Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20391Fiche technique35263 caractères35263
6283
Temps de lecture estimé : 26 mn
27/07/21
Résumé:  De retour, ils reçoivent Sornia la femme et le frère de Mamadou Gutuka, les deux venus faire le dernier cursus de leurs études. Il s’ensuit une série d’aventures amoureuses mêlant Gutuka et Fatma la mère d’Aïcha qui a une génération de plus.
Critères:  #confession fh ff ffh 2couples fbi hplusag fagée jeunes couleurs couplus extracon candaul grossexe grosseins reconcil fellation pénétratio
Auteur : Vopicek      Envoi mini-message

Série : Aïcha

Chapitre 05 / 05
Maïtaté

Résumé des chapitres précédents :

Un jeune veuf, Pierre, se retrouve avec un nouveau-né sur les bras alors qu’une jeune femme célibataire Aïcha vient d’accoucher. Ils se plaisent de plus en plus et finalement se marient, mais elle ne s’interdit pas un faux pas avec un jeune diplômé Mamadou fils d’un dictateur africain, juste avant son retour, pensant ne plus le revoir.

Aïcha et Pierre, un couple d’ingénieurs, sont invités par Mamadou en Samora pour un mandat de travaux de construction. Aïcha a déjà fauté avec Mamadou pêche à nouveau. Mais Aïcha n’accepte de reprendre sa liaison que si Mamadou prête sa femme à son mari et un plan est mis en place pour faire trébucher Pierre. Ce qu’ils réussissent avec brio, libérant Aïcha de son lourd secret.

De retour à la maison, ils reçoivent Sornia la femme et le frère de Mamadou Gutuka, les deux venus faire le dernier cursus de leurs études. Il s’ensuit une série d’aventures amoureuses mêlant Gutuka et Fatma la mère d’Aïcha qui a une grosse génération de différence. Puis c’est le retour d’Aïcha à Samora pour les travaux préparatoires du mandat confié où elle découvre Mataïté qui fut l’égérie de Mamadou dans ses premières années après la puberté.







De retour à la maison


Après un travail important, on a pu monter un projet qui se tenait, bon ce n’était pas du gâteau sous les tropiques. On a laissé toutes les esquisses et le devis, mais on a tout photographié avec zoom 400 pour ne pas avoir trop de déformation. Autrement cela aurait posé des problèmes pour la reproduction. Eux-mêmes n’étaient pas trop mal équipés pour la reprographie.



Récit d’Aïcha :


La vie a repris pépère, on s’est donné avec les enfants qui étaient tous contents de nous voir de retour, sans parler de mère qui se faisait du souci quand même. Elle a eu droit à une magnifique séance de photos avec de magnifiques paysages sans la chaleur. Je sens qu’elle aurait apprécié d’être à notre place. Une fois seules, elle n’a pas pu s’empêcher de me questionner :




L’arrivée de nos « locataires »



Trois semaines après notre retour, alors qu’on a lancé l’appel d’offres internationales, ils sont arrivés ; nous, là-bas, on a connu la chaleur de l’automne, eux, c’est le début de l’hiver, rien de très méchant pour le moment, mais on voit qu’ils ne sont pas trop habitués.

On les a inscrits, les deux, aux cours préparatoires, de rentrer tout de suite aurait été un suicide, déjà rien qu’au niveau de la langue. Cela se passe bien, ils sont très studieux. Mère finalement les a aussi adoptés. Surtout que Gutuka, le beau-frère de Sornia lui fait les yeux doux et est très dévoué avec elle.

Elle s’en ouvre à moi.



Je ne vois pas pourquoi, si c’est moi qui pose les questions, elle m’inquiète.

Le soir après le souper, je dis à Gutuka de venir discuter avec moi.

Tout de suite, il vient :



J’ouvre de grands yeux, au moins, il a le mérite d’être direct.



Je ne prolonge pas la conversation qui m’échauffe un peu les sangs, et cependant, j’en parle à Pierre pour avoir son avis et son avis, c’est qu’il n’en a pas. Ce n’est pas ses oignons qu’il me dit.

Alors je vais en parler à mère pour l’informer :



Mère rougit comme une collégienne.



Rougissant encore plus :



Le soir venu, Sornia et Gutuka rentrent du cours préparatoire un peu désespérés, devant la complexité des problèmes. Pierre s’offre pour leur aider à comprendre, avec quelques exemples et compléments d’explication, ils reprennent espoir. C’est alors que Gutuka remarque que ma mère s’est mise sur son trente et un et toute parfumée.



Mère rougissante, mais n’ayant pas bien compris, se tourne vers Pierre qui fait un peu de gros yeux à Gutuka.



Elle le prend dans ses bras et l’embrasse sur les deux joues en lui soufflant :



Après avoir mis les enfants au lit, rangé la cuisine et le salon, Sornia, Aïcha et Pierre se retirent dans la chambre nuptiale pour continuer à discuter sans déranger disent-ils, mais on verra au chapitre suivant, que ce n’est pas le cas.

Gutuka à ce moment se décide et frappe à la porte de Fatma, la mère d’Aïcha.



Elle s’est déjà changée pour la nuit en mettant une nuisette peu en rapport avec son âge. À cette vue, le sexe de Gutuka passe de passif et pendant dans son caleçon à actif et conquérant tapant contre son ventre, tel un ressort qui se détend.



Lui, le visage couperosé, ce qui est un comble pour un noir, à la limite de la congestion lui déclare :



N’y tenant plus, il ne raconte rien au sujet du plumage et du ramage, mais plonge la tête vers l’objet de son désir et embrasse les seins.



Ni une, ni deux, il se retrouve en caleçon prêt à s’introduire dans le lit.



Un peu hésitant, il se débarrasse de l’encombrant slip et apparaît dans toute sa splendeur.



Lui, n’ose pas trop faire quoique ce soit, mais elle qui a franchi le pas, n’hésite pas une seconde et tout de suite prend en main ce long sexe.



Elle pose à ce moment d’abord un petit baiser sur l’extrémité et juste sur la sortie de l’urètre, donne un petit coup de langue, ce qui faillit le faire partir. Elle comprend le danger et ce qu’elle veut, c’est cette bonne matraque au bon endroit, mais suite à ce baiser, lui aussi veut la butiner, et sans attendre sa permission, il part en direction de son entrecuisse, elle ouvre bien grand ses jambes pour qu’il puisse faire ce dont il a envie, et envie, il a.

Il pose ses lèvres sur les lèvres intimes de la grand-mère et avec sa langue commence à récolter le miellat qu’elle produit. Rapidement, le conduit se révèle bien humidifié, mais ce qu’il veut, c’est la posséder, aussi il remonte en couvrant le corps un peu mou, mais combien émouvant, de baisers et de léchage et finalement dépassant la tête il trouve son sexe qui est en face de l’entrée officielle du temple de l’amour et d’un grand coup, il la pénètre, et une fois au fonds, il attend un peu pour voir s’il y a réaction négative, mais non, elle manipule ses muscles intimes pour presser cette colonne à la une et la pétrir pour en extraire le jus.

Alors, il commence lentement à bouger savourant le plaisir que sa queue vient de trouver, c’est chaud pour ne pas dire brûlant, doux bien huilé. Il voit que grand-mère apprécie son action.



Elle le ceinture avec ses jambes croisées sur les reins de Gutuka, elle en veut encore et encore et encore. Son pubis vient régulièrement frapper celui de son amant. Elle sent ce qu’elle n’avait pas senti depuis longtemps, l’orgasme qui monte, qui monte et qui éclate comme une myriade d’étoiles dans sa tête.



Un plat dont je demanderai bien un supplément, voire deux si possible, et elle prend sa tête pour la mettre au milieu de sa poitrine, tout contre son cœur qui bat très fort.



Les voilà repartis pour un tour de manège amoureux, sans complication, c’est le missionnaire classique, les autres variations ne leur viennent pas à l’esprit, mais c’est toujours aussi bon. À nouveau, bien synchronisés, ils finissent en même temps fatigués de s’être donnés si fort.



C’est ainsi que chaque soir, il vient souhaiter la bonne nuit à grand-mère en faisant sourire un peu les autres. Il faut bien que jeunesse se passe et que vieillesse se lasse, mais cela n’a pas l’air d’être le cas. Les échanges sont toujours aussi fougueux, à croire que les deux ont trouvé chaussure à leurs pieds.



Deux, c’est bien, mais trois, c’est le top


Pendant que Gutuka se décide et frappe à la porte de Fatma, la mère d’Aïcha, les trois autres se retrouvent en petit comité dans la chambre nuptiale.


Aïcha est la première à passer sous la douche, car seule, ensuite c’est Sornia et Pierre qui ont mis beaucoup plus de temps, il y avait toujours un petit coin qu’il fallait nettoyer avec la langue avant de mettre l’eau. Les bourgeons, les pastilles, l’abricot, le pain d’épices, les pruneaux pas d’Agen, et toutes les friandises qu’un couple d’amoureux peut trouver. C’est pas qu’il n’était pas amoureux d’Aïcha, mais avec Sornia, il y a le goût du péché et de la revanche.


Sortant de la douche, Sornia à peine séchée va dans le lit se réfugier dans les bras d’Aïcha. Elle se blottit contre, elle prend sa main pour qu’elle l’entoure de ses bras et elle la pose sur son sein.

Aïcha a ses cheveux juste sous le nez et s’enivre de ces senteurs africaines. Doucement, elle lui donne des petits baisers dans la chevelure, tout en caressant sa poitrine. C’est tellement plus doux qu’une poitrine de mâle. Poursuivant sa quête des senteurs, c’est derrière l’oreille qu’elle pose ses lèvres, puis, délicatement, poursuit sa descente vers une terre vallonnée. Subrepticement, elle prend le bourgeon d’un de ses petits seins entre ses lèvres et le chatouille de sa lippe quémandeuse.



Ayant fini de me bichonner, je rentre dans la tanière de mes louves chéries.




De retour à Samora


Peu à peu, pour Aïcha, s’installe une certaine routine qui la fait rêver de son Mamadou.

Heureusement, il y a une première mission suite au mandat à Samora qui se précise. Un relevé géotechnique qui sera fait par les Chinois, lesquels ont tout le matériel sur place, mais on doit superviser les travaux. La faculté de géologie, qui aurait bien aimé le faire, délègue un géologue pour contrôler le travail, Aïcha n’ayant que peu d’idée sur le travail de géologie. On trouve un compromis, l’exploitation des résultats se fera conjointement entre la Suisse et la Chine.


Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est le professeur Creusprofond qui s’adjuge le voyage et dans l’avion, ils discutent de choses et d’autres, Aïcha est très intéressée par cette science et pose de multiples questions, finalement il lui avoue que son voyage est aussi une possibilité de prendre contact avec des collègues chinois pour une collaboration.



D’autre part, je dois vous avouer que sur place, je serai certainement très occupée avec le ministre de la construction, il a, du reste, étudié à Lausanne.


C’est un peu la déception du professeur Creusprofond, qui pensait se l’attacher. Mais contre un ministre africain qui est le maître d’œuvre, il sait qu’il n’a pas de chance, le rapport financier est de 1 à 200.


Enfin, après une vingtaine d’heures de vol et un changement d’avion à l’aéroport Léopol Sanghor, pour prendre le Cessna national de la Samoraair compagnie, ils arrivent et se posent sur l’aéroport en terre battue.


Évidemment, Mamadou les attend en personne à l’aéroport et c’est un peu les effusions des retrouvailles, ce qui choque un peu Creusprofond, une telle familiarité entre une blanche et un ministre noir, mais l’éclaircit du pourquoi du mandat.

Honteux et confus… la queue entre les jambes comme un renard qu’une poule aurait pris, il se laisse mener dans ses appartements. Rendez-vous pris demain, tôt le matin, pour le repas matinal, ensuite on présentera le chef des prospecteurs chinois pour se mettre d’accord sur les investigations nécessaires, la visite sur place est prévue pour le jour après. L’après-midi, c’est le marché indigène qu’Aïcha et Mamadou lui font visiter, et le soir : repas avec Monsieur le Président à vie et toute sa famille.



Le lendemain, munis des cartes topographiques, Mamadou, Aïcha, le prof et son homologue chinois se déplacent sur les lieux où doit s’élever le barrage.



À ce moment, Chang, le chef des Chinois.



C’est à ce moment qu’Aïcha intervient :



Monsieur Chang le prenant par le bras.




Mataïté


À bord de la jeep, on fonce à travers la savane, c’est beau. Au détour d’un coin d’eau, on peut même apercevoir des hippopotames et des gazelles. Enfin, on arrive dans une sorte de petit village, avec une dizaine de panneaux solaires, des huttes en torchis, mais avec des toits en dur et pas en paille.

Ce village fait un peu ville arabe marocaine. On continue avec la jeep, très lentement en faisant attention aux enfants qui jaillissent de partout.

On arrive devant le bâtiment principal où sort une noire d’un âge respectable dans les 40 à 50 ans, au demeurant très belle femme, très élégante dans son boubou.



Une fois assis avec un grand verre de bissap bien frais, la discussion commence, pire que sous l’arbre aux palabres.

Se serrant contre Mamadou, Mataïté :



J’ai eu de la chance de pouvoir être dirigée vers la Suisse où j’ai pu accoucher dans de bonnes conditions. Dans la chambre d’à côté, une femme est morte en couche, mais le bébé a été sauvé.

L’assistante sociale m’a mise en relation avec le mari de la femme décédée et m’a proposé de rester chez lui pour s’occuper des deux bébés. On s’est apprécié de plus en plus et lors d’un bal de l’École Polytechnique, j’ai fait connaissance de Mamadou un peu violemment. Quelques jours plus tard, je me suis mariée à Pierre, l’homme qui avait perdu sa femme. J’ai pour lui un très grand amour.

À peine finie la lune de miel, que j’ai reçu un grand bouquet de roses de Mamadou qui s’excusait de sa mauvaise conduite, puis lors d’une absence de mon mari, j’ai été agressée par le père de mon enfant et Mamadou qui était dans les environs m’a probablement sauvé la vie. De peur, ma vessie s’est relâchée et il m’a amenée dans son appartement pour me changer et là, il m’a dit qu’il rentrait à la maison. Je ne sais pas encore comment, mais peut-être le fait que je sois passé à ras la mort, mais je suis tombée dans ses bras et nous avons fait l’amour comme des fous. Évidemment, je n’ai rien dit à mon mari, quand même, je ne voulais pas le faire souffrir inutilement, surtout que je pensais que ce n’était qu’un faux pas, sans lendemain.

Mais un mois après ceci, on reçoit une invitation pour mon mari et moi pour venir faire des travaux ici, j’ai eu un peu de réticence, mais Pierre n’y a vu qu’une opportunité pour son bureau. Évidemment qu’à peine arrivé, Pierre a été invité à une chasse et je suis restée seule avec Mamadou et on a recommencé. C’est alors que j’ai imposé à Mamadou qu’il prête sa femme à mon mari, mais encore fallait-il y arriver. Avec l’aide du Boniak et la femme de Mamadou qui n’attendait que cela, on a réussi à les faire coucher ensemble et ensuite, j’ai pu avouer ma faute, enfin mes fautes. Depuis, on s’échange nos maris avec Sornia qui a de la peine avec son mari qui est diablement pourvu, ce qui me plaît beaucoup, mais Sornia étant beaucoup moins profonde que moi, souffre avec Mamadou quand ils font l’amour et ils se sont bien trouvés avec Pierre. Voilà à peu près notre histoire, je n’ai rien oublié Mamadou ?



Plus tard, tout le monde se retrouve au palais présidentiel et là, c’est la grande discussion : comment va la famille en Suisse ?




Fin



Notes

1 Erat : ville d’Afghanistan

2 Les soldats de l’armée américaine. Les burqas étaient très utilisées à cette fin et cela permettait aux familles les plus pauvres de vivre mieux, sans connaître le déshonneur.

3 Pourrait être traduit pas le « mon Dieu » des chrétiens. Nom de la principale divinité Zoroastre.

4 ROI : Return On Investments. Le retour sur investissement (RSI ou rentabilité du capital investi), parfois appelé rendement, taux de rendement, taux de profit ou encore ROI (terme anglais, Return On investment), désigne un ratio financier qui mesure le montant d’argent gagné ou perdu, par rapport à la somme initialement investie dans un investissement.