Résumé des chapitres précédents :
Un jeune veuf, Pierre, se retrouve avec un nouveau-né sur les bras alors qu’une jeune femme célibataire Aïcha vient d’accoucher. Ils se plaisent de plus en plus et finalement se marient, mais elle ne s’interdit pas un faux pas avec un jeune diplômé Mamadou fils d’un dictateur africain, juste avant son retour, pensant ne plus le revoir.
Aïcha et Pierre, un couple d’ingénieurs, sont invités par Mamadou en Samora pour un mandat de travaux de construction. Aïcha a déjà fauté avec Mamadou pêche à nouveau. Mais Aïcha n’accepte de reprendre sa liaison que si Mamadou prête sa femme à son mari et un plan est mis en place pour faire trébucher Pierre. Ce qu’ils réussissent avec brio, libérant Aïcha de son lourd secret.
De retour à la maison, ils reçoivent Sornia la femme et le frère de Mamadou Gutuka, les deux venus faire le dernier cursus de leurs études. Il s’ensuit une série d’aventures amoureuses mêlant Gutuka et Fatma la mère d’Aïcha qui a une grosse génération de différence. Puis c’est le retour d’Aïcha à Samora pour les travaux préparatoires du mandat confié où elle découvre Mataïté qui fut l’égérie de Mamadou dans ses premières années après la puberté.
De retour à la maison
Après un travail important, on a pu monter un projet qui se tenait, bon ce n’était pas du gâteau sous les tropiques. On a laissé toutes les esquisses et le devis, mais on a tout photographié avec zoom 400 pour ne pas avoir trop de déformation. Autrement cela aurait posé des problèmes pour la reproduction. Eux-mêmes n’étaient pas trop mal équipés pour la reprographie.
Récit d’Aïcha :
La vie a repris pépère, on s’est donné avec les enfants qui étaient tous contents de nous voir de retour, sans parler de mère qui se faisait du souci quand même. Elle a eu droit à une magnifique séance de photos avec de magnifiques paysages sans la chaleur. Je sens qu’elle aurait apprécié d’être à notre place. Une fois seules, elle n’a pas pu s’empêcher de me questionner :
- — Alors avec ton amant, vous vous êtes revus ? C’était comment ? Comment tu as fait pour ne pas avoir de problème avec Pierre ?
- — Attends, une chose après l’autre. Oui à ta première question, bien pour la deuxième et pour la troisième, il faut que je te raconte. « Voilà, la première fois, Pierre était à la chasse avec le Président à vie de Samora et je suis restée en arrière, car cela ne convenait pas à une femme de chasser, au moins là-bas, et Mamadou a prétexté du travail à son ministère et en fait il m’a expliqué en gros ce qu’il attendait de notre part officiellement, ce fut vite expédié et après on s’est jeté dans les bras l’un de l’autre, heureusement que j’ai commencé à prendre la pilule, je m’en doutais, mais je me sentais mal vis-à-vis de Pierre et j’ai exigé qu’il lui donne sa femme pour équilibrer, cela ne l’a pas gêné et tout a été en ordre. »
- — Que tu me dis, mais comment vous avez fait pour amener Pierre à faire un faux pas, alors que vous officiellement vous n’en aviez pas fait.
- — Tu sais, il existe une plante qui s’appelle le Boniak, cela donne beaucoup d’excitation à l’homme et Pierre n’a pu résister à Sornia, surtout quand il m’a vue à la piscine, dans les bras d’Amadou. Il a passé toute la nuit avec elle et au petit matin, il est venu honteux et là, j’ai pu décharger mon cœur en lui avouant qu’il n’était pas le seul à avoir pris de la liberté vis-à-vis du mariage, mais que cela ne changeait rien, c’était lui l’homme de ma vie et pas Mamadou, Mamadou, c’était la cerise sur le gâteau et la cerise sans le gâteau, c’est pas grand-chose. Finalement, on s’est épuisé à s’amuser comme des adultes.
- — Ce « Boniak », tu pourrais m’en procurer, pour ton père, cela pourrait être utile.
- — Il faut que je t’informe que le petit frère et la femme de Mamadou vont venir vivre quelque temps ici pour continuer leurs études supérieures, je vais leur dire d’en prendre.
- — Mais, dis-moi, tu vois ceci comment ? Tu ne vas pas prendre le frère à la suite, pauvre Pierre.
- — Ce n’est pas prévu a priori, et Pierre, si je dois repartir pour Samora toute seule ce qui est plus que probable, il aura la femme de Mamadou pour se consoler.
- — Mais vous êtes devenu des libertins !
- — Pas tout à fait, on se limite à nos deux couples. Mais c’est vrai que j’adore faire l’amour avec Mamadou. Il a un gros truc, ce que n’a pas Pierre, par contre la femme de Mamadou aime beaucoup plus Pierre que son mari alors tout le monde est content et au diable la morale.
- — Ma fille je ne te reconnais plus. Mais dis-moi ce jeune qui va venir ici, il ne va pas s’ennuyer ? Les études c’est bien, mais autrement…
- — C’est pas mon problème, j’ai déjà assez à faire avec Pierre et Mamadou, je ne devrais pas te le dire, mais j’ai aussi beaucoup d’affection pour Sornia, elle est très belle et chaleureuse, si tu vois ce que je veux dire
- — Je me demande si je ne vais pas rentrer à Erat, pour retrouver mon mari. J’ai l’impression que cela va devenir un lupanar.
- — Mais on a besoin de toi pour aider avec les enfants, on a notre travail et en plus, attends de voir avant de prendre une décision. En souriant, elle ajoute : attends, le Boniak pour papa. Mais surtout, tu verras, ils sont très chaleureux et c’est pas toi qui me disais que si l’occasion se présente, tu n’allais pas hésiter longtemps, vu que Père n’est plus au top pour les galipettes.
- — Arrête, je disais ça en riant.
- — Quoi ? Que Père, vu son âge, n’est plus trop pour les galipettes, ou que tu voulais partir.
- — C’est clair que je vais rester, ne serait-ce que pour les enfants.
L’arrivée de nos « locataires »
Trois semaines après notre retour, alors qu’on a lancé l’appel d’offres internationales, ils sont arrivés ; nous, là-bas, on a connu la chaleur de l’automne, eux, c’est le début de l’hiver, rien de très méchant pour le moment, mais on voit qu’ils ne sont pas trop habitués.
On les a inscrits, les deux, aux cours préparatoires, de rentrer tout de suite aurait été un suicide, déjà rien qu’au niveau de la langue. Cela se passe bien, ils sont très studieux. Mère finalement les a aussi adoptés. Surtout que Gutuka, le beau-frère de Sornia lui fait les yeux doux et est très dévoué avec elle.
Elle s’en ouvre à moi.
- — Tu sais ce gamin, je crois qu’il me drague, c’est pas possible, il y a presque deux générations de différence. Je suis une vieille qu’est-ce qu’il peut bien me trouver.
- — Mais, mère, peut-être qu’il fait son complexe d’Œdipe sur toi. Mais je crois que ce qui le fait fantasmer, c’est ta poitrine. Chaque fois que je l’observe en douce, il a les yeux comme des radars, fixés sur tes seins. Tu veux que je lui parle ?
- — Oh ! Non, qu’est-ce qu’il va penser ? minaude-t-elle en rougissant.
Je ne vois pas pourquoi, si c’est moi qui pose les questions, elle m’inquiète.
Le soir après le souper, je dis à Gutuka de venir discuter avec moi.
Tout de suite, il vient :
- — Qu’est-ce qu’il y a ?
- — Dis-moi, je vois que tu portes un grand intérêt à ma mère, elle en est presque troublée.
- — Mais rien, non, bafouille-t-il en rougissant comme un gamin qui s’est fait prendre en plongeant la cuillère dans le pot de confiture.
- — Allez, dis-moi.
- — Je la trouve très belle et elle est très gentille avec moi.
- — Mais elle est âgée.
- — Oui, mais cela ne fait rien, quand je regarde sa poitrine et la fiancée que m’a choisie mon père, comme on dit : il n’y a pas photo ! Là, il y a de la matière et cela a l’air d’être du solide, une vraie femme. Vois Sornia, elle a des petits seins, je les ai vus à la piscine, elle me les a montrés une fois que Mamadou était parti, on a fait de l’anatomie comparée. Ma fiancée, c’est encore plus petit, j’aimerais bien comme Mamadou et toi.
J’ouvre de grands yeux, au moins, il a le mérite d’être direct.
- — Mais Mamadou et moi on a presque le même âge et un me suffit. Pour le moment, pensais-je.
- — C’est pas grave, elle saura d’autant mieux y faire.
Je ne prolonge pas la conversation qui m’échauffe un peu les sangs, et cependant, j’en parle à Pierre pour avoir son avis et son avis, c’est qu’il n’en a pas. Ce n’est pas ses oignons qu’il me dit.
Alors je vais en parler à mère pour l’informer :
- — Voilà mère, j’ai parlé avec Gutuka, je crois qu’il est amoureux de toi et quand je lui ai dit que tu étais beaucoup plus âgée que lui, il a rigolé et dit que ce n’était pas important et que tu avais la plus belle poitrine qu’il connaisse, quant à Pierre, justement, il me dit que c’est pas ses oignons.
Mère rougit comme une collégienne.
- — Dis-moi, à Erat1 en discutant avec une copine, elle m’a affirmé que les noirs2 sont terribles avec le sexe, toi qui as essayé, c’est vrai ?
- — Oui.
Rougissant encore plus :
- — Dis-moi entre nous, tu crois que j’oserais ? Comme cela j’aurais l’impression de mourir moins idiote. C’est vrai, je ne l’ai jamais dit à personne, car je n’en suis pas fière, mais j’ai trompé ton père alors qu’il était arrêté et menacé de mort, je me suis donnée à un colonel, un noir, c’est vrai, mais ce fut plus mauvais que mauvais, il sentait tellement mauvais que je devais serrer les dents pour ne pas vomir, c’est vrai qu’il avait une grosse matraque, mais c’était mécanique sans passion, vite fait mal fait. Mais le but a été atteint, le lendemain, ton père était à nouveau libre et il s’est longtemps posé la question : par quel miracle il avait été libéré.
- — Je te comprends, finalement, pour effacer cette mauvaise impression, il n’y a pas trente-six solutions. Il faut essayer.
- — Tu crois ? Tu penses que ça marchera. Rien que d’y penser, je suis toute troublée.
Le soir venu, Sornia et Gutuka rentrent du cours préparatoire un peu désespérés, devant la complexité des problèmes. Pierre s’offre pour leur aider à comprendre, avec quelques exemples et compléments d’explication, ils reprennent espoir. C’est alors que Gutuka remarque que ma mère s’est mise sur son trente et un et toute parfumée.
- — Oh ! Madame Alkabir, que vous sentez bon, si votre ramage est aussi beau que votre plumage, vous êtes la reine de la maison.
Mère rougissante, mais n’ayant pas bien compris, se tourne vers Pierre qui fait un peu de gros yeux à Gutuka.
- — Mère, c’est un pastiche d’un de nos auteurs français, Jean de la Fontaine, de sa fable le corbeau et le renard. Méfiez-vous, la morale de l’histoire, c’est que tout flatteur vit aux dépens de celui ou celle qui l’écoute.
- — Mais mon gendre, cela fait toujours plaisir d’entendre des compliments. Viens mon petit Gutuka.
Elle le prend dans ses bras et l’embrasse sur les deux joues en lui soufflant :
- — Merci, je suis touchée. C’est alors qu’elle remarque que ce petit cochon bande dur. Tu viendras me trouver quand on aura pris le repas du soir et que les enfants seront couchés, si tu as le temps avec ton école.
- — Oui, volontiers, répond-il sans y croire, Pierre nous a bien expliqué comment faire avec les matrices, en fait ce n’est pas trop compliqué, c’est plutôt une manière de calculer qu’il faut assimiler.
- — Tu sais, moi, dans les calculs, je ne connais pas grand-chose, mais pour la matrice, j’ai un peu plus d’expérience.
Après avoir mis les enfants au lit, rangé la cuisine et le salon, Sornia, Aïcha et Pierre se retirent dans la chambre nuptiale pour continuer à discuter sans déranger disent-ils, mais on verra au chapitre suivant, que ce n’est pas le cas.
Gutuka à ce moment se décide et frappe à la porte de Fatma, la mère d’Aïcha.
- — Entre, mon chou, éructe l’aïeul du fond de son lit.
Elle s’est déjà changée pour la nuit en mettant une nuisette peu en rapport avec son âge. À cette vue, le sexe de Gutuka passe de passif et pendant dans son caleçon à actif et conquérant tapant contre son ventre, tel un ressort qui se détend.
- — Viens donc et assieds-toi sur le lit pour m’expliquer l’histoire du plumage et du ramage.
Lui, le visage couperosé, ce qui est un comble pour un noir, à la limite de la congestion lui déclare :
- — Tu es trop belle et, qu’est-ce que tu sens bon !
- — C’est vrai ces mensonges ? minaude-t-elle en tendant ses arguments.
N’y tenant plus, il ne raconte rien au sujet du plumage et du ramage, mais plonge la tête vers l’objet de son désir et embrasse les seins.
- — Tu n’hésites pas, attends un peu que je dégage ce que tu convoites. Comment tu les trouves, ils sont un peu vieux non ? Pas comme quand j’avais vingt ans.
- — C’est comme je les aime, dit-il en posant sa grosse bouche sur le téton qui guigne hors de la nuisette.
- — Viens donc à côté de moi à la place de rester à genou au pied du lit, dit-elle en soulevant le drap qui la couvre.
- — Mais pas tout habillé ?
- — Évidemment… Que je puisse aussi apprécier !
Ni une, ni deux, il se retrouve en caleçon prêt à s’introduire dans le lit.
- — C’est quoi ce qui reste et qui cache ce que je veux, enlève tout !
Un peu hésitant, il se débarrasse de l’encombrant slip et apparaît dans toute sa splendeur.
- — Viens maintenant à côté de moi que je te sente tout près.
Lui, n’ose pas trop faire quoique ce soit, mais elle qui a franchi le pas, n’hésite pas une seconde et tout de suite prend en main ce long sexe.
- — Hum, c’est pour moi, cette belle chose ?
- — Je ne vois personne d’autre dans la chambre, alors je pense comme toi.
Elle pose à ce moment d’abord un petit baiser sur l’extrémité et juste sur la sortie de l’urètre, donne un petit coup de langue, ce qui faillit le faire partir. Elle comprend le danger et ce qu’elle veut, c’est cette bonne matraque au bon endroit, mais suite à ce baiser, lui aussi veut la butiner, et sans attendre sa permission, il part en direction de son entrecuisse, elle ouvre bien grand ses jambes pour qu’il puisse faire ce dont il a envie, et envie, il a.
Il pose ses lèvres sur les lèvres intimes de la grand-mère et avec sa langue commence à récolter le miellat qu’elle produit. Rapidement, le conduit se révèle bien humidifié, mais ce qu’il veut, c’est la posséder, aussi il remonte en couvrant le corps un peu mou, mais combien émouvant, de baisers et de léchage et finalement dépassant la tête il trouve son sexe qui est en face de l’entrée officielle du temple de l’amour et d’un grand coup, il la pénètre, et une fois au fonds, il attend un peu pour voir s’il y a réaction négative, mais non, elle manipule ses muscles intimes pour presser cette colonne à la une et la pétrir pour en extraire le jus.
Alors, il commence lentement à bouger savourant le plaisir que sa queue vient de trouver, c’est chaud pour ne pas dire brûlant, doux bien huilé. Il voit que grand-mère apprécie son action.
- — Continue, cela fait un moment que je suis en manque, c’est bon,
- — Moi aussi j’aime, tu es vraiment très bonne avec moi, dit-il en continuant son mouvement.
Elle le ceinture avec ses jambes croisées sur les reins de Gutuka, elle en veut encore et encore et encore. Son pubis vient régulièrement frapper celui de son amant. Elle sent ce qu’elle n’avait pas senti depuis longtemps, l’orgasme qui monte, qui monte et qui éclate comme une myriade d’étoiles dans sa tête.
- — Ahura Mazda !3 Que c’est bon !
- — Comment tu me trouves… c’est la première fois que je le fais.
- — C’est pas possible !
Un plat dont je demanderai bien un supplément, voire deux si possible, et elle prend sa tête pour la mettre au milieu de sa poitrine, tout contre son cœur qui bat très fort.
- — On va recommencer ?
- — Tout de suite ? Tu te sens capable.
- — Mais bien sûr, ne sens-tu pas ce bâton qui frappe sur tes cuisses ?
- — C’est vrai, fait-elle en prenant en main ce sexe incroyable dur comme de l’acier inoxydable et doux comme un velours. Viens, recommençons.
Les voilà repartis pour un tour de manège amoureux, sans complication, c’est le missionnaire classique, les autres variations ne leur viennent pas à l’esprit, mais c’est toujours aussi bon. À nouveau, bien synchronisés, ils finissent en même temps fatigués de s’être donnés si fort.
- — Je peux revenir demain et les autres jours.
- — Autant que tu veux ! J’aime trop te sentir en moi.
- — Et ton mari, il vit toujours.
- — À première vue oui, mais il est loin et on dit loin des yeux, loin du cœur. De toute façon, on ne pratiquait plus beaucoup et ce n’était en rien comparable avec toi.
C’est ainsi que chaque soir, il vient souhaiter la bonne nuit à grand-mère en faisant sourire un peu les autres. Il faut bien que jeunesse se passe et que vieillesse se lasse, mais cela n’a pas l’air d’être le cas. Les échanges sont toujours aussi fougueux, à croire que les deux ont trouvé chaussure à leurs pieds.
Deux, c’est bien, mais trois, c’est le top
Pendant que Gutuka se décide et frappe à la porte de Fatma, la mère d’Aïcha, les trois autres se retrouvent en petit comité dans la chambre nuptiale.
Aïcha est la première à passer sous la douche, car seule, ensuite c’est Sornia et Pierre qui ont mis beaucoup plus de temps, il y avait toujours un petit coin qu’il fallait nettoyer avec la langue avant de mettre l’eau. Les bourgeons, les pastilles, l’abricot, le pain d’épices, les pruneaux pas d’Agen, et toutes les friandises qu’un couple d’amoureux peut trouver. C’est pas qu’il n’était pas amoureux d’Aïcha, mais avec Sornia, il y a le goût du péché et de la revanche.
Sortant de la douche, Sornia à peine séchée va dans le lit se réfugier dans les bras d’Aïcha. Elle se blottit contre, elle prend sa main pour qu’elle l’entoure de ses bras et elle la pose sur son sein.
Aïcha a ses cheveux juste sous le nez et s’enivre de ces senteurs africaines. Doucement, elle lui donne des petits baisers dans la chevelure, tout en caressant sa poitrine. C’est tellement plus doux qu’une poitrine de mâle. Poursuivant sa quête des senteurs, c’est derrière l’oreille qu’elle pose ses lèvres, puis, délicatement, poursuit sa descente vers une terre vallonnée. Subrepticement, elle prend le bourgeon d’un de ses petits seins entre ses lèvres et le chatouille de sa lippe quémandeuse.
- — C’est bon tes petits seins, je les adore !
- — Si au moins mon mari avait la même opinion, mais lui il n’a d’yeux que pour les tiens.
- — Alors que le mien ne voit que les tiens, c’est bien un Suisse, un adepte de « small is beautifull », finalement, heureusement que l’on a trouvé ce qui nous convient le mieux et surtout, tu verras, après ton premier enfant, tu seras mieux adaptée à ton mari.
- — C’est vrai ?
- — Oui, mais en attendant, je vais essayer de trouver quelque chose qui met une distance entre ton corps et celui de ton mari pour pas qu’il te fasse mal quand il te fait l’amour. Je sais que cela devrait exister. Comme un anneau large qu’il enfilerait autour de son sexe pour qu’il soit moins long.
Ayant fini de me bichonner, je rentre dans la tanière de mes louves chéries.
- — Qu’est-ce que je fais ? Je prends Sornia de l’autre côté, ou vous avez une autre idée ?
- — On était en train de se poser la question : comment faire pour que Sornia puisse quand même supporter son mari ? Il me semble que j’ai vu une fois une publicité comme un anneau pour empêcher d’aller trop loin.
- — Je ne sais pas, on regardera demain sur Internet, mais pour le moment, j’attends vos propositions pour la suite.
- — On aimerait se donner un peu de bon temps d’abord entre les filles. Tu peux admirer.
- — Je veux bien, mais si je vois un cul qui dépasse, il me provoquera trop. Je risque de lui faire un pétale de rose avant de l’honorer.
- — C’est pas comme cela que je prévoyais la suite, je pensais que tu allais te mettre sur le dos et nous faire plaisir aux deux simultanément.
- — Comment ça !
- — Simplement, Sornia te chevauche pendant que tu me suces, ou le contraire, si tu préfères.
- — Et toi, Sornia, qu’en penses-tu ?
- — Moi, venant de vous, tout me convient.
- — Silence ! Écoutez… cela vient de chez ta mère. J’espère qu’il n’y a pas problème.
- — Sois tranquille, c’est pas les cris de la chèvre qu’on va sacrifier, je crois qu’elle prend un sacré panard. Cela fait vraiment bizarre d’entendre sa mère jouir comme une folle, à son âge.
- — Cela ne m’étonne pas, je connais mon beau-frère, Gutuka, c’est encore plus long que mon mari, et même si elle te ressemble, elle doit la sentir passer.
- — Vous avez…
- — Non, pas comme tu penses, j’ai déjà assez de problèmes avec Mamadou pour ne pas choisir pire. Enfin une fois que justement Mamadou était loin, on a fait de l’anatomie comparée et on s’est un peu taquiné. Je l’ai masturbé et lui m’a léché, mais on ne l’a fait qu’une fois, et quand il a voulu me pénétrer, je lui ai dit : exclu. Il est parti un peu fâché, parce qu’il pensait qu’il était arrivé à ses fins.
- — Alors, on fait quoi ? J’ai envie de tout de vous deux.
- — Mon chéri, entre vouloir et pouvoir, c’est pas la même chose, mais on ne demande pas mieux. On commence comme j’ai dit, mais avant, je vais juste un peu préparer le berlingot de Sornia. Pousse-toi un peu que je le lui lèche !
De retour à Samora
Peu à peu, pour Aïcha, s’installe une certaine routine qui la fait rêver de son Mamadou.
Heureusement, il y a une première mission suite au mandat à Samora qui se précise. Un relevé géotechnique qui sera fait par les Chinois, lesquels ont tout le matériel sur place, mais on doit superviser les travaux. La faculté de géologie, qui aurait bien aimé le faire, délègue un géologue pour contrôler le travail, Aïcha n’ayant que peu d’idée sur le travail de géologie. On trouve un compromis, l’exploitation des résultats se fera conjointement entre la Suisse et la Chine.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est le professeur Creusprofond qui s’adjuge le voyage et dans l’avion, ils discutent de choses et d’autres, Aïcha est très intéressée par cette science et pose de multiples questions, finalement il lui avoue que son voyage est aussi une possibilité de prendre contact avec des collègues chinois pour une collaboration.
- — Mais je vois que vous êtes très intéressée par la géologie, vous ne voudriez pas devenir mon assistante ?
- — Vous savez, déjà responsable de ce chantier qui risque de me prendre pas mal de temps, employée à mi-temps au bureau de mon mari, plus mon ménage, même si je suis bien aidée par ma mère. Cela fait beaucoup.
- — Ce n’est pas pour un travail à plein temps et une première partie pourrait se faire principalement à domicile, la documentation.
- — Mais vous savez, ma formation, c’est technicienne en climatisation et c’est un peu grâce à mon mari que j’ai étendu mes connaissances en construction, mais elles sont encore bien lacunaires. J’ai un peu peur qu’à chasser plusieurs gibiers ensemble, je rentre bredouille.
D’autre part, je dois vous avouer que sur place, je serai certainement très occupée avec le ministre de la construction, il a, du reste, étudié à Lausanne.
C’est un peu la déception du professeur Creusprofond, qui pensait se l’attacher. Mais contre un ministre africain qui est le maître d’œuvre, il sait qu’il n’a pas de chance, le rapport financier est de 1 à 200.
Enfin, après une vingtaine d’heures de vol et un changement d’avion à l’aéroport Léopol Sanghor, pour prendre le Cessna national de la Samoraair compagnie, ils arrivent et se posent sur l’aéroport en terre battue.
Évidemment, Mamadou les attend en personne à l’aéroport et c’est un peu les effusions des retrouvailles, ce qui choque un peu Creusprofond, une telle familiarité entre une blanche et un ministre noir, mais l’éclaircit du pourquoi du mandat.
Honteux et confus… la queue entre les jambes comme un renard qu’une poule aurait pris, il se laisse mener dans ses appartements. Rendez-vous pris demain, tôt le matin, pour le repas matinal, ensuite on présentera le chef des prospecteurs chinois pour se mettre d’accord sur les investigations nécessaires, la visite sur place est prévue pour le jour après. L’après-midi, c’est le marché indigène qu’Aïcha et Mamadou lui font visiter, et le soir : repas avec Monsieur le Président à vie et toute sa famille.
- — Monsieur le Professeur, on en a deux qui ne sont pas là, mais en Suisse, pour les études, ma belle-fille et mon plus jeune fils, à ce que j’ai compris ils sont en classe préparatoire.
- — Je pense qu’avec votre amie, ils sont en bonnes mains.
- — C’est surtout grâce à son mari, ricane le président à vie en désignant Aïcha. Elle m’a dit que c’est un bon pédagogue.
Le lendemain, munis des cartes topographiques, Mamadou, Aïcha, le prof et son homologue chinois se déplacent sur les lieux où doit s’élever le barrage.
- — Comment envisagez-vous le barrage ? Demande le Prof.
- — Cela dépend un peu de vos conclusions.
À ce moment, Chang, le chef des Chinois.
- — Puis-je me permettre, mais en Chine on a une très grande expérience pour ce type de barrage, il vous faut le faire en terre. J’ai un peu prospecté la région, il y a tout ce qu’il faut pour le noyau et contrairement à beaucoup de collègues, je suis sensible à la beauté du paysage.
- — C’est une suggestion intéressante, cela dépend un peu de vos relevés concernant l’étanchéité du bassin.
- — Maintenant qu’on est sur place, comment pensez-vous faire.
- — On est un peu pressé par le temps, a priori, il serait bon de faire un ou deux carottages, mais d’abord faire quelques levés électriques. Profil et sondage pour situer les carottages au bon endroit. Vous savez comment procéder.
- — Pour faire les relevés, pas de problème, mais pour l’interprétation, nous comptons sur vous.
- — Ce qui sera essentiel, ce sera de faire des profils en travers du sens d’écoulement du liquide. Pour les carottages, je suppose que vous utilisez les nomenclatures des terrains ISO, autrement je ne vais pas pouvoir m’en sortir.
- — Mais c’est évident.
C’est à ce moment qu’Aïcha intervient :
- — L’idée du barrage en terre me plaît bien, vous nous indiquerez les endroits argileux.
- — Pas besoin, je sais où ils sont, précise Mamadou. Alors, Professeur, une fois les relevés faits, vous aurez tout ce qu’il vous faut pour nous faire votre rapport ?
- — Oui, je ne pense pas que cela posera problème.
- — Alors ce sera pour hier sur mon bureau, dit Mamadou avec un petit sourire.
- — Si je comprends bien, vous êtes pressé !
- — Oui, car je préfère dépenser la manne qui nous vient de l’étranger en développant mon pays plutôt qu’en achetant des armes pour le détruire.
- — C’est tout à votre honneur.
- — Alors, on s’est bien compris. Je vous laisse à Monsieur Chang pour vous reconduire, je veux montrer à Madame l’ingénieur nos réserves d’argile.
- — Mais… proteste le professeur.
Monsieur Chang le prenant par le bras.
- — Venez, je vais vous présenter mon assistante, elle est très intéressante, elle est spécialiste dans un art martial, « pikmoiaudodo », qui est une variante exotique du Tantrisme revisité par notre guide suprême.
Mataïté
À bord de la jeep, on fonce à travers la savane, c’est beau. Au détour d’un coin d’eau, on peut même apercevoir des hippopotames et des gazelles. Enfin, on arrive dans une sorte de petit village, avec une dizaine de panneaux solaires, des huttes en torchis, mais avec des toits en dur et pas en paille.
Ce village fait un peu ville arabe marocaine. On continue avec la jeep, très lentement en faisant attention aux enfants qui jaillissent de partout.
On arrive devant le bâtiment principal où sort une noire d’un âge respectable dans les 40 à 50 ans, au demeurant très belle femme, très élégante dans son boubou.
- — Mamadou, quel plaisir de te revoir, cela fait longtemps que tu n’es pas venu me voir !
- — Mataïté, laisse-moi te serrer dans mes bras. C’est que j’ai été très occupé. Je te présente Aïcha, une amie très chère à mon cœur. Aïcha, je tenais à te présenter Arine, Dr Mboo dont le petit nom est Mataïté. C’est grâce à elle que j’ai fait des études supérieures, elle m’a littéralement arraché au cocon familial pour me mettre sur le chemin des études. Ce fut ma première maîtresse, au sens propre et figuré.
- — Venez dans ma case. On sera mieux pour parler.
Une fois assis avec un grand verre de bissap bien frais, la discussion commence, pire que sous l’arbre aux palabres.
Se serrant contre Mamadou, Mataïté :
- — Alors, mon chéri, raconte un peu ce que tu es devenu depuis que tu m’as quitté pour aller dans l’Europe.
- — Comme tu me l’as conseillé, j’ai commencé l’école d’ingénieurs à Lausanne, ce fut très dur au début, mais sur les bases que tu m’as données, j’ai vite pris mes marques et j’ai fini dans les temps prévus, je suis rentré à la maison pour devenir ministre de l’Équipement.
- — Dis-moi un peu plus en détail comment tu as connu Aïcha.
- — Je pense que le plus simple c’est qu’elle te raconte son histoire. Je ne veux pas la prendre à mi-chemin.
- — Alors, Aïcha, comment as-tu connu mon petit protégé… enfin, petit, plus tellement maintenant.
- — C’est une relativement longue histoire.
- — Tu sais, nous, les Africains, on adore les longues histoires.
- — Je suis née à Erat en Afghanistan où j’ai fait mes études, à vingt ans, je me suis enfuie avec un camarade que je pensais mon futur mari, mais dès qu’il a su que j’étais enceinte, il s’est enfui.
J’ai eu de la chance de pouvoir être dirigée vers la Suisse où j’ai pu accoucher dans de bonnes conditions. Dans la chambre d’à côté, une femme est morte en couche, mais le bébé a été sauvé.
L’assistante sociale m’a mise en relation avec le mari de la femme décédée et m’a proposé de rester chez lui pour s’occuper des deux bébés. On s’est apprécié de plus en plus et lors d’un bal de l’École Polytechnique, j’ai fait connaissance de Mamadou un peu violemment. Quelques jours plus tard, je me suis mariée à Pierre, l’homme qui avait perdu sa femme. J’ai pour lui un très grand amour.
À peine finie la lune de miel, que j’ai reçu un grand bouquet de roses de Mamadou qui s’excusait de sa mauvaise conduite, puis lors d’une absence de mon mari, j’ai été agressée par le père de mon enfant et Mamadou qui était dans les environs m’a probablement sauvé la vie. De peur, ma vessie s’est relâchée et il m’a amenée dans son appartement pour me changer et là, il m’a dit qu’il rentrait à la maison. Je ne sais pas encore comment, mais peut-être le fait que je sois passé à ras la mort, mais je suis tombée dans ses bras et nous avons fait l’amour comme des fous. Évidemment, je n’ai rien dit à mon mari, quand même, je ne voulais pas le faire souffrir inutilement, surtout que je pensais que ce n’était qu’un faux pas, sans lendemain.
Mais un mois après ceci, on reçoit une invitation pour mon mari et moi pour venir faire des travaux ici, j’ai eu un peu de réticence, mais Pierre n’y a vu qu’une opportunité pour son bureau. Évidemment qu’à peine arrivé, Pierre a été invité à une chasse et je suis restée seule avec Mamadou et on a recommencé. C’est alors que j’ai imposé à Mamadou qu’il prête sa femme à mon mari, mais encore fallait-il y arriver. Avec l’aide du Boniak et la femme de Mamadou qui n’attendait que cela, on a réussi à les faire coucher ensemble et ensuite, j’ai pu avouer ma faute, enfin mes fautes. Depuis, on s’échange nos maris avec Sornia qui a de la peine avec son mari qui est diablement pourvu, ce qui me plaît beaucoup, mais Sornia étant beaucoup moins profonde que moi, souffre avec Mamadou quand ils font l’amour et ils se sont bien trouvés avec Pierre. Voilà à peu près notre histoire, je n’ai rien oublié Mamadou ?
- — C’est très intéressant, surtout qu’avec Mamadou, tu ne risques pas d’avoir d’enfants.
- — Comment cela ? C’est pas que j’en désire, mais on fait très attention, Pierre m’a supplié de ne pas lui faire un enfant dans le dos.
- — Mamadou a eu les oreillons juste avant de partir, il est stérile, c’est encore mieux que la vasectomie. C’est du reste un petit problème qui traquasse le Président, enfin plutôt la présidente. Ils ont peur que la lignée s’arrête.
- — Mais il reste Gutuka, il n’a pas eu les oreillons il me semble et de ce que je le connais, il m’a l’air sain avec tout ce qu’il faut pour construire une belle famille.
- — Tu ne connais pas sa promise, elle n’a que six ans et d’ici qu’elle soit capable de faire un enfant, il y a des choses qui peuvent se passer.
- — Cela ne me plaît pas trop, mais comme Sornia couche avec mon mari, il lui suffirait que d’arrêter la contraception.
- — Ce serait très ennuyeux, le bébé serait un métis, donc sûr que ce ne serait pas le fils de Mamadou, donc le problème ne serait pas résolu.
- — À défaut, bien que je ne fusse pas sûre que cela plaise aux participants, vu que Guturka est encore plus membré que Mamadou et que Sornia aime quand ce n’est pas trop grand, ce serait la solution ! Cela ne se verrait pas que c’est le fils d’un autre homme… qui de plus est de la même famille.
- — Tu es diabolique Aïcha, non seulement tu m’obliges à prêter ma femme à ton mari, mais tu veux encore que mon frère me fasse cocu !
- — Je ne pense pas que l’un comme l’autre soit intéressé pour faire du sexe ensemble, cela ressemblerait plus à de l’insémination naturelle.
- — Mais ils pourraient y prendre goût.
- — Je ne pense pas, il a trouvé ce qu’il lui fallait et il faut entendre quand ils sont ensemble. Ils ne font pas semblant.
- — Je la connais ?
- — Je crois pas que tu as déjà vu ma mère.
- — Quoi ? Tu veux dire que Guturka couche avec ta mère, mais elle est vieille.
- — D’après ce que j’ai compris, pour elle, son mari ne vaut plus grand-chose au lit et l’occasion fait le larron, quant à lui, il est attiré par les gros seins de ma mère qui sont encore très bien. Quand j’ai posé la question à Pierre, ce qu’il en pensait, il m’a dit « c’est pas mes affaires », et je trouve qu’il a bien raison.
- — Quand même, il me surprendra toujours mon petit frère, avec une grand-mère.
- — Toi, ce qui me surprend, c’est ton manque de mémoire, quand je t’ai appris les rudiments du sexe, tu ne semblais pas gêné que j’aie une génération de plus que toi, mais je comprends maintenant, tu ne viens plus me voir.
- — Mataïté, maintenant explique-moi ce village.
- — Je ne vous ai pas fait visiter ma richesse, c’est les serpents, j’en ai toute une collection et c’est un peu comme un élevage, je leur subtilise leur venin pour l’envoyer dans un laboratoire en Suisse à prix d’or. Ils m’ont installé tout un système de frigos qui marchent avec les capteurs solaires et environ une fois par mois, j’envoie ma récolte en Suisse, à Bâle. Avec cela, je peux payer mes chasseurs décemment, il y a quand même un peu de risque à les capturer. Venez, je vais vous faire visiter mon vivarium.
- — Mais comment en es-tu arrivé à t’installer ici ?
- — C’est aussi une longue histoire entre le Président à vie, la faculté et le labo. Arrivée à la fin de mon doctorat, se posait la question : que faire qui me plaise ? Mon directeur de thèse m’a orientée vers une connaissance qui travaillait principalement sur les sérums pour traiter les morsures de serpents. J’y ai travaillé six mois et quand est venu le temps de prendre des responsabilités, j’ai proposé cette solution qui nous convenait bien aux deux. Une année après mon installation, on avait déjà réalisé le ROI4, mais ce ne fut pas sans compromis, surtout avec le Président qui est un chaud lapin.
Plus tard, tout le monde se retrouve au palais présidentiel et là, c’est la grande discussion : comment va la famille en Suisse ?
- — Ils ne se dispersent pas trop pendant leur étude ? Je les connais, ils ont le sang chaud, comme tous les Africains.
Fin
Notes
1 Erat : ville d’Afghanistan
2 Les soldats de l’armée américaine. Les burqas étaient très utilisées à cette fin et cela permettait aux familles les plus pauvres de vivre mieux, sans connaître le déshonneur.
3 Pourrait être traduit pas le « mon Dieu » des chrétiens. Nom de la principale divinité Zoroastre.
4 ROI : Return On Investments. Le retour sur investissement (RSI ou rentabilité du capital investi), parfois appelé rendement, taux de rendement, taux de profit ou encore ROI (terme anglais, Return On investment), désigne un ratio financier qui mesure le montant d’argent gagné ou perdu, par rapport à la somme initialement investie dans un investissement.