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n° 20407Fiche technique18555 caractères18555
Temps de lecture estimé : 10 mn
03/08/21
corrigé 30/08/22
Résumé:  Après une nuit tropicale où l’on s’est échangé nos partenaires, je pars pour les Amériques, avec Daisy et Myla dans mes bagages
Critères:  fh ff 2couples fbi extracon extraoffre profélève grossexe odeurs
Auteur : Vopicek      Envoi mini-message

Série : Lucie, mon amour

Chapitre 02 / 03
On déménage en Amérique

Résumé de l’épisode précédent :

C’est un peu mon début de l’âge adulte après mon diplôme d’ingénieur avec la « récupération(1) » d’une magnifique femme, suite à des bouleversements politiques. La fin de ses études, notre mariage et son départ pour les States, sa trahison, puis son retour.



Protagonistes :

Jean – le narrateur,

Lucie – son épouse,

Myla – leur fille,

Mike – professeur au MIT et amant de Lucie,

Daisy – son épouse, actionnaire majoritaire d’un immense bureau d’étude.






Après avoir initié nos invités aux délices de la raclette au fromage de Bagne et aux douceurs du vin de la commune de Champagne(2), on se dirige vers la forge familiale. Je sens que je vais subir une deuxième épreuve et de la façon dont ma douce se serre contre Mike, j’ai l’impression que l’experte risque bien d’être Daisy. Lucie et Mike ont déjà lancé sérieusement les hostilités, il lui masse vigoureusement les seins et elle n’a pas l’air d’être en retard avec le massage. Le training de Mike présente une bosse à me mettre des complexes, effectivement ce mec a l’air l’être monté pour la compétition de haut niveau.


Sentant mon malaise, Daisy vient à mon secours en me tendant ses lèvres et là, surprise, c’est un vrai bonbon. Je ne peux m’empêcher de tâter délicatement son paradis, elle semble apprécier ma douceur, laquelle doit trancher avec les habitudes de son mec ; d’après ce qui se passe à côté, c’est viril de chez viril. Les culottes en bas et va que je te plante. Il me semble que l’art du cunnilingus n’est pas courant de l’autre côté de l’Atlantique, à moi de lui faire découvrir les à-côtés de la sexualité que l’on dira européenne. On se découvre le haut, là aussi, mes tablettes de chocolat me semblent ridicules à côté de celles de ce « basketteur » qu’est-ce que ça va être quand je vais descendre mon futal ? J’espère qu’elle ne va pas partir au galop avant que je lui montre mon savoir-faire.


Voyant qu’à côté, les préliminaires presque inexistants sont déjà au passé antérieur et que maintenant le maître ramoneur est en plein dans ses œuvres, timidement j’ose abaisser son habit de nuit, mettant à jour une jolie petite corolle, manquant un peu de végétation à mon goût, délicatement j’ose un doigt sur l’ergot surplombant la vallée de la volupté. J’aime bien la vue et je sens mon cœur fondre, même si je me dis que tout cela est un peu artificiel.


Très doucement, je masse puis, sans demander la permission, j’aspire cette petite chose dans ma bouche, créant une réaction de surprise bien vite maîtrisée devant la douceur de ma langue. Je prolonge mon exploration un peu plus bas, mais je ne suis vraiment pas trop à main et je me mets dans son prolongement et installe ses pieds sur mes épaules, ayant devant mes yeux l’objet de ma concupiscence.

Parfois, je jette un coup d’œil amoureux en direction de Daisy, mais après un début engagé, j’ai l’impression qu’elle est sur une autre planète. Elle a placé ses mains sur ma tête et caresse mon début de calvitie. J’ai l’impression qu’elle apprécie mon ardeur à son égard.


Curieusement, mes coups de langue semblent avoir des effets dévastateurs, elle se tortille comme un poisson posé sur terre. J’aime bien son odeur et son jus, mais je calme un peu mon jeu de langue pour caresser un peu les environs et apprécier le paysage. Mes doigts parcourent les cuisses et, sur le périnée, jouent avec quelques poils noirs ayant échappé à la répression, ce qui contribue à augmenter encore son agitation. Quand, après avoir mouillé mon doigt à la fontaine de Trévise, je lui masse délicatement l’œillet de Satan et, au vu des souvenirs de ma douce, hardiment je pénètre dans le temple de Sodome avec mon majeur et commence à pistonner son rectum. Après un court instant de surprise instable, je sens que je suis sur la bonne voie, ce sont des contrées inexplorées pour elle.


Ses muscles rectaux se compriment et se détendent furieusement, son souffle devient haletant, rauque comme le soufflet d’une forge en travail, ses mouvements désordonnés appellent un rythme plus élevé, le goût de son miellat change et devient plus sauvage et relevé.

Je sens qu’elle part vers ce que l’on appelle la petite mort, son souffle a changé, il ressemble à celui du cerf appelant sa biche et d’un coup, elle s’effondre épuisée.



Je réplique assez fier d’avoir amené à un orgasme profond.

Je vois l’autre couple, ma femme pas trop surprise, mais le mari de mon amante ouvre des yeux énormes, en me regardant avec admiration.



J’en rougis de plaisir, d’une part d’avoir réussi à faire plaisir à mon amante, c’est bien comme cela qu’il faut l’appeler. Je regarde mon épouse, elle a l’air d’être assez fière de ma performance.



Mais cela ne faisait pas mon beurre, mon guignol n’était pas content, il n’avait pas pu cracher son venin au bon endroit et vu que les trois autres avaient eu leur dose. Je me rapprochai de Daisy dans le but d’avoir droit aussi au dessert. Comme elle était épuisée par son marathon, elle déclina pour le moment, ne voulant pas casser le petit paradis qu’elle s’était construit. C’est finalement Lucie qui était restée un peu sur sa faim qui vint quérir un soutien pas seulement moral, mais physique.


Mike l’avait hissée jusqu’au sixième ciel, il ne me fallut pas grand-chose pour la faire grimper au huitième où ensemble comme un bon couple nous avons conclu.


Finalement, malgré un handicap physique sur la grosseur de l’outil, j’avais été un meilleur artisan. Pour les sentiments, je m’interrogeais un peu quand même, j’étais très partagé, d’un côté j’avais de la peine à accepter qu’un autre que moi ait la préférence de ma Lucie, mais d’un autre côté, du côté de Daisy, je sens naître plus qu’un intérêt. C’est un sentiment mélangé de désir de revanche et je me sens bien avec elle et surtout, elle apprécie ma prestation à sa juste valeur. La dimension du lance-roquette ne semble pas avoir d’incidence sur ses sentiments.

Cela doit être comme les gastronomes qui, habitués aux plats sophistiqués, en viennent parfois à apprécier la bonne cuisine simple, comme un bouilli bien cuisiné.




À nous l’Amérique.



Deux jours plus tard, on prenait l’avion pour Boston où nous attendaient des amis de Mike, lequel avait fait le nécessaire pour que nous soyons accueillis. On est allé directement au logement de Lucie, un magnifique six pièces avec Jacques Uzi(3) et vue sur le MIT. Daisy a voulu rester avec nous, pour nous driver : comment se débrouiller, où se trouvent les supermarchés, etc. C’est assez différent de chez nous où il y a encore par-ci, par-là une laiterie et des épiceries. Là-bas, même à la campagne, rien de tout cela. Tout se fait en voiture, il faut dire que j’ai été surpris qu’il n’y ait pas des pissoirs pour automobilistes pressés, afin qu’ils ne soient pas obligés de descendre de voiture.


Ça collait bien entre Myla et Daisy, rapidement Myla s’est constitué une garde-robe américaine.

Daisy s’occupait pour que nous soyons bien installés, elle a trouvé des cours de rattrapage pour Myla et à l’étude de ses connaissances, l’a orientée tout de suite vers la bonne université. Myla n’a pas eu d’objection que Daisy remplace Lucie dans tous les sens du terme, en attendant que Mike rentre avec elle, après avoir vendu notre maison. On a brûlé les navires(4), pas d’espoir de retour en arrière. Sans l’exprimer, j’étais quand même un peu perturbé par la situation sentimentale assez complexe. Comment cela va être avec Lucie et Daisy ? Je m’entends bien avec les deux, on a du plaisir à être ensemble, mais à long terme, est-ce que je ne risque pas de me trouver Grosjean comme devant ?


Une semaine après mon arrivée, j’ai été convoqué dans un laboratoire annexe du MIT pour un emploi, j’ai deviné l’influence de Daisy. C’était un vieil ingénieur, probablement à deux doigts de la retraite qui m’accueillit. Il allait rester le temps nécessaire pour que je puisse prendre sa place. Il travaillait dans la même discipline que moi. Il parlait très bien le français. On est resté longtemps à papoter sur le métier, surtout sur ma spécialité, la mise en service de ponts et le contrôle des anciens ouvrages. Le labo avait comme personnel deux autres personnes, un noir et un indigène. Suite à cette discussion, j’ai fait un très long mail à mon épouse, la priant d’aller à mon ancienne place et de faire la copie de cinq programmes que j’avais écrits en Fortran. Probablement que je devrai les adapter à leur calculateur.


Elle réussit à les placer sur une bande magnétique dont le directeur du centre de calcul lui avait fait cadeau, en lui assurant que c’était courant en Amérique et que les cartes Hollerith n’étaient plus de mise là-bas, en tout cas pour le transport de données sensibles. Un mélange et tout est perdu. Mieux que cela, il s’engageait de me transmettre par télétransmission(5) l’entier de mes données, directement chez son collègue au MIT où je pourrais les récupérer.


C’est en rentrant que j’ai eu la surprise de ma vie. Myla et Daisy étaient en tête-bêche, se donnant du plaisir, heureusement que j’étais rentré discrètement. Trop occupées à se brouter le minou, elles n’ont pas remarqué ma présence. Je ressortis encore plus silencieusement pour rentrer de manière tonitruante, en restant un temps suffisant dans l’entrée pour leur permettre de mettre fin aux ébats. Cependant, l’image de ces deux déesses du sexe reste gravée dans ma mémoire. C’est toujours un peu choquant de voir ses enfants s’affranchir. J’avais eu le temps de voir que Myla avait déjà versé dans la mode américaine du minou lisse et qu’elle avait sacrifié sa fourrure intime sur l’autel de Lesbos ; enfin, je suppose, car depuis l’adolescence, je ne l’ai plus vue nue.



Je reçus en plein nez les effluves du plaisir de ma fille. Je dus serrer les dents pour faire l’inconscient. Merde, c’est pas des choses à faire. À part cela, je ne trouvais pas l’odeur si repoussante., même agréable. Preuve que Daisy avait bon goût dans ses choix saphiques. Mais je m’égare.



« Merci, Lucie, d’avoir fait un faux pas qui m’a tiré de la morosité pingre suisse », pensais-je avec une pensée tendre à l’objet de mon ex-amour.


Je passe l’époque qui nous sépare du retour de Mike et Lucie, même si quand je rentrais, je sentais toujours les effluves saphiques qui me chatouillaient les narines. Enfin, je le prenais avec philosophie, Myla étant un peu jeune pour fonder une famille, cela permettait à sa sexualité de s’épanouir sans risque d’être grand-père trop tôt et je m’étais bien habitué à ces deux arômes pas très différents somme toute.




Le retour à la maison des Américains



Je m’étais déjà bien installé dans ma routine, j’avais pu exercer mes talents déjà sur deux ouvrages d’art qui présentaient des signes de vieillesse avancée et j’avais estimé qu’il fallait les renouveler dans les trois ans qui venaient, ce qui évidemment donnait un peu d’eau au moulin à l’entreprise de Daisy, même si elle n’envoyait pratiquement rien à part quelques tantièmes en tant qu’actionnaire majoritaire. Elle s’empressa de me remercier, comme si elle avait besoin de cette excuse et pendant le feu de l’action elle me fit remarquer :



À venir

La visite de l’Amérique profonde, le midelwest puis le Far West



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Notes :


(1) En fait, nous nous connaissions depuis l’été de l’année passée au cours d’un stage Erasmus au nord du cercle polaire et elle était venue me faire une visite cinq jours avant l’invasion de son pays par les troupes du pacte de Varsovie.


(2) La Revue du vin de France

• S’initier au vin

• Autour du vin en Suisse, les vignerons de Champagne vont devoir renommer leur appellation

Par La rédaction de larvf.com


Publié le 20/04/2021 à 12 : 03


Le village de Champagne, dans le canton de Vaud, comprend 28 hectares de vignes.


La justice suisse donne raison au Comité interprofessionnel des vins de Champagne en refusant au village viticole de Champagne, situé dans le canton de Vaud, d’utiliser l’appellation « Commune de Champagne ».


Le petit village suisse de Champagne n’a pas le droit d’utiliser l’appellation « commune de Champagne » pour ses vins, a décidé la justice suisse samedi 17 avril, donnant raison aux producteurs français de Champagne, d’après une information de l’agence de presse ATS.

Après des années de combat pour défendre l’utilisation de son nom, la petite commune du canton de Vaud aux 28 hectares de vignes près du lac de Neuchâtel (ouest de la Suisse), avait obtenu le 13 janvier dernier du Conseil d’État (gouvernement) du canton, la création d’une appellation d’origine contrôlée (AOC) baptisée « Commune de champagne ».

Bouteille vaudoise

Pour justifier sa décision, le Conseil d’État jugeait qu’il n’y avait « pas de risque que le public croie qu’un vin blanc tranquille, vendu dans une bouteille vaudoise étiquetée ’Commune de Champagne’ et ’Vin Suisse’, puisse être un vin mousseux de la région viticole de Champagne (France) ».


Mais le puissant comité interprofessionnel des vins de Champagne, qui défend les producteurs français de Champagne (plus de 34 000 hectares de vignes), ne l’a pas entendu de cette oreille et a déposé un recours demandant l’annulation de cette nouvelle appellation, considérant qu’elle nuisait à ses intérêts.

Dans un arrêt du 1er avril rendu public par la presse locale et l’agence de presse suisse ATS, la cour constitutionnelle du canton de Vaud a donné raison aux Français, jugeant que la création de l’AOC par le gouvernement local était contraire aux accords bilatéraux entre la Suisse et l’Union européenne.

NDLR ils pourront toujours l’appeler « Vin de l’injustice helvetico-champagnoise » ou vin du pot de terre cassé par le pot de fer. Il semble que Poutine n’a pas eu ce problème avec les champagnes russes.


(3) Jacuzzi ne pas confondre avec la kalachnikov israélienne Uzi qui est utilisée par Jacques


(4) Cette expression fait référence au débarquement des troupes de Agathocle de Syracuse, en Afrique du Nord, vers le IVe siècle avant Jésus-Christ. Lors de son arrivée en Afrique, il fit brûler tous ses navires, pour ne pas qu’il y ait de retour précoce. De ce fait, les « vaisseaux » font donc allusion aux bateaux, et « brûler » désigne la volonté de ne pas revenir en arrière. On prête aussi cette intention à Guillaume le Conquérant lors de la conquête d’Angleterre.


(5) Il faut dire qu’internet n’existait pas à l’époque et qu’on venait juste de passer à l’échelon supérieur de travailler sur des cartes perforées. On pouvait avoir un terminal par institut, lié au centre de calcul, si je me souviens bien, du style télétype.