n° 20224 | Fiche technique | 24236 caractères | 24236Temps de lecture estimé : 14 mn | 27/04/21 |
Résumé: Une petite salle de gym, une narratrice, quelques amies choisies, c'est un cercle discret où l'on entre sur recommandation. Être libres entre nous se mérite. Illustration. | ||||
Critères: fff inconnu gymnastiqu voir exhib nudisme fmast caresses nopéné -lesbos | ||||
Auteur : Dyonisia (Rêves et autofictions... Ou souvenirs et confidences ?) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Gymnasium Chapitre 01 / 09 | Épisode suivant |
Je m’appelle Annette. J’ai quarante-cinq ans, blonde (enfin, châtain clair…), petite et encore « bien roulée » : 1,58 m, autour de 50 kg, 86-69-90. Je suis prof de gym et j’ai une salle, un ancien petit gymnase qui a conservé quelques agrès, où je donne des cours de stretching. De mes humanités lycéennes, j’ai gardé l’amour de l’antiquité, et j’ai élaboré un style de stretching qui satisfait ce goût avec d’autres inclinations. Mes enfants sont déjà grands, mon mari est très pris. Ce cours privé me permet d’occuper agréablement mes loisirs.
Il me semble que l’accomplissement d’une femme passe par l’acceptation complète de sa féminité et surtout par l’acceptation de celle des autres femmes. Cela, joint à mes aspirations d’une esthétique la plus élégante possible et à ma philosophie d’un corps libéré de ses contraintes vestimentaires ou sociales, m’a donné l’idée d’une méthode - plus un état d’esprit qu’une méthode d’ailleurs.
Je pars du principe que l’on doit admettre son corps tel qu’il est, en essayant de l’améliorer certes, mais en acceptant de le montrer, à soi comme aux autres, sans honte ni fausse pudeur. Pour une bonne liberté de mouvement, pour permettre à la peau de respirer et à la sueur de s’exprimer partout où elle doit, rien ne vaut la nudité. Pas de vêtements qui enserrent, compriment, étouffent ; pas de substitution artificielle de nos odeurs personnelles ; pas de rivalité non plus à qui aura le plus beau collant, body, etc.
Première règle donc : nudité totale pour les exercices et la relaxation.
Évidemment, cela suppose une hygiène mentale (non, je ne parle pas de morale !) de qualité : ne pas jouer les pudiques ni se moquer sottement, de façon plus ou moins ouverte, de sa voisine. Si l’on veut être à l’aise dans son corps et dans sa tête, il faut admettre l’autre dans ses différences, plus ou moins belle, maigre, jeune, ou grande que soi, quels que soient ses positions ou le fonctionnement de son corps.
Deuxième règle : ne rien cacher ni avoir honte de rien. Et c’est tout !
Deux petites règles, mais qui vous entraînent fort loin et qui, même, ou d’autant plus, dans la société actuelle, vous obligent à une certaine discrétion. Voilà pourquoi il existe un troisième engagement, sans lien direct avec la méthode, mais indispensable à son existence : ne jamais rien révéler de ce qui se passe derrière la porte verte de notre petit gymnase. Toutes l’ont toujours respecté, sauf une, dont je vous raconterai les déboires un jour (promis !).
C’est ainsi que nous pouvons nous détendre et nous maintenir en forme à notre guise depuis plusieurs années. Si je vous en parle aujourd’hui, je ne trahis pas mon propre contrat : le lieu et les prénoms sont faux, bien entendu.
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Nous avons fondé notre groupe avec quelques copines se connaissant très bien et déjà adeptes du naturisme. Nous pratiquions déjà nos exercices sur des plages dédiées au nudisme, loin des apollons de rivage, et si possible du côté des coins réservés (vous savez, il y a toujours un endroit où les gays se retrouvent, les femmes y sont souverainement tranquilles !). C’était super, sauf le sable bien sûr, hum… Enfin, il y avait la mer, heureusement. Que de rires quand nous étions obligées de nous rincer la minette et les fesses du sable qui s’y était insinué !
Mais tout agréable que ce fût, ce n’était pas suffisant. Nous avons fini par dénicher notre bonheur dans la petite ville de B**. Cette salle de gym avait fermé ses portes depuis longtemps. Les propriétaires du lieu, ayant leurs habitudes à l’autre bout du pays, furent trop heureux de nous le louer pour une bouchée de pain. Quelques aménagements, un peu de propreté, et hop, en charrette Huguette, nous avons pu y commencer nos ébats. Nous restons aujourd’hui trois « anciennes », Brigitte, la trentaine, assez grande, blonde (une vraie !), très délurée ; Christiane, une quinzaine d’années plus âgée, rousse, plantureuse, à la peau blanche et fragile ; et moi, que vous connaissez.
Notre petit groupe n’a jamais dépassé la dizaine de filles. Le nombre comme la diversité des participantes évoluent chaque année selon les libertés, les circonstances familiales, les mutations, ou simplement les inclinations de chacune. Nous ne faisons pas de prosélytisme, par souci de discrétion, ni de discrimination, par attachement à nos principes. Toute femme est la bienvenue si elle respecte nos règles et notre philosophie.
En ce moment, par exemple, vous compteriez une notaire, une prof, une fonctionnaire, une experte-comptable, une caissière, une vendeuse, une gendarme (qui ne peut venir souvent, hélas), une épouse d’officier… Quand nous sommes réunies, il vous serait bien difficile de dire qui est qui. On n’affiche pas ses signes extérieurs de richesse sur la peau (et on ne porte pas de bijoux pour faire de la gym). C’est un autre des bénéfices du naturisme que de gommer les distinctions sociales.
Un mot pour le côté bassement matériel : il n’a jamais été question de « cours ». Les séances sont aussi gratuites que non imposées. Sauf le jour qui nous tient lieu d’assemblée générale, on vient quand on veut, à deux, à plusieurs, toutes, peu importe. Nous partageons les charges de la location et de l’entretien. Le coût est variable selon les années, bien sûr, mais je peux vous dire qu’il est bien moindre que pour un club classique. Il reste même toujours de quoi nous offrir quelques petits jouets pour les fêtes. Cadeaux mutualisés sans exception et qui augmentent notre assortiment…
Recrutement discret, évidemment : pour postuler à l’inscription, il faut être parrainée – pardon : marrainée – et la marraine s’abstient de dire quoi que ce soit à sa filleule sur ce qu’elle va trouver. Juste quelques mots du genre « viens à telle heure, tu verras ». La candidate est choisie d’abord pour sa retenue et doit s’engager à ne rien dire ensuite, même si elle refuse d’accepter les conditions préliminaires. Je la reçois avec une « élève » déjà expérimentée, mais sans sa marraine. Celle-ci téléphone toujours pour s’excuser au dernier moment : un empêchement in extremis…
Deux hôtesses sont présentes pour le premier rendez-vous. L’une, le plus souvent moi, est nue, l’autre porte un peignoir et va ouvrir à la visiteuse. Je la reçois dans la pièce qui sert à la fois de bureau et de vestiaire, simplement séparée de la salle elle-même par des vitres dont les stores sont baissés. La fille est en général un peu surprise de se trouver nez à nez avec une femme nue, l’autre laissant négligemment s’entrouvrir le peignoir et ne prenant guère de précaution dans ses attitudes.
J’offre l’unique fauteuil, très patiné je l’avoue, à l’invitée et, tandis qu’elle s’y installe assez interloquée, je me pose sur le bord du bureau, une fesse dans le vide. Après quelques mots d’usage, je lui précise les règles : nudité absolue ; ne rien cacher ; aucune honte ; et secret total. Quatre-vingt-dix-neuf fois sur cent elle accepte, un peu émue. Pour la mettre à l’aise, je l’invite à visiter tout de suite la salle. Le plus souvent, elle risque une question timide.
Je lui ouvre la porte et la fais passer dans la salle. C’est toujours un choc pour elle. Elle s’arrête, je la pousse gentiment.
Ah, c’est vrai, il faut que je vous décrive notre repaire. Pas immense, un rectangle de dix mètres par quinze ; une toiture de cinq mètres au plus haut, bien orientée (une chance) au sud-est, avec une verrière qui nous permet d’avoir du soleil toute l’année ; un store roulant, que nous pouvons manœuvrer grâce aux cordes lisses, pour doubler les vitres lorsqu’il fait froid, ou que le soleil tape trop fort. Notre seul luxe, une bonne protection thermique et phonique : murs et portes isolés, doubles vitrages aux fenêtres. Des couleurs chaudes : orange, jaune, bleu soutenu.
À droite, de grandes glaces devant lesquelles court une barre de danse. Vers le fond, quelques agrès : cheval d’arçon, barres parallèles et fixe, une vieille poutre, un peu branlante et rugueuse. Des cordes lisses, déjà citées, et une corde à nœuds pendent du plafond, tirées sur les côtés quand on ne s’en sert pas. À gauche, près des agrès, deux vieux canapés, larges, profonds, confortables, chacun pour trois ou quatre personnes. L’espace central est presque complètement recouvert des tapis de gym que nous négligeons en général de ranger en dehors du ménage.
Sur la gauche de l’entrée : les commodités. Elles méritent une description : elles sont totalement collectives, à l’antique. La partie douche comprend quatre pommes verticales et quatre autres horizontales, orientables, à environ un mètre du sol ; une seule évacuation au centre des quatre postes. La partie toilette est encadrée par deux bidets et contient trois W.C. à la turque. Une hotte aspirante puissante les surmonte. Ah, j’allais oublier : deux douchettes flexibles sont aussi à disposition pour des ablutions plus… profondes.
Bien sûr, il y a aussi un coin lavabo, bien éclairé et équipé pour se refaire une beauté après le cours. In-dis-pen-sa-ble, n’est-ce pas ?
Douches et toilettes font partie de la salle. Rien ne les isole du reste, et donc rien ne vous isole des autres quand vous les utilisez. Hé oui, voilà où mène l’acceptation de la deuxième règle ! Quel que soit le besoin que vous ayez, une douche, un petit pipi, une grosse envie, vous devez le satisfaire au vu et au su de tout le monde. Et je vous garantis qu’aucune d’entre nous ne se sent obligée de détourner les yeux ! Évidemment, quand cela vous arrive pour la première fois, toutes les copines présentes sont toujours curieuses de votre comportement (les canapés sont là pour ça aussi).
Si cela vous choque, pensez que les prisonnières et les prisonniers se trouvent dans les mêmes conditions. Ni elles ni eux ne l’ont choisi ! Et ce n’est pas si évident que ça de déféquer en public, n’est-ce pas ?
Même pour moi, cela a été pénible au début. Mais on s’y fait, comme de se laver le petit trou dans le bidet ou aux jets horizontaux. Seule concession au confort, si vous devez soulager votre intestin et que, dans votre trouble, vous avez oublié de mettre en route la hotte, une âme charitable vient s’en charger. Celle qui a ses règles, bien entendu, fait sa toilette intime et change son tampon tout aussi librement. Je vous l’ai dit : ne rien cacher, n’avoir honte de rien. Les flux du corps, ses excrétions ne sont pas sales, elles sont naturelles.
De même, lorsque l’une d’entre nous se sent l’envie de caresses, elle se masturbe, quand elle le veut, où elle le veut, sans rien dissimuler. Le plus souvent d’ailleurs, on l’encourage d’un sourire, ou on l’aide. Mais n’allez pas imaginer des bacchanales saphiques perpétuelles ! Simplement, il n’y a ici aucune hypocrisie, ce qui n’est pas le cas ailleurs. Les effluves qui flottent dans une salle de fitness ou de danse le prouvent. Les phéromones ne sont pas contrôlables, bien des maillots vous le diront.
Nous arrosons tout : le premier pipi, le premier tampax, la première branlette, le premier… bref ! Celle qui le fait pour la première fois paye à boire aux copines : article 1 du règlement intérieur. Article 2 dudit règlement : ne jamais refuser un service à une copine, qu’elle ait besoin de votre main, de votre sexe, ou de votre bouche. J’en ai inspiré un troisième : interdiction de déféquer à l’arrivée d’une nouvelle, cela risque de trop la choquer. Par contre, il y a un bizutage, c’est obligatoire.
Donc la nouvelle fille pénètre dans la salle de cours et embrasse l’ensemble, d’un coup d’œil, elle ne comprend pas tout, mais devine des choses. Tenez, je vais vous raconter l’arrivée de Kristel, notre dernière recrue, une jolie blondinette, pas très grande, petite poitrine et cuisses fines, bien tournée encore que, manquant de souplesse. Mais elle est venue à cause de ça ! Kristel nous est arrivée il y a quelques mois. Une très ancienne amie, une des fondatrices, me l’avait recommandée. Après une enquête discrète, je lui ai fixé rendez-vous un samedi de la fin mai à 15 h.
En ce début de chaude après-midi, nous étions presque toutes là : Brigitte et Christiane ; Liliane, trente-six ans, 1,65 m, seins ronds et haut plantés, cheveux mi-longs châtain bouclés, cuisses fines, fesses en pomme, minette soyeuse et adorable, yeux verts ; Christine, quarante ans, petite, brune, bien ronde, de longs seins aux tétons hyper développés (elle adore les pincer et les étirer), une fourrure de chevrette en haut des cuisses, des fesses lourdes, un trou du cul imberbe qu’elle montre volontiers, pas une beauté, mais une fille super sympa, gaie et serviable ; Michèle, brune, cheveux noirs, yeux marron, belle poitrine aux aréoles très sombres, un ventre rond au-dessus d’une chatte cachée sous ses longs poils, fesses rondes et musclées, cuisses longues, toujours très bronzée ; enfin, Alexandra, la cinquantaine timide, blonde ondulée, les seins en poires, les aréoles larges et claires, le ventre plat, le pubis rasé, jolies jambes et pieds mignons, qui est avec nous depuis quelques semaines à l’initiative de Liliane dont elle partage la couleur des yeux.
En attendant Kristel, nous parlions de tout et de rien, allongées sur les canapés ou assises devant en tailleur sur le vieux parquet de bois usé. Nous papotions en riant, sauf Christine qui prenait sa douche, tête renversée en arrière sous la pomme qui ruisselait l’eau sur sa peau claire, les mains offrant au jet horizontal sa foufoune écartée dont les longues lèvres tressautaient sous la pression. Brigitte, sur le cheval d’arçon, la regardait très souvent, bouche légèrement entrouverte, et ses balancements du corps, écrasant son sexe sur le cuir, ne cachaient pas ses pensées.
Coup de sonnette, c’est Kristel. J’appelle Brigitte pour la recevoir avec moi. En passant près du cheval, je vois une tache humide qui me confirme mon intuition et me décide à lui demander de rester nue. Je passe un peignoir de bain sans ceinture que je tiens fermé devant moi pour aller ouvrir la porte extérieure. Salutations, paroles de courtoisie. Kristel porte une jupe droite bleue, assez courte, qui dévoile le bas de ses cuisses, des chaussures à talons compensés, un chemisier à pois bleus sous une veste légère, bleue elle aussi. Elle est blonde en effet, cheveux bouclés, yeux bleus, une figure gracieuse, l’air curieux, vaguement intimidé. Son âge ? Vingt – vingt-cinq ans, dirais-je.
Je l’invite à s’asseoir sur le fameux fauteuil de l’entrée. Elle croise pudiquement ses jambes fines. Nous nous installons sur le bureau, Brigitte et moi. Kristel semble un peu gênée par la nudité de Brigitte qui, assise sur sa fesse gauche, balance sa jambe droite dans le vide. J’ai posé mon derrière sur le plateau, bien à plat, un peu sur la droite face à Kristel, et j’appuie mes mains en arrière comme pour détendre mon dos. Le peignoir s’ouvre, bien sûr, et Kristel ne sait plus où regarder. Je la laisse résoudre son problème !
Elle est bien mignonne, la petite Kristel, bien proprette et rougissante. Elle a sans doute pris une douche avant de venir (elles le font toutes, la première fois) et s’est parfumée avec discrétion. C’est bien. Je lui parle avec naturel, sans refermer mon peignoir, mais sans trop exhiber mon entrecuisse. Je lui explique le pourquoi de la règle n° 1, elle se détend. Elle risque même un œil vers Brigitte qui approuve mes paroles, ajoute une anecdote, tout en se caressant distraitement la minette, son pied gauche posé sur le bureau, genou haut. Kristel s’apprivoise tout doucement. Je sens bien qu’elle n’est pas insensible au spectacle – indiscret – que lui offre Brigitte. Je regagne son attention en l’interrogeant directement.
Je la coupe aussitôt.
Je me retourne sur une hanche pour prendre un papier de l’autre côté du bureau. Dans le mouvement, mes fesses sont exposées devant Kristel. Elle doit apercevoir les bords de ma chatte, et certainement mes poils que j’ai longs et fournis jusque dans la raie des fesses. Rire amical de Brigitte.
Je reprends ma position initiale, brandissant le papier.
Je lui tends le papier en me penchant vers elle, mes seins plus proches de son visage, et les cuisses un peu écartées, comme pour garder l’équilibre.
Je lui désigne le bureau tout près de moi. Son bras touche ma cuisse, sa peau est douce, sensation agréable. Elle a un petit sursaut à ce contact et signe avec application, essayant de ne plus me frôler. Brigitte se lève et s’étire comme une chatte, bras levés, seins tendus, ventre en avant, jambes à demi écartées. Elle reste un moment comme ça puis se tourne et se penche pour ramasser par terre un improbable papier, les fesses hautes. Elle adore montrer ses muscles souples. Tiens, Kristel n’a pas détourné les yeux. Une lueur (amusement, excitation ?) est même passée dans son regard.
Je commence doucement à expliquer les principes de la règle n° 2 : accepter d’être vue dans toutes les fonctions de son corps, ne pas en masquer les besoins, admettre l’autre comme soi-même, etc. Kristel écoute attentivement, légèrement figée. Brigitte passe derrière moi et me fait un petit bisou dans le cou.
Et elle me retire le peignoir pendant que je continue mon discours.
Malgré son air dégagé, je vois bien qu’elle est mal à l’aise.
C’est le moment que choisit cette coquine de Brigitte pour m’attraper les seins par-derrière et m’attirer contre elle en les serrant à pleines paumes.
Je n’ai jamais pu résister aux caresses, surtout celles de Brigitte. Je me cambre, renverse un peu la tête pour offrir mon cou à ses bisous. J’écarte un peu les jambes pour laisser passer sa main. Les miennes vont en arrière chercher ses fesses, pour coller son ventre contre mes reins. Elle glisse un doigt dans ma fente… Je me secoue, nous oublions Kristel ! Celle-ci ouvre de grands yeux et suit attentivement la progression du doigt de Brigitte qui ouvre franchement mes lèvres humides.
Elle n’ajoute rien, mais je reprends son mot au vol.
Je saute du bureau et me dirige vers la porte de la salle. Kristel regarde mon peignoir abandonné. La main sur la poignée, je me retourne vers elle.
Je l’escorte avec Brigitte pour lui présenter les autres copines. Ce moment me réjouit toujours : deux femmes nues encadrant une autre habillée et la poussant vers des spectatrices tout aussi nues. Juste le contraire des clichés habituels !
À suivre