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Temps de lecture estimé : 18 mn
03/09/21
Résumé:  Garnion part avec Lalith rejoindre le grand temple du Sanctuaire.
Critères:  hsoumis fdomine hgode sf -sf -dominatio
Auteur : Tiberius  (Amateur d’histoire et de littérature)

Série : Chroniques de la servitude

Chapitre 03 / 04
Le temple

Résumé de l’épisode précédent :

Garnion est devenu l’esclave personnel de Lalith.







Chapitre 3 – Le temple


Nous fûmes réveillés par la lumière orangée du soleil levant qui se glissait à travers les volets de la fenêtre de la chambre. Déesse Lalith me fit un sourire mutin en se levant sur un coude. Je contemplai, fasciné, sa nudité et posai une main timide sur ses seins.



Je lui embrassai les pieds, descendis du lit et sortis de la chambre. Je descendis au rez-de-chaussée, pris la direction de la cuisine et y entrai. Deux novices étaient attablées, en train de boire une tasse de café. Comme il se doit, je me mis à genoux et leur embrassai les pieds pour les saluer. Je pris un plateau, y plaçai quelques fruits, un bol de lait chaud, un grand verre de jus de fruits et quelques petits pains sucrés, puis je retournai vers la chambre de ma déesse. Je posai le plateau à côté d’elle sur le lit, puis elle m’ordonna de la servir, bouchée par bouchée. Je devais lui tendre les fruits, son bol, les petits pains tandis qu’elle ne se servait de ses mains que pour se tenir assise sur le lit. J’étais aux anges, elle mangeait, me souriait, indiquait d’un geste ce qu’il fallait que j’apporte à sa bouche gourmande. C’était un moment d’une rare et précieuse intimité où j’étais totalement au service de ma déesse adorée. Lorsqu’elle eut fini de manger, elle me tendit ses pieds pour que je les embrasse et les lèche, ce que je fis avec dévotion.



Elle se leva, puis je la suivis à quatre pattes. Je m’étonnai qu’elle restât nue pour descendre rejoindre les autres femmes qui résidaient dans le manoir. Nous arrivâmes dans la cuisine. Il n’y avait que Lévana, les autres filles avaient vraisemblablement déjà pris leur petit-déjeuner et vaquaient à leurs occupations respectives. Comme il se doit, je me prosternai devant elle et lui embrassai les pieds. Ma déesse demanda à Lévana de couper quelques fruits dans un grand bol, qu’elle posa par terre aux pieds de déesse Lalith, à qui elle servit un café.


Pendant qu’elles conversaient, j’étais là, nu et à quatre pattes aux pieds de ma déesse, mangeant comme un animal domestique, et j’étais heureux, tout en m’étonnant moi-même que cette situation me parût désormais si naturelle. Elles ne me prêtaient aucune attention et, nu à leurs pieds, je me sentais totalement inférieur et soumis. Cette étrange émotion me procurait à mon corps défendant un vif plaisir : en m’humiliant de la sorte, ma déesse me faisait sentir que je lui appartenais corps et âme.


Nous allâmes ensuite à la salle d’eau. Ma déesse m’ordonna de me tenir debout afin, me dit-elle, de mieux exposer ma nudité à la vue de toutes. Un bain fumant avait été préparé par une des novices. Ma déesse et moi étant tous les deux tout nus, nous entrâmes directement dans l’eau tandis que Lévana ôtait sa robe pour nous rejoindre. Nous restâmes dans l’eau quelques minutes, puis ma déesse se mit sur le piédestal pour être lavée. J’admirai à nouveau son corps menu et délicat et je m’avançai pour la laver, désireux de la couvrir de mille caresses.



J’obtempérai, déçu. Lévana commença à savonner les jambes de ma déesse, puis les fesses et le pubis. Chaque partie du corps de déesse Lalith qu’elle savonnait, elle le couvrait au préalable de délicats baisers. J’étais fasciné et mon sexe commença à se dresser devant ce tableau enchanteur. Une fois qu’elle eut fini, Lévana embrassa ma déesse sur la bouche, dans un baiser long et passionné. Puis ma déesse redescendit dans le bassin et plongea la tête sous l’eau pour se rincer.


Lévana m’ordonna de grimper à mon tour sur le piédestal. Je me tenais là, mon sexe orgueilleusement dressé offert à la vue des deux jeunes femmes. Lévana me savonna à mon tour, non sans embrasser chacune des parties de mon corps à laquelle elle prodiguait sa caresse experte. Elle empoigna mon pénis en érection de sa main droite et y déposa trois baisers furtifs, puis me savonna vigoureusement les couilles et le sexe tout en m’adressant un large sourire. Ensuite, elle fit le tour, embrassa mes fesses, puis me demanda de me pencher en avant, ce que je fis, le rouge au front. J’étais encore profondément honteux d’exhiber mon anus, malgré le peu de pudeur qui me restait après quatre jours de nudité permanente.


Ce fut ensuite au tour de Lévana de monter sur le piédestal. Cette fois, nous la savonnâmes tous deux, déesse Lalith et moi. Je me plaçai derrière, embrassai ses jambes, les savonnai, puis ce fut au tour de ses fesses. Elle se pencha en avant, dévoilant son anus et sa vulve à mon regard admiratif. Mû par une subite impulsion, j’y plaçai ma bouche, puis léchai ce petit trou plissé. Nous finîmes de savonner Lévana, elle plongea dans le bassin pour se rincer et nous sortîmes de l’eau. Je séchai les deux jeunes femmes avec de grandes serviettes en tissu éponge pendant qu’elles parlaient et plaisantaient.



Ma déesse pouffa en saisissant mon pénis de la main gauche.



Je m’agenouillai, puis commençai à lécher les pieds de ma déesse, heureux de cette récompense, ainsi que de l’occasion qu’elle m’offrait de lui montrer ma soumission complète à son égard.



Et dire que quatre jours auparavant, j’aurais considéré cette dernière phrase comme une insulte suprême à ma personne ! Je prenais désormais cela comme un éloge et je n’en revenais pas du changement subit de ma personnalité. Mais comment pouvaient-elles m’avoir aussi radicalement transformé ? Avaient-elles à ce point altéré ma vision du monde, ma perception des choses ?


Je ne me sentais pas différent de celui que j’étais auparavant, j’avais toujours, peu ou prou, le même système d’interprétation du monde, les mêmes opinions, la même personnalité. Du moins, je le croyais. Je me souvenais des plaisirs d’antan, les odeurs épicées dans les marchés de Korê, les flâneries dans la capitale, les longues soirées dans les bars, à refaire le monde autour d’un verre, les amitiés, les amourettes de ma vie étudiante, le plaisir d’apprendre, d’acquérir de nouvelles connaissances, l’admiration pour telle ou telles des enseignantes universitaires que j’avais eues, dont certaines étaient des historiennes de renom. Et voilà que j’étais en extase du fait d’être à genoux devant une jeune femme, à lui lécher les pieds, à lui témoigner une soumission absolue, à me sentir son esclave jusqu’au plus profond de mon être !


Était-ce tout simplement parce que j’étais tombé follement amoureux d’elle au premier coup d’œil, ce qui ne faisait par ailleurs pas le moindre doute à mes yeux ? Je l’aimais, c’était une certitude. Ou parce que ma mentalité avait été changée en profondeur ? Par ailleurs, aurais-je pu supporter de telles humiliations dans ma vie d’avant, devant et avec une femme dont j’aurais été amoureux ? Je ne le croyais pas. Et donc, je me trouvais dans l’incapacité de comprendre les raisons pour lesquelles non seulement j’avais accepté cette servitude, mais aussi ce pour quoi j’y prenais un plaisir que je considérais alors comme pervers.


Déesse Lalith me demanda de me lever. Elle s’assit sur un fauteuil devant un miroir, toujours nue, et je peignis soigneusement ses cheveux flamboyants. Après quoi, je mis une touche de parfum sur ses joues. Puis elle me présenta une robe, que je l’aidai à enfiler, puis une délicate chaîne dorée qui rehaussait sa taille. Je me mis ensuite à genoux pour lui mettre des sandales, non sans avoir au préalable embrassé ses pieds avec ferveur une dernière fois. Nous partîmes ensuite au salon, où Lévana et les quatre autres novices étaient présentes. J’étais désormais à nouveau le seul à être entièrement nu parmi ces six jeunes femmes. Mais j’y étais maintenant habitué.


Déesse Lalith m’expliqua que nous allions partir au cœur du Sanctuaire, le Temple, où la passation de pouvoirs allait être effectuée entre la précédente grande prêtresse et elle-même, et que nous allions élire domicile au palais sacerdotal. Je pris congé de chacune des novices, puis de Lévana, en m’agenouillant devant chacune d’entre elles et en lui embrassant les pieds. Ma déesse me présenta ensuite un verre minuscule dans lequel il y avait un liquide de couleur verdâtre.



Elle prit congé de chacune des novices avec de grandes embrassades et quelques pleurs, prit longuement Klora dans ses bras, puis l’embrassa passionnément sur la bouche pendant de longues minutes.



Puis nous partîmes sur le sentier au bout du grand jardin, par ce chaud soleil matinal, la main dans la main. Moi nu, elle habillée dans sa grande robe de prêtresse, élégante et simple à la fois, sa main serrant la mienne, comme deux amoureux en balade. Elle me souriait, elle me parlait, elle semblait heureuse et épanouie et je me sentais fondre d’amour pour elle.



Elle enlaça mon cou, puis m’embrassa sur la bouche avec un sourire mutin.



Elle me prit par la main et nous continuâmes notre chemin. Au bout de quelques minutes, je sentis que mon sexe se dressait.



Abasourdi, je restai coi. Elle poursuivit :



Je devrai donc déambuler à ses côtés, exhibant mon sexe en érection à toutes les femmes du Sanctuaire. J’en étais légèrement inquiet, mais je m’y résignai. De toute façon, j’allais passer deux ans dans ces conditions et, pour le moment, j’étais heureux. J’étais heureux d’être aux côtés de ma déesse, je me sentais bien, nu à ses côtés, même si je craignais un peu le regard des autres.


Nous poursuivîmes notre chemin à travers la forêt et montâmes une légère crête, au bout de laquelle la vue était suffisamment dégagée pour que nous puissions voir l’horizon, l’océan et la plaine côtière en contrebas. Déesse Lalith me montra, à sa droite, une série de bâtiments bas qui formaient un L. Elle m’expliqua qu’il s’agissait de l’école sacerdotale, où elle avait passé les six dernières années de sa vie dans le but de devenir prêtresse.



Elle m’embrassa :



Je répondis passionnément à son baiser, elle me montra ensuite le centre du Sanctuaire, une série de bâtiments de facture très classique, environnés de nombreux parcs et jardins, avec au fond, tournant le dos à l’océan, un temple imposant qui élevait ses colonnes vers le ciel. Il me rappelait le temple central de Korê en légèrement plus petit. On distinguait des silhouettes minuscules qui allaient et venaient dans les parcs et jardins, ainsi qu’entre les bâtiments, très espacés les uns des autres.


Nous descendîmes lentement la colline et commençâmes à croiser des gens. En premier lieu, une prêtresse vêtue d’une robe rouge qui avançait d’un pas décidé, seule. Je baissai les yeux en signe de respect, non sans m’apercevoir qu’elle regardait mon sexe érigé de façon insistante après avoir salué déesse Lalith d’un bref hochement de tête. J’en rougis de honte, puis je me résignai à mon sort : je n’avais de toute façon pas le choix.




Nous arrivâmes dans un grand parc où nous croisâmes encore deux prêtresses habillées de rouge, qui conversaient tranquillement en se promenant. Je fus abasourdi de voir que l’une d’entre elles tenait au bout d’une laisse un esclave à la peau très brune qui la suivait docilement, à quatre pattes et la tête basse, naturellement entièrement nu. Elles dirent bonjour de vive voix à ma déesse et jetèrent un coup d’œil sur mon pénis en érection tout en souriant largement à déesse Lalith, d’un air approbateur. Même l’esclave leva un instant les yeux pour jeter un regard dans notre direction. Je me disais qu’il devait être habitué à ce genre de spectacles. Pour ma part, c’était la première fois que je voyais un autre esclave mâle tout nu depuis mon arrivée au Sanctuaire et je le regardai donc avec curiosité. Sa soumission à sa maîtresse semblait être totale et je me demandais donc depuis combien de temps il vivait au Sanctuaire, quelle avait été sa motivation pour faire le pèlerinage et de postuler pour y devenir un esclave sacré. En tout état de cause, il semblait parfaitement satisfait de son rôle d’esclave soumis.


Nous traversâmes ensuite un grand parc où des dizaines d’esclaves nus étaient occupés à jardiner sous le soleil, à tailler des haies, à transporter des brouettes chargées de déchets végétaux, sous la houlette de femmes portant cette fois des robes vertes. Je remarquai que tous étaient beaux et élancés, chacun à sa manière. Malgré leur nudité et leurs sexes qui se balançaient entre les jambes à chacun de leurs mouvements, il émanait d’eux une grâce et une élégance indéniables, ainsi que, aussi étrange que cela pût paraître, une certaine forme de dignité.



Elle m’embrassa tendrement sur la joue. Je poursuivis :



Nous nous trouvions devant un mur de pierre qui bordait un grand parc. Au-delà du mur, on voyait le toit du grand temple. Il y avait un grand portail ouvert qui donnait accès au parc du temple, devant lequel se tenaient deux gardiennes armées de lances d’apparat et vêtues en tout et pour tout d’un court pagne de tissu vert. Déesse Lalith se dirigea vers l’une d’entre elles d’une démarche altière. Quand nous fûmes arrivés à sa hauteur, je me mis immédiatement à genoux devant la gardienne.



Aussitôt que j’entendis mon nom, je penchai la tête et embrassai les pieds de la gardienne. Celle-ci se mit ensuite à genoux devant ma déesse et dit :



Après quelques minutes d’attente, Lumen se fit relever de sa faction et tendit sa lance à une autre gardienne venue du poste de garde pour la remplacer. Nous la suivîmes dans ce jardin impeccablement taillé, puis nous contournâmes le temple par la droite. Au bout d’un moment, nous entrâmes dans le bâtiment par une petite porte latérale et suivîmes la gardienne dans un couloir jusqu’à une immense double porte au fond. Une prêtresse vêtue de bleu nous ouvrit, puis nous entrâmes dans un salon luxueusement décoré, avec deux fauteuils en cuir noir qui se faisaient face. La porte se referma derrière ma déesse et moi et nous nous retrouvâmes seuls dans le salon.



Je m’agenouillai devant ma déesse, puis elle m’ordonna de lui ôter ses sandales. Je lui embrassai les pieds, puis elle me dit de me relever. Soudain, une petite porte au fond du salon s’ouvrit et apparut une femme à la peau sombre et aux cheveux noirs de jais, entièrement nue. Elle avait des formes généreuses et épanouies et son pubis était entièrement glabre. Ma déesse m’intima l’ordre de ne pas bouger, puis s’avança vers elle. Lorsqu’elles furent l’une devant l’autre, la femme à la peau noire, dont je devinais à cette pigmentation caractéristique qu’elle était originaire des îles du Septentrion, se mit à genoux devant ma maîtresse et lui embrassa les pieds. Puis elle leva son visage vers cette dernière et dit :



La femme se releva, puis invita ma déesse à s’asseoir sur l’un des fauteuils de la pièce.



Je m’avançai vers elle, craintif, mon sexe toujours en érection.



Je me laissai tomber à genoux devant cette femme imposante, le regard craintivement baissé.



Je me penchai vers ses pieds et en embrassai chacun des orteils très lentement, un à un. Pendant que je rendais ainsi hommage à l’ancienne grande prêtresse, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le regard de ma déesse posé sur moi, nu sur la moquette, les fesses relevées et exhibées à sa vue.


Lorsque j’eus fini, la prêtresse Izna m’ordonna de me lever.



Je me retournai, le rouge au front et, pendant que la prêtresse faisait l’éloge de mes fesses, je vis que ma déesse m’adressait un sourire moqueur. Puis, comble de l’humiliation, la prêtresse Izna m’ordonna de me placer en position de soumission. Je me mis à quatre pattes, puis baissai la tête jusqu’au sol et écartai les jambes afin d’exhiber au maximum mon intimité, ainsi qu’on me l’avait appris. Je sentis les mains de la prêtresse se poser sur mes fesses, puis les écarter brutalement. Ensuite, elle caressa mon anus et y glissa furtivement un doigt.



Je faillis sursauter à ces mots.



Prêtresse Izna m’ordonna de rester dans la même position et j’entendis au loin le son étouffé d’une sonnette. Une porte s’ouvrit, puis j’entendis une voix masculine juste derrière moi :



Je me sentis encore plus mortifié et humilié par la présence de cet esclave mâle. Qu’avait-il pensé de moi à me voir dans cette position ? Et dire que quelques mois avant mon jugement, j’étais encore le leader respecté d’un vaste mouvement de jeunesse pour l’égalité des droits et voilà qu’à présent, j’étais un esclave nu et humilié qui se vautrait devant des prêtresses en des positions dégradantes !


L’esclave partit et prêtresse Izna me demanda de me lever et de me mettre en position de présentation. Je m’exécutai, les mains derrière la nuque.



L’esclave revint quelques instants après avec un plateau en argent avec deux grandes coupes emplies d’un liquide orangé. Il se mit à genoux devant ma déesse, lui tendit la coupe des deux mains, puis lui embrassa les deux pieds en disant : « C’est un honneur de vous servir, Votre Grâce ». Il servit prêtresse Izna à son tour, de la même façon. Je regardai son corps mince et athlétique. Son sexe était glabre, comme celui de tous les esclaves. Contrairement à moi, il était au repos en arrivant, mais le fait de servir les deux femmes l’avait fait légèrement grossir. Prêtresse Izna lui demanda de m’accompagner au réfectoire des esclaves. Ma déesse lui ordonna de me ramener à l’heure du déjeuner des prêtresses, afin que je puisse lui servir de repose-pied pendant le repas.


Je partis par la petite porte au fond du salon sur les talons de l’autre esclave. Quand nous fûmes dans le couloir, il me demanda :



Et il me tendit la main. Nous traversâmes une enfilade de couloirs, puis nous arrivâmes dans une salle où deux esclaves étaient assis par terre sur des coussins devant une table. Un autre arriva avec une grande cruche et des verres.



Nous nous assîmes tous et commençâmes à boire et à parler avec animation. Dismo fit les présentations et je leur racontai mon histoire.



Dismo expliqua que cela faisait quatre ans, qu’il avait demandé à rester trois ans de plus et qu’il s’en irait sans doute à la fin de son deuxième temps de service volontaire pour se marier avec une prêtresse qui devait partir servir dans un temple d’une ville lointaine et dont il était amoureux. Un autre n’était là que depuis un an, s’y plaisait, mais n’avait pas l’intention de demander un service supplémentaire, étant donné que sa famille l’avait promis en mariage avec une famille puissante de son pays natal. Les esclaves se montrèrent ensuite curieux de mon engagement politique dans le mouvement suffragiste, ainsi que de mon jugement. Je m’enquis de la raison pour laquelle les autorités religieuses de la Grande Déesse avaient cru bon d’obtenir mon amnistie en échange de deux années de service au Temple.