n° 20165 | Fiche technique | 23562 caractères | 23562Temps de lecture estimé : 13 mn | 29/03/21 |
Résumé: En vacance à Venise, après le premier confinement, je découvre sur les marches de la gare une jeune beauté brune abandonnée, esseulée et bafouée par son petit copain qui lui a préféré un garçon. | ||||
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Auteur : JeffTrois Envoi mini-message |
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Résumé :
En vacances à Venise, après le premier confinement, je découvre sur les marches de la gare une jeune beauté brune abandonnée, esseulée et bafouée par son petit copain qui lui a préféré un garçon. Dans un élan de générosité, je lui propose de partager mes vacances et décide de lui offrir des vacances inoubliables. Un peu hésitante, elle a accepté ma proposition. Enchantée par le cadre, Mathilde découvre la ville et la vie de palace. Pour moi, c’est une vraie partenaire à la hauteur de mes espérances.
Oui, je sais, amis lecteurs, ce que vous êtes exactement en train de penser, le bougre ne nous épargnera rien, avec un romantisme à deux balles il nous entraîne naïvement dans une histoire à l’eau de rose, mièvre de platitudes et remplie de tous les clichés romantiques sur Venise… Et alors ? N’avez-vous jamais désiré ou rêvé de vivre ce genre d’aventure ? Moi, je peux me le permettre. J’en ai enfin l’occasion, l’opportunité, les raisons et les circonstances sont avec moi, dois-je m’en priver ? Alors, oui, je saute à pieds joints dans cette histoire, je m’y vautre pour décupler mon plaisir et n’avoir, plus tard, aucun regret… Toutefois, je ne suis pas totalement égoïste, puisque je la partage avec vous…
Après un rapide, mais copieux petit-déjeuner durant lequel Mathilde montre qu’elle dispose d’un très sérieux appétit, je lui propose d’aller nous promener à Murano.
J’argumente qu’il est impossible de venir passer plusieurs jours sur la Lagune sans aller rendre visite aux célèbres verriers de Murano. Exilés loin du centre depuis plusieurs siècles pour des raisons de sécurité, ils sont à la base de nombreuses inventions techniques dont le soufflage, la dorure et le délicat travail du verre et des miroirs.
Mathilde, enthousiaste, se souvient soudain de sa famille et de quelques amies pour qui elle se doit de rapporter quelques menus objets en guise de souvenirs. Dès lors, les préparatifs vont bon train et c’est en vaporetto que nous accostons sur l’île.
Immédiatement abordés par des crieurs et des rabatteurs, car chaque verrerie dispose de ses rabatteurs tant la concurrence est rude, nous délaissons le circuit officiel pour nous concentrer sur le lacis de petites rues, nettement plus calmes, certaines longent des canaux, avec de grands tas de filets qui barrent presque les quais en leur milieu… Nous sommes dans la « vraie vie », loin des touristes américains, chinois ou allemands qui se pressent devant les fours avant de devoir « s’enquiller » dans un circuit-labyrinthe au sein d’une boutique de souvenirs aux prix prohibitifs.
Une très bonne amie vénitienne m’a fait connaître d’autres adresses, celle de vrais artisans aux créations originales et aux prix plus abordables. C’est donc vers chez eux que nos pas nous portent.
Main dans la main, nous traversons le village aux maisons toutes restaurées, aux couleurs un peu criardes, aux volets souvent clos, aux tonnelles de vigne grimpante ou avec un tas de filets traditionnel et des nasses d’osier devant le seuil d’entrée.
Mathilde, tous les dix mètres s’arrête, s’extasie devant une scène, une maisonnette ou une trouée d’où l’on voit la Lagune. De temps à autre, elle prend une photo et au moins une fois par heure, et ce depuis le premier soir, elle réalise un selfie de nous deux, mais je lui ai conseillé de ne pas les poster sur les réseaux sociaux.
Enfin, nous abordons une petite place. Là, sous des arcades pluricentenaires, de petites échoppes d’artisans bruissent de leurs activités. Nombreux sont ceux qui travaillent en sous-traitance des boutiques « pièges à touristes », seuls deux ou trois d’entre eux disposent d’un semblant de vitrine et comptoir d’exposition pour y vendre leurs productions.
Nous entrons chez Giuseppe F. Qui dispose de vitrines poussiéreuses avec quelques bibelots aux couleurs chatoyantes à la transparence cristalline. Mathilde contemple le travail et tandis que je tiens à lui expliquer les principes de base de la verrerie, Giuseppe – en personne – sort de son atelier pour nous accueillir…
Nous suivons Giuseppe dans son atelier, frappé de prime abord par la chaleur qui s’en dégage. En cause, l’immense four, la gueule ouverte qui fait aussi rayonner une lueur jaune orangé tirant sur le rouge dans tout l’atelier.
Devant le four, une jeune femme, la canne à la main, cueille une boule de pâte de verre en fusion… Elle a les bras nus, luisants de sueur. Vêtue d’un marcel très échancré qui ne cache pas grand-chose de sa poitrine dont on peut se délecter jusqu’à la pointe brune de son sein laiteux… Une mèche blonde barre sa joue dégoulinante de sueur… Avec un mouvement gracile et étudié, elle balance la canne avant de l’emboucher et par petits soufflements, en prenant soin de boucher l’entrée au moyen de son pouce, et fait grossir la boule de verre… tout en en surveillant le résultat. Puis, rapidement, elle gagne un banc de travail où elle va œuvrer et peaufiner la forme définitive au moyen de moules en bois, trempés dans l’eau. Avec de grosses pinces de fer, elle forme une gorge.
Giuseppe nous a abandonnés pour aller chercher, à son tour, et dans une autre partie du four, une autre canne dont il vient de souffler un petit disque. Après l’avoir replongé quelques instants dans la gueule brûlante du four, il arrive, sans précipitation, pour l’accoler à la bulle de verre. La jeune ouvrière, veille à l’ajustement et au centrage précis et lorsqu’elle estime que la pièce est solidement fixée, avec sa pince en ferraille et d’un geste sec, elle sépare sa pièce de sa canne, laissant à Giuseppe, le maître verrier, le rôle de finisseur…
Mathilde ne perd aucun mouvement, aucun détail qui se déroule comme une sorte de ballet devant elle… Elle garde les yeux et la bouche grande ouverte, goûtant la technicité des gestes et espérant apercevoir le travail terminé… Malheureusement, Giuseppe lui explique qu’avant de toucher la pièce, il faudra encore plusieurs heures de recuite avant de longues heures de redescente en température…
Un peu frustrée, presque boudeuse, Mathilde me jette un regard de déception et je tente de lui apporter un peu de réconfort…
Mon interrogation n’est pas feinte. Je sais qu’il dispose d’une autre salle d’exposition.
La jeune ouvrière a donc un prénom. En remontant sa mèche derrière son oreille, elle nous précède vers un petit escalier…
En haut d’une quinzaine de marches étroites et brinquebalantes, nous débouchons dans une nouvelle pièce d’expositions faites de succession de vitrines et de niches où des spots magnifient les pièces translucides… L’atmosphère reste étouffante, mais cosy. Dans un coin, une méridienne. En face, deux fauteuils et une table basse attendent de potentiels clients…
Autour de nous, couchés sur les étagères, dressés sur des présentoirs une cinquantaine de godemichets en verre. Il y en a de toutes les formes, de toutes les longueurs et de tous les diamètres. Souvent, ils alternent avec des plugs anaux, assortis ou non, eux aussi de formes et de diamètres différents. Et, dans dernière vitrine, des boules de Geisha.
Il nous faut quelques minutes pour que nos yeux s’habituent à la lumière de la pièce, seulement éclairée par les spots de vitrines. Moi, je reste bouche bée devant le nombre et les choix. Mathilde, hébétée par l’insolite de ces objets…
Je reste silencieux… Et Mathilde, dont les yeux ne cessent de balayer les étagères, enchaîne :
Je ne retiens pas cette dernière remarque, mais ajoute :
Mathilde me fixe, ébahie…
Mia, discrètement revenue dans la salle d’exposition, s’approche…
Et après avoir hésité entre différentes formes, elle en choisit un disposant de deux diamètres différents. Les embouts, ronds surmontent un corps cylindrique torsadé et formant un léger arc de cercle.
Mathilde, l’objet dans sa main, ne sait plus bien quelle attitude adopter… Doit-elle rire, être sérieuse et professionnelle ou au contraire me couler un regard en coin pour montrer qu’elle est gênée ?
Mia reprend l’objet et en un tour de main, elle lui passe un coup de chiffon puis le remet dans les mains de Mathilde…
Mathilde devient rouge de confusion…
Et Mia tend un plug anal à Mathilde.
Mathilde, les mains encombrées des objets en verre, regarde autour d’elle, comme si elle cherchait… un trou de souris pour se cacher.
Mathilde se dirige vers le canapé, pose les objets en verre sur la table basse et alors qu’elle s’installe, je lui propose de se déshabiller…
Mathilde en un tour de main quitte son pantalon et sa culotte puis cherche et trouve une position adéquate sur le divan, calant ses reins avec un coussin, elle écarte ses cuisses, stabilise ses pieds sur le tissu un peu mou et elle m’offre le somptueux spectacle de son sexe fin, presque hermétiquement fermé, aux renflements légèrement fripés. Nous n’aurions pas déjà fait l’amour, je pourrais la penser vierge. En dessous, dans une carnation légèrement plus foncée, son petit trou, serré.
Prenant dans sa main le gode, elle le regarde avec attention et… suspicion. Elle le soupèse, en éprouve la « vigueur », tente d’en faire le tour avec ses doigts, joue avec comme elle le ferait avec un vrai sexe masculin. Enfin, avec circonspection, elle le porte vers sa bouche. Par petits coups de langue, elle humidifie la colonne de verre avant de former un « O » avec ses lèvres et d’aspirer le bout du gode. Sous cette profonde aspiration, le gode glisse presque jusqu’au fond de sa gorge, avant qu’instinctivement elle ne le recrache, puis recommence, plus doucement.
Mon Dieu, que cette scène est foutrement érotique !
Mathilde prolonge le jeu de la fellation plus ou moins profonde avec le gode en verre durant quelques longues minutes, en me regardant droit dans les yeux. Dans ses prunelles, je peux lire de la provocation, de l’envie et surtout du plaisir.
Moi, obnubilé par son jeu de lèvres, je ne fais pas attention à sa main qui, elle, au creux de ses cuisses, caresse son sexe pour le préparer à recevoir ce nouveau visiteur. Quelques minutes suffisent pour qu’elle mouille de désir et finisse par venir frotter la tige de verre sur les lèvres de son abricot qui, telle une corolle de fleur, s’ouvre et laisse découvrir une entrée rose nacrée, aux contours fins et délicats.
Mathilde empoigne naturellement le corps de verre d’une main, ouvre son sexe avec deux doigts de son autre main, et engloutit le gode avec agilité, le faisant coulisser, puis ressortir, puis reprend la progression de plus en plus profondément. Après quelques secondes de suspension de ses mouvements, Mathilde recommence les va-et-vient, d’abord lentement avant d’accélérer, les doigts crispés sur son clitoris, la main serrée sur l’objet en verre, elle est déjà en train de jouir…
Moi, assis au spectacle, la trique dure, j’hésite à lui offrir la même vision… Pourtant, ce n’est pas l’envie qui m’en manque…
Les jambes largement écartées, les orteils crispés de plaisir, le souffle court, les cheveux en bataille, la poitrine alourdie par le plaisir, le ventre de Mathilde se soulève et se creuse au tempo de son plaisir qui va decrescendo… Elle n’ose plus bouger… Elle n’ose pas sortir le gode de son sexe, soit parce qu’elle y trouve un certain confort soit par peur d’une nouvelle vague de plaisir…
En ravalant ma salive pour mieux contrôler mes propres émois, je lui conseille d’essayer avec le plug anal…
Mathilde finit par aider le gode sortir de sa grotte qui, immédiatement reprend sa forme oblongue, fermée et serrée. Avec une gourmandise certaine, elle s’empare du plug, l’admire, le caresse du bout des doigts, l’approche aussi de sa bouche pour lui distiller de petits coups de langue avant de l’engloutir dans la bouche, le faire tourner pour mieux l’ensaliver. De sa main droite, elle essuie sa chatte dégoulinante pour aller frotter son anus et y introduit une phalange d’index. Sous la pression de la main, son anus s’ouvre doucement. Et après avoir un peu tâtonné, elle pointe le sommet du plug ovoïde à l’entrée, exerce de petites pressions pour que naturellement son muscle se détente et s’ouvre… Et hop, l’anus absorbe l’œuf ! Mathilde laisse échapper un léger cri, de surprise et de plaisir. La collerette de base se bloque sur le muscle d’entrée de l’anus…
Et sans se faire prier, Mathilde s’empare du gode, le remet quelques secondes dans sa bouche avant d’ouvrir avec ses deux doigts ses lèvres puis (re)commence à se pénétrer. La progression est moins facile que la première fois. Mais rapidement Mathilde trouve le bon angle, la bonne progression, bref, le rythme idéal. Encore plus rapidement et fortement que pour la première fois, elle ahane son plaisir avant de le laisser éclater et se tétaniser, jambes arquées, respiration sifflante, ventre se creusant, luisante de transpiration, orteils recroquevillés, la main figée sur le corps de verre au plus profond d’elle.
Mathilde secoue la tête, comme si elle ne voulait pas redescendre dans le monde terrestre, souhaite-t-elle rester là où elle est partie ? Certainement. Elle a besoin de quelques longues minutes pour retrouver un peu de calme. Le souffle encore court, la voix sifflante, tandis que sa main commence à se décontracter et son corps se détendre, elle me jette un regard bleu acier et marmonne ;
Il est vrai que mon propre sexe est excité en diable, droit et dur à m’en faire mal, mais je ne veux pas me caresser, je préfère me réserver pour ce soir… Et, un peu par esprit de vengeance, mais aussi par une sorte de perversité malsaine (quoique), je propose à Mathilde de garder le plug anal jusqu’au soir…
Pourtant il faut bien qu’elle retire d’abord son gode, pour reprendre pied dans la réalité. Mais quand elle tente de retirer le plug, là, Mathilde réalise que ça va être compliqué. Alors, faisant mauvaise fortune contre bon cœur, elle le conserve, bien planté dans son fondement. Et à chaque pas, elle le sent buter contre son point G, nous obligeant plus d’une fois à interrompre notre itinérance, pour souffler, telle une femme enceinte, car plus d’une fois, elle est au bord de la jouissance.
À peine rentrés à l’hôtel, Mathilde jette ses habits à terre et elle se précipite sur le lit, jambes écartées, tirant sur ses fesses pour qu’enfin, je la délivre de son engin de « torture » ou de plaisir.
Avec un « plop » sonore, j’arrive à l’extraire, laissant le gap de son anus se refermer tandis que je vais lui distiller un baiser du Diable, quelques coups de langue savamment distillés sur son petit trou devenu ultrasensible, à la fois pour la soulager et la remercier de cette prouesse physique. En même temps que je la sèche, je l’excite et elle continue à mouiller. Enfin, avec quelques contorsions, je me libère de mes vêtements. Je vais pouvoir, à mon tour me délivrer de mes propres tensions et la pénètre.
Avant de me lâcher en elle, je profite de sa rondelle assouplie et d’elle-même, elle me tend sa croupe ravissante pour que je la sodomise.
Son anus forme une merveilleuse cuvette à la base d’un triangle brun. L’anneau un peu oblong est largement strié de petits et minuscules replis de peau qui débouchent sur une rosace nacrée et lisse. Avec précaution, je pointe mon sexe dans l’entrée qui, simplement, s’ouvre en calice et m’absorbe rapidement. Je suis dans un conduit étroit, chaud et très humide, presque aussi humide que son sexe. Et c’est Mathilde qui finit par s’empaler sur moi puis dandine ses fesses pour leur donner un tempo soutenu, mais insoutenable pour le plaisir qui monte dans mon ventre.
En quelques coups de reins, ensemble nous atteignons l’extase et nous nous écroulons, l’un sur l’autre, moi dans elle encore un long moment, sans oser bouger de peur de réveiller une nouvelle irruption amoureuse que ni l’un ni l’autre ne pourrait satisfaire pleinement.
(À suivre)