n° 20416 | Fiche technique | 20229 caractères | 20229 3580 Temps de lecture estimé : 15 mn |
07/08/21 |
Résumé: Le lendemain soir de l’orgie, les self-invités continuent, alors à minuit alors qu’ils sont sortis pour la bamboula, je ferme la porte de la maison à clé en les priant de trouver ailleurs pour se loger. Le matin… | ||||
Critères: #consolation #vengeance fh fhhh cocus grossexe collection humilié(e) dispute cunnilingu | ||||
Auteur : Vopicek Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Sérafin Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent :
Orphelin de mes parents, je suis en couple avec une gentille fille pas trop farouche. Suite à l’invitation que ma belle a faite à des amis, je me retrouve cocu comme pas un, assistant impuissant à sa déchéance et à ma honte.
Protagonistes :
Séraphin – étudiant à l’École polytechnique Fédérale de Lausanne, année du Master
Viviane – compagne de Séraphin.
Jérôme – son oncle, footballeur au FC Sion, deux ans plus âgés de Séraphin
Balou – collègue de Jérôme, footballeur originaire de Côte d’Ivoire
Bastien – instructeur de skis
Liliane – compagne de Jérôme, diplômée MBA, gérante dans un office immobilier, de l’âge de Séraphin, provisoirement séparée de Jérôme.
Épisode actuel :
Le lendemain soir de l’orgie, les self-invités continuent, alors, à minuit, alors qu’ils sont sortis pour la bamboula, je ferme la porte de la maison à clé en les priant de trouver ailleurs pour se loger. Le matin, alors que je rentre de la boulangerie, je croise Liliane sur le pas de porte, on s’éloigne pour discuter et elle me propose d’être l’outil de ma vengeance et ce dernier chapitre en est le déroulement.
La suite du calvaire
Dans mon lit, je suis en train de bouillir, mais tout d’un coup, je me dis que je vais leur casser leur plaisir et je fais semblant de commencer à me réveiller, ce qui entraîne des mouvements un peu désordonnés dans le lit d’à côté et une fuite vers la cuisine.
J’appelle Viviane :
C’est à ce moment-là que Jérôme propose de sortir pour prendre l’air et faire quelques courses. Je refuse de me joindre à eux, prétextant mon mal de tête. Sitôt mes lascars partis, je sors une mini-caméra que j’ai utilisée lors de travaux pratiques et que j’utiliserai encore par la suite. Elle est munie d’un déclencheur automatique quand on passe dans une certaine zone, bien pratique pour les prises de films animaliers, une autre de mes passions.
Ensuite, je ressors à mon tour de mon mazot et je vais dans le bar en face, et d'où on peut voir qui entre et sort dans mon mazot.
Quelque temps plus tard, je vois mes « invités » qui reviennent au logis, tout guillerets. Je reste tapi dans le bar en attendant la suite des événements.
Après une heure d’attente, je rentre et là à nouveau grand chambardement, c’est un peu la bousculade à la chambre de bain et l’ouverture des fenêtres pour changer l’air. Cela ne sent pas la raclette.
Une fois mon ex-chérie disparue avec ses trois acolytes alcooliques, je ferme la porte et mets la sécurité.
Je n’ai pas envie de les revoir à court terme. Je rembobine ma caméra et assiste à ce qui s’est passé pendant mon absence, c’est édifiant.
La porte n’étant pas encore fermée que Balou prend ma chérie et la couche sur le lit, lui enlève son slip et présente son monstre à l’entrée familiale1. Bel objet, comme un gros gode en bois d’ébène.
Le voilà, pioche en avant qui investit le terrain de ma chérie. Elle décolle au quart de tour, et c’est parti pour un concert de trémolos que tout merle qui se respecte prendrait comme modèle. Bien que la caméra n’offre qu’un angle de vision réduit, on voit le plaisir monter dans le visage de Viviane. D’un dernier coup de reins, Balou vide ses burnes au grand plaisir de Viviane, ma chérie, qui en fait ne l’est plus du tout.
Sans transition, comme dirait PPDA, Bastien la tourne et commence à lui lécher l’anus pour un peu l’assouplir. Sans trop attendre, il plante son dard dans le cul pendant que Balou masse l’asticot de Viviane. À nouveau, un nouvel orgasme se prépare, mais pour compléter le tableau, voilà que ce cher Jérôme - mon oncle plus du tout apprécié - lui met la bite dans la bouche.
Je me ressaisis
C’est à ce moment-là que j’ai mis la clé dans la porte, c’est un spectacle magnifique de voir la panique des personnages à mon arrivée. Toujours tranquille, je ne montre rien avant de voir la vidéo, mais maintenant, je vais leur faire voir un chien de ma chienne.
À minuit, ils ne sont toujours pas rentrés et je placarde sur la porte :
« Il vous faut trouver un autre endroit, j’ai envie de dormir cette nuit tranquillement. La porte est fermée et condamnée. »
À trois heures du matin, grand tapage contre la porte, je ne réagis pas… Qu’ils aillent se les geler ailleurs.
Le lendemain matin, je retrouve Viviane seule et transie sur le pas de porte, les trois autres ont disparu et pris le premier bus pour Sion.
Sur ces entrefaites arrive ma « tante » Liliane, c’est-à-dire la « copine » de Jérôme qui vient me souhaiter la bonne année.
Je les laisse un bon moment pour papoter, il faudra que je voie et surtout que j'entende ce qu’elles vont se dire. Heureusement que j’ai remonté la caméra et l'ai mise en marche ce matin avec une nouvelle carte.
Me voilà de retour et je vois que Viviane a les yeux un peu rouges… Probablement que Liliane lui a fait la morale. Les laissant dans la cuisine, finissant de papoter avec les croissants que j’ai amenés, je fais un petit détour par la chambre pour récupérer ma caméra et la planquer dans mes affaires, puis je me joins à elles pour le petit déjeuner. Finalement, Liliane propose que Viviane se repose un peu, elle a vraiment mauvaise mine et a l’air d’une déterrée.
Nous laissons Viviane prendre un bain brûlant et puis dormir et de ce fait récupérer un peu.
Sur ces bonnes paroles, on rentre à la maison et Liliane est toujours endormie. Je demande à Liliane si je peux m’isoler un moment, il faut que je visionne un sujet pour mes études, ce ne sera pas long.
Je sors ma caméra et rembobine la discussion des deux filles.
La lecture de cet enregistrement m’apportait un éclairage nouveau sur les intentions de ces deux garces. Mais j’aime bien Liliane et je suis très curieux de voir le développement. C’est toujours très agréable de se laisser séduire devant sa promise qui a les lèvres closes. Effectivement, la vengeance doit se déguster à froid.
Le soir arrivant, Liliane propose qu’on sorte tous les trois pour continuer la fête.
On va casser la croûte à l’auberge du Chalet, chez Bonvin2, puis on se dirige vers un bar pour s’amuser un peu, là, je danse tour à tour avec mes deux amazones, mais plus avec Liliane, Viviane étant un peu fatiguée par ses excès, ce qu’elle ne dit pas, évidement. Pendant que je danse avec Liliane, elle met à exécution son plan et me chauffe comme pas possible… je ne suis vraiment pas insensible. Parfois, elle me roule des pelles qui sont bien agréables et je vois Viviane rougir pour mon plus grand plaisir.
Je comprends mieux maintenant son fameux plan, me faire passer pour coupable de liaisons extra-conjugales pour égaliser les torts, mais cela ne me gêne pas et je demande à voir et surtout faire subir à Viviane une nuit comme j’ai passé l’avant-dernière nuit.
On rentre à la maison et Viviane va se mettre au lit, disant qu’elle est crevée, avec Liliane on reste un peu éveillés pour flirter un peu en attendant que son souffle se tranquillise.
Je lui caresse un peu les seins sur sa chemise.
Doucement, sans faire trop de bruit, les deux se dirigent vers le lit prévu pour Liliane. Discrètement, ils se glissent sous les draps et continuent à se faire des papouilles. Finalement, Séraphin s’approche du sexe de Liliane et commence à lécher d’abord son pistil qu’elle a assez développé puis il l’aspire en le développant, ce qui entraîne des soupirs de plaisir chez Liliane.
Là, un flot de cyprine m’envahit les lèvres et la bouche, je bande comme un cerf en avalant ce délicieux breuvage. Je sens aussi la crème qui commence à prendre, mais j’aimerais bien la mettre plutôt dans sa grotte d’amour.
Liliane change de sens et me met sur le dos en m’enjambant.
C’est ainsi que la queue tendue comme un arc de Mongol pointant vers le ciel, je reçois l’offrande du corps de Liliane qui vient s’empaler sur ma verge.
Elle commence à me chevaucher dans une cavalcade fabuleuse, son odeur de femelle en chaleur commence à envahir la pièce, si Viviane n’est pas endormie, elle doit déguster du point de vue olfactif, auditif. Liliane est un véritable volcan, ponctuant chaque pénétration de soupirs ou d’injonctions sexuelles plus ordurières les unes que les autres.
Finalement, elle explose dans un orgasme dantesque, un vrai tsunami sexuel. Je n’ai jamais connu ceci, je ne pensais pas pouvoir faire jouir si bien une femme et chose miraculeuse, je ne suis pas parti dans un orgasme et reste dur dans sa vulve.
Elle se penche sur ma gaule bien dure et commence à me sucer avec application, sa langue chatouillant mon frein et ses amygdales caressant le bout de mon gland. On ne tient pas très longtemps à ce régime, surtout qu’elle ajoute une petite touche en me caressant le trou du cul. Un peu anxieux, je lui dis :
Après avoir bien vidé ma citerne, elle remonte amoureusement pour me coller une pelle langoureuse et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
En me réveillant le matin, j’entends dans la cuisine une discussion animée.
À ce moment-là, je rentre dans la cuisine et les conversations se tarissent.
Le lendemain, j’ai reçu un coup de téléphone de Constantin3, patron du FC Sion, m’interpellant avec son accent valaisan inimitable.
Mais je leur envoie du réconfort, il y a mon ex qui va leur servir de garde-malade. Elle leur est très dévouée.
C’est ainsi que se termine cette histoire… Juste pour démontrer que les grosses queues ne sont pas toujours des arguments marketing suffisants et que ceux qui les possèdent ont tendance à négliger des accotés pourtant indispensables. C’est comme dans les magasins, certain(e)s regardent plus l’emballage que ce qu’il y a dedans, ou plus la carrosserie que le moteur.
Comme disait mère-grand : « Mieux vaut une petite qui frétille qu’une grosse qui roupille. »
Certains critiques trouvaient invraisemblable ce manque de réaction primaire dans le premier tome. Il y a deux raisons. Tout d’abord, à 1 contre 3, l’issue pouvait être assez désagréable, et l’autre raison : pourquoi prendre des risques pour une traîtresse, sans oublier que la vengeance est un plat qui se manque froid si l'on veut qu’elle soit à la hauteur.
Notes en fin :
1 Familiale est un bien grand mot pour une maîtresse infidèle.
2 Un copain d’école à l’Internat de Champittet à Lausanne
3 Constantin, en parallèle de sa passion pour le football, suit un apprentissage de dessinateur en bâtiment. À 21 ans, il ouvre son bureau d’architecture : Christian Constantin SA propose des projets dans l’immobilier à but privé et commercial.
Il prend la présidence du FC Sion de 1991 à 1997. Durant cette période, le club empoche un titre de champion et trois coupes suisses. En décembre 1997, il quitte le FC Sion, abandonnant le club en laissant des arriérés de dettes à concurrence de 16 millions de francs suisses.
Constantin reprend la direction du club en 2003 après un intermède peu fructueux qui voit se succéder plusieurs investisseurs à la tête de l’administration. En 2006, le club valaisan devient le premier club de deuxième division à décrocher la Coupe de Suisse. L’équipe célèbre également une promotion dans l’élite. En 2015 il remporte sa treizième Coupe de Suisse, la septième sous sa direction.
Christian Constantin est très critiqué pour sa gestion et son habitude à renvoyer un très grand nombre d’entraîneurs.
Il est aussi l’instigateur et le principal responsable de la candidature de Sion aux Jeux olympiques de 2026, avant de se retirer à la suite de ses démêlés après une affaire l’opposant à Rolf Fringer. Ref Wikipédia