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28/07/21
Résumé:  Justine revient pour sa première séance de soumission.
Critères:  ff fplusag fsoumise fdomine odeurs cunnilingu 69 fdanus fsodo fouetfesse piquepince init -lesbos -dominatio
Auteur : Divinmarkiz  (Homme, parisien, 62 ans , dominateur)            Envoi mini-message

Série : Valérie, parisienne et libertine

Chapitre 02 / 04
Valérie, parisienne et libertine - chapitre 2

Résumé de l’épisode précédent :

Valérie raconte sa première rencontre avec Justine, mariée, mais attirée par les femmes.







Après cette courte séance de plaisir (nous avions chacune des rendez-vous), nous avions quand même pris le temps pour un autre café. Assises dans le canapé, nous échangeâmes de petits gestes tendres, des baisers.

Vint rapidement le moment où nous devions vaquer à nos occupations… Sur le pas de la porte, je décidai de lui en dire un peu plus sur la suite.



Cette déférence naturelle me fit entrevoir de beaux horizons avec Justine !



Un dernier baiser, et Justine partit.


Ce soir-là, alors que je regardais un vieux film de Losey, ma messagerie tinta : message de Justine.



Valérie,


Je te remercie avant tout pour ce moment aussi inhabituel que troublant. C’est la confiance que tu m’as inspirée qui m’a poussée à si vite me dévoiler. Même si j’en ai honte, j’en suis quand même heureuse, je portais ces désirs depuis de longues années !

En venant te voir, je n’imaginais quand même pas en arriver où nous en sommes arrivées, mais tout a commencé à basculer quand tu as posé ta main sur mon genou pour « m’inviter » à écarter les jambes et tu l’as vu, j’ai capitulé au moment où tu m’as ordonné d’écarter les cuisses.

Personne ne m’avait traitée ainsi et j’ai ressenti une vraie excitation à subir ce qui était pour moi une humiliation indécente.

Je ne devinais pas que le pire (ne le prends pas mal, mais j’étais tétanisée) était à venir.

Inutile de te cacher que depuis ce matin je pensais à cette rencontre, j’y ai pensé sans arrêt, tes derniers mots d’hier soir laissaient peu de place à l’équivoque (Hmmm cette allusion aux bijoux intimes !). Pour être crue, et tu me le pardonneras, car tu en as eu la preuve, cette pensée lancinante m’avait fait beaucoup mouiller, dès mon réveil, et lorsque tu as porté mes doigts à tes lèvres j’étais mortifiée à l’idée que mon odeur te repousse (je suis obsédée par mes odeurs !).

Ensuite, pour commencer par ce qui était encore impensable pour moi, lorsque je t’ai vu écarter les fesses au-dessus de mon visage pour m’imposer cette caresse, lécher longuement ton petit trou, j’étais heureuse de te la prodiguer moi qui ne l’avais jamais faite ni reçue.

L’anal a toujours été tabou pour moi et mon mari ne me l’a jamais demandé… tu vois comme je suis novice ! J’en ai découvert les prémices avec toi et j’ai aimé, très aimé, sentir tes doigts me pénétrer… il était temps que je m’éveille (sourire).

Ta toison m’a surprise, mais j’ai tant aimé respirer et lécher ton sexe, je voulais que ça ne finisse jamais ! Voilà, tu sais (presque) tout. Presque, parce que tu m’avais réservé une autre surprise aussi agréable que satisfaisante pour moi qui n’avait jamais léché une femme ! J’ai tellement aimé te sentir couler dans ma bouche !

Ce soir, mon mari est absent et je garde encore ton parfum sur mes lèvres.

J’ai hâte de te revoir et de débuter mon éducation de soumise.


Je t’embrasse


Justine



Je lus et relus ce message. Contente de ma nouvelle conquête, je laissais mon esprit échafauder des scénarios, des situations pour amener ma Justine à se livrer, à s’abandonner. Ses mots en disaient long, ça n’était pas la première fois que je rencontrais une femme qui découvrait, avec moi, soudainement ces plaisirs. J’en retirais beaucoup d’émotion.

C’était par contre la première fois que j’avais une telle différence d’âge avec mon amante. Ça ne me dérangeait pas, j’y voyais plutôt un autre atout, une femme de 50 ans qui découvrait sa bisexualité comme ses envies de soumission ne pouvait qu’être prête et ouverte à beaucoup de choses. Et puis Justine me plaisait. Intelligente, un peu ingénue, elle avait un beau corps entretenu : ses seins lourds, mais fermes étaient un plaisir à caresser et, en son temps, à « travailler ». De plus, Justine embrassait divinement bien.


J’avais aussi découvert son parfum intime que j’avais également conservé sur ma bouche… il fallait que je dissipe ses appréhensions à ce sujet.

Au cours des jours qui suivirent, nous échangeâmes régulièrement. Comme moi, elle aurait aimé que l’on se voie, mais il lui fallait trouver un de ces moments de liberté que sa vie de femme mariée lui autorisait rarement.

Le jeudi soir… petit message :



  • — Je serai seule mardi et mercredi prochain.
  • — Viens donc mardi, je suis prise mercredi.
  • — Oh oui, simplement je voyage ce jour-là pour le boulot et mon train arrive à 20 h 35.
  • — Pas grave, viens directement, je préparerai un petit dîner.
  • — Je n’aurais pas le temps de me changer.
  • — Ce n’est pas grave non plus, tu n’auras pas besoin de vêtements (grand sourire gourmand)
  • — Hmmm, toujours très coquine !
  • — Tu n’aimes pas ?
  • — Si, beaucoup !
  • — Alors je t’attends mardi soir.
  • — Tu ne seras pas trop dure avec moi ?
  • — Sévère, mais bienveillante… je sais bien que tu es novice.
  • — Merci, Valérie.



La journée avait été torride, c’était en juillet lorsqu’à Paris le soleil se déchaîne. Je préparai un dîner froid : salade, ceviche de dorade et, pour terminer, une salade de fruits comme je les aime.


Trônaient sur la table du salon les « jouets » à utiliser ce soir : martinet, badine, brosse, pinces, poids, gode et plug, pour ne citer que ceux-là, et bien sûr, je l’oubliais, mon gode-ceinture.

Sur le lit, j’avais posé une barre d’écartement. J’aimais, dans une sorte de rite, étaler à l’avance mes instruments et laisser mon esprit vagabonder sur leur usage.

Vierge de son petit trou comme Justine me l’avait avoué, j’avais choisi un plug gonflable de petite taille… il fallait qu’elle garde un bon souvenir de cette première fois !

J’avais hésité à sortir la pompe et décidai que je la garderais pour une prochaine fois.


Si une première séance comporte son lot d’anxiété pour la soumise, crainte de ne pas être à la hauteur, celle de finalement ne pas supporter les « punitions » et humiliations infligées, c’est aussi pour la dominatrice que je suis une épreuve.


J’aime passionnément que ma soumise partage mon plaisir… Moi, en infligeant ; elle, en subissant. C’est pourquoi je m’efforce de décrire ce qu’elle devra accepter, en cas de refus de telle ou telle pratique je me range à son avis. Il est rare qu’elle n’exprime, plus tard, le désir de goûter à ce qu’elle avait initialement refusé.

Ainsi, je construis inlassablement mon scénario ; j’en étais là de mes pensées.


Comme toujours dans ces moments qui précèdent une « première » rencontre il me fallait marcher pour bien aligner mes pensées. Décidée à braver la chaleur de l’après-midi, je partis vers les Tuileries pour y faire tourner et retourner l’enchaînement des situations, caresses et sévices que je réservais à Justine.

Inutile de préciser que pendant ces heures qui précédèrent, l’excitation avait ses effets… humides dirais-je ! Petite tempête dans ma culotte !

Il était 19 h lorsque je rentrai chez moi, très moite.


Je pris une photo de la table du salon encombrée par mes jouets, l’envoyai à Justine en route vers Paris avec ces mots :


— Voici ce qui t’attend et moi, je t’attends !


Elle ne me répondit que quinze minutes plus tard :



  • — Merci Valérie. Je me prépare à t’obéir. Pardon pour mon ignorance, mais à quoi servent les pinces et la brosse ?
  • — Les pinces seront posées sur tes tétons et ta chatte, la brosse pour te « caresser ».
  • — C’est douloureux ?
  • — Ça peut l’être en effet, mais tu peux renoncer.
  • — Je ne peux pas déjà renoncer ! J’ai confiance en toi.
  • — Très bien. Tu vas te rendre dans les toilettes et te caresser en mettant tes doigts dans ta culotte.
  • — Euh, tu sais, euh, je suis déjà très mouillée à force de penser à toi.
  • — Fais ce que je te dis.
  • — La clim du train est en panne : il fait une chaleur étouffante et je suis toute transpirante.
  • — C’est la dernière fois que je me répète !
  • — Bien, Valérie, j’y vais.
  • — Envoie-moi un message pour m’indiquer que tu as suivi mes instructions.
  • — Je le ferai.


Un quart d’heure plus tard, je reçus un message de Justine :


  • — Valérie, j’ai suivi tes instructions, mais je suis un peu gênée.
  • — Par quoi es-tu gênée ?


Silence…



  • — Par… par mon odeur. Je t’ai dit, ça me dérange !
  • — Justine, il faut te débarrasser de ce fardeau idiot ! Ton odeur de femme est la tienne et je l’aime !
  • — C’est vrai ce que tu me dis ?
  • — Je suis très sincère ; et la mienne ?
  • — Oh oui, tellement.
  • — J’ai hâte de t’embrasser.
  • — Hmmm, moi aussi… j’arrive bientôt !
  • — Je t’attends… pas sagement !
  • — Tu me fais rire.



Justine, vêtue d’un tailleur très sage, arriva à 21 h. Long baiser, très long baiser, nos corps collés. Elle, les bras autour de ma taille en attente ; moi, débutant des caresses, ma main passée dans sa culotte sur ses fesses, je les écartai de deux doigts pour en promener un troisième le long de son sillon très humide. Je caressai doucement son petit trou qui s’ouvrit légèrement sous la pression de mon doigt. Justine détacha ses lèvres des miennes pour poser sa tête sur mon épaule. Je l’entendais doucement soupirer.



Sans un mot, elle se dirigea vers l’endroit désigné et retira ses vêtements le regard baissé. Elle portait une jolie culotte blanche en dentelle qui, collée à ses lèvres, les dessinait. Je lui fis baisser la tête, relever ses cheveux et poser autour de son cou un collier de cuir que je refermais sans le serrer… Une laisse le prolongeait.



Je l’amenai ainsi au milieu du salon et la fis se relever.


Assise dans le canapé, je la contemplai elle debout, mains sur la tête. Badine à la main, je la promenais sur ses seins, jouais avec ses tétons jusqu’à ce que je les vois durcir. Passage à l’intérieur des cuisses qu’elle avait ouvertes d’un simple coup de badine, je donnais quelques tapotements sur son entrejambe encore couvert.



Mon visage à la hauteur de son pubis, le mince filet de cyprine qui collait à sa culotte lorsqu’elle la retira ne m’échappa pas ! Elle me tendit le léger morceau de dentelle que je saisis par le gousset ; je constatais ce que je savais déjà. Venait le temps de l’humiliation.



Pas de réponse. J’approchai le gousset de son visage.



Je plaçais le gousset sur sa bouche.



Justine sortit timidement la langue qu’elle promena de haut en bas.



Elle tendit ses lèvres pour happer le tissu, le lécha, il fallait que je l’encourage ; je pris doucement son visage dans mes mains.



Je vis alors Justine s’appliquer, sucer voracement sa culotte jusqu’à ce que je la retire de sa bouche pour l’embrasser.

Elle me rendit ce baiser sans retenue.



Je me levai. Elle retira mon t-shirt (je n’avais pas mis de soutien-gorge) dégrafa ma jupe qui glissa. J’avais mis pour elle une culotte noire en latex fermée par un zip qui courait du pubis jusqu’à la ceinture au-dessus de mes fesses.

Je fis glisser le zip, la matière élastique de ma culotte s’ouvrit et laissa apparaître ma toison (je l’avais taillée et je m’étais épilé les lèvres) devant son visage que je plaquai sans violence contre moi.



Je m’assis, posai mes jambes sur ses épaules, relevai son visage et écartai mes lèvres.



Elle s’approcha et je pus sentir son souffle chaud sur mon sexe. J’aimais ces moments de frustration qui faisaient monter l’excitation… Je la mettrais à ma merci.



J’avais posé un coussin sur le dossier pour qu’elle y repose sa tête, elle avait de belles fesses, rondes, un peu fortes… comme je les aime. Je lui demandai de les ouvrir, elle exécuta cet ordre impudique sans discussion. Je passai mes doigts pour constater qu’elle était toujours humide et enfonçai un puis deux doigts, le deuxième avec difficulté.

Je les ressortis pour les plonger dans sa bouche :



Justine s’appliquait et je ressortis mes doigts enduits de sa salive pour reprendre la pénétration. Son cul commença à venir au-devant de mon geste et je sentis le conduit étroit se relâcher lentement. Je saisis alors le plug gonflable qui s’introduisit sans difficulté.



Je pompai doucement et pus voir son cul s’ouvrir sous l’effet du gonflage. Je retirai le tuyau et la poire et la fis se lever.

Je descendis la main vers son sexe, elle écarta naturellement les jambes et je fus transportée lorsque mes doigts atteignirent sa vulve. Mes caresses s’accompagnaient de ce doux bruit de succion, la chatte de Justine coulait abondamment ; je collais mes lèvres aux siennes et fis pénétrer mes doigts dans nos bouches. Elle les lécha avidement. Je les portai ensuite dans ma vulve pour les lui offrir à lécher. Que ce baiser était bon !

Détachant mes lèvres, je lui murmurai :



Elle ne répondit pas, mais à mon ordre se mit à quatre pattes. Je l’entraînai, laisse dans une main, badine dans l’autre, vers la console qui se trouvait derrière le canapé. Je saisis ses seins l’un après l’autre que je posais sur le plateau de ce meuble ; une fois posées les pinces sur chacun de ses tétons, je commençais par jouer du bout de ma badine avec les pinces les faisant monter et descendre, les poussant pour enfin l’abattre sur ses globes. Elle sursauta aux premiers coups sans rien dire. Mes coups étaient fermes, mais sans violence et je décidai que dix coups sur chaque sein seraient suffisants pour une première fois.

Lorsque je m’agenouillai à ses côtés en caressant ses seins légèrement zébrés de rouge je lui dis :



Tant de bonne volonté méritait d’être récompensée. Je retirai avec douceur les pinces et léchai ses tétons endoloris. Je la fis s’allonger, posai ma chatte sur sa bouche pour la frotter ; je sentis ses lèvres s’ouvrir et se fermer sous mes va-et-vient et à mon tour je plaquai ma bouche sur son intimité. Je relevai ses cuisses pour la lécher, sa cyprine m’enivrait. Au bord de la jouissance, je cessai mes caresses, relevai le buste et posai mes fesses sur sa bouche dans une demande sans équivoque. D’elle-même elle m’ouvrit pour prodiguer cette caresse intime si nouvelle pour elle. Je saisis le plug qui la pénétrait pour le faire aller et venir. Justine encore vierge il y avait peu lançait son bassin au-devant de mon geste, son petit trou maintenant dilaté absorbait le plug ; elle commença à gémir, je collais ma chatte sur sa bouche et, sans cesser de branler son cul, je la léchai moi aussi sans retenue. Notre premier orgasme fut bruyant, puissant et synchrone ! Je m’abattis sur elle.


Nous restâmes ainsi un long moment.


Je brisai ce moment, m’assis sur son ventre et posai une première paire de pinces sur les lèvres de son sexe, puis une deuxième, chacune reliée par une chaînette. Je les saisis et débutai son apprentissage des étirements. Doucement au début, j’accentuais au fur et à mesure la force de mes gestes, tirant les pinces vers le haut, vers le bas, les écartant. Justine, sans crier, gardait ses cuisses écartées comme pour m’aider. Je l’aimais ainsi, offerte à mes envies, se laissant aller à subir cette épreuve que je savais douloureuse pour l’avoir vécue.



Debout, elle se tenait devant moi. J’accrochai alors des poids sur chacune de chaînettes, les fis se balancer ; Justine se mordait les lèvres. Je fis durer ce manège que je corsais en rajoutant des poids et, laisse en main, je la promenai dans le salon. Les poids venaient frapper ses cuisses, freinant leur ballottement naturel. Je l’obligeai alors à marcher cuisses écartées. Libres de se balancer, j’observais sa démarche obscène et maladroite. Après de longues minutes, je mis fin à l’épreuve, retirai pinces et poids et lui massai ses lèvres meurtries. Le constat que son excitation ne l’avait pas quittée me rassura et me donna cette satisfaction du plaisir partagé.



Dans cette belle position, je commençai par introduire un gode dans sa chatte ; de belle taille, elle l’engloutit sans difficulté et par un jeu de liens qui entoura ses cuisses, je le maintins enfoncé.

Mon gode-ceinture à la main, je l’obligeai d’abord à le fixer puis à le lubrifier avec sa salive, une fois enduit et luisant, je m’approchai de son cul offert, retirai le plug ; son petit trou bien ouvert accueillit mon appendice qui se fraya un chemin.



Son bassin ondulait, le gode bien en main, je la branlais tandis que j’allais et venais à un rythme doux entre ses reins. Ses ondulations s’accélérèrent à devenir amples et puissantes, je labourais son cul ; je ralentis tous mes mouvements pour ensuite les arrêter, la laisser reprendre son souffle, son souffle qui murmura !



Je posai un doigt sur son clito et repris mes pénétrations pour la sentir se déchaîner, jeter son bassin au-devant de moi jusqu’à l’entendre d’une voix étouffée répéter :



La main couverte de sa mouille j’accélérai mes mouvements lorsque dans un long cri elle eut un orgasme qui n’en finissait pas.



À suivre…