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Temps de lecture estimé : 9 mn
27/07/21
Résumé:  Valérie fait découvrir les plaisirs féminins.
Critères:  ff fsoumise fdomine cunnilingu -lesbos -dominatio
Auteur : Divinmarkiz  (Homme parisien, 62 ans, dominateur)            Envoi mini-message

Série : Valérie, parisienne et libertine

Chapitre 01 / 04
Valérie, parisienne et libertine

Crise sanitaire oblige, j’étais comme nous toutes, enfermée dans cette routine entêtante : télétravail, repas, dodo !


Créatrice de bijoux, mes crayons, feutres, et dessins comme les réunions « zoom » rythmaient mes journées dans le confort de mon appartement parisien. Mes nuits, elles, l’étaient peu (rythmées) !

Célibataire, femme bi et libertine, cela faisait quatre mois que ma vie sexuelle était en pause !


J’oublie de me présenter ! Je m’appelle Valérie, 54 ans, encore appétissante (je pense). Je mesure 1,72 m et suis un peu ronde, mes seins sont de bonne taille, et pour conclure, je suis brune au teint mat… souvenir d’origines ibériques (pilosité comprise) !


Élevée à Paris dans une famille classique, je ne me suis jamais mariée. Après avoir fréquenté un collège de jeunes filles, j’ai étudié dans une école d’art où je me suis spécialisée dans le design. Après une assez longue carrière chez de grands couturiers à créer des bijoux, il y a dix ans, j’ai monté mon cabinet. J’apprécie cette indépendance et, sans être devenue une nouvelle Loulou de la Falaise, je réussis bien, ce qui me donne un certain confort et beaucoup de satisfaction.


Le sexe a toujours tenu une place importante dans ma vie, avec les hommes, bien sûr, mais j’aime aussi le corps des femmes et mes aventures saphiques sont nombreuses.

Elles ont débuté au collège où dès l’adolescence, je m’enhardissais à attirer des filles dans mes filets ; période de baisers volés et caresses intimes dans les toilettes. C’est à 16 ans que j’ai prodigué mon premier cunni, elle s’appelait Aline et avait le même âge que moi. Il m’avait fallu une belle dose de persuasion pour l’amener là ! Aline, élevée dans une famille de cinq enfants, était profondément délurée et espiègle, mais tout cela était enfoui sous son éducation stricte qui lui interdisait à son âge toute sexualité.


Nous étions amies et ses regards empreints de désir ne m’avaient pas échappé. Je me souviens de ce fameux jour où nous nous étions retrouvées dans les toilettes, et sous le prétexte qu’il n’y avait pas de papier, je lui avais demandé de m’en apporter. J’avais ingénument ouvert la porte, et lorsqu’elle la poussa, je me tenais assise, les cuisses écartées plus que nécessaire. Je saisis le papier qu’elle me tendit et m’essuyai avec une certaine langueur en tenant mes lèvres ouvertes. C’est en observant son regard que je sus que c’était le bon moment. Je me levai et fermai la porte puis, encore déculottée, lui donnai un baiser fougueux et maladroit. Je la sentis fondre instantanément, se coller à moi. C’est moi qui pris les devants en glissant ma main sous sa jupe ; il lui fallut un certain temps pour me rendre mes caresses, mais une fois ces jeux de mains entamés, elle se laissa aller.


Je me souviens qu’elle avait protesté, mollement, lorsque je m’agenouillai et que je collai ma bouche sur sa vulve pour la lécher, sans doute sans grande finesse !

Nous étions bien sûr allées plus loin quand Aline venait dormir à la maison, ou le contraire, tout ça sous le prétexte de notre amitié ou de nos révisions.


Elle est aujourd’hui une mère de famille et une femme qui réussit très bien ; nous déjeunons ensemble régulièrement comme de vieilles amies. Même si je sens bien qu’elle aimerait céder de nouveau, son statut de femme mariée comme son environnement social agissent cependant comme un frein, puissant.


Ainsi, déjà adolescente, je conduisais ma vie sentimentale comme je l’entendais. Cette liberté presque masculine était évidemment diversement appréciée et je trainais une réputation un peu sulfureuse au collège comme parmi mes amis. Je m’en moquais ! Bonne élève, mes parents bienveillants et finalement assez ouverts faisaient taire ces rumeurs.

Seule la sœur Thérèse, principale du collège, m’avait un jour sermonnée ; c’était une femme intelligente qui même dans son rôle dont elle ne se sortait jamais, savait employer les bons mots. « Prends toujours soin de toi et sois prudente. Les sens peuvent parfois t’emmener là où tu ne voudrais pas aller. Songes-y, si tu dois les suivre, n’oublie jamais de rester clairvoyante ». Je me souviendrai toujours de cette phrase.



Soumise avec les hommes, je préfère dominer les femmes, encore qu’avec la bonne partenaire je me laisse parfois aller à partager les rôles.

C’est à l’âge de 35 ans que j’ai voulu assouvir mes envies de soumission. Si ces envies étaient très présentes, il m’avait fallu du temps pour « sauter le pas », non pas pour des raisons morales, mais simplement parce que je percevais le double danger : celui – physique – de rencontrer la mauvaise personne ; et celui – plus intime – de pressentir que ces « jeux » pourraient être sans retour.


Au début des années 2000, les sites de rencontres fleurissaient ; inscrite sur plusieurs d’entre eux, je partis à la recherche de ma première expérience de soumise.

Je me connais et savais que mon choix serait difficile ; dirigeante d’une équipe (certes petite) dans ma vie professionnelle, je devais accepter de lâcher prise, voire de m’abandonner, et pour ça il fallait un homme avec une intelligence, un savoir-faire et des « manières ». On sait toutes que ça ne court pas les rues !


J’avais à l’époque une relation sexuellement intense avec Justine, une femme de 50 ans, mariée et mère de famille. Sans vivre dans la « misère » sexuelle, Justine n’en avait pas moins de grandes frustrations. Elle avait depuis toujours le goût des femmes, mais aussi celui de la soumission comme elle me l’avoua vite.

Je la rencontrai dans un diner à Paris un soir de 2001. Justine, grande femme un peu ronde, avait ce regard timide et gourmand que je connaissais si bien : celui d’une femme que je pourrais emmener vers d’autres horizons.


Nous avions longuement échangé ce soir-là sur nos vies, elle aimait les bijoux, un sujet sur lequel je pouvais être intarissable ; de fil en aiguille, nous échangeâmes nos téléphones avec la promesse qu’elle viendrait visiter mon atelier. En nous quittant, au milieu des autres invités, je l’embrassais en lui chuchotant que parmi mes créations je pourrais aussi lui présenter des bijoux intimes. Lorsque nous nous détachâmes, je vis son regard qui se voulait choqué. « À très vite ; j’ai hâte de découvrir toutes vos créations », lâcha-t-elle malgré tout.

Justine m’appela dès le lendemain matin et vint le jour même prendre un café.

C’était l’été, et lorsque j’ouvris ma porte, elle se présenta avec une robe chemisier colorée, un peu courte, dont le col était ouvert plus que nécessaire.


Je la laissai au salon pour préparer les cafés ; lorsque je revins, elle se tenait debout le dos tourné, son regard sur les toits de la ville qu’elle découvrait depuis la porte-fenêtre ; le soleil l’entourait et je pouvais voir les courbures de son corps que la lumière découpait à travers le fin tissu.

Cherchait-elle à me provoquer ? Si tel était le cas, je n’allais surement pas tomber dans ce piège… il fallait qu’elle sache à cet instant qui dominerait.


Assises, nous bavardions, je lui montrais mes plus jolies créations, ses yeux brillaient ; comme beaucoup d’entre nous, elle aimait les bijoux. Après avoir vu, touché et essayé colliers, bracelets et bagues, il y eut un léger silence que je ne rompis pas, gardant un regard insistant sur le sien.


Elle bredouilla enfin :



Posé sur la table basse se trouvait un écrin que je lui tendis.



Justine s’exécuta et j’avais savouré ce moment où, le visage empourpré, elle découvrit ce plug de métal doré, poli, serti d’une pierre de couleur.

C’était un test, soit elle refermait l’écrin et se retirait poliment, soit elle restait ; sans jouer gros, je reconnais que je la provoquai à dessein. Inutile de perdre trop de temps !

Elle ne partit pas !



Ce faisant, je posai ma main à l’intérieur de son genou sur lequel j’imprimai une légère pression pour l’inviter à écarter les jambes, elle ne résista pas. Nous ne prononçâmes aucun mot, je retirai ma main et lorsqu’elle commença à refermer les jambes, je pris une voix sèche.



Elle obéit, baissa la tête, mais je pus voir ses yeux devenir humides.



J’appréciais ce moment ; Justine prit cette pose inhabituelle qu’aucune femme ne lui avait sans doute jamais imposée.



Ses gestes étaient lents, un peu hésitants, mais elle les fit. Je pouvais voir ses seins un peu lourds comme je les aime ; elle portait une culotte blanche et sage.



Je me levai en attendant qu’elle fasse de même ; Justine resta assise, leva son regard embué vers moi, sans bouger.

Je m’approchai, lui caressai le visage comme un encouragement et pris sa main que je dirigeai vers son sexe ; elle se laissa faire.

J’arrivai à mon but : son autre main écarta le fin tissu de sa culotte tandis que je voyais ses doigts pénétrer dans sa fente.



Je m’étais déplacée et, agenouillée devant elle, je la regardai faire. Elle fit quelques va-et-vient.



Elle sortit ses deux doigts qu’elle me tendit ; ils étaient comme je l’imaginais : mouillés et odorants !

Je les léchai longuement en la regardant ; j’aimais ce moment où elle commençait à lentement s’abandonner.

Je devais instaurer la confiance et la faire parler. Elle garda les jambes écartées sans que je le lui demande.



Son visage s’éclaira d’un grand sourire.



Elle ne prononça pas le mot de « Maîtresse », mais elle en avait déjà beaucoup dit.



J’en savais déjà beaucoup et comme toujours ce cheminement de mes consœurs me touchait.

Je m’approchai d’elle pour échanger un long baiser, passionné et intime.

Je pris sa main pour la guider vers ma chambre.



Allongée, elle se serra contre moi.


Accroupie sur son ventre, je caressai ses seins longuement avant de lui attraper ses tétons que je pinçai fermement, mais sans violence ; je sentis sous mes fesses son bassin onduler comme ses tétons durcir sous la morsure de mes doigts.

Je m’accroupis sur son visage, écartais mes fesses pour poser mon petit trou sur sa bouche. Je sentis sa langue sans hésitation me lécher de haut en bas (bon début) avant de la sentir pousser pour me pénétrer. Justine savait se servir de sa langue comme de sa bouche !

Je me soulevai pour lui offrir ma chatte et me penchai pour lui prodiguer la même caresse.


Sa vulve me plaisait, un clitoris assez proéminent de jolies lèvres charnues, promesse de jeux intéressants ; Justine mouillait beaucoup et, à son parfum, j’imaginais bien que notre rencontre l’avait excitée toute la journée.

En la léchant, je descendis mes doigts pour la pénétrer tandis que de l’autre main je caressais son petit trou serré dans lequel j’introduisis un doigt, profondément ; elle y répondit en poussant ses fesses pour amplifier la pénétration. Je n’avais pas besoin de plus pour frayer un chemin avec un deuxième doigt. Je lui branlais le cul en la léchant et je la sentis vite partir dans un long et puissant orgasme que j’accompagnai du mien.

Lorsqu’elle accompagna sa bouche de ses doigts, je ne pus retenir un écoulement que je l’entendis laper avec gourmandise.


Bonne pioche, Justine !