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Temps de lecture estimé : 11 mn
01/09/21
Résumé:  Garnion fait la connaissance de la femme dont il sera l’esclave.
Critères:  fh fffh hsoumis fdomine voir pied caresses fellation cunnilingu pénétratio hdanus fouetfesse sf -sf -dominatio
Auteur : Tiberius  (Amateur d’histoire et de littérature)

Série : Chroniques de la servitude

Chapitre 02 / 04
La grande prêtresse

Résumé de l’épisode précédent :

Garnion arrive au Sanctuaire, où il découvre peu à peu sa nouvelle vie d'esclave.







Chapitre 2 – La grande prêtresse Lalith



Nous avions fini de dîner et nous faisions notre promenade du soir dans les jardins du manoir. J’étais à quatre pattes, tenu en laisse par Lévana, un collier autour de mon cou. Pendant les trois jours qu’avait duré mon dressage, j’avais beaucoup appris : comment peigner et brosser les cheveux d’une femme, comment la servir à table, comment marcher à quatre pattes… J’avais aussi reçu beaucoup de punitions et de fessées pour ma maladresse, mais aussi et surtout pour que je m’y habitue, puisque tel était le lot des esclaves. J’acceptais ma condition, désormais. Certains moments m’étaient agréables, d’autres moins. Je n’arrivais pas encore à accepter pleinement l’idée que cela me plaisait, je refusais à ce moment-là d’admettre à moi-même que cet état de soumission constante me plaisait.



Je n’en étais pas moins reconnaissant de toutes les manifestations de gentillesse qu’elle m’avait prodiguées, les caresses sur les cheveux, sur la joue, sur le dos ou sur les fesses, les baisers passionnés, les regards tendres, malgré le fait que tout contact sexuel avec elle, que je désirais avec ardeur, m’avait été prohibé puisque j’étais réservé à ma future maîtresse, cette mystérieuse grande prêtresse, à laquelle je devais être livré le lendemain matin.


Lévana s’assit sur un banc. Je restai à quatre pattes à ses côtés et lui embrassai respectueusement un pied, comme j’en avais pris l’habitude, avant qu’elle ne me donne l’autorisation de m’asseoir à ses pieds. Elle me demanda de me mettre en position pour qu’elle puisse me caresser les couilles. Je lui tournai donc le dos, offrant mes fesses à son regard. Elle prit mes couilles dans la paume de sa main, les caressant doucement et langoureusement tandis qu’elle me parlait. J’avais pris l’habitude d’être passif sous ses caresses. Je gémis doucement, sentant mon sexe se réveiller.



Je la suivis docilement jusqu’à l’entrée du manoir, puis nous nous dirigeâmes vers la grande salle d’eau où se baignaient les novices. Au centre, il y avait un immense bassin rempli d’eau fumante devant lequel se tenait Klora.



Et à moi :



Je me redressai et je mis mes mains derrière ma nuque. Klora arriva, suivie des quatre autres novices, qui me regardèrent avec des yeux écarquillés. Deux d’entre elles se regardèrent en portant leurs mains à leur bouche et pouffèrent. J’étais naturellement mortifié de honte, debout, mon sexe érigé offert à la vue de toutes. Elles passèrent devant moi en regardant mon entrejambe tandis que le rouge me montait au front. Puis elles se placèrent devant le bassin. Lévana m’ordonna de m’agenouiller devant chacune d’entre elles et de lui embrasser les pieds. Ensuite, elle me fit descendre dans le bassin. L’eau était presque brûlante.



Les novices enlevèrent leurs houppelandes et restèrent totalement nues devant mon regard avide. Cela faisait plus de deux mois que je n’avais pas tenu une femme dans mes bras et je ne me lassais pas de contempler la beauté de leurs corps. Les seins lourds de Klora, l’entrejambe épilé d’une des novices et la toison rousse d’une autre, dont la beauté diaphane et fragile me fascinait. Elles entrèrent dans le bassin fumant une par une et commencèrent à jouer en s’arrosant, jeux innocents ponctués de grands éclats de rire. Certaines frôlaient malicieusement mon corps, s’y attardant parfois, l’une des mains, l’autre d’une hanche ou d’un sein. Je devenais fou.


Il y avait au centre du bassin un petit piédestal sur lequel on pouvait se tenir debout afin d’être hors de l’eau. Chacune des novices s’y plaça à tour de rôle. Je devais lui laver entièrement le corps avec du savon dont je la couvrais tout entière. Je m’attardais sur les seins et sur les fesses de chacune d’entre elles, sans oublier de frôler leur sexe au passage. Au fur et à mesure que je les lavais, elles redescendaient dans le bassin pour se rincer et jouer entre elles. Une fois que j’en eus fini, Lévana, qui nous regardait, enleva sa robe et descendit doucement dans le bassin. J’admirai ses petits seins en forme de poire, son ventre rond et la toison blonde entre ses jambes. Elle me rejoignit, enlaça ses bras autour de mon cou et m’embrassa passionnément dans l’eau, son bassin frottant contre mon sexe.



Je frottai son corps, m’attardant sur ses fesses, caressant amoureusement ses seins, les embrassant même. Quand j’eus fini, elle redescendit dans le bassin pour se rincer, puis s’assit sur la margelle en écartant impudiquement les jambes.



Abasourdi, je contemplai son corps mouillé, son sexe grand ouvert offert à moi. J’avançai vers elle et déposai un baiser sur l’un de ses genoux, puis remontai sa jambe en la couvrant de baisers. Puis j’arrivai jusqu’à sa douce toison, que j’embrassai fiévreusement. Lévana prit ma tête entre ses mains, puis l’appuya contre sa féminité. Je me laissai faire, puis écartai les lèvres de son sexe avec ma langue, cherchant le petit bouton sacré. Je le sentis enfin et le caressai lentement de petits mouvements circulaires de ma langue. Je sentis le corps de Lévana frémir, puis j’entendis de petits gémissements monter de sa gorge. Je descendis ma langue et commençai à en caresser les petites lèvres de Lévana, puis j’en enfonçai la pointe dans son vagin. Les gémissements de Lévana se firent de plus en plus frénétiques ; ma bouche et mon menton étaient inondés de ses sucs féminins. Les gémissements de Lévana se transformèrent en un râle profond tandis qu’elle était agitée par des tremblements spasmodiques. Ses mains agrippaient ma tête avec toujours davantage de violence, puis son corps se détendit soudainement tandis que son souffle reprenait peu à peu un rythme normal. Elle écarta mon visage de son sexe, se pencha sur moi et m’embrassa passionnément sur la bouche.


Je levai les yeux et vis les novices, encore dans le bassin, qui nous regardaient. Certaines se chuchotaient à l’oreille, s’embrassaient ou se caressaient, telle Klora, qui pétrissait les seins de la toute menue et ravissante novice rousse dont la beauté diaphane avait attiré mon regard. Cette dernière me regardait fixement dans les yeux, un léger sourire sur les lèvres. Elle s’avança vers moi d’une démarche chaloupée, balançant les hanches de façon délicieuse, et se hissa sur le rebord du bassin à l’aide de ses bras.



Je ne pouvais détacher mon regard de la toison rousse de son sexe ni de ses seins menus et altiers dont les tétons semblaient me regarder avec arrogance. Je me penchai vers sa poitrine et en pris un dans ma bouche, le suçotant longuement. Puis je descendis vers son sexe, tout en parcourant son ventre de furtifs baisers. J’embrassai avec passion sa toison rousse qui me rendait fou, puis je commençai à lécher son sexe avec délectation, m’attardant sur la petite clef de son plaisir, puis me délectant des lèvres de sa féminité humide, jusqu’à la faire hurler de plaisir.


Je passai ainsi la soirée, donnant pleine satisfaction à l’intégralité de ces demoiselles avec ma bouche, ma langue, mes dents et mes lèvres, me délectant du sexe de chacune d’entre elles ainsi que de la façon à chaque fois différente dont elles exprimaient leur plaisir. J’étais épuisé, mais heureux.


Sur instructions de Lévana, les cinq novices sortirent du bassin, repues, et se placèrent en rang devant Lévana, tandis qu’elle m’ordonna de me placer à quatre pattes à côté d’elle.



Je les regardai toutes les cinq, encore toutes nues. Je n’hésitai pas une seule seconde. Je me dirigeai à quatre pattes vers la magnifique rousse, puis me retournai et me plaçai dans la position indiquée. J’attendis quelques instants qui me parurent une éternité, pendant que les novices riaient de ma position on ne peut plus incongrue, sur le sol devant elle, exhibant à leurs regards et surtout à ceux de la jolie rousse qui se tenait juste derrière moi, mes fesses, mes couilles et mon anus.



Les novices reprirent leur houppelande et l’enfilèrent rapidement, sans prendre le temps de se sécher entièrement. La déesse rousse que j’avais choisie pour m’infliger mon châtiment claqua des doigts et me dit sur un ton cinglant :



Je baissai les yeux et me plaçai à ses pieds, toujours à quatre pattes. Nous nous dirigeâmes vers le salon des glaces, moi marchant aux côtés de cette magnifique déesse, la dévorant discrètement des yeux et, à mon corps défendant, avide de subir sa fessée. Au milieu du salon, il y avait cette petite chaise où Lévana m’avait puni pour la première fois, entre ces grands miroirs qui m’offraient à tout instant, sans doute de façon délibérée, un reflet de ma propre déchéance. La novice rousse s’assit sur la chaise et claqua à nouveau des doigts. Je me plaçai sur ses genoux dans la position que l’on m’avait apprise. Elle posa sa main sur mes fesses, les caressant avec douceur, puis dit :



Le premier coup partit immédiatement après sur ma fesse droite, cinglant. Puis un autre et un autre, incessamment. Je retins premièrement mes cris, puis je commençai à gémir doucement et ensuite à crier à pleine voix sous chacun des coups que cette jeune femme dont j’avais admiré peut-être trop imprudemment la beauté m’assénait sur mon cul douloureux. À un moment, elle s’arrêta :



Je sanglotai bruyamment. Je n’arrivais pas à répondre tant mon souffle était coupé par la souffrance et l’émotion. Les coups repartirent, peut-être plus fort que la fois précédente, je comptai jusqu’à vingt, puis me décidai enfin à la supplier.



Elle continuait à me martyriser les fesses. Un, deux, trois, quatre coups, tandis qu’elle me disait :



Elle s’arrêta immédiatement.



Et au moment où je prononçais ces mots, qui n’étaient à l’origine destinés qu’à abréger mon supplice, je me rendis compte de l’effroyable, de l’impitoyable vérité qui surgissait dans mon esprit : j’étais totalement sincère, je souhaitais réellement être son esclave obéissant et soumis, être aux pieds de cette déesse rousse, la servir, être sa chose !



Je supportais patiemment les cinq coups sur mes fesses qui suivirent, tout en sanglotant bruyamment. Puis elle m’ordonna de redescendre et je m’effondrai à ses pieds, en sanglots et heureux. Je les couvris de baisers avec avidité, passionnément. Je l’aimais à mourir, ma déesse rousse et mystérieuse. Je lui appartenais, totalement.


Un lourd silence se fit, tandis que je continuais à embrasser les pieds de ma déesse avec passion. Un sentiment de ferveur religieuse m’habitait, moi qui avais été toute ma vie un mécréant. C’était comme s’il s’agissait des pieds de la Grande Déesse en personne, un contact mystique avec la divinité.


Et soudain, j’entendis la voix de Lévana claironner :



Je levai la tête, étonné de ces propos vociférés sur un ton si déclamatoire. Je vis Lévana et les quatre autres novices se mettre à genoux devant le siège où trônait ma déesse rousse ; j’étais totalement déconcerté par ce subit revirement de situation. Lévana se leva et enleva sa robe, restant complètement nue, puis s’agenouilla devant ma déesse rousse et lui dit :



Ensuite, chacune des novices enleva sa houppelande pour rester totalement nue et s’agenouilla devant ma déesse pour prononcer la même phrase. La dernière, Klora, avait les larmes aux yeux lorsqu’elle prononça ce qui devait sans doute être une formule rituelle à laquelle je ne comprenais rien. Je devinai alors que dans leurs années de noviciat et jusqu’à présent, elles avaient été amantes et que, pour une mystérieuse raison, ce qui s’était passé ce soir allait mettre un terme à cette relation. Ma déesse rousse lui caressa les cheveux, une intense émotion transparaissait dans ses yeux.


Puis Lévana et chacune des novices remirent leur houppelande, cachant ainsi leur nudité à mon regard déçu.



Déesse Lilith se mit debout et claqua des doigts à mon intention. Je me mis à quatre pattes et la suivis jusqu’au grand escalier du manoir, tandis que Lévana et les quatre novices entamèrent une mélopée envoûtante, dont les paroles célébraient l’amour et l’avènement du règne de la Grande Déesse. Ma déesse m’autorisa à me mettre debout pour monter les marches et dès que nous fûmes arrivés au deuxième étage, elle claqua à nouveau des doigts pour m’intimer l’ordre de me remettre à quatre pattes. Nous arrivâmes dans une vaste chambre au milieu de laquelle trônait un lit à baldaquin énorme. Je reçus l’ordre de m’y coucher à plat ventre.



Au bout de quelques instants, je sentis sa main se poser sur mes fesses avec un liquide froid et un peu gluant qui apaisa de façon presque immédiate la brûlure que je ressentais à cause de la formidable raclée que ma déesse m’avait infligée. Elle m’en badigeonna soigneusement les fesses pendant que je m’abandonnais à ses caresses, totalement soumis. Elle m’écarta ensuite délicatement les fesses pour frotter mon anus avec la lotion, puis je sentis comme un doigt s’y introduire.


C’était une sensation nouvelle pour moi. Jamais on ne m’avait fait cela. Je n’osais bouger ou retirer son doigt, de peur de fâcher ma déesse, mais la sensation était étrange.



Je m’exécutai. Les mouvements de son doigt à l’intérieur de moi se firent plus pressants, plus rapides. Et je sentis qu’elle m’en introduisait un deuxième pendant qu’elle me murmurait à l’oreille.



Elle se retira de moi, puis me dit :



Je me redressai, puis lui enlevai sa houppelande grise. Elle me prit entre ses bras, puis m’embrassa. Ensuite, elle descendit jusqu’à mon entrejambe et commença à me couvrir les couilles de baisers, puis à les lécher. Enfin, elle empoigna mon sexe, le mit dans sa bouche, et le suça longuement et langoureusement tout en me regardant dans les yeux. J’étais au comble du bonheur, je me sentais totalement appartenir à déesse Lilith, j’étais sa chose, son objet, son esclave, et je ne voulais être rien d’autre que l’instrument docile de sa volonté. Tel était, en cet instant et depuis qu’elle m’avait donné la fessée, le but de mon existence. Tandis que mon sexe était dans sa bouche, telle était la compréhension mystique de ma condition.


Ensuite, ma déesse se retourna et me dit :



Je n’avais pas fait l’amour avec une femme depuis plusieurs mois. Je la pénétrai doucement, puis la pris violemment, sauvagement. Je ne pouvais arrêter de plonger ma virilité triomphante dans son intimité. Ses râles et ses cris de jouissance se firent de plus en plus fort, de plus en plus profonds, jusqu’à ce qu’ils se mêlent aux miens et nous explosâmes enfin tous deux dans un paroxysme de plaisir et de joie.