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n° 20450Fiche technique16322 caractères16322
Temps de lecture estimé : 9 mn
28/08/21
Résumé:  Après une première étreinte, le week-end se poursuit pour les deux amantes.
Critères:  ff extracon collègues ffontaine intermast cunnilingu anulingus -lesbos
Auteur : Lesbo Lover      Envoi mini-message

Série : À jamais la première

Chapitre 02 / 03
Samedi

Résumé de l’épisode précédent :

Une femme mariée hétérosexuelle se laisse séduire par Isabelle une collègue divorcée qui peu à peu l’amène à se lâcher.







Isabelle entre nue dans la chambre au moment où je me réveille provoquant un triple choc en moi.


« cette femme est nue »

« cette femme nue est superbe. »

« cette superbe femme nue est ma maîtresse. »


Je suis subjuguée par son corps quasi parfait de quinquagénaire probablement sportive avec ses cuisses fuselées, son ventre quasi plat et ses seins lourds.



Isa dépose rapidement un baiser tendre sur mes lèvres avant de repartir aussitôt à la salle de bain en m’offrant la vue de ses fesses à peine marquées par l’outrage du temps.



Elle rit, mais je prends aussitôt conscience de mes actes récents me sentant honteuse d’un coup avec un sentiment de culpabilité qu’elle ne peut heureusement pas détecter.



Je reste sous les draps tandis qu’elle est de retour au pied du lit magnifique dans son jeans moulant et son pull en v.



Cette femme est une tornade !

Elle quitte la chambre sans autre attention pour moi s’arrêtant cependant une dernière fois sur le pas de la porte.



Elle rit, contente de son effet, me laissant seule dans son appartement comme si nous étions un couple établi.

Je suis interdite par tant d’autorité alors qu’hier au bureau nous partagions à peine un café ! Mais les bribes de souvenirs de cette nuit me redonnent le sourire et l’énergie pour filer sous la douche.


C’est donc vêtue d’un shorty de dentelle blanche et d’un soutien-gorge coordonné qui ne m’appartiennent pas que je suis rentrée à mon domicile déserté par mon mari en déplacement en Asie et par mes filles indépendantes depuis longtemps.

Un rapide coup d’œil au répondeur me confirme que je ne manque à personne ne me faisant du coup pas regretter ma nuit de folie.

Je souris à cette pensée en quittant les vêtements d’hier qui portent encore le parfum d’Isa qui restera à jamais la première.

J’opte pour une robe assez ample puis me prépare une salade pour déjeuner sur le pouce l’esprit trop perturbé pour entamer une tâche nécessitant de la concentration.


Finalement, Isa n’attend pas longtemps avant de m’envoyer un SMS qui accélère aussitôt mon pouls.


Je pars de chez Alice. Envie de me voir ?


Étonnée par la brièveté du repas je réponds rapidement.


Of course


Le message à peine envoyé elle m’appelle en live.



Je suis donc sa puce… Ce surnom me fait fondre aussitôt.



Isabelle raccroche dès qu’elle a mon adresse me laissant, j’espère, un peu de temps pour checker la maison à la recherche d’objets gênants.

Je ne vois rien de spécial cachant juste une photo de Marc et moi enlacés, la trouvant peu de circonstance.


Isa est dans ma cuisine, rayonnante et bavarde, naturellement plus à l’aise que moi. C’est la première fois que je reçois une femme chez moi dans un autre but que prendre le thé !



Je ris me laissant attirer dans ses bras pour un baiser sensuel attisé par ses mains sur mon corps. Je gémis déjà tant les sensations sont affolantes et nous titubons légèrement au fil de notre étreinte.

Je caresse enfin ses courbes qui m’ont éblouie ce matin au réveil appréciant ses fesses moulées par le jeans.

Isa prend une petite voix presque enfantine :



Elle reprend ma bouche satisfaite par ma réponse glissant sa main sous ma robe pour caresser mes fesses à travers le shorty.

Presque surprise elle me regarde les yeux brillants.



Cette promesse résonne bizarrement comme une alerte provoquant en moi un raidissement qu’elle ne manque pas de remarquer si bien qu’elle se recule aussitôt.



Elle sourit devant la spontanéité de ma réponse, mais reste à distance les bras croisés dans une position de refus.

Son regard devient presque sévère me faisant regretter immédiatement mon attitude que je tente de lui faire oublier en lui prenant la main qu’elle me refuse ostensiblement.

Alors je me lance.



Elle acquiesce en silence semblant se radoucir un peu ce qui me rassure.



Je me rapproche à nouveau avec cette fois plus de succès déposant la bouche sur la sienne pour un baiser tendre qu’elle m’offre.

Glissant ma main sous son pull léger je poursuis ma confession sincère.



Je caresse tendrement son ventre plat remontant lentement vers sa poitrine que je frôle bientôt avec tendresse.



De ma main libre, je défais le bouton de son jeans puis devant son consentement tacite je fais glisser la fermeture pour bientôt accéder à ce qui se révélera être un string bien moite.



Lentement, je fais donc glisser son jean le long de ses cuisses fuselées, puis lui ôte son pull pour l’admirer dans sa lingerie de qualité avant de lui prendre la main et de l’entraîner à l’étage.



Pieds nus, nous grimpons les marches pour accéder au palier en direction de la seule porte ouverte qui donne accès à ma chambre.

La chambre conjugale où ma fille cadette a été conçue va être le théâtre d’une communion de nos deux corps.

Isa me retient un instant.



Et je lui prouve debout à ses côtés au pied du lit ôtant rapidement ma robe pour la laisser m’admirer dans son cadeau de dentelle blanche avant de lui prendre la main pour l’entraîner sur les draps clairs.

Cette fois, je prends l’initiative en la chevauchant pour que nos corps se retrouvent et s’imbriquent les yeux dans les yeux.


Le moment est solennel même si je ne vais pas lui faire déclaration… Hier soir, le vin pouvait être une excuse, mais là je suis parfaitement consciente de tous mes gestes comme celui de la débarrasser de son soutien-gorge pour caresser enfin ses lourdes poires. Le contact est doux, troublant puis bientôt excitant quand je sens le bassin d’Isabelle s’animer.


Je découvre les sensations de mes mains sur les seins d’une autre femme appréciant leur douceur tout en testant leur fermeté à la recherche de la caresse idoine. Je tente de calmer mon impatience sentant mon excitation précipiter mes gestes, mais je ne manque pas de gémir lorsque je frôle ses pointes dressées.

Les yeux fermés et le souffle plus rapide Isa se laisse faire se contentant de dégrafer mon soutien-gorge pour accéder sans entrave à mon dos.



Heureuse comme une enfant qui a fait un dessin pour la fête des Mères, je cherche la caresse la plus affolante pour ma nouvelle meilleure amie qui glisse maintenant sa main sous l’élastique de mon shorty frôlant mes larges fesses qui me complexent.

Isabelle les cajole comme jamais elles ne l’ont été, ce qui me rassure sur l’envie qu’elle a de moi si jamais j’en doutais. Reconnaissante, je l’embrasse amoureusement collant ma poitrine à la sienne dans une étreinte passionnée.


Soudain une digue saute en moi. Des mois de frustration sexuelle et affective avaient fait de moi une femme éteinte que les attentions d’Isabelle ont réveillée hier.

Ma bouche dévore la sienne tandis que mes mains caressent ses flancs avec passion. D’abord surprise Isa semble apprécier mon enthousiasme plaquant mes fesses de ses longues mains pour intensifier le contact.


Mais je veux en découvrir davantage abandonnant sa bouche pour glisser doucement vers ses seins que je lèche goulûment les couvrant de salive avant de jouer avec les pointes qui trahissent le désir de ma chérie.

Car oui, c’est ma chérie au moins pour le week-end. Après on verra.


Isa se tortille sous ma bouche pour mon plus grand plaisir en essayant de me mettre nue, ce que je lui permets en lui offrant ma croupe.

Trop occupée à lui lécher les seins, je néglige son sexe brun que j’aperçois sous la dentelle diaphane.

Taquine, elle se met à plat ventre en riant pour m’en cacher la vue avant que je puisse la frôler. Mais dans le même temps, elle m’offre du coup ses fesses décorées par un string du plus bel effet.



Elle rit, me l’offrant davantage dans une invitation si explicite que je ne peux lui résister embrassant ses globes tout en faisant glisser la dentelle odorante.

À quatre pattes sur le lit elle est magnifiquement indécente croupe offerte et seins tombants, me lançant un regard de braise qui finit de me faire perdre pied.


Je découvre enfin le sexe décomplexé bien loin de la missionnaire hebdomadaire !

Isa m’offre son cul alors je l’accepte, embrassant à nouveau ses fesses pour bientôt les écarter

Elle feule, attendant la suite avec impatience. Et la suite me semble évidente malgré mon inexpérience en la matière. J’approche ma bouche de son petit trou. L’odeur est forte, mais le contact est doux, finalement pas désagréable, voire excitant lorsque j’entends Isabelle gémir de plus belle.

Alors je m’applique, prends mon temps en variant les contacts forçant même parfois son anus avec ma langue pointue qui ne semble pas être la première à explorer cette vallée.


Isa se laisse complètement aller, offerte à ma bouche et bientôt à ma main qui caresse avec fébrilité sa vulve trempée si sensible que je sens qu’elle va jouir sous peu.

Alors je la retourne vivement, l’embrasse goulûment pour partager ses effluves anaux puis glisse ma bouche dans le compas de ses cuisses.

Son sexe est brillant de désir ouvert pour recevoir un éventuel hommage phallique, mais c’est ma bouche qui lui rend les honneurs.

Isa lâche un cri rauque, plaque ma tête sur sa vulve puis m’intime :



Et je découvre ENFIN le contact, l’odeur et la saveur d’un sexe féminin. Certes, je connais le goût de ma cyprine recueillie sur la bouche de Marc, mais là c’est forcément différent.

Je gémis à mon tour découvrant le pouvoir de ma langue qui peu à peu affole tellement ma jolie brune que celle-ci abandonne les caresses qu’elle me prodiguait pour se crisper au drap dans l’attente d’un orgasme dévastateur.


Ma bouche me fait mal à force de dévorer ses lèvres, d’aspirer son clitoris et de déglutir sa mouille abondante, mais je suis, ou plutôt nous sommes bientôt récompensées.

Une dernière pression sur sa crête hypersensible la fait jouir dans un cri rauque dans de longs jets de mouille qui inondent mon visage et trempent les draps.


Isa retombe sur le lit le souffle court, les yeux fermés et le corps en sueur.

Elle est tout simplement magnifique ! Je l’admire quelques instants avant de me glisser le long de son corps pour un baiser amoureusement sensuel qui me fait frissonner.



Nos seins sont si sensibles que leurs retrouvailles animent aussitôt nos cuisses qui s’emboîtent parfaitement.

Nos mouvements sont naturels animant nos bassins qui bientôt entament une danse si sensuelle que nous gémissons de concert. Les yeux rivés aux siens nous entamons un corps à corps si puissant que le lit grince, que nos peaux claquent et que nos bouches ne peuvent plus retenir nos cris de plaisir.

Je jouis peu avant elle, dévastée par les ondes de plaisir si intenses que je finis en pleurs.

Pleurs de joie, de soulagement ou de frustration, je ne saurais dire, mais Isabelle me prend alors dans ses bras pour cette fois une étreinte plus maternelle que sexuelle.


Plus tard, calmée et blottie contre elle, je ressens le besoin de parler.



Isabelle reste silencieuse me laissant poursuivre en me caressant amoureusement.



Je frissonne sous les baisers plus appuyés de ma maîtresse qui écoute mes confidences en silence.



Je ferme les yeux sous l’effet de l’émotion liée à ces souvenirs douloureux, mais aussi aux caresses qu’Isa me prodigue au fil de mon récit que je considère comme terminé.

Isabelle ne cesse pas ses attentions troublantes brisant seulement le silence pour me faire une promesse.



Elle se détache alors de moi me couvrant de baisers d’abord tendres puis de plus en plus sensuels, sa bouche prenant inexorablement le chemin de mon sexe encore affamé.


Et effectivement, je ne me souviens pas avoir été léchée avant tant d’efficacité sur ce lit !