n° 20175 | Fiche technique | 17886 caractères | 17886Temps de lecture estimé : 10 mn | 02/04/21 |
Résumé: Perturbée par son attirance pour un jeune coq, la prof succombera-t-elle à son désir d'adultère ? | ||||
Critères: fh fplusag jeunes extracon profélève grossexe fsoumise hdomine revede voir exhib fellation pénétratio fsodo -extraconj | ||||
Auteur : Jimmychou Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La prof de lycée Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Après les premiers mois de l’année scolaire, une relation ambiguë s’est établie entre une prof de terminale et un de ses élèves.
Comme chaque mercredi, le dernier cours de Monique a pris fin à 11 h. Elle en a profité pour rendre visite à sa manucure avant de rejoindre sa maison pour le déjeuner.
La belle femme brune est en proie à une vive tension et le stress du rendez-vous tout proche lui a coupé l’appétit. Après tout, qu’importe le repas.
La professeur se fait belle. Juchée sur ses escarpins noirs dont les larges brides enserrent délicatement ses jolies chevilles, elle admire son corps pratiquement nu dans le miroir de sa chambre. Elle examine avec attention son porte-jarretelles noir et les bas à couture tout neufs qu’elle vient d’y fixer. Ces bas ne lui donnent-ils pas un air de courtisane ? s’interroge Monique en faisant pivoter l’arrière de sa jambe vers le miroir.
Elle hésite et finalement renonce. Elle n’est pas prête à arborer ces coutures provocantes et décide de se rabattre sur des bas plumetis plus sages. Avant d’enfiler son slip, elle examine attentivement le triangle sombre qui rejoint la naissance de ses cuisses pour s’assurer que l’heure passée la veille à en arracher les poils disgracieux n’a pas été inutile. Monique se sent particulièrement désirable alors qu’approche le moment du départ et les pointes gonflées de ses seins témoignent de l’excitation qui la gagne.
Elle jette un coup d’œil aux vêtements qu’elle a jetés sur son lit. D’abord son chemisier légèrement transparent dont elle laissera ouverts les trois boutons du haut, puis sa jupe noire, courte et évasée aux sobres motifs dorés. Monique imagine avec délice le contact sensuel de l’étoffe légère sur ses fesses quasi nues. Elle a hésité à ne pas porter de culotte par ce bel après-midi, mais elle a eu peur des conséquences si jamais elle se mettait à mouiller sans parvenir à se contrôler.
Monique sait maintenant avec quelle facilité peut lubrifier son vagin. Elle a finalement décidé de porter un joli string en dentelle noire dont l’étroite bande de tissu du côté pile cachera à peine sa raie culière. Une dernière couche de rouge à lèvres carmin sur ses lèvres charnues et Monique est enfin prête. En admirant une dernière fois son reflet, elle en vient presque à regretter de ne pas porter ses bas-couture et de ne pas laisser à la maison son slip et son soutien-gorge.
Qu’importe ! se dit-elle, ce sera pour la prochaine fois.
Et elle profitera de l’occasion pour troquer ses éternels chemisiers contre un cache-cœur ou un dos nu. Car Monique est fière de ses épaules magnifiques et suppose à raison qu’il se trouvera facilement des mâles attirants pour partager son avis.
Avant de descendre au parking, elle attrape sa veste cintrée en cuir rouge. Elle la posera sur la banquette arrière, car elle ne compte pas la porter dans l’immédiat. En effet à 13 h 30, par cette journée anormalement moite, Monique a si chaud qu’elle abandonnerait volontiers le chemisier léger et transparent qui dissimule bien mal son affriolant soutien-gorge noir. En quittant son garage dont la porte automatique se referme derrière elle, Monique doit se rendre à l’arrêt du car avant de faire route vers Mulhouse. Cette perspective éclaire le visage de la femme sensuelle et désirable qui a enfin décidé de ne plus s’opposer son désir.
Quelques minutes plus tard, la voiture stationne sur l’emplacement situé à proximité de l’arrêt de car. La belle bourgeoise est sortie prendre l’air pour évacuer une partie de la tension qui ne la quitte pas depuis son réveil. Elle transpire de sensualité et tous ses gestes évoquent la femelle disponible.
Youssouf l’observe et remarque les seins gonflés et la posture discrètement aguicheuse. Il a compris que Monique est prête à s’offrir à lui et qu’elle ne le repoussera pas lorsqu’il décidera de la posséder. Il sent son sexe durcir dans son pantalon à cette perspective, mais il se maîtrise avant d’aller rejoindre la femme sublimée par le désir.
**********
En montant dans la voiture, Youssouf n’a pas manqué de féliciter chaudement Monique pour son décolleté tentateur avant de poser naturellement sa main sur la cuisse gainée de nylon de la jolie femme. Comme il s’y attendait, Monique n’a rien dit ni fait pour dissuader le jeune mâle dominant de se considérer en terrain conquis avec elle.
Lorsque Youssouf le lui a demandé alors qu’ils venaient de franchir le panneau indiquant l’entrée de Mulhouse, Monique a accepté sans aucune hésitation d’emmener le jeune noir dans cette cité sans charme de la périphérie. Ce genre de quartiers dont on parle souvent dans les pages des faits divers et qui effraient les bourgeoises blanches pleines de préjugés. Mais Monique est confiante et c’est de son plein gré qu’elle a suivi Youssouf dans le studio miteux où habite son cousin Hassan lorsqu’il ne s’épuise pas sur les chaînes de l’usine Peugeot située à proximité.
Après tout, c’était dans l’ordre des choses puisqu’elle n’avait pas repoussé le jeune colosse dans la voiture lorsqu’il avait posé sa main sur ses cuisses juste après qu’ils sont sortis de leur petite ville. Elle n’avait pas plus réagi alors qu’il faisait courir ses doigts sur le nylon de ses bas pendant qu’elle conduisait, soulevant à l’occasion sa jolie jupe pour caresser la peau nue située en haut de ses cuisses. Sans arrière-pensée, elle s’était abandonnée sur le parking de la cité lorsqu’il l’avait enfin embrassée, explorant les moindres recoins de sa bouche avec sa longue langue agile tout en titillant son clitoris gonflé de désir sous l’étoffe de sa jupe. Elle n’avait pas plus protesté lorsqu’il avait défait un à un les boutons de son chemisier. Elle l’avait même aidé lorsqu’il avait voulu lui retirer son soutien-gorge pour pouvoir caresser ses seins tendus tout en l’embrassant.
**********
Assise sur le lit, les mains posées sur les cuisses, le chemisier largement ouvert sur sa poitrine libre de toute armature, Monique assiste maintenant au déshabillage de Youssouf. Le jeune homme lui a certes donné l’occasion d’admirer longuement ses larges pectoraux et ses tablettes de chocolat parfaitement sculptées. Mais ce qui enchante le plus Monique, c’est la peau si noire aux reflets cuivrés de Youssouf. La bestialité brute qui émane de son corps magnifique embrase tous les sens de la femme. Elle ne quitte pas des yeux le mâle superbe en train de se défaire lentement de son large jean dévoilant de façon théâtrale sa tige majestueuse à sa conquête subjuguée.
Respirant à peine, Monique découvre les veines saillantes du membre plus qu’imposant ainsi que l’énorme gland circoncis qui vient de jaillir du pantalon. Le souffle court et les yeux brillants de mille feux, elle admire émerveillée les couilles de taureau et le cep d’ébène aussi large que son poignet qui pend le long des cuisses noires et musclées du mâle. Youssouf est désormais entièrement nu devant la splendide bourgeoise dont le vagin coule telle une fontaine de cyprine.
Il s’approche maintenant pour masser ses seins dont les pointes sont si tendues qu’elles en sont douloureuses. Monique rejette la tête en arrière pour mieux profiter de la caresse prodiguée par le jeune colosse. Puis n’y tenant plus, elle se penche et saisit de ses mains aux ongles rouge vif le sexe noir avant d’emboucher du mieux qu’elle peut le gland dont l’odeur âcre et musquée lui fait tourner la tête.
La belle femme sent peu à peu le membre palpiter, enfler et se raidir dans sa bouche à tel point qu’elle ne peut plus l’entourer avec ses doigts et qu’elle craint que les commissures de ses lèvres se fissurent. Mais sa bouche résiste et malgré ses hauts de cœur et sa difficulté à respirer, Monique s’applique à sucer et lécher la hampe géante tout en massant délicatement les énormes testicules gonflés de sève.
La fellation est si efficace que Youssouf ne tarde pas à maintenir fortement la tête de la femme avant de se raidir brusquement. Sa queue se met alors à tressauter et à déverser des flots de sperme au fond de la gorge de Monique qui ne veut pas en perdre une goutte, enchantée par le goût délicieux et sucré de la crème qui gicle du gland marron.
Satisfait, Youssouf extirpe ensuite sa somptueuse mentule de la bouche accueillante permettant à sa conquête d’admirer à loisir le dard déployé qui pointe fièrement vers son visage. Jamais Monique n’aurait pu imaginer sexe si imposant. Elle essaie d’en estimer la taille et l’épaisseur.
Mais après tout, qu’importent les chiffres… Monique subjuguée par l’épaisseur du pieu turgescent est bouleversée à la perspective de l’accueillir en elle. Car, son seul vœu à cet instant est que ce tronc noir et majestueux s’immisce au plus profond de ses chairs.
Youssouf sent le désir inassouvi de la femme. Il sait qu’elle a abdiqué face à sa puissance et qu’il va pouvoir la posséder à sa guise. Monique ne se défilera pas. Au contraire, elle espère ce moment où le mâle la fouillera sans retenue certaine du plaisir qu’il lui procurera avec son dard orgueilleux.
Youssouf bande alors ses biceps et prend Monique dans ses bras avant de l’étendre délicatement sur le lit comme si son poids était négligeable. Ensuite il lui retire sa jupe et d’une main ferme et rapide lui arrache son slip trempé de cyprine.
Triomphant, le mâle découvre le ventre plat de la femme blanche, ses hanches larges et son superbe mont de Vénus. Monique écarte alors les cuisses signifiant son impatience à recevoir la barre magnifique au fond de son con. Il lui tarde d’être saillie et complètement remplie. Youssouf introduit d’abord trois de ses doigts dans la chatte luisante arrachant un petit cri de surprise à la brune offerte.
Satisfait de la largeur du conduit intime, il pose alors son gland gorgé de sang sur la vulve bombée puis il s’allonge sur sa conquête et d’un mouvement puissant et régulier la pénètre en lui écartelant les chairs. Monique ressent d’abord une violente douleur. Youssouf ne serait-il pas en train de la déchirer ? Mais cette souffrance s’estompe vite alors que le fourreau de la femelle s’adapte au fabuleux calibre. Une sensation de plénitude incroyable envahit la femme, à peine interrompue lorsque le nœud turgescent du noir percute sa matrice. Les yeux vitreux, Monique se mord brièvement les lèvres, enfin remplie par le tronc majestueux. Youssouf commence alors à aller et venir entre les cuisses ouvertes procurant à Monique une sensation tellement puissante qu’elle jouit presque immédiatement en hurlant son plaisir.
Le mâle n’en a cure, continuant à pilonner de plus en plus rapidement la grotte délicieuse de sa maîtresse qui enchaîne les orgasmes et aspire inconsciemment à recevoir en elle l’intégralité du dard de Youssouf qui a chaque coup de reins s’enfonce plus profondément. Lorsqu’enfin planté jusqu’à la garde, le mâle triomphant écrase ses couilles contre le pubis de la femme, il ne peut se retenir de déverser son foutre au fond du con dévasté par ses assauts primitifs.
Monique jouit à nouveau comblée par l’étalon dont le liquide chaud et abondant inonde son ventre. Youssouf serre dans ses bras sa nouvelle femelle qui lui offre ses lèvres sans retenue signifiant ainsi qu’elle est devenue sienne à l’issue de ce fabuleux coït. Mais le mâle n’est pas rassasié. Il se lève et donne la main à sa maîtresse pour qu’elle se mette debout elle aussi. Alors il se place derrière elle pour l’embrasser dans le cou, caresser ses seins si sensibles et explorer délicatement son vagin béant.
Puis il l’aide à retirer toutes ses parures. Désormais il veut la posséder entièrement nue. La belle blanche a compris. Spontanément, elle s’installe à quatre pattes sur le lit jambes ouvertes pour permettre à l’étalon de venir s’agenouiller contre sa croupe. Le pieu monstrueux de son amant ne tarde pas à trouver sa voie et à coulisser pour fouiller sans retenue le fourreau doux et élastique de Monique. Elle gémit et crie de plaisir au bord de la jouissance jusqu’à ce qu’elle se tende submergée par un nouvel orgasme fantastique.
Youssouf l’ignore, tout à son plaisir égoïste. Pour rien au monde il n’interromprait sa chevauchée triomphante tandis que ses doigts investissent et malaxent l’œillet délicat de la brune qui s’offre à lui. Malgré ses sens en ébullition et son esprit submergé par le plaisir, Monique sait que le mâle plantera son cep magnifique dans son fondement. Elle l’appréhende, mais surtout elle le souhaite. Elle veut montrer à Youssouf qu’elle est à lui, que son corps appartient désormais au mâle alpha, dont le membre grossit encore et s’immobilise écartelant un peu plus les chairs malmenées. Une brève douleur irradie le bassin de la femme, mais disparaît aussi vite lorsque le foutre chaud tapisse son conduit intime et déclenche un orgasme si puissant qu’elle fond en larmes de plaisir.
Youssouf a cessé de bouger tout en maintenant fermement les larges hanches de sa maîtresse alors qu’il se vide en poussant un râle de cerf dans le con si accueillant. Domptée Monique, lui laisse reprendre son souffle, puis elle attrape ses fesses rondes et les écarte pour présenter son œillet ouvert à l’étalon qui a à peine débandé. Un sourire carnassier apparaît sur les lèvres du noir. Penser qu’il va déflorer le cul de Monique lui procure un sentiment de puissance incroyable. Il se réjouit de voir la bourgeoise fière plus disponible qu’une chienne en chaleur. Et d’un coup de reins rageur, il enfonce les deux tiers de son dard dans le boyau étroit. Monique hurle de douleur puis serre les dents pendant que le fougueux étalon continue sa progression dans son fondement. Quand enfin le chibre monstrueux est planté jusqu’à la garde, Monique respire à nouveau. Youssouf laisse le temps au conduit malmené de s’adapter à son calibre hors norme. Puis il commence à ramoner lentement les boyaux de sa maîtresse. La douleur s’évanouit peu à peu tandis qu’une sensation inconnue et délicieuse se diffuse dans tout le bassin de Monique.
La brune ne se contrôle plus et ne peut s’empêcher de gémir bruyamment partageant malgré elle son plaisir avec l’appartement voisin jusqu’au cri ultime qui la laisse affalée et inconsciente sur le lit. Enlacés sur le lit dévasté, les amants épuisés récupèrent enfin de leurs ébats débridés. Le mâle, repu, collé contre son dos, caresse tendrement sa femelle comblée dont les orifices béants témoignent de l’intensité et de la force des coïts passés.
Monique ne peut retenir la sève abondante de son étalon qui s’écoule peu à peu de ses fourreaux intimes. Elle s’extasie devant le contraste offert par les membres au noir si foncé du mâle qui entourent son corps à la peau douce et joliment bronzée. Monique sent le membre majestueux de son amant palpiter contre ses fesses et une bouffée de chaleur la submerge un bref instant. Alors elle se love un peu plus contre le large torse désireux que cette magnifique étreinte ne finisse jamais.
Il est pratiquement 17 h. Étendu entièrement nu sur le lit, Youssouf admire sa maîtresse en tripotant machinalement sa tige. Monique lui fait face. Juchée sur ses talons, elle est en train de fixer sensuellement ses bas à son porte-jarretelles. Un mince filet de sperme s’écoule de sa vulve rougie par les étreintes de l’après-midi. La belle brune n’a pas le choix. Elle doit remettre son slip pour éviter que la sève de l’étalon coule le long de ses cuisses. En revanche, pour plaire à son jeune et fougueux amant, elle décide de ne pas remettre son soutien-gorge, tout émoustillée par le contact de son chemisier sur ses tétons si sensibles. Elle a d’ailleurs décidé de ne pas fermer les boutons préférant nouer les deux pans du vêtement sur son nombril et arborer un décolleté plus que suggestif.
Il ne lui reste plus qu’à remettre sa jupe légère et à enfiler sa veste en cuir pendant que le jeune mâle se rhabille à son tour. Repus de plaisir, les deux amants s’apprêtent à quitter le triste studio.
Un cognement fait vibrer la porte d’entrée. Youssouf hausse les sourcils en fixant sa ceinture avant de se déplacer pour libérer le verrou et ouvrir le battant.
Deux orbites vides et rapprochées le toisent sans faiblir.
Youssouf comprend lorsque le premier jet de plombs arrache la moitié de son crâne. Trop tard pour empêcher la seconde cartouche de terminer l’œuvre mortelle. Le hurlement de Monique résonne à travers le bâtiment pendant qu’Étienne recharge le fusil.
Il le pointe vers sa femme tétanisée et tire alors qu’elle perd connaissance.
Les plombs s’écrasent sur le mur lépreux. Insensible, l’homme retourne son arme avant d’en gober le canon. Puis il appuie une ultime fois sur la détente.
Fin