n° 20438 | Fiche technique | 21262 caractères | 21262Temps de lecture estimé : 12 mn | 21/08/21 |
Résumé: Une soirée entre collègues qui dérape en duo. | ||||
Critères: ff extracon collègues caférestau caresses cunnilingu confession -lesbos | ||||
Auteur : Lesbo Lover (Quinquagénaire coquin) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : À jamais la première Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Le restaurant est sympa, mais bruyant, surtout depuis que les filles ont décidé de parler de cul, ce qui me choque un peu de la part de collègues habituellement discrètes.
Cécile est en train de décrire le sexe de son mari sans aucune pudeur, pour la plus grande joie de Vero et de Christelle mortes de rire en l’écoutant vanter la taille de son engin.
Et elles rient de plus belle…
Légèrement gênée par ce type de confidences, je souris machinalement pour ne pas paraître trop décalée, mais je ne suis pas dans le même trip qu’elles. Mariée depuis vingt-six ans au seul homme de ma vie, je me vois mal parler de l’unique pénis qui m’a pénétrée, surtout à des femmes aux nombreuses expériences supposées. Je risquerais d’être la risée du service pour des mois à venir !
La seule du groupe qui reste aussi discrète est Isabelle, assise en face de moi. « Discrète » pourrait être son deuxième prénom tant je sais peu de choses sur elle à part son âge, cinquante et un ans, et sa situation familiale, divorcée et récente grand-mère.
Nos regards se croisent avec un sourire complice, confirmant ainsi que nous sommes a priori sur la même longueur d’onde.
Un instant ailleurs, je finis à peine mon verre qu’Isabelle me ressert malgré ma dénégation.
Surprise par cette remarque inattendue, je ne peux que la laisser remplir mon verre tandis que je la regarde différemment.
Assurément, cette quinquagénaire brune a du charme et l’a mis ce soir en valeur avec une coiffure simple et un chemisier fluide légèrement décolleté découvrant à peine une poitrine ronde.
Ses yeux brillent presque malicieusement et je ressens une drôle de sensation m’envahir. Hétéro à 100 %, j’ai déjà senti des regards féminins sur ma silhouette, mais sans avoir été troublée comme je le suis furtivement à cet instant.
L’alcool aidant, je me laisse doucement envahir par une torpeur agréable et ne fais plus cas du concours de bites qui se déroule à ma gauche pour bavarder uniquement avec Isabelle qui, peu à peu, me charme… Elle dévoile un pan méconnu de sa personnalité jusqu’alors, lui donnant un éclat nouveau comme si la chenille devenait papillon.
Je l’écoute, lui souris, la dévisage… et bois encore du vin, si bien que je m’aperçois bien plus tard que nos collègues sont allées danser dans la salle dédiée un peu à l’écart.
Isabelle me le fait remarquer en riant.
Je pouffe comme une ado, moi-même étonnée par la vulgarité de mes propos.
Isabelle me sourit amusée. Son regard brun est rendu brillant par l’alcool, et peut-être par aussi autre chose qui me met soudain presque mal à l’aise.
Je ressens bientôt l’envie brutale de me soustraire à ses yeux en allant aux toilettes, le vin ingurgité validant sans problème cette envie soudaine.
Le serveur m’indique d’un geste le sous-sol que je rejoins par un escalier lambrissé du meilleur goût.
Il me faut bien cinq minutes pour vider ma vessie qui semble avoir doublé sa contenance sous l’effet de l’alcool !
Je sursaute en sortant de la cabine surprise de trouver Isabelle devant le lavabo.
Elle me laisse la place, mais reste dans mon dos, provoquant en moi une drôle de sensation.
Elle me sourit dans la glace, restant silencieuse tandis que je commence à me laver les mains.
Surprise, je me contente d’un sourire comme réponse me sentant rougir comme une ado d’autant que je sens ses mains se poser sur ma jupe au niveau des hanches.
Je n’ai qu’un geste à faire pour me dégager, mais je ne le fais pas, à la fois stupéfaite par son audace et troublée par la chaleur que je ressens à ce contact nouveau.
Je frémis malgré la douceur de ses paumes fondant sous son regard qui m’hypnotise…
Elle me sourit, sûre de son charme, restant immobile comme un chat observant une souris.
Un moment d’éternité durant lequel elle pourrait faire ce qu’elle veut de moi, mais ne tente rien de plus, me donnant ainsi l’occasion d’échapper à son emprise débutante.
Ma voix est presque rauque, trahissant un état que ma collègue ne manque pas de remarquer, mais dont elle ne tire aucun avantage me laissant passer un sourire amusé aux lèvres.
Cette parole résonne comme une promesse, et c’est le cœur battant que je me rassois à table, faisant mine de m’intéresser aux plaisanteries potaches de mes collègues encore bien excitées.
Le retour d’Isabelle passe inaperçu, sauf pour moi évidemment, et elle me sourit, naturelle, alors qu’il y a cinq minutes elle semblait prête à me sauter dessus… Je n’y comprends rien.
Je me sens d’un coup électrique en repensant à ses mains posées sur moi avec une aisance qui semble traduire une certaine expérience…
Aime-t-elle les femmes ? Je ne me suis jamais posé la question jusqu’à ce soir, mais cela reste du domaine du possible tant elle est secrète sur sa vie.
Je la regarde différemment depuis notre contact aux toilettes, la trouvant effectivement séduisante avec ses cheveux tirés en arrière, son maquillage léger et sa bouche ourlée de rose.
Isabelle remarque le regard que je lui porte et sourit, sûre d’elle, tandis que je me tourne brusquement vers le groupe des affolées de la bite qui délirent encore sur les attributs de leurs maris.
Le cœur battant, je me sens ridicule et troublée à la fois : pour la première fois de ma vie, une femme me fait du rentre-dedans et je suis partagée entre curiosité et peur.
J’écoute Véro d’une oreille distraite quand soudain je sens un contact léger sur ma cheville gauche. Je sursaute presque en me tournant aussitôt vers Isabelle, la seule responsable possible de ce geste, qui me sourit, amusée par ma réaction.
Je la regarde, affolée, tandis que ses orteils frôlent ma peau couverte par le nylon de mon collant. La sensation est si troublante que je reste passive, ce que ne manque de remarquer ma perfide collègue qui prolonge le contact entre nos deux pieds.
Il me suffirait de reculer la chaise pour « clore » l’incident, mais je ne le fais pas… Pourquoi ?
J’ai longuement cherché une réponse le lendemain matin sous ma douche sans trouver une explication unique. L’alcool ? l’absence de mon mari depuis trois semaines ? ma soumission naturelle ?
Un peu de tout, je pense.
Pour le moment, son pied est remonté sur mon mollet que finalement je lui offre, avançant un peu la jambe dans sa direction.
Elle a gagné, elle le sait et me considère désormais comme sa proie. Le corps tendu, je me laisse faire comme souvent avec mon mari, mais pour la première fois avec une femme. Et c’est très agréable…
Seins tendus et sexe moite sous ma lingerie, je me retiens de gémir sous l’assaut clandestin de son pied.
Bouche entrouverte et yeux brillants, quiconque de lucide remarquerait aussitôt mon trouble, mais heureusement mes collègues de gauche sont trop occupées pour voir quoi que ce soit et encore moins ce que la table cache comme secret.
Cette fois je m’offre totalement, avancée au maximum comme dans un accord tacite avec Isa qui prend un malin plaisir à ne pas remonter plus haut sur le mollet frôlant et caressant ma peau gainée avec une douceur exaspérante.
La torture de cette attention inachevée dure jusqu’au signal du départ de restaurant donné par la bande d’excitées qui veulent aller dans un pub pour finir la soirée.
On se fait gentiment traiter de vieilles avant de les quitter sur le trottoir pour nous diriger vers le parking tout proche.
Nos talons résonnent aussi fort que mon cœur dans ma poitrine dans l’attente du nouvel assaut d’Isabelle, car elle va forcément tenter un truc après notre jeu au restaurant.
Et je n’attends pas longtemps pour comprendre que ma vie va forcément être différente après cette soirée.
Sitôt à l’abri dans le parking, Isa m’enlace pour m’embrasser sans crier gare. Je gémis au contact de ses lèvres sur les miennes, ne résistant pas longtemps avant de lui offrir ma bouche déjà consentante.
Son baiser est aussi excitant que son pied il y a moins d’une heure et je me laisse aller avec passion, mêlant ma langue à la sienne dans un ballet désordonné, mais terriblement excitant.
Ma nouvelle meilleure amie gémit également plaquant sa poitrine contre la mienne me collant au mur avec fermeté pour ne pas me laisser m’échapper, ce dont je n’ai en fait aucune envie.
Offerte à son baiser, je le suis bientôt à sa main qui se glisse entre nous pour atteindre le bas de ma jupe.
Trop excitée, je ne proteste pas lorsqu’elle se glisse sous le tissu pour remonter lentement vers ma culotte dont l’état ne va bientôt plus lui échapper.
Ses doigts me brûlent à travers le nylon et le coton qui protègent encore mon sexe trempé comme jamais.
Je lâche un cri lorsqu’elle frôle enfin ma culotte sage de femme mariée, fidèle jusqu’à ce soir et qui se fait trousser comme une pute dans un garage de banlieue.
Sa voix douce contraste avec la bestialité de son assaut que j’aimerais plus complet, mais sa main reste immobile sur mon pubis vibrant de désir.
Sa bouche est maintenant dans mon cou, déclenchant en moi des ondes de chaleur qui envahissent par vagues mon corps trop longtemps négligé par mon époux.
Les yeux fermés, je me laisse faire ce qui plaît à Isabelle qui a manifestement un plan pour la fin de soirée.
Pas habituée à ce type de proposition, je suis saisie d’effroi prenant conscience de ce que nous sommes en train de faire.
Je vais protester, mais elle m’embrasse à nouveau à pleine bouche pour mon plus grand plaisir d’autant que sa main presse ma vulve à travers les tissus chauds comme la braise.
Je ne peux pas résister et arrive à lui dire entre deux baisers.
Satisfaite par ma réponse, Isa m’embrasse à nouveau avant de m’entraîner vers nos véhicules garés non loin.
Il m’aurait été facile de lui fausser compagnie sur le trajet en prenant la direction de mon domicile conjugal, certes vide en l’absence de mon mari, mais symbole d’une vie dite normale.
Mais je n’en fais rien suivant la voiture Isa l’esprit bouillonnant et le corps palpitant.
Malgré tout, je ne suis pas très à l’aise lorsque je la rejoins chez elle, consciente du pas supplémentaire que je viens de franchir en passant sa porte avec l’impression de sentir le sexe tant ma culotte porte encore les traces de notre étreinte dans le parking.
Je suis surprise par sa question si inattendue que je bredouille un « oui » et la suis dans la cuisine de son appartement moderne.
Debout, je bois sous le regard brillant d’Isabelle qui m’observe comme si c’était la première fois qu’elle me voyait me mettant presque mal à l’aise.
Soudain j’ai envie de fuir, honteuse de trahir mon mari pourtant infidèle dans le passé, et dépose le verre avant de faire mine de partir, mais Isa me saisit doucement le poignet pour me retenir.
Sa voix est aussi douce que sa main me faisant hésiter un instant dont elle profite pour m’attirer vers elle pour un baiser si sensuel que j’oublie aussitôt mon idée première. Sa bouche me déguste alors qu’elle me dévorait il y a peu, ses doigts me frôlent alors qu’ils me palpaient et son corps est doux alors qu’il me semblait rude.
Et le résultat est le même que dans le parking : je fonds rapidement dans ses bras, la laissant défaire un à un les boutons de mon chemisier, n’abandonnant pas ma bouche pour autant. Je gémis lorsque ses doigts frôlent la dentelle de mon soutien-gorge sans toucher à mes pointes qui ne demandent pourtant que cela. Isa prend son temps, ôtant mon chemisier pour bientôt s’attaquer à ma jupe. Un sursaut de pudeur me rappelle que mon bas est loin d’être coordonné et je regrette subitement d’avoir choisi le confort plutôt que la sensualité, retenant sa main un instant.
Prenant cela pour de la timidité, inattendue, mais touchante, elle accède à ma demande, m’entraînant alors vers sa chambre sans que je ne proteste la suivant en soutien-gorge et jupe qui masque encore mon horrible culotte qui me fait honte à cet instant. La pénombre de la pièce me rassure un peu sur la relative clandestinité qu’elle m’offre, tandis qu’Isabelle m’allonge sur son lit reprenant ses caresses, là où elle les avait laissées.
Cette fois, j’ose enfin toucher ce corps qui se colle au mien caressant timidement son dos pour frôler ses fesses musclées que je sens à travers le tissu.
Isa gémit, sans doute satisfaite par ma relative audace. Bien loin de la sienne qui lui fait libérer du soutien-gorge mes pointes dressées que bientôt elle frôle du bout de son ongle.
Ma réplique n’est pas originale, mais sincère !
Je ne relève pas le terme familier, trop troublée par ses caresses sur mes seins tendus de désir qu’elle libère totalement, jetant au loin leur carcan inutile.
Je me cambre lorsque sa bouche remplace sa main, caressant maladroitement son chemisier que je fais juste sortir de son pantalon fluide accédant ainsi à sa peau douce.
Je gémis cette fois sans discontinuer dépassée par les ondes de plaisir que sa bouche déclenche en moi d’autant que sa main se glisse sous ma jupe relevée par notre étreinte.
Je me crispe un instant lorsqu’elle frôle à nouveau mon collant dont elle me débarrasse adroitement entraînant dans le même élan le reste de mes vêtements.
Nue entre les bras d’une femme qui s’est mise dans la même tenue que moi, je n’éprouve plus aucune gêne, trop excitée par ces préliminaires si affolants que j’en oublie mon corps marqué par deux grossesses avec des cuisses un peu lourdes et des seins moins fermes qu’à vingt ans.
Nos deux poitrines font enfin connaissance en se frôlant sensuellement, faisant frémir nos pointes dressées et sensibles.
Le contact est excitant, d’autant que ses mains reprennent possession de mon corps moite de désir.
Surprise par cet aveu, je la laisse poursuivre, me contentant de caresser le creux de ses reins.
Elle sourit, mutine, ses yeux emplis d’une douceur propice aux confidences.
Je capte son regard brillant, juste avant que sa bouche se dépose sur la mienne avec une douceur infinie pour me déguster longuement avant de murmurer.
Et c’est vrai que ce baiser sensuel est terrible !
Mon cou est sensible, mais moins que mon sein qui se durcit au premier contact, témoin d’une envie débordante comme celle qui envahit mon sexe à nouveau.
Je mouille comme jamais ce que ses doigts ne manquent pas de remarquer lorsqu’ils en prennent enfin possession.
Je lâche prise, ouvrant les cuisses pour mieux accueillir ma partenaire qui découvre mon corps petit à petit, léchant mes pointes avant de les mordiller ou de les aspirer.
Totalement impudique je me moque du spectacle que j’offre à Isa qui semble apprécier, si j’en crois ses gémissements qui font écho aux miens, même si j’ose peu de caresses sur son corps finalement plus ferme que le mien.
Sa bouche glisse maintenant inexorablement en direction de mon pubis maintenu en fusion par sa main experte me rendant soudain nerveuse.
Je crois un instant qu’Isa va obtempérer, mais elle reprend vite son trajet inéluctable vers ma vulve impatiente et craintive.
Car oui, j’ai peur ! Peur de trop aimer ce cunnilingus qui se profile, moi qui jouis à chaque fois que Marc me lèche avec avidité.
Mais cette fois je sens que cela va être différent. Forcément. Les lèvres qui frôlent maintenant ma toison bien taillée sont plus douces, plus légères, mais aussi plus déterminées.
Je respire plus vite, crispe mes mains sur les draps froissés et attends l’impact avec fébrilité, les yeux rivés sur mon entrecuisse où je vois une coiffure féminine en lieu et place de la calvitie débutante habituelle de mon mari !
Je lâche un cri au premier contact de sa langue pointue avec mes lèvres gonflées qui vont être dégustées comme jamais.
Les minutes qui suivent sont fantastiques, même si j’ai du mal à me rappeler de tout, tant j’étais sur une autre planète, celle du plaisir inouï qui me fit rapidement perdre pied.
Isabelle a joué avec moi, telle une virtuose avec son instrument me faisant découvrir des caresses inédites, mais d’autant plus efficaces que réalisées sans retenue ni pudeur,
Mon premier orgasme arrive rapidement, sa bouche collée à ma vulve gonflée et ses mains agrippées à mes pointes de seins dressées.
La bouche ouverte et les muscles tétanisés, j’ai crié, totalement dépassée par la puissance de mon plaisir.
Le souffle court, je reprends mes esprits bien plus tard, sortant brièvement d’une somnolence post-coïtale.
Allongée à mes côtés, Isa me dévore des yeux avec une telle intensité que les mots me manquent.
Elle rit amusée, poursuivant dans le même registre.
Presque gênée d’avoir été aussi passive, je commence à m’excuser.
Je n’ose refuser une telle invitation à rester dormir, car je n’ai ni la force ni l’envie de quitter le lit de ma première maîtresse qui m’embrasse à nouveau, m’offrant ainsi le goût de mon plaisir sur ses lèvres douces.
À nouveau, ce petit surnom qui ne me choque pas, même si c’est celui dont me gratifie parfois mon mari après une séance de sexe.
À suivre…