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Temps de lecture estimé : 15 mn
02/05/21
Résumé:  Même gentiment accueillie, se trouver la plus jeune parmi des anciennes aguerries n'est pas si facile. On fait de son mieux, mais la situation peut vite devenir déstabilisante, voire plus.
Critères:  fff inconnu gymnastiqu voir exhib nudisme caresses -lesbos
Auteur : Dyonisia  (Ni totalement vrai, ni absolument faux)      Envoi mini-message

Série : Gymnasium

Chapitre 02 / 09
Initiation

Résumé de l’épisode précédent :

Adeptes de la liberté du corps, un groupe d’amies d’âges divers se sont réunies à l’initiative de la narratrice, Annette, pour se détendre et pratiquer la gymnastique à leur guise, en toute discrétion. Après la présentation des lieux et des personnes, les conditions d’accueil d’une nouvelle participante sont illustrées par le récit de l’arrivée de leur dernière recrue, Kristel.






Je suppose que la scène qu’elle découvre doit être assez surprenante pour notre postulante. Christiane est agenouillée les fesses en l’air devant un canapé. Au milieu de celui-ci, Michèle goûte les yeux fermés le broute-minou affectueux que lui prodigue la première. À ses côtés, chacune tête contre son cou et main sur ses seins, Liliane et Alexandra qu’elle masturbe tendrement. Quant à Christine, elle chevauche l’un des bidets et se rince à grande eau la minette. Une scène banale dans notre intimité.



Elles cessent toutes leurs occupations pour se réunir autour de nous.



Et pour faire honneur à ma plus ancienne cofondatrice, j’ajoute :



Christiane se précipite sur elle sans prendre le temps d’ôter la rosée parfumée de Michèle de ses lèvres.



Surprise d’être aussitôt enlacée par cette rousse plantureuse qui écrase sans réserve son opulente poitrine nue sur elle et qui couvre ses joues de baisers humides, Kristel bredouille.



Et sans lui laisser le loisir de répliquer (ni d’oser s’essuyer les joues), elle entoure Kristel d’un bras puissant et la pousse en face de chaque fille.



Michèle et Liliane, souriantes, donnent l’accolade à Kristel en quatre baisers sonores sur les joues. Alexandra, toujours plus réservée, se limite une main sur l’épaule pour échanger les quatre bises de rigueur. Christine, avec son enthousiasme coutumier, l’attrape à deux bras par la taille. Elle la serre contre elle très étroitement pour l’embrasser comme les autres. Après une grande inspiration, elle se recule d’un pas en lui prenant la main pour la regarder de haut en bas.



Pendant qu’elles se disposent en cercle comme d’habitude, assises en tailleur au pied des glaces, je reprends :



Les autres approuvent d’un « bien sûr » unanime et je me retourne vers Kristel.



C’est amusant comme les choses peuvent s’inverser. Adolescente, l’un de mes cauchemars était de me trouver toute nue au milieu des filles de ma classe habillées (Aujourd’hui, ce serait plutôt un rêve excitant…). Là, en l’occurrence, c’est le contraire : depuis un bon moment, Kristel est la seule habillée au milieu d’une ronde de corps nus qui se meuvent sans ostentation ni pudibonderie. Elle est dans la situation du « textile » égaré sur une plage naturiste : c’est elle qui est gênée.



Elle se débarrasse rapidement des chaussures et du reste, et va poser sa jupe à plat sur la poutre avant de revenir vers nous. Elle s’aperçoit qu’elle est au centre de nos regards, ce qui la déstabilise un peu plus. Une légère rougeur sur les joues, qui lui va bien d’ailleurs, elle porte un élégant shorty blanc en dentelles qui laisse transparaître la peau claire de ses hanches et de ses fesses, mais s’opacifie pudiquement sur la motte et entre les cuisses. En haut, un soutien-gorge coordonné couvre deux pommes rondes moyennement bombées, mais qui, aussi sage et gracieux soit-il, ne peut dissimuler le renflement des tétons.


Les coups d’œil échangés entre nous me confirment que nous avons toutes remarqué que notre petite invitée était insidieusement troublée par le charme des corps dénudés qui l’ont accueillie et entourée. Je m’approche pour la guider vers l’endroit que j’ai imaginé lui assigner. Sans ses talons, elle est un peu plus petite que moi. Bien faite, proportionnée, les fesses hautes, avec sa blondeur et sa pâleur, on dirait un tanagra. Je lui indique sa place du doigt.



Je me pose à sa droite en faisant signe à Brigitte de s’asseoir à sa gauche. Michèle et Alexandra se poussent sur les côtés pour nous laisser de la place. Christine et Liliane se tiennent de part et d’autre de Christiane. Je peux enfin lancer la séance.



On commence par la classique recherche de concentration et d’équilibre. Assise sur ses fesses, dos bien droit, cuisses ouvertes, plantes des pieds jointes, on se décontracte, on laisse son cul épouser le tapis. Dans cette position, évidemment, votre chatte est déjà largement visible.


À l’intention de Kristel plus que de mes compagnes, je rappelle quelques précisions.



Les filles sont sérieuses, elles s’appliquent à suivre les indications et la position que je montre. Certaines y arrivent même mieux que moi. Christiane, par exemple, malgré sa corpulence, est capable de coller ses genoux au sol, les cuisses ouvertes presque à 180°, les talons aux aines. Ce n’est pas le cas Kristel qui pousse tant qu’elle peut sur l’intérieur de ses genoux, mais qui n’arrive pas à amener ses cuisses sur le tapis. Je devine ses efforts, j’essaie de la rassurer en murmurant pour elle :



Je ne suis pas sûre d’avoir été entendue. Je glisse un regard vers la gauche (malgré mes propres consignes, mais bon… c’est moi la prof !), Kristel a les yeux rivés sur la chatte ouverte de Christiane, deux paires d’ellipses concentriques charnues, d’un rose saumon de plus en plus vif vers l’entaille surmontée d’une arrogante fève presque rouge.


Christiane soutient son regard sans ciller. Elle se fiche pas mal d’exposer sa moule (couleur et forme, c’est le mot juste), sa moule rousse donc, à sa « filleule » par procuration. Je la soupçonne d’en scruter plutôt le gousset immaculé dans l’attente qu’il révèle les formes intimes ou s’humidifie. La pauvre filleule en oublie de respirer.


C’est vrai que ce genre de situation est courant pour nous. J’ai en point de mire les longs tétons bruns de Christine et sa foufoune sombre entaillée de rose vif. Elle-même peut contempler sans vergogne ma propre intimité épanouie sans que cela nous émeuve les sens. Nous nous connaissons si bien ! Tout au plus ressentons-nous quelques petits frémissements dans le ventre, dont nous sommes heureuses de nous laisser apercevoir mutuellement les effets. Ce n’est pas aussi facile pour Kristel. Elle est sidérée et elle n’est pas au bout de ses peines !



Prendre ses marques, dans ce cas, signifie que l’on se tient debout, les chevilles éloignées le plus possible l’une de l’autre, les bras écartés à l’horizontale, le bout des doigts frôlant le bout des doigts de ses voisines. Vous voyez le dessin de Da Vinci exprimant l’idéal des proportions du corps ? C’est cela que j’avais à l’esprit : on ne risque pas de se gêner lors des exercices, mais ça reste sensuel ; on sent l’autre, au propre et au figuré, toute proche de soi. (Quel dommage d’ailleurs que Leonardo ait été gay, sinon son dessin aurait représenté un corps de femme !)


Lorsque le calme revient, j’indique la première posture à tenir. Allongée sur le dos, on tient ses jambes à demi ouvertes, bien détendues, chevilles souples. Les mains sur la nuque, on relève le buste avec ses abdominaux sans contracter les autres muscles. On repose doucement la tête au sol. On souffle, on recommence… Et ainsi de suite, une dizaine de fois. Kristel s’applique, elle semble soulagée de devoir fixer son attention uniquement sur l’exercice.


On passe au deuxième. Toujours sur le dos, les jambes repliées sur le ventre, on place les mains sous le pli des genoux. On remonte le haut du corps en tirant bien sur les vertèbres. Les lombaires et toute la colonne se détendent. On relâche, on recommence…


La position est évidemment très révélatrice. Impossible d’empêcher ses fesses de dévoiler leur sillon du coccyx au périnée. Les cratères de Christine et Liliane, autant que celui de Christiane, sont dans le champ de vision de Kristel. Elle concentre son regard sur ses genoux.


Après une bonne vingtaine de mouvements, je commande le troisième exercice. On reste sur le dos, mais on pose les pieds à plat sur le tapis, les genoux dans le prolongement des hanches. On attrape ses chevilles avec les mains pour les ramener vers ses fesses. On soulève le bassin ensemble, pieds et épaules au sol. On redescend, on souffle, on recommence… Je recommande de se régler sur sa copine en face pour garder le même rythme.


Là, la petite Kristel ne peut éviter d’avoir sous les yeux la vulve de sa « marraine » du jour et celles de ses deux voisines. Trois chattes, une rousse, une blonde, une brune, qui montent et s’ouvrent, qui descendent et se referment (un peu). Liliane est parfaite à ce jeu : son corps souple projette très haut son bassin, un véritable appel au cunnilingus ! Ce doit être aussi évocateur pour notre invitée. En tout cas, elle suit la consigne avec zèle, même si elle rougit de plus en plus…


Mais elle manque de pratique, c’est évident. Je dois la conseiller et l’aider, ne serait-ce que pour qu’elle ne se décourage pas. Heureusement, je peux passer le relais à une autre pour la suite.



Alexandra est une fille sérieuse malgré sa timidité. Conduire les exercices la valorisera tout en la poussant à dépasser sa réserve naturelle. Elle n’hésite qu’un instant avant d’enchaîner sur une nouvelle position au sol. Les jambes remontées et les genoux écartés, on passe les mains à l’intérieur des cuisses pour attraper ses chevilles. On tire dessus pour arriver à joindre les plantes de pied en remontant le buste. Elle montre elle-même la pose.



Alexandra fait de son mieux. Grâce à son assistance, je peux reporter mon attention sur Kristel. Au premier coup d’œil, je remarque à la fois ses yeux fermés et ses omoplates décollées du sol lors du temps de repos. Je lui souffle quelques conseils.



Elle obéit, mais elle est manifestement mal à l’aise d’avoir les deux trous de Christiane dans son champ de vision. Sa gêne m’amuse et me touche à la fois. Je poursuis mon aparté.



Sitôt dit, sitôt fait, sans attendre son accord. Effectivement, une fois libérée de cette contrainte, elle exécute mieux l’exercice. Le soutif bâille un peu quand elle relève le buste, mais les bretelles le maintiennent suffisamment pour ménager sa pudeur. Je demande à Alexandra de commander une nouvelle série pour que Kristel puisse améliorer sa posture. Pour se corriger, notre postulante, toujours le rouge aux joues, supporte courageusement l’exposition de culs et cons ouverts.


Petite pause sur le dos, les muscles détendus, bras et jambes abandonnés, puis début de l’exercice suivant, toujours aux ordres d’Alexandra. Elle décide de nous faire mettre debout, bras à l’horizontale, jambes écartées au maximum, les pieds bien ancrés au sol pour assurer l’équilibre ; ensuite battements les bras tendus, le gauche en avant, le droit en arrière et inversement, en rythme, de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle nous dise d’arrêter.


Dans ce mouvement, vos seins ballottent au gré des battements. Spectacle assez cocasse pour qui l’observe, mais sensation assez désagréable, voire douloureuse, pour celle qui le donne.


Les attaches voletantes, le soutien-gorge de Kristel résiste vaillamment aux premiers allers-retours. Quand ils s’accélèrent, une bretelle, puis l’autre, déclare forfait et la lingerie accompagne allègrement le balancement des tétons. Les copines se retiennent un moment avant qu’un éclat de rire général ne force Alexandra à suspendre l’exercice.



Kristel se regarde dans le miroir puis baisse les yeux sur sa poitrine, seins dardés par-dessus le soutif.



Joignant le geste à la parole, elle lance loin d’elle l’objet incriminé. Sa poitrine est menue et pointue. Elle a un corps d’adolescente, heureuse fille ! Les aréoles sont roses et étroites, avec un bouton rond un peu plus sombre que la fraîcheur relative, ou le trouble, ont fait saillir. Liliane le remarque aussi. Elle la taquine en riant.



Kristel les regarde tour à tour, étonnée de cet échange sans hypocrisie et de la scène qui l’accompagne. Les filles se soutiennent la poitrine à deux mains et comparent leurs lolos en riant. Seule Alexandra reste silencieuse, ses seins sont plus proches de ceux de Kristel que de ceux des autres copines, ou des miens en effet. Christine vient la défier avec ses longs tétons. Elles entament aussitôt un combat de seins. Si je n’interviens pas, la situation va dégénérer…



J’ai un peu honte de l’avoir injustement rabrouée, mais au moins tout le monde regagne sa place et Alexandra se remet dans son rôle de leader.



Elle rappelle de garder le corps fixe des pieds à la nuque en conservant les épaules et les bras souples, et commande des battements coordonnés des bras, vers la droite, puis vers la gauche.



Comme tout à l’heure, les battements sont de plus en plus rapides. Le manque d’entraînement fait vite perdre le rythme à Kristel. Ses mains et ses bras s’emmêlent de façon désordonnée avec ceux de Brigitte et les miens. Elle s’excuse à chaque fois au début, puis elle perd le compte… La voyant prête à abandonner, Alexandra arrête l’exercice à la satisfaction générale.



Soulagée moi aussi de l’arrêt des ballottements de mes seins, je soupire.



Réflexions diverses dans le groupe, sauf de la part d’Alexandra qui, pour une fois, semble plutôt contente de sa morphologie. D’ailleurs, pour couper court aux jérémiades, elle commande le mouvement suivant : debout, mains à la nuque, jambes en grand écart, rotations du buste en envoyant les coudes le plus loin possible vers la droite puis vers la gauche.


Là aussi les gros lolos ne sont pas à la fête. Déjà précédemment malmenés par la pesanteur, ils subissent une nouvelle fois les effets de la force centrifuge. La lourdeur ressentie dans le bout des seins est heureusement compensée par les agréables picotements de l’afflux de sang. Kristel a du moins la chance de n’éprouver que la turgescence progressive de ses aréoles.


Après une trentaine de rotations, Alexandra nous permet de souffler un instant et de ramener nos jambes à la verticale en conservant la même position des mains. Nous commençons à transpirer abondamment et je sais que cela va continuer. Kristel transpire plus que nous, mais me semble moins embarrassée qu’au début. Elle s’apprivoise peu à peu, rassurée par notre comportement naturel, quelle que soit l’incongruité évidente de nos postures.


Le nouvel exercice nous demande de lever alternativement les genoux. Je connais la suite. D’ordinaire, je ne fais enchaîner que deux ou trois de ces séries de mouvements qui vous navrent les seins. Comme l’a rappelé Christiane tout à l’heure, Alexandra est celle qui en souffre le moins. Elle doit profiter de la situation pour nous taquiner et mesurer notre endurance. Au fond, ce n’est pas si bête : Kristel serait moins complexée d’avoir des seins « un peu riquiqui » si l’une d’entre nous déclarait forfait. Sera-ce le cas ? C’est à voir.


Car nous nous sommes autorisé une dérogation. La nature féminine est ainsi faite qu’il y a des jours où accentuer de trop la lourdeur des seins devient insupportable. On peut alors solliciter l’autorisation de les soutenir avec les mains et donc de ne pas suivre exactement les prescriptions de l’exercice. Évidemment, cela implique une contrepartie : accepter le gage qui sera tiré au sort en fin de séance parmi ceux qu’auront rédigés les copines. Et nous ne manquons pas d’imagination…


Pour l’instant, nous suivons à la lettre les injonctions d’Alexandra qui nous poussent à lever de plus en plus haut et de plus en plus vite les genoux. Bientôt nous sautillons sur place comme des gazelles folles, luttant pour garder l’équilibre sans perdre le rythme. J’évite de penser à la douleur qui tourmente mes seins secoués de bas en haut. J’ai l’impression qu’ils s’allongent à chaque saut. Je vois Christiane et Christine grimacer aussi en cadence. J’entends les halètements de Kristel qui frisent parfois les gémissements. Pourtant, c’est pour elle que ce devrait être le moins pénible.


Contre toute attente, c’est Michèle qui implore soudain pitié et qui porte ses mains à la poitrine avec l’accord d’Alexandra. Celle-ci nous impose encore une minute de tourments avant d’arrêter notre supplice. Les secondes qui suivent sont difficiles, le sang bat durement dans nos globes (euphémisme !) molestés. La même sensation que celle des glandes mammaires gonflées qui réclament d’être soutirées. Cela passe heureusement assez vite avec l’aide d’un petit massage du bout des doigts des tétons à la base des seins. L’effet est rapide et plaisant.


Tandis que nous reprenons notre souffle et nos esprits, je vois quelques sourires amusés sur les lèvres des copines et leurs regards tournés vers Kristel. Je l’observe à mon tour. Toujours les mains à la nuque, paupières closes, elle sue abondamment et une belle carnation teinte le haut de son buste. Un coup d’œil plus bas m’en révèle la raison déjà remarquée par mes compagnes. Le gousset du joli shorty est devenu un cordon de tissu qui s’enfonce profondément entre les fesses et dans la fente. Deux mignons bourrelets lisses et dodus l’enserrent étroitement. Notre petite postulante vient de s’offrir un orgasme gymnique de qualité.


Christine, qui continue à se triturer les aréoles (pas par nécessité, sans doute, mais c’est tellement agréable) est la première à réagir.



Revenue sur terre, Kristel se cache le visage dans les mains. Elle ne pense même pas à se rajuster. C’est Brigitte qui, en la prenant affectueusement par le cou, tente de l’autre main de dégager le tissu de sa cachette. Sa douceur quasi maternelle ménage autant qu’il se peut la pudeur de Kristel, mais celle-ci éclate en sanglots.



Elle pleure à chaudes larmes, la tête dans le giron de Brigitte qui essaie de la consoler par des caresses et de petits bisous sur ses cheveux. Sa persévérance vient finalement à bout du gousset rétif qui refusait de sortir d’entre les fesses.



Nouvelle crise de larmes et vives dénégations de la tête. Brigitte lève les mains dans un geste d’impuissance. Je viens à son aide, entourant moi aussi de mes bras les épaules de Kristel. Elle est si bouleversée qu’elle ne réagit pas à cet enlacement de corps nus. Sa peau est douce et chaude. Nos sueurs et nos effluves se mêlent. Elle sent bon. Je pose mes lèvres sur son cou humide. Le goût est charmant. Je murmure à mon tour près de son oreille :



Nouvelles dénégations muettes, puis d’une toute petite voix :



Sans lui laisser le temps de protester, je la délivre rapidement du responsable de son trouble. Les dentelles chiffonnées, trempées, et délicatement odorantes, gisent maintenant à ses pieds. Alexandra nous rappelle aussitôt à l’ordre.




À suivre…