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n° 20211Fiche technique21767 caractères21767
Temps de lecture estimé : 13 mn
18/04/21
Résumé:  À nouveau, petit cadeau de mon épouse connaissant mon fantasme de voyeur avéré à l'égard des décolletés mais pas que !
Critères:  fh couple cadeau candaul inconnu magasin voiture revede voir chaussures pénétratio -voyeur
Auteur : Luciano69      Envoi mini-message

Série : Plaisir partagé dans un magasin...

Chapitre 02 / 02
Belle surprise pour moi quand ma femme acheta des chaussures

Résumé de l’épisode précédent :

Ma femme m’avait proposé d’aller acheter des chaussures dans un magasin tout en sachant que la vendeuse était seins libres sous son chemisier. C’était magnifique ! J’avais proposé, à charge de revanche et pour la remercier, que la prochaine fois ce soit ma femme qui serait la cliente et moi le voyeur.






C’était l’été de cette année 2004 et nous étions en vacances sur la Côte d’Azur. Même si les repas sont en cette période plus simples et plus allégés, le frigo ne se remplissait pas tout seul. Le passage par un centre commercial était obligatoire. De plus, ils étaient climatisés et c’était bien appréciable par ces chaleurs estivales.


Je me souviens de cette journée comme si c’était hier. Pour ceux qui connaissent, nous prenions la direction du Cap3000 à Saint-Laurent-du-Var. Un grand centre commercial avec une galerie marchande, un hyper pour l’alimentation et les magasins de toutes sortes.


Je peux vous décrire parfaitement la tenue que portait ma chérie : de simples tongs chaussaient ses pieds, et une robe René Dhery (c’était l’époque…) aux motifs à fleurs l’habillait. Assez court, ce vêtement était muni de boutons sur toute sa hauteur.


Ma chérie avait raisonnablement enlevé un bouton en haut et un en bas. Aucune provocation, elle était magnifique. Quand elle marchait, ses jambes, superbes, se retrouvaient dévoilées jusqu’à mi-cuisse. Plusieurs hommes se retournaient sur elle, j’étais fier.


Par contre, je vis distinctement qu’elle portait un soutien-gorge. Vous savez, les marques des bretelles dans le dos qu’on distingue… Dommage ! C’est tellement beau un dos lisse exempt de toute marque de sous-vêtement, tellement suggestif et excitant de savoir que la poitrine de la dame est libre sous ce vêtement…


Immédiatement, j’ai repensé à cet épisode du supermarché où ma chérie avait offert une première exhibe à la fois inattendue et assez ambiguë… Ce n’était pas calculé, mais c’était sublime.

Évidemment, je lui dis…



Ben oui, je l’avoue, j’ai un faible pour mater les décolletés, les « downblouse » comme disent les Anglais… Mais ça, vous le savez déjà.

De ce fait, elle vérifia son haut de robe, s’assurant que rien ne pourrait être vu malgré elle… Tant pis pour moi !

Effectivement, les achats furent vite faits et je ne pus jamais apercevoir un semblant de décolleté. Manifestement, ma chérie n’avait pas la tête à la frivolité aujourd’hui.


Néanmoins, je profitais de l’occasion pour regarder d’autres femmes qui, malgré elles, dévoilaient à mes yeux des poitrines parfois très généreuses. J’eus même le droit à un sein nu, vu de côté, grâce à l’échancrure assez large d’un top porté par une ravissante demoiselle qui levait les bras pour attraper un article dans les rayons, hum… Que c’était beau ! J’eus immédiatement une réaction assez logique, celle de tout homme normalement constitué.


Retour à la réalité : les courses furent vite faites ! Au passage en caisse, il n’y avait heureusement que peu d’achats et un seul sac pouvait les contenir, puis nous prîmes la direction du parking.

En parcourant la galerie marchande, ma chérie s’arrêta devant un magasin de chaussures.



Et là, encore un peu émoustillé par la vision récente de ce magnifique sein vu de côté, j’osai le tout pour tout :



Je vis tout de suite un changement dans l’attitude de ma chérie. Comme un sentiment de gêne qui l’envahissait. Je pense qu’elle se rappelait mes propos cités à l’issue de cette première expérience. Je ne lui laissai pas le temps de dire quoi que ce soit.



Elle me regarda droit dans les yeux, n’exprima aucun signe, me donna le sac de courses, et entra dans le magasin… seule, mais d’un pas décidé.

Yes, j’avais peut-être réussi… ! Je restais derrière la vitrine pour la regarder évoluer dans le magasin, et surtout pour voir si d’autres personnes l’avaient remarquée. Peu de monde à vrai dire… pas de chance ! Ma femme s’approcha de la fameuse paire de nu-pieds, et au moment où elle allait regarder la pointure, un jeune vendeur arriva. Il s’agissait certainement d’un job d’été, il n’avait pas l’allure d’un vendeur pro. Peu importe… il y eut une discussion entre eux, le jeune homme lui montra un siège libre et je compris qu’il alla chercher la pointure. Ma femme se dirigea vers cette place et s’assit.


Déjà, je fus surpris, car elle avait croisé ses jambes bien hautes, découvrant ainsi toute sa cuisse sur le côté, mais en plus… non, je ne le croyais pas… j’ai dû regarder en deux fois pour en être sûr, elle avait enlevé un second bouton sur le haut de sa robe.

Je n’en revenais pas. J’ai failli me cogner à la vitrine pour mieux voir tant j’étais sidéré. Oui, ma chérie acceptait de jouer ce petit jeu avec moi en voyeur. Je m’en réjouissais par avance !


J’entrai dans le magasin et croisai le regard de ma chérie. Je devais par mes yeux être très évocateur tant je voulais lui dire qu’elle était belle et de plus en plus sexy.

En guise de réponse, elle me gratifia d’un large sourire. Oui, elle avait bien deux boutons ouverts. Quelle coquine ! Je commençais à nouveau à avoir des problèmes avec mon anatomie.


Je fis mine de m’intéresser à des chaussures pour pouvoir vivre au plus près l’arrivée du vendeur et profiter de ce petit jeu d’exhibe de la part de ma chérie.

Ça ne traîna pas. Il arriva avec deux boîtes dans les mains et les posa au sol devant mon épouse. Alors que ce jeune vendeur était quasiment agenouillé devant elle, ma chérie décroisa ses jambes lentement, mais ne les joignit pas complètement en posant les pieds au sol. Je devinai le regard du garçon se noyer entre les cuisses de mon épouse. Je pensais que je serais le seul voyeur, mais apparemment, ma chérie décida d’en faire profiter quelqu’un d’autre. Ça m’excitait encore plus de voir un gars mater ma femme ! J’essayai de chercher le regard de mon épouse. Elle le sentit et pendant que le vendeur était affairé à sortir la première paire, discrètement, elle me regarda et en même temps, enleva un bouton du bas de sa robe, tout en me souriant bien sûr, mais en resserrant les jambes. Il commençait à faire de plus en plus chaud…



Ma femme se pencha tout en restant assise, son décolleté ne fut visible que quelques instants, mais suffisamment pour attirer mon regard, et bien sûr celui du vendeur. Le soutien-gorge blanc en dentelle n’avait plus de secret pour nous deux, enfin, surtout pour le jeune homme !


Une fois chaussée, toujours assise, elle tendit sa jambe pour contempler et apprécier son pied nouvellement chaussé. Elle fit des mouvements sur le côté avec sa jambe tout en laissant l’autre immobile, si bien que son entrejambe devint très nettement visible, et son shorty en dentelle blanche apparut furtivement. Bizarre, le vendeur ne se releva pas… Il devait sûrement, tout comme moi, être très à l’étroit dans son pantalon. Lui, le veinard, était à sa hauteur à moins de deux mètres. J’étais presque jaloux !



Le temps que le deuxième nu-pieds soit dans les mains du vendeur, ma femme tendait le deuxième pied en écartant un peu plus les jambes. Je feins de me baisser pour me rendre compte de ce que pouvait voir ce chanceux vendeur…


Vue imprenable sur le shorty blanc en dentelle et suffisamment transparent pour distinguer la toison noire à travers l’étoffe du tissu. Le vendeur n’en perdait pas une miette, mais n’a jamais osé relever la tête vers celle de mon épouse. Il se permit même de prendre le pied de mon épouse dans ses mains pour fermer la boucle. Peut-être en avait-il profité pour lui caresser délicatement la cheville. J’avais surtout l’impression qu’il essayait d’écarter un peu plus les jambes, sans doute pour mieux contempler ce shorty si sexy. J’aurais vraiment aimé être à sa place, ou au moins à côté de lui pour mieux apprécier ce que ma chérie pouvait dévoiler sous sa robe.

Mais non, c’est l’inverse qui se produit, ma femme se leva rapidement, fit quelques pas dans le magasin, et revint vers le vendeur. Je trouvais ma chérie de plus en plus sexy… Elle se baissa en disant.



Ah oui, je compris pourquoi… pour ajuster les boucles, ma chérie se pencha devant le vendeur, ce qui lui permit de mater son décolleté plongeant du fait du deuxième bouton enlevé. Assorti au shorty, le soutien-gorge blanc en dentelle était totalement visible. Les deux seins sublimes que je connaissais par cœur étaient là, à portée de mains. On distinguait même les aréoles plus foncées à travers les bonnets presque transparents. Ça dura une quinzaine de secondes, mais c’était interminable. Quel spectacle !

Voir ma femme penchée devant le vendeur, la robe suffisamment ouverte pour distinguer les deux seins certes cachés par ce ravissant soutien-gorge, ça m’excitait de plus en plus…


Je n’arrêtais pas de bouger pour éviter de me faire repérer tout en restant à proximité. Mon érection masquée par un grand sweat n’était pas visible, mais j’étais très embêté. À mon avis, je n’étais pas le seul… Il s’en souviendra de son job d’été, le jeune homme !



Le vendeur se releva et attendit.

J’étais surpris, car ma femme pour parler tournait le dos. Mais que faisait-elle ?

Elle se rassit, puis se pencha et mit bizarrement beaucoup de temps pour enlever les nouveaux nu-pieds. Le vendeur était debout devant elle comme figé… et pour cause, le décolleté était toujours aussi plongeant, mais ma coquine de femme, par des mouvements subtils quand elle était tournée, avait réussi à descendre un peu son soutien-gorge afin de faire sortir le haut de ses seins jusqu’au mamelon. Ses tétons étaient dressés et bien visibles. Évidemment, elle réussit pendant un court instant à croiser mon regard en esquissant un petit sourire. Je compris que c’était pour moi, mais que je n’étais pas le seul à en profiter.

Dans ma pensée, ça m’échappa : oh la coquine, elle lui montre carrément ses seins !


Mais j’adorais, je jubilais. Je me délectais de cette vue que je connaissais déjà en m’imaginant venir téter ces pointes arrogantes. Ma femme s’exhibait devant cet inconnu et c’était inespéré. Certes, c’était vache pour ce pauvre vendeur qui devait lui aussi bander comme un taureau, mais qui ne pouvait rien faire si ce n’était de mater comme un malade.

Quand tout fut fini, ma chérie se releva, on distinguait nettement ses tétons qui pointaient à travers sa robe très légère. Elle alla à la caisse, échangea à nouveau un regard avec moi, l’air de dire « ça va, mon chéri, tu as apprécié ? ». Le vendeur déposa la boîte près de la caisse et s’empressa de dire à ma femme :



Au plaisir, tu m’étonnes… Une cliente comme ça, il ne devait pas en voir tous les jours ! Ma chérie se contenta de lui sourire en faisant un signe de tête. Elle paya puis sortit. Je l’attendais dehors. Je la regardai, l’embrassai, et lui dis :



Elle en profitait pour essayer de tester l’état de mon sexe à travers mon short.



Elle me prit par la main pour se diriger vers l’escalier d’accès au parking. Sitôt arrivés à la voiture que je la vis se diriger vers le coffre.


Quelle idée de ranger des affaires dans le coffre alors qu’on est excités… mais bon ! Mon esprit revint vite sur le sujet. Tout en m’asseyant à ma place, je repensais à la précédente scène, cette douce et merveilleuse fellation dont ma chérie m’avait gratifiée, assise à cette place, il y a seulement quelques semaines. Je bandais plus fort rien que de me remémorer la scène en pensant la vivre à nouveau.


Je fus surpris, car mon épouse arriva de mon côté en ouvrant ma porte. Elle saisit la manette du siège pour le reculer au maximum et se mit sur moi, à califourchon. J’allais lui demander ce qu’elle faisait, mais elle posa son index sur ma bouche et me dit : chut… !

Puis d’une main experte, elle sortit mon sexe bien dressé, se plaça au-dessus et en écartant adroitement son shorty, dirigea mon gland vers son antre, chaud et inondé. Aucune résistance, ma verge pénétra au plus profond de son puits d’amour. Elle commença, face à moi, quelques mouvements de va-et-vient, sans trop bouger j’avais l’impression d’aller de plus en plus loin en elle. Je sentais son orgasme monter au même rythme que le mien. Nous nous embrassâmes longuement en attendant la délivrance. J’en profitai pour caresser ses seins à travers sa robe légère. Surprise ! Ils étaient libres sous cette fine étoffe. Cette coquine avait pris le temps d’enlever son soutien-gorge en rangeant les sacs dans le coffre… Tout s’expliquait ! Je marquais un temps d’arrêt de quelques secondes, comme pour questionner ma chérie à ce sujet.


Elle me sourit et m’embrassa encore plus fort. J’étais encore plus excité et heureux de constater que ma chérie avait pris du plaisir à ce petit jeu. J’en profitai pour lui caresser ses seins libres et gonflés par le désir. J’avais envie de retirer tous les boutons pour lui lécher ses tétons, mais elle m’en empêcha. Nous étions quand même dans la voiture, un peu de décence ! Elle descendit sa main pour sentir mon sexe la pénétrer. Je sentais à présent ses doigts qui participaient activement et stimulaient son clitoris. Ça devenait intenable… nous étions tous deux trop excités pour résister ! La jouissance fut trop forte, je collai sa bouche contre la mienne pour éviter les cris tant notre orgasme fut grand et synchronisé. J’eus l’impression d’éjaculer à chaque mouvement tellement c’était divin.


Nous avions chaud. Nos vêtements collaient à notre peau. Nous restâmes quelques instants sans bouger, peut-être pour ne pas nous faire remarquer.

Il était bien temps ! Certes, il y avait des voitures à côté de nous et un mur devant, mais quelqu’un aurait pu nous observer et nous ne l’aurions peut-être pas vu… D’ailleurs, peut-être y étiez-vous, vous, cet été-là, sur le parking du Cap3000 à Saint-Laurent-du-Var ?


Après avoir repris nos places et nos esprits, je dis à ma femme, qui sentait l’amour, plus que désirable avec ses seins tendus sous sa robe encore humide de sueur :



Bon, ben, voilà… L’art et la manière de casser une ambiance ! Il ne faut pas pousser le bouchon trop loin. Il faut savoir se contenter du moment présent et de ce que l’on vit. Manifestement, je l’avais vexée. J’ai eu beau dire que je m’étais mal exprimé, que ce n’était pas ce que je voulais dire, ma chérie était furieuse. J’avoue que cette vision d’une main du vendeur dans son décolleté, ça m’excitait, mais c’était de la folie.



Je ne savais plus quoi répondre… je pensais que quoi que je dise, je m’enliserais encore plus et que ce serait mal interprété. Je décidais donc de me taire.

J’ai eu la soupe à la grimace jusqu’au lendemain.

Et effectivement, ça a laissé des traces, car elle faisait beaucoup plus attention à ses tenues, même en été et loin de chez nous.


Quelques mois plus tard, après un gros câlin, je lui ai dit que ça me ferait plaisir si elle portait à nouveau des hauts plus décolletés et même sans soutien-gorge.



Elle m’a avoué que le fait de s’être montrée comme elle l’avait fait dans ce magasin, ça l’avait gênée, car elle s’était rendu compte qu’elle avait probablement donné des envies au gars et que pour elle, il n’était pas question de faire plus. Donc elle faisait attention de ne plus aguicher malgré elle. Sur le fond, je ne pouvais pas lui en vouloir…

Heureusement, il y eut d’autres heureux moments, mais jamais à l’attention d’une personne en particulier. Le seul regard des autres sur ses seins libres, et même ses décolletés, me suffisait largement et lui plaisait également.

C’était devenu notre petit jeu, notre plaisir, et ça continue, encore et encore…



Fin de cette série qui fut deux histoires réelles.




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N’oubliez pas mon premier récit hors-série : « Une première exhibe innocente, mais très ambiguë »

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