n° 20174 | Fiche technique | 21103 caractères | 21103Temps de lecture estimé : 12 mn | 02/04/21 |
Résumé: Décidément, Mathilde que je découvre, est une vraie gourmande de la vie... Je continue à lui offrir des vacances de "rêves" ou de "fantasmes"... | ||||
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Auteur : JeffTrois Envoi mini-message |
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Résumé :
En vacances à Venise, après le premier confinement, je découvre sur les marches de la gare une jeune beauté brune abandonnée, esseulée et bafouée par son petit copain qui lui a préféré un garçon. Dans un élan de générosité, je lui propose de partager mes vacances et décide de lui offrir des vacances inoubliables. Un peu hésitante, elle a accepté ma proposition. Enchantée par le cadre, elle a joué le jeu que je lui proposais. La première nuit a été torride en turpitudes la suite me fait découvrir une vraie partenaire à la hauteur de mes espérances. Mathilde est ouverte à toutes mes propositions et semble les apprécier, voire y prendre un très grand plaisir.
Oui, je sais, amis lecteurs ce que vous êtes exactement en train de penser, le bougre ne nous épargnera rien, avec un romantisme à deux balles il nous entraîne naïvement dans une histoire à l’eau de rose, mièvre de platitudes et remplie de tous les clichés romantiques sur Venise. Et alors ? N’avez-vous jamais désiré ou rêvé de vivre ce genre d’aventure ? Moi, je peux me le permettre. J’en ai enfin l’occasion, l’opportunité, les raisons et les circonstances sont avec moi, dois-je m’en priver ? Alors, oui, je saute à pieds joints dans cette histoire, je m’y vautre pour décupler mon plaisir et n’avoir plus tard, aucun regret. Toutefois je ne suis pas totalement égoïste, puisque je la partage avec vous.
Une partie de la matinée et de l’après-midi viennent d’être consacrées à visiter des ruelles, des venelles et des quais pour contempler et se repaître de l’architecture vénitienne. Passant de l’ombre la plus sombre et glauque au soleil le plus éclatant d’une petite place bordée d’une église ou d’un vieux palais, nos pas nous mènent jusqu’à une échoppe très spéciale, celle d’un loueur de costumes, perruques et masques de carnaval.
Mathilde, avec son enthousiasme naturel, trouve l’endroit particulièrement extravagant, poussiéreux et même désuet avant de commencer à me harceler quant au pourquoi de ce lieu et de ces locations.
Je ne veux pas et ne peux pas tout lui dire. Enfin, pas tout et tout de suite.
Ce soir, nous sommes attendus pour une troublante soirée vénitienne.
J’ai contacté ma très bonne et charmante amie vénitienne, Amanda, pour qu’elle nous invite à un « domino » typiquement vénitien. C’est une soirée costumée selon les canons du XVIIIe siècle. Ce bal a pour cadre son domaine, très privé, situé sur une île de la Lagune qui lui tient lieu de propriété. Et si Mathilde et moi le souhaitons, après le bal et son dîner, nous pourrons prolonger cette soirée dans sa seconde partie, nettement plus coquine, ouvertement libertine, accompagnée ensuite de son souper.
Mais cela dépendra d’abord et surtout du consentement de Mathilde. Après tout, si je la sens de plus en plus délurée, très ouverte à différentes expériences, mais avec une certaine retenue je découvre en elle une perle rare, une jeune femme gourmande et curieuse de la vie qui aime aussi pratiquer les jeux de l’amour et, semble-t-il, sans réels tabous. Je suis loin de l’image de la jeune femme esseulée, assise au milieu d’une foule sur les escaliers de la gare, abandonnée et en proie à un terrible chagrin d’amour. Alors on verra.
Aussi, je n’évoque – au départ – que la première partie de la soirée.
Elle adore l’idée en me le faisant savoir avec cette exubérance presque enfantine, en trépignant sur place et en battant des mains.
Dans la boutique, elle s’empresse de choisir, sur les conseils du boutiquier, une robe de marquise couleur jaune puce, avec crinoline, froufrous, jupons et dentelles et fortement échancrée pour mettre en beauté sa jeune poitrine. Dessous, le loueur lui conseille de ne porter, comme à l’époque, qu’un simple pantalon de toile fine, juste fermé par des liens et qui permet toutes les commodités féminines et plus si affinités, ajoute-t-il avec un clin d’œil malicieux. En réalité, une pièce de toile forme l’entrejambe et permet une ouverture rapide pour aller aux toilettes ou permettre un accès plus coquin à un galant cavalier ou une cavalière ! Mathilde ne relève pas ce détail, occupée à couvrir sa crinière d’une perruque blond vénitien, talquant sa figure d’une poudre de riz blanche et ajustant une fausse mouche en taffetas qu’elle colle, toujours sur les conseils du boutiquier, sur le haut de sa pommette « c’est une galante » lui indique-t-il.
Mathilde s’amuse devant le miroir à minauder, joue de son éventail. Il est temps de rejoindre l’île, au milieu de la Lagune. À mi-chemin de Venise et de son Lido.
Parés de nos plus beaux atours en style vénitien du XVIIIe siècle, nous débarquons sur un des îlots de la Lagune. Des lanternes bordent les quais et le cheminement pour mener à une grande bâtisse basse, ancienne. De la musique classique s’échappe des fenêtres ouvertes sur l’immense terrasse où quelques couples dansent ou devisent devant un pantagruélique buffet. La maîtresse de maison, un loup monté en face-à-main, sur la figure, s’approche de nous.
Mathilde s’accroche à mon bras, bien décidée de ne pas me perdre. Il est vrai qu’il est étrange de ne rencontrer que des visages masqués de figures plus ou moins grotesques. Seuls la bouche et le pourtour des yeux restent libres. Les couples déambulent sagement, se saluent, certains se sont regroupés et parlent avec une animation toute Italienne, d’autres plus enclins à la fête et connaissant les pas de danse anciens se laissent portés par un menuet ou une gigue. Il devait bien y avoir une quarantaine de couples, de tous les âges, mais tous arborent des tenues historiques ou excentriques que l’on peut rencontrer lors des soirées du carnaval.
Nous profitons largement du buffet, abondant et magnifiquement dressé.
Le personnel, discret, mais empressé, est exclusivement masculin et curieusement vêtu, enfin, dévêtu. De jeunes et beaux garçons noir d’ébène, portant une culotte de satin blanc, très moulante pour mettre en avant leurs attributs et émoustiller les dames, un gilet sans bouton recouvre le buste pour laisser voir leur musculature, un jabot de dentelle autour du cou et une perruque blanche avec une sorte de queue de cheval gansée d’un ruban de velours noir. Ils sont très chics et, aux dires de Mathilde, très érotiques !
Après avoir avalé moult toasts, bu raisonnablement, une coupe à la main, nous partons explorer les lieux. Quelques couples dansent aussi à l’intérieur, quelques rires de gorge résonnent à travers les salons. Mathilde, toujours subjuguée par les décorations intérieures, s’extasie presque à chaque pas. Ici, salons et corridors sont restés dans leur jus d’époque ainsi que l’ameublement qui doit valoir plusieurs milliers d’euros. Au fil des heures, les couples rentrent et s’amalgament dans une promiscuité lourde de parfums et de frôlements. Dans un mouvement presque naturel, chacun entraîne l’autre vers le fond de la demeure, dans un immense salon où une sorte d’estrade occupe le centre de la pièce.
Mathilde, à l’entrée de la pièce en forme de rotonde aux couleurs jaune pastel et dorées, marque un temps d’arrêt. J’en profite pour lui murmurer à l’oreille :
Mathilde, avec les yeux rieurs et interrogatifs, me fixe avant de reprendre :
Mathilde me considère avec une certaine appréhension dans les yeux, mesurant à la fois mon effort pour la laisser libre de choisir, d’entrer ou non, puis de répondre à des sollicitudes sexuelles autres que les miennes. En même temps, je peux lire dans le fond de ses yeux, une lueur d’amusement, une petite étincelle égrillarde qui veut dire « OK. Tu l’auras voulu. Je vais aller me faire sauter… là, sous tes yeux. Et tu vas avoir mal ! »
Durant notre très brève discussion, la salle ne cesse de se remplir, presque la moitié des couples que nous avons côtoyés durant la soirée, se retrouvent là, chacun à la porte, part de son côté. Sans ordre, sans cris, sans pleurs, sans adieux. Rien que du consentement et sur le parquet de bois, les frôlements des pieds et des tissus sont plus lourds, les trépignements plus érotiques.
Mathilde sursaute. Surgie de derrière elle, Amanda vient entourer sa taille de ses bras et lui susurre à l’oreille :
Mathilde n’a pas le temps de chercher mon approbation, que déjà elle avance un pied dans la salle, entraînant avec elle la maîtresse des lieux. Ensemble, elles fendent la foule et commencent un slow qui s’annonce langoureux et sexy en diable.
La seconde partie de la soirée est ainsi lancée !
Lors des premiers pas, Mathilde et Amanda restent joue contre joue. Mais très vite, peut-être même trop vite, elles se retrouvent lèvres contre lèvres et chacun peut imaginer le mouvement de leurs langues qui se cherchent, fouillent la bouche de l’autre. Les mains d’Amanda ne restent pas passives et elles s’ingénient à défaire la robe de Mathilde qui, à la fin du slow se retrouve torse nu, en pantalon blanc et en chaussures à talons. Un des valets vient ramasser la robe puis revient vers Amanda, en passant dans son dos pour lui délacer sa robe, la faisant lentement glisser afin de la mettre à égalité avec Mathilde.
Les deux filles, toujours bouche contre bouche, continuent à se galocher tout en chaloupant en rythme, pointes des seins contre pointes des seins, ventre contre ventre. Leur ballet érotise la salle autour, chacun s’est immobilisé pour admirer le spectacle.
Amanda, maîtresse de ces soirées, manœuvre sa cavalière pour la rapprocher de l’estrade. Elle la fait étendre sur l’épais tapis et, abandonnant la bouche de Mathilde, parcourt son cou, ses épaules jusqu’à la pointe des seins qu’elle s’empresse de lécher, titiller, suçoter, mordiller. Sous cette bouche vorace et indiscrète, Mathilde s’abandonne, oubliant même qu’elle se donne en spectacle et qu’elle n’a jamais couché avec une fille, et déjà elle sent poindre les premières vagues de plaisir envahir son ventre.
Sous elle, Amanda perçoit les ondulations des hanches de sa cavalière et entreprend de défaire les nœuds des cordelettes qui retiennent le pantalon de lin blanc. Millimètre par millimètre, suivant la descente avec ses lèvres goulues et étincelantes de salive, elle met le bas-ventre de Mathilde à nu.
Des « Oh ! » et des « Ah » d’admiration viennent ponctuer la vision du sexe renflé de Mathilde, toujours bien fermé, même si elle est excitée. Fesses en l’air, toujours culottée, Amanda lèche avec application l’entrejambe, jusque dans la raie des fesses de Mathilde qui commence sa danse du plaisir et tente d’échapper à une langue curieuse, insidieuse et particulièrement excitante. Et Amanda remplace sa langue par ses lèvres et sa bouche qu’elle applique comme si elle voulait avaler le sexe de Mathilde qui, appuyée sur ses omoplates, les deux mains crispées sur ses seins, les maltraite, les tord et tire dessus. Soufflante, ahanante, sifflante, Mathilde par deux fois tente de décoller la tête d’Amanda d’entre ses cuisses, mais en vain et finit par lâcher un « Rhaaaa. » de jouissance.
À deux pas du couple exhibitionniste des filles, sur le côté de l’estrade, un des jeunes valets est assis et l’une des convives s’applique à lui sucer goulûment la queue qu’il a épaisse et longue. Quelques admiratrices jugent de la performance tandis que des mains mâles, inconnues ou pas, les lutinent sous les robes.
La musique est mise en sourdine et des halètements, des soupirs la remplacent. Il ne faut pas longtemps pour que les couples, ou des trios se forment et s’éloignent vers des canapés accueillants et prévus à ces effets, disposés autour de la pièce.
Nous ne sommes plus que deux ou trois, autour du podium à jouer les voyeurs devant le spectacle que Mathilde et Amanda nous offrent.
Elles sont maintenant en position de soixante-neuf. Amanda, dessus, la tête entre les jambes de Mathilde, offre à sa partenaire son sexe et son petit trou à la voracité de la jeune langue. Les deux ont déjà atteint une première jouissance et sur leurs cuisses et leurs fesses suintent de cyprine.
C’est à cet instant qu’un jeune serveur vient pointer son dard à l’entrée du petit trou d’Amanda et l’enfile sans paroles ni ostentation, jusqu’à ce que ses bourses soient à la hauteur de la bouche de Mathilde dont Amanda tente de continuer à lécher le sexe, n’émettant que quelques bruits fugaces, comme une sorte de plainte, d’élégie de la sodomie qu’elle subit volontairement, mais qui lui écarte outrancièrement le cul. Attrapée par de puissantes mains sur les hanches, le jeune noir entame une série d’allers-retours vigoureux qui ont rapidement un effet jouissif sur l’hôtesse des lieux. Amanda déverse un flot de liquide transparent sur le visage de celle qui continue à la sucer avec de grands bruits liquides.
Le jeune serveur, sans jouir, se retire et laisse un gap qui a du mal à se refermer.
Cette scène nous émoustille tous. Une main secourable me branle et, sans que je m’en aperçoive, a sorti mon sexe de mon pantalon et une bouche fraîche m’a embouché, me faisant une gorge profonde.
Voir ma dulcinée du moment se faire lécher et l’imaginer aux premières loges de la sodomie d’Amanda par une bite puissante et vigoureuse, m’excite au plus haut point et dans une gorge accueillante, mais inconnue, je me laissais aller à la jouissance. Et la bouche continue son travail, mon sexe loin de mollir, reste en semi-érection, car un nouveau serveur, tout aussi bien monté que le premier vient de se positionner entre les jambes de Mathilde et sans coup flétrir, lui enfourne son sexe épais et long jusqu’à la garde, sans ménagement.
Mathilde n’a pas eu le temps de retrouver son souffle qu’elle perçoit la pointe d’un vit écarter son intimité et, bien que dégoulinante de plaisir, le morceau semble difficile à loger tout entier en elle. Elle manque d’air. Elle se sent écartelée, tous ses muscles à la limite de la tétanie, sa chatte est à vif et énervée, semblent avoir atteint la limite de son élasticité. De puissantes mains la maintiennent et sous la vigueur de son partenaire du moment, les yeux fermés pour se concentrer sur son plaisir, elle tremble sous la virulence des coups de boutoirs. Avant qu’elle n’atteigne son paroxysme, elle se retrouve les deux pieds au sol, chevauchant la monstrueuse bite. Et elle doit elle-même s’empaler et cherchant à vouloir aller toujours plus loin et plus vite pour rattraper sa jouissance interrompue. Une paire de mains inconnues prend possession de ses seins et des doigts fins et agiles viennent pincer et tirer sur le bout de ses tétons, augmentant encore son désir de jouir. Alors qu’elle accède à cet état d’excitation suprême, son corps bascule en avant et un second sexe, plus fin, vient percer son anus, s’accouplant et se mouvant en accord avec celui sur lequel elle est empalée. En quelques mouvements fulgurants, Mathilde hurle son extase, laisse échapper un long hululement de plaisir qui me fait lâcher une nouvelle fois ma semence dans le fond de la gorge de ma suceuse.
Autour de nous, seuls les soupirs, de temps à autre un cri aigu ou un « ahan » de plaisir couvre le brouhaha et le parquet qui grince. Mathilde, exténuée, reste un long moment allongée, le corps tremblant de son plaisir, avant de remettre son pantalon et sa robe. Les jambes flageolantes et raides de plaisir, elle a un peu de mal à retrouver une démarche digne d’une jeune femme. Repue dans sa chair, dans ses plaisirs, elle retrouve une vigueur particulière devant le service du souper avant de rejoindre un bateau-taxi qui nous ramène vers le Danieli. Avant d’embarquer, sur le quai, Amanda la remercie de sa présence et de sa performance, faisant rougir la jeune femme en ajoutant :
Et les deux nouvelles amies échangent un brûlant baiser sur la bouche qui me fait monter une nouvelle bouffée d’excitation.
À bord du bateau-taxi, je ne sais pas franchement à quoi m’attendre. Mais Mathilde vient se blottir contre mon épaule pour me lécher doucement le lobe de l’oreille et me dire, à voix basse :
Cette nuit-là, nous nous sommes sagement endormis, emboîtés l’un dans l’autre, ma main couvrant un sein de Mathilde. Elle, déjà dans un profond sommeil.
(À suivre)