n° 20152 | Fiche technique | 17115 caractères | 17115 2710 Temps de lecture estimé : 10 mn |
24/03/21 |
Résumé: Après les premiers mois de l'année scolaire, une relation ambiguë s'est établie entre une prof de terminale et un de ses élèves. | ||||
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Auteur : Jimmychou Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode 1 :
Un jeune coq suscite les émois de sa prof qui exerce dans un petit lycée de province.
Monique ne travaille pas le samedi. Elle s’est arrangée avec l’équipe pédagogique du lycée pour ne pas avoir classe ce jour-là. Pour elle, la fin des cours le vendredi après-midi marque donc le début du week-end.
Ce soir, Monique et son mari Étienne sont invités à dîner chez des amis qui habitent à une dizaine de kilomètres de leur domicile. Ils pourront donc boire, avec modération cela va sans dire, et rentrer tard sans se soucier de l’heure de réveil du lendemain.
Fidèle à son habitude, la belle brune se maquille devant le grand miroir de la chambre. Juchée sur des escarpins de 13 cm, elle ne porte à ce moment qu’un pull moulant au décolleté évocateur.
Monique aime se préparer ainsi, les jambes nues jusqu’à la taille, exposant de ce fait sa jolie croupe dénudée à son homme. Ce soir, Monique se sent particulièrement désirable et elle espère vraiment qu’Étienne va en prendre conscience. Mais le mâle, pourtant intégralement nu sur le lit conjugal, ignore l’offrande faite par son épouse.
Imperturbable, avant de rejoindre la douche, il termine la lecture de l’article de fond de son journal.
Monique multiple plus ou moins consciemment les signes destinés à attirer l’attention de son conjoint. Elle aimerait qu’il se lève et la pousse contre la commode avant de la prendre sauvagement. Mais rien de tel ne se produit.
Alors, naturellement, Monique sent le dépit la gagner et elle se met à penser à Youssouf. Des images du jeune mâle noir s’immiscent dans son esprit.Elle l’imagine nu et étendu à la place de son mari. Elle sait que le jeune coq n’ignorerait pas les appels émis par son corps brûlant. Il saurait se comporter en mâle dominant. Monique s’empourpre tandis que sa chatte devient humide.
À ce moment, la vision du grand noir venant se coller à son dos avant de la pénétrer lentement est de plus en plus évidente. Monique sent littéralement l’énorme membre la remplir entièrement. Elle le désire fortement et veut le sentir au plus profond de ses chairs.
Accaparée par ses pensées, la brune magnifique n’a pas entendu Étienne quitter la chambre. C’est le bruit de la douche qui lui fait prendre conscience de sa solitude. Elle se précipite alors sur le lit et, sans même retirer ses escarpins, s’étend sur le dos en écartant les jambes. Puis elle se branle rageusement jusqu’à l’orgasme qui l’apaise un trop court moment.
Monique est calmée, mais pas rassasiée. Elle se lance dans une ultime tentative destinée à réveiller la libido assoupie d’Étienne. Avec une nervosité palpable, elle se lève et attrape son porte-jarretelles tout neuf et une paire de bas dans le tiroir de sa commode puis elle les passe avant de donner la dernière touche à son maquillage.
Lorsqu’Étienne revient dans la chambre après s’être séché, il découvre le beau derrière de Monique, mis en valeur dans son nouvel écrin et pousse une exclamation de surprise :
Étienne pousse alors sa femme sur le lit puis s’allonge sur la belle brune pour la pénétrer s’enfonçant d’un coup jusqu’à la garde dans le fourreau trempé. Monique ferme les yeux, mais le membre court et plutôt fin de son mari ne la contente guère malgré ses efforts pour mieux sentir la tige en elle.
Rapidement, Étienne éjacule et cesse de remuer au grand dam de Monique plus excitée que jamais. Puis, l’homme se retire du fourreau trempé et se relève pour aller nettoyer sa queue avant de s’habiller.
Déçue, Monique ouvre les yeux en proie à une vive frustration. Elle en pleurerait de rage et se convainc que ses tergiversations ne la mèneront nulle part. Bien sûr, l’éventualité de s’offrir à Youssouf lui traverse l’esprit. N’est-ce pas finalement ce qu’elle souhaite inconsciemment alors qu’elle se sent de plus en plus vulnérable depuis qu’elle a fait la connaissance du jeune étalon lors de la rentrée scolaire.
La professeur met provisoirement de côté ses coupables pensées, car ce soir, elle compte bien profiter de l’invitation faite pour tester son pouvoir de séduction auprès des mâles présents. Elle pense notamment au docteur Lapierre, ce macho trop sûr de lui qui ne cherche même pas à cacher son attirance pour la superbe prof, comme il la qualifie avec gourmandise.
Le brave Guy a une réputation de séducteur et Lydie, sa discrète épouse a bien compris qu’il rêve d’ajouter son amie Monique à son tableau de chasse.
**********
Ce soir-là, en découvrant Monique resplendissante, Lydie ne peut s’empêcher de ressentir de la surprise et une pointe de jalousie. La belle femme brune est particulièrement rayonnante et sexy et la marque visible sous la jupe légère des attaches de son porte-jarretelles ne laisse aucun doute sur la nature de ses dessous.
Lydie s’interroge : « Monique serait-elle à la recherche d’un viril amant pour pallier des étreintes conjugales peu satisfaisantes ? ». L’épouse du médecin a toujours pensé que son amie professeur refoulait un tempérament de feu et elle a l’impression qu’elle est désormais prête à laisser libre cours à ses pulsions.
Alors que la soirée avance et que les bouteilles se vident, Monique ne cesse de monopoliser l’attention des hommes présents. Guy ne se gêne pas pour la toucher à la moindre occasion. On dirait un enfant qui vient de découvrir le stock de chocolat. Ce comportement pathétique qui amuse beaucoup Lydie qui a bien compris que son amie n’a nullement l’intention de céder aux avances de son cher mari qui doit lui sembler un peu fade.
En effet, l’épouse bafouée, mais perspicace, imagine plutôt Monique s’offrant à un étalon balèze, velu et basané.
Ainsi va la soirée jusqu’à ce que les invités quittent leurs hôtes alors que la nuit est bien avancée.
Sur la route du retour, Étienne quelque peu éméché s’adresse à sa femme avec une pointe de contrariété.
Étienne évite de peu une embardée en considérant son épouse avec stupéfaction.
Étienne encaisse la pique en silence.
De retour à la maison, étendu sur le lit dans le plus simple appareil, malgré son orgueil écorné, il ne peut qu’admirer sa femme en train de se déshabiller.
Dressée sur ses talons démesurés, elle bombe fièrement ses seins sublimés par son soutien-gorge pigeonnant. Puis tout en conservant sa jupe, elle fait glisser sensuellement son Tanga le long de ses jambes gainées de nylon.
Monique acquiesce :
Étienne esquisse un sourire forcé avant de répliquer :
La professeur rosit, quelque peu déstabilisée par la tournure prise par la conversation.
Mais les effets de l’alcool semblent ôter toute retenue à Étienne :
Monique obéit et rejoint son mari près du lit. L’homme glisse sa main sous la jupe de sa femme et lui caresse les fesses avant de s’immiscer entre ses cuisses jusqu’à toucher sa fente odorante.
Sans ménagement, il branle sa moitié faisant coulisser ses extrémités de plus en plus vite dans le vagin dilaté de Monique. L’épouse devrait s’offusquer, mais elle est incapable de se dérober à la caresse brutale qui la fait râler de plaisir jusqu’à ce qu’elle se tende comme un arc avant de s’affaler sur son mari. Étienne se redresse alors et pousse Monique à s’allonger sur le ventre après avoir dégrafé sa jupe. Il vient ensuite s’agenouiller derrière sa femme et pose son gland turgescent sur son anus avant de l’enculer sans préliminaire.
La belle brune pousse un cri de douleur lorsque la queue toute raide force son trou du cul. Son homme n’en a cure et lui ramone le fondement jusqu’à ce que sa queue tressaute et qu’il vide ses couilles dans le conduit malmené en poussant un grognement satisfait.
Épuisé, il extirpe sa bite déjà ramollie de l’orifice qu’il vient de forcer et s’endort aussitôt laissant son épouse déçue et irritée.
Les pensées contradictoires se bousculent sous la belle chevelure brune.
**********
Quelques jours plus tard, alors que les époux sont allongés côte à côte dans le lit conjugal, Étienne s’adresse à sa sensuelle épouse. Son ton n’a rien de charmeur.
À l’évocation du patronyme, le cœur de Monique s’accélère.
Monique masque difficilement son appréhension en répondant :
La professeur rougit violemment et ne sait que rétorquer. Étienne pose la main sur la chatte de son épouse.
La brune de plus en plus mal à l’aise reste silencieuse.
Monique est toujours muette.
Excédé, son mari s’emporte :
Puis il gifle sèchement sa femme qui éclate en sanglots. Face à la colère de son époux, Monique finit par se confesser la larme à l’œil.
Ulcérée par la violence de ces reproches, Monique explose à son tour :
Hors d’elle, Monique libère d’un coup toute la frustration accumulée depuis des mois.
Dans un mouvement théâtral, Étienne se lève, saisit ses vêtements et déclare dans un hurlement pathétique :
Puis après un regard hargneux vers son épouse, il quitte la chambre en claquant la porte pour se réfugier dans le bureau.
Choquée, mais néanmoins soulagée par sa confession, Monique a l’impression de s’être libérée d’un poids.
Elle ignore encore si elle ira jusqu’au bout, mais rien ne s’oppose désormais à ce qu’elle s’offre à Youssouf et cette perspective la ravit.
Le hérissement de ses tétons orgueilleux trahit une folle excitation, qu’elle met à profit pour se masturber frénétiquement avant de s’endormir.