n° 19380 | Fiche technique | 31550 caractères | 31550 5770 Temps de lecture estimé : 24 mn |
03/01/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Aïcha et Pierre, un couple d'ingénieurs, sont invités en Samora pour travaux. Aïcha a déjà fauté avec Mamadou.
Mais Aïcha n'accepte de reprendre sa liaison que si Mamadou prête sa femme à son mari et un plan est mis en place pour faire trébucher Pierre. | ||||
Critères: conte #libertinage ff 2couples couleurs couplus extracon extraoffre grossexe danser | ||||
Auteur : Vopicek Envoi mini-message |
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Résumé des chapitres précédents :
Aïcha et Pierre se sont rencontrés à la sortie de la maternité où la femme de Pierre est morte en couches. Après un certain temps, ils se sont plus et se sont mariés.
Peu après son mariage, Mamadou qui l’avait sauvée des griffes d’un ancien fiancé bénéficie de la reconnaissance d’Aïcha alors que Pierre est absent et que Mamadou lui annonce que dans deux jours il rentre en Afrique.
Peu après, Mamadou ministre les invite à venir dans son pays pour réaliser des constructions de génie civil, ce que Pierre accueille avec joie, sans se douter qu’il va mettre son épouse dans la gueule du loup.
Mais Aïcha n’accepte de reprendre sa liaison que si Mamadou prête sa femme à son mari et un plan est mis en place pour le faire trébucher.
Récit d’Aïcha
Le repas est succulent, mais vraiment épicé et nous faisons une consommation d’alcool importante, moi je suis un peu, mais pas trop pompette, je vois bien que Samia fait tout pour intéresser mon mari Il est assez euphorique, fréquemment, l’air de rien, elle lui touche le genou d’une main innocente et par moment pas trop innocente. Mais cela semble bien se passer quand le président annonce l’ouverture du bal.
Comme prévu, je danse avec mon doudou et je me fais vraiment chatte, tout pour le faire encore plus euphorique, puis vient la deuxième danse, Un paso-doble où il démontre une belle maîtrise à Madame la Présidente alors que Monsieur le Président veut me faire apprécier la pureté de son dollar⁽¹⁾ en ne dansant pas du tout comme il se doit. Je suis serrée dans ses bras. Le cochon, il est tendu !
Il annonce que l’on change de cavalier et à ce moment, la sœur de Mamadou hérite de mon doudou et moi de son frère. C’est une marche à la gloire du pays et là, mon doudou se démène pour éblouir. Quant à moi, je me trouve dans les bras de Gutuka qui me serre de près et je sens aussi qu’il est pas mal excité. Il me semble que ce boniak fait de l’effet. Je glisse un œil curieux vers mon doudou, il me semble que lui est aussi pas mal excité. Alors pour augmenter son relâchement, je danse langoureusement avec Gutuka, me frottant contre lui de manière un peu amoureuse. Gutuka me glisse à l’oreille :
À nouveau, changement de partenaire et je me retrouve dans ses bras pour un blues que l’on danse en slow. Je me colle contre lui et je me dis que vraiment, il n’a jamais été aussi excité encore debout. Je le chauffe au maximum en lui disant :
Nouvelle danse, un slow cette fois, et mon doudou a de la peine à me lâcher, mais il ne veut pas faire tache et je me retrouve tout naturellement dans les bras de Mamadou et lui hérite de Sornia, l’épouse de Mamadou qui prend un malin plaisir de l’exciter encore plus, je le vois vraiment congestionné. Mamadou m’éloigne du centre de la piste et on sort un peu de la zone visible. Là, Sornia a pris les choses en main si on peut dire, elle se colle littéralement à lui en ayant la main entre eux et en plus, elle lui suce le museau. Il se laisse un peu aller, mais brusquement a un sursaut de pudeur. Je sens que c’est le moment de passer à la phase deux et je serre Mamadou et appuie ma tête sur son épaule en me frottant un peu sur lui, sans regarder, mais Gutuka qui danse avec sa mère de manière aussi appuyée me souffle :
Du coup, Mamadou se sépare un peu de moi pour montrer sa virilité triomphante avant de me reprendre dans ses bras. Juste avant la fin de la danse, on s’éclipse avec Mamadou et avec le smartphone, Gutuka nous tient au courant de l’affaire.
À la fin de la danse, mon doudou me cherche du regard, mais il ne me voit pas et pour cause et il est complètement désorienté et pose des tas de questions à Sornia qui accepte de le conduire à travers le palais pour essayer de nous retrouver.
Nous, de notre côté, on est allé à la piscine et, une fois dans l’eau, on lui dit d’amener mon doudou avec sa partenaire. Ils peuvent se déshabiller juste à côté, c’est super pour se rafraîchir, lui peut aussi venir avec sa sœur. Elles ne seront pas trop pour le chauffer à mort. Par jeu, Mamadou me décroche mon soutien-gorge et par jeu, moi je lui refile ma culotte et on joue à ce que j’essaye de la reprendre. Pour ne pas être en reste, Mamadou allège sa tenue qui consistait en un slip en forme de toile de tente touareg. En continuant le jeu, pour essayer de reprendre mon bien, voilà pas que je m’embouche à un endroit pas conforme aux normes maritales habituelles. Juste à ce moment, je vois Mamadou qui apparaît dans un peignoir blanc orné du lion de Samora, il a les yeux qui sortent de ses orbites et Sornia l’évacue en le prenant par le manche en lui murmurant quelque chose de convaincant.
Le lendemain, je retrouve mon mari que je n’ai pas vu de la nuit et je sais bien pourquoi, moi non plus je ne suis pas trop clean.
Coquette, je lui demande :
Très sérieux, il me regarde :
Là, le malin botte en touche :
Le récit de Doudou.
Ce soir, c’est une soirée dansante, bizarre sous les tropiques, mais bon, il faut bien s’y faire de leurs habitudes de vouloir copier l’Europe.
Le repas est copieux, un peu trop épicé à mon goût et le vin trop frais et avec un petit goût résineux, pas désagréable. Après un succulent dessert glacé (on ne se refuse rien ici), un orchestre noir entame des morceaux de musique de danse comme je les aime. Alors comme un grand, j’invite mon épouse qui me fait signe de rester assis en attendant que monsieur le Président à Vie invite son épouse à danser. Il faut respecter l’étiquette. Ça y est, on se lance sur la piste, Aïcha n’a jamais été aussi amoureuse et à ma grande honte, je développe une excitation peu convenable en cette occasion, mais il me semble que je ne suis pas le seul. Voilà la danse suivante et le meneur de la danse annonce qu’il faut changer de partenaire et me voilà avec Madame la Présidente dans les bras, elle danse vraiment bizarrement, frottant son pubis contre ma bandaison.
« Changement de partenaire », annonce le maître du jeu.
Je récupère ma chérie et là je lui fais remarquer que je suis horriblement excité et qu’elle va la sentir passer quand on va se retrouver.
« Changement de partenaire », annonce le maître du jeu.
Je me retrouve avec la fille aînée, une très belle fille, mais vraiment c’est une habitude qu’ont les femmes ici, de se frotter le minou à travers les habits sur l’excroissance des mâles en rut. Je sens sa poitrine aux seins érigés, sans parler d’un parfum intime qui commence à me mettre hors de mes pompes. Je vois que mon aimée est dans les bras du frère de Mamadou, elle a l’air de bien aimer danser avec lui, très sensuelle. J’en bande d’autant plus et mon esprit commence à surchauffer quand je vois qu’elle a pris un peu les mêmes manières de danse des partenaires féminines noires. Elle se frotte contre lui et je pense que s’il bande comme moi, son bâton doit juste être en train de lui frotter son bouton d’amour et j’ai l’impression qu’elle apprécie.
« Changement de partenaire », annonce le maître du jeu.
J’essaye de m’approcher d’Aïcha pour calmer l’érection qui déforme mon smoking, mais avant que j’arrive à mes fins, Mamadou l’a attrapée et je me retrouve avec l’épouse de Mamadou.
Jolie femme, ce qui dans mon état n’améliore rien et là, elle regarde son mari qui a l’air de presque violer ma femme pourtant avec l’air consentante. Je sens ses lèvres chaudes qui cherchent ma bouche et son corps serpentant contre le mien, je suis au bord de la rupture, surtout que discrètement, elle met sa main entre nous et me touche.
C’est à ce moment que Mamadou se tourne de 90° et se sépare de mon épouse pour me montrer qu’il est encore plus excité plus que moi et que son pantalon démontre une érection fabuleuse.
Je comprends qu’avec un tel morceau de viande dur qui frotte contre le minou d’Aïcha, je n’ose penser dans quel état il doit être, surtout que je sais qu’elle est très sensible du bouton avec toutes ces danses collées contre ces mâles en rut. J’en bande encore plus.
Je m’en ouvre à Sornia.
En entrant dans la cabine, elle ne se gêne pas de rentrer avec moi. Elle enlève tous ses vêtements, c’est un appel au viol. Elle est vraiment très belle et moi qui suis très excité depuis bientôt une heure.
Elle m’aide à enlever mes vêtements, elle plie avec soin ma veste, mon pantalon, enlève ma chemise en laissant traîner ses griffes de tigresse sur ma poitrine et elle m’embrasse sur les tétons.
Puis sans transition elle descend mon slip, me mettant à nu, j’ai un petit mouvement de recul.
Et là, sur le pas de porte, je vois Mamadou avec Aïcha suspendue à son cou et avec ses jambes autour de sa taille essayant de récupérer son soutien-gorge et quand je me souviens du gourdin du bonhomme, je me dis que dans l’eau, elle doit être pratiquement avec la vulve en face du canon, mais à ce que je vois, ce n’est pas seulement le soutien-gorge, mais aussi son slip.
Pas de doute, elle doit être emmanchée à fond. Malgré une certaine jalousie, je la trouve belle comme cela, merveilleux tableau noir et blanc, avec ses seins qui se soulèvent en cadence. Plus de doute, ils sont bien en train de copuler et ce n’est vraiment pas un viol, elle a l’air de prendre beaucoup de plaisir. Ma bite me fait mal à ce spectacle. J’aimerais être à la place de Mamadou.
Sornia à ce moment-là me tire par le manche ou la manche, je ne me souviens plus :
Elle m’emmène dans sa chambre, laissant les deux autres à leur plaisir.
Elle se couche sur le dos, je vois à son sexe, pas épilé, mais presque glabre avec quelques friselis noirs qui semble m’appeler à remplir mon office de mâle.
J’en peux plus, je me plonge dans cette femme avec toute la hargne du mari cocu. Il faut que je sois au moins aussi bon que l’autre, mais depuis le temps que je bande à mort, je ne tiens pas la distance et rapidement je gicle violemment dans sa matrice. À son tour, elle s’agite dans tous les sens, elle me serre contre elle, jusqu’à ce que je sente ses griffes dans mon dos.
Mais rien n’y fait, contrairement à d’habitude avec Aïcha, je reste d’une dureté exemplaire, je ne débande pas d’un soupçon de cils et on reprend nos mouvements. Je prends sa bouche, même avec tout ce qu’on a bouffé, son haleine est fraîche et sa langue subtile. Le baiser dure, jusqu’à ce que, sans me déboîter, je me mette sur le dos et elle vient me chevaucher. Je peux mieux la voir ainsi, magnifique statue noire. Ses seins encore menus, car elle n’a pas encore eu d’enfants, sont délicieux, je ne peux m’empêcher de me soulever, ce qui diminue la pénétration, mais me permet de les prendre en bouche. Sa légère transpiration et son parfum naturel transmettent à mon cerveau le besoin d’être plus pressant. Mais après la première jouissance, je suis beaucoup plus résistant et les deux, on en profite. Elle se balance dans un rythme de plus en plus rapide, je sens qu’un deuxième service n’est pas loin d’arriver, c’est vraiment délicieux de sentir son vagin brûlant qui me compresse la pine et ses va-et-vient continuels sont trop bons pour que je puisse retenir très, très longtemps le flot de mes enfants potentiels voulant coloniser une partie d’Afrique.
Après avoir inondé copieusement sa grotte, entraînant un orgasme de sa part accompagné d’une morsure dans le gras de l’épaule, presque jusqu’au sang.
On se détache l’un de l’autre pour s’allonger.
Devant ces compliments, je recommence à bander, ce qui ne m’était pas arrivé depuis belle lurette. Elle me dit :
Sans attendre la réponse, la voici qui prend mon sexe encore rutilant de nos débauches précédentes et le suce sans dégoût.
Entre deux bouchées, elle me répond que non, elle aime aussi les femmes, mais elle comprend que tout le monde n’est pas attiré par le goût des fluides intimes, mais elle, elle aime bien l’odeur de sa foufoune.
Le quatuor de Vitoli Apoil
Si la journée s’est passée au travail, il y avait de quoi faire, le soir, si pour les femmes, c’est détente, pour les hommes, c’est bien tendu.
En arrivant dans la chambre de Mamadou, on décide d’utiliser la piscine pour se rafraîchir de la journée.
Un grand cri unanime :
On a largué nos caleçons, nos fanfreluches en coton.
Les couples non officiels se sont formés, c’est vrai que Sornia était beaucoup plus fine d’Aïcha dans le bas-ventre, est-ce l’effet de l’accouchement ? Je ne peux le dire, vu qu’elle est arrivée dans ma vie après l’accouchement. Quant à ma bite, c’est vrai qu’elle est plus modeste que celle de Mamadou, mais selon Sornia, c’est un avantage.
On joue dans l’eau à se peloter, se caresser, sans distinction de couleur et même les femmes échangent quelque petit geste d’amitié. Nous, entre mâles, c’est la poignée de main virile, même si les deux on bande bien fort.
Les deux femmes complices se mettent à part pour comploter sur notre dos. Dieu sait ce qu’elles vont inventer. Elles nous le font savoir rapidement.
Les deux hommes, flamberge au vent, répondent d’un bel ensemble que rien ne pourrait leur faire autant plaisir.
À ça, Pierre répond :
De même Mamadou :
Pierre :
• une courtisane dans son lit,
• une ménagère à la cuisine,
• une femme du monde avec les amis.
Sans les petites cochonneries réservées aux amants, on se retrouve avec un mélange du tiercé, mais pas avec une courtisane dans son lit.
Les trois autres approuvent, avides de nouvelles sensations.
Si ce n’est que Sornia précise :
Sans attendre, Aïcha se rapproche de Sornia et commence à lui prendre les lèvres et ses mains partent à l’assaut de son corps, de ses petits seins qu’elles empaument avec délicatesse. Puis, cessant le baiser, elles se tournent en tête-bêche et c’est un spectacle de les voir se dévorant la poitrine en ayant une main caressant l’autre sein et l’autre dans le buisson d’amour. Entamant un mouvement reptatoire, descendant vers le minou de sa partenaire. Elles se mettent à laper cette source de plaisir. C’est à qui gougnotte le mieux l’autre. En synchronisation parfaite, nos deux amazones lèchent, mordillent, aspirent le petit bouton qui devient grand⁽²⁾. Les doigts aux ongles nacrés fouillent ces conques resplendissantes, fleuves débordants de ce jus qui fait les grands mets érotiques, cette manne qui rend les hommes fous.
Justement, les hommes deviennent fous, ils ne peuvent se retenir de mettre leur membre hypertrophié dans les nymphes accueillantes de leur amante. Le coït est brutal, violent, très bref, mais abondant, pire qu’un lion inquiet d’être surpris en mauvaise posture par un concurrent. Les dames ne sont pas très contentes de la performance de leurs amants.
Ce n’est pas l’enthousiasme dans le camp des mâles de devoir nettoyer le con pollué par l’amant de sa femme, mais elles sont intraitables. Il leur faut passer par là.
Mais malgré le gel qu’a laissé l’amant et qui colle aux moustaches, en s’appliquant, elles apprécient le mal (et pas le mâle) qu’ils se donnent et ces messieurs, finalement, ne trouvent pas ceci si rebutant. C’est plutôt une question de fierté, fierté qu’ils se coincent sous le bras.
Et chez les messieurs, le temps de la pause se termine et ils commencent à redevenir présents de pouvoir retremper le biscuit dans le pot de confiture ou à défaut une bonne turlute de derrière les fagots.
Là, les deux épouses se sentent un peu obligées d’obtempérer. Celle qui est le plus à plaindre, c’est de nouveau Sornia, elle a la bouche distendue par le gros dard qui lui occupe la bouche. Aïcha, elle, a plutôt l’impression de combler un manque, vu qu’elle n’avait jamais osé cette pratique avec son Doudou. Elle s’applique à bien lisser ce concombre et elle regrette un peu de ne pas l’avoir fait plus tôt et de ne l’avoir réservé qu’à son amant. Sornia, elle, ne se pose pas ce genre de problème métaphysique, elle pense plutôt que si c’est de ce côté, ce sera moins douloureux qu’en bas et elle aimerait bien que Pierre lui en remette une petite couche pour bien dormir. Mais il ne faut pas rêver, ils ont déjà donné et Pierre n’est plus un ado et la recharge des batteries à partir de la deuxième fois est problématique.
Enfin, à force de persuasion, elles arrivent à leur fin et se posent la question de savoir comment on va finir la nuit, ensemble, mais on va mal dormir ou en couple officiel ou adultérin ?
Finalement pour éviter tous problèmes les couples officiels dormiront sagement ensemble, mais avant de partir, Aïcha a encore un petit souhait, elle aimerait connaître la sodomie pour ne pas mourir idiote, mais elle a un peu peur de le faire avec Mamadou.
Mamadou :
Sentant la conversation partir dans une mauvaise direction, Aïcha déclare :
On se retire dans nos pénates et avant de dormir, Pierre s’épanche sur ce qu’il a entendu.
On s’est endormis comme ça et j’ai fait de beaux rêves.
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Remarques :
⁽¹⁾ – Lapsus, je voulais écrire la dureté de son polar
⁽²⁾ – Sans forcément demander à Dieu de lui prêter vie. Même si les taux d’intérêt sont très bas. Voir « Petit poisson deviendra grand, si Dieu lui prête vie » de Jean de La Fontaine.
⁽³⁾ – De concert, n’a rien à voir avec la musique, mais veut dire en même temps, quand on se concerte.