqués de ses imposants attributs virils.


La découverte de la volumineuse colonne de chair procure un grand trouble à Monique qui sent une chaleur de plus en plus familière envahir son bassin. La jolie brune est perturbée par cette nouvelle manifestation de sa libido. Que signifient ces pulsions dont la fréquence semble augmenter sur un rythme soutenu ?

Monique comprend alors qu’elle est sexuellement frustrée et que les rares rapports qu’elle a avec son mari sont loin de la satisfaire. Elle hésite à en tirer les conséquences, mais l’éventualité d’un amant s’insinue dans son esprit. Monique termine rapidement sa boisson avant de se diriger vers les toilettes des femmes.


Après avoir verrouillé la porte, la belle brune baisse sa culotte trempée de cyprine. Une odeur de femelle en chaleur se répand dans l’étroit cagibi. Monique ne peut s’opposer à cette pulsion qui s’insinue dans tout son corps et elle finit par s’asseoir sur la lunette. Les yeux clos, jambes écartées au maximum, prenant garde à maîtriser au mieux sa respiration, la fière bourgeoise se met à triturer son bouton intime. Il ne faut que quelques minutes pour qu’un violent orgasme la laisse pantelante.


En recouvrant sa sérénité, Monique rajuste sa tenue avec lenteur. En se lavant les mains, elle constate à la roseur de ses joues, l’ampleur du trouble qui s’est emparé de ses sens, et elle se hâte de regagner la salle pour payer sa consommation.


Il n’est pas encore 18 h, mais il est temps pour Monique de rejoindre sa voiture. Tout en roulant vers sa confortable demeure, la belle brune ne peut réprimer les pensées sulfureuses qui se bousculent dans sa tête.



Le lendemain après-midi, avant d’entrer sur le parking réservé aux professeurs, Monique avise la grande silhouette de Youssouf qui lui fait un grand signe de la main. Le jeune attend que la belle brune verrouille sa voiture avant de se diriger vers elle.



Bien que surprise, Monique se détend.



Charmée malgré elle par le regard volontaire et pénétrant du lycéen, elle cède à sa requête et le gratifie d’un large sourire.



La belle brune est troublée par le compliment. Elle doit faire un effort de volonté pour se libérer de l’étreinte du garçon et marcher vers le lycée alors qu’une douce chaleur se diffuse à l’intérieur de ses cuisses.


Plusieurs jours ont passé et la dispute entre Monique et Youssouf est oubliée. Le cours d’anglais vient de prendre fin. Alors que Monique se dirige vers la salle des professeurs, son élève la rattrape.



Monique le regarde, amusée :



Le noir plante son regard dans le sien et de nouveau une douce chaleur envahit le bassin de la femme.



Monique se reprend et finit par répondre :



Monique ignore la remarque avant de reprendre :



Puis il s’éloigne aussi vite qu’il est venu.


Monique est une fois de plus extrêmement troublée par cet échange avec Youssouf. Comme elle a une heure de libre avant son prochain cours de l’après-midi, elle décide de regagner directement sa grande maison distante de quelques kilomètres.


Elle a en effet largement le temps de passer chez elle et de retourner au lycée après sa pause. En regagnant sa voiture sur le parking, elle aperçoit à nouveau Youssouf en grande discussion avec Marjorie, une des élèves de la première L que Monique connaît après l’avoir eue en cours lorsqu’elle était en seconde. Marjorie est une blonde de dix-sept ans plutôt délurée aux formes généreuses. Elle semble en pâmoison devant le colosse noir qui fait des effets de musculature pour l’encourager à vérifier la fermeté de ses biceps et de ses abdominaux.


En voyant Monique, le lycéen lui fait un signe de la main, le pouce levé vers le haut. La femme brune doit reconnaître que la stature imposante du jeune noir l’impressionne plus qu’elle ne le devrait. Une chaleur prégnante embrase son corps. Elle se jette dans sa voiture persuadée que son vagin coule comme une fontaine.

Puis elle démarre sans se retourner et fonce jusqu’à sa maison où elle se gare en quelques secondes avant de se ruer dans sa chambre.


N’y tenant plus, Monique se déshabille intégralement et s’allonge sur le lit. L’intensité de son désir lui donne la chair de poule. Les images d’un lutteur imposant pointant son dard agressif vers son ventre brûlant la bouleversent et elle saisit brutalement son oreiller qu’elle serre entre ses cuisses pour accroître la pression de sa main sur sa vulve. Rapidement, elle jouit intensément et attend immobile que le feu qui la consume s’apaise.

Le temps de se rhabiller après avoir choisi une culotte propre et la voilà repartie pour le lycée.


Le soir suivant, Monique qui s’est attardée dans la salle des professeurs s’apprête à regagner sa voiture quand elle entend des cris en passant devant le vestiaire du gymnase.

Inquiète, elle regarde autour d’elle, mais ne voit personne à alerter. Elle décide donc, le cœur battant, d’aller découvrir, seule, la source de ce chahut.


À sa grande surprise, la porte du vestiaire n’est pas fermée à clef. Elle la pousse discrètement et entend distinctement des râles en provenance d’une petite salle servant au stockage du matériel. Intriguée, elle profite de la faible luminosité de la nuit tombante pour s’approcher et jeter un coup d’œil par la porte entrebâillée de la pièce. Stupéfaite, elle découvre Marjorie couchée sur le dos. La lycéenne a les yeux clos et les jambes nues jusqu’à la taille. Elle est allongée sur une pile de tatamis d’un mètre de hauteur. Ses mollets pendent dans le vide. À côté d’elle traînent en boule son slip et son jean moulant.

Debout face à l’adolescente blonde, Monique reconnaît sans mal Youssouf dont le pantalon baissé jusqu’aux chevilles permet de découvrir ses superbes fesses musclées.


Le jeune coq est en train de besogner sa copine qui gémit bruyamment appréciant sans aucune retenue la mentule noir foncé qui fouille son intimité. Monique regarde, subjuguée, le pieu incroyablement large qui parvient pourtant à coulisser dans le vagin écartelé de l’adolescente. Elle remarque malgré tout que la blonde ne peut accueillir la partie la plus épaisse de la hampe du jeune étalon, mais que le morceau qui la remplit suffit largement à son bonheur.


Tout à coup, Marjorie cesse de gémir et se met à crier son plaisir en se tendant comme un arc. Youssouf a lui aussi cessé son pilonnage alors que ses fesses sont bandées à l’extrême et que manifestement il est en train d’éjaculer dans la chatte de sa jeune conquête.


Monique, que ce spectacle a fortement émoustillée, doit faire un effort pour retrouver toute sa lucidité. Puis elle s’éclipse le plus discrètement possible.

Une fois dans sa voiture, elle peut constater en touchant son slip trempé dans quel état l’a mise la scène à laquelle elle vient d’assister. Et elle espère qu’elle aura le temps de se changer avant que son mari ne rentre.


Le soir venu, Monique peine à s’endormir. Les images du sexe majestueux de Youssouf coulissant dans le fourreau écartelé de Marjorie la hantent.