n° 20469 | Fiche technique | 43027 caractères | 43027 7635 Temps de lecture estimé : 31 mn |
07/09/21 |
Résumé: À une époque de ma vie où j’ai quelques soucis, je rencontre Philippe, et ensemble nous allons découvrir ou redécouvrir moult jeux érotiques, du plus soft au plus pervers. | ||||
Critères: fh fplusag fépilée cérébral caresses cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio fdanus hdanus confession -totalsexe -tarifé | ||||
Auteur : Amarella Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Mes amours avec Philippe Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Ce que je vais vous raconter correspond à une période de ma vie dont je ne devrais pas être particulièrement fière, et pourtant, j’en garde de bons souvenirs : j’ai rencontré beaucoup de gens intéressants, et, malgré les difficultés, j’ai l’impression d’avoir vécu cette période très intensément.
Je suis styliste à mon compte, spécialisée en décoration d’intérieur, divorcée. J’avais plusieurs clients qui m’assuraient des rentrées d’argent correctes pour vivre sans trop avoir à compter, payer les études de ma fille, et habiter dans un grand trois pièces près du parc Montsouris. Ceci jusqu’à ce que mon plus gros client fasse faillite et que du jour au lendemain je me retrouve à gagner un peu plus que le SMIC. J’avais quelques économies, j’ai vendu ma voiture, mais rapidement les fins de mois sont devenues très difficiles. J’avais le moral à zéro, j’avais beau me démener, je ne trouvais pas de nouveaux clients.
Un jour que je me lamentais sur mon sort auprès de Julien, un ami homosexuel, ce fut lui qui me mit sur la voie :
C’est vrai que pour mes 45 ans de l’époque, je me trouvais encore bien conservée. Certes, au fil du temps j’avais pris quelques kilos, mais ils s’étaient plutôt transformés en rondeurs bien placées, hanches, fesses, poitrine, un peu les bras et les jambes, mais peu à la taille et au ventre. Vêtue d’une robe un peu moulante, je voyais beaucoup d’hommes, même des jeunes, se retourner sur moi.
Dans mon milieu, je fréquentais beaucoup de monde, beaucoup de femmes, mais aussi de nombreux hommes. Régulièrement, certains me lançaient une invitation pour un pot ou un resto. Invitations qu’avant je déclinais quasi systématiquement, mais que j’acceptais presque aussi systématiquement depuis que j’étais en manque d’argent. En général, après avoir longuement discuté en dînant, il y avait deux cas : ceux avec qui cela s’achevait par une bise sur le trottoir, et ceux plus chanceux, qui venaient prendre le café à la maison. Généralement, ils ne le regrettaient pas, passant en ma douce compagnie une nuit qui devrait rester gravée dans leur mémoire. Même si au moment de partir, par un petit scénario que je vous raconterai, j’arrivais à leur soutirer quelques billets, petits pour eux, mais gros pour moi. Car au fil du temps j’avais aussi appris à rendre les nuits torrides.
C’est donc à cette époque de ma vie que j’ai rencontré Philippe.
Je visitais une expo photo d’une fille que je connaissais bien dans le cadre du boulot, très professionnelle, efficace, et dotée d’un très grand sens artistique. Elle m’avait invitée à sa première expo pour que je lui dise mes impressions. Je déambulais donc dans la galerie, en cette belle fin d’après-midi printanière. Il n’y avait plus grand monde dans la galerie, j’avais aperçu ma copine en grande discussion, en anglais d’après ce que j’ai pu entendre, et comme je supposais que c’était des clients, je ne l’avais donc pas dérangé, me contentant de lui faire un petit signe. J’étais là, face à une photo, quand j’entendis derrière moi une voix masculine dire, d’une voix assez forte, sans doute pour qu’on l’entende de loin :
Et puis, plus près de moi, presque contre mon oreille, d’une voix quasiment inaudible :
Je me retournai : c’était un type de 35 ans environ, brun, taille moyenne, pas beau mais pas moche non plus, mince, assez élégant dans ses vêtements de marque. Je lui répondis, d’une voix forte :
On a ri ensemble d’être d’accord ! C’est vrai que chaque photo était presque vivante : on avait l’impression que le personnage était en relief et allait se mettre à bouger. Mais le thème principal était la douleur, la misère, et les photos de vieillards décharnés côtoyaient celles d’enfants handicapés, ou de femme se tuant au travail. Cela dit, il devait y avoir des amateurs, près de la moitié des clichés portaient la mention « vendu ».
Je continuais ma visite, le type aussi, on échangea encore quelques propos, mais on tombait toujours d’accord sur les mêmes points : très beau, mais très triste.
On finit par sortir de l’expo, sur le trottoir nous échangeâmes encore quelques banalités au sujet de l’expo, et, de but en blanc, il me proposa d’aller boire un verre. J’étais un peu surprise, hésitante, mais il insista, il me trouva sympa et avait envie de faire plus ample connaissance. Il me parut sympa également, et je finis par accepter.
Je connaissais bien le quartier, il y avait un bar brasserie au bout de la rue, avec une belle déco, je lui proposai d’y aller.
Durant le trajet nous eûmes juste le temps d’échanger nos prénoms : il s’appelait Philippe, je lui dis que je m’appelai Christine.
Deux minutes plus tard, nous étions attablés, le garçon nous demandant ce que nous voulions boire. On était assez hésitant, quand je me décidai :
Philippe eut l’air un peu étonné, mais finit par dire :
Le serveur :
Je l’arrêtai :
En attendant nos verres, on papota gentiment, il me raconta qu’il était chef d’entreprise, qu’il était à la tête de deux sociétés, une sur Rouen, l’autre sur Paris, spécialisée en domotique, qu’il partageait sa vie entre Rouen et Paris où il était deux jours par semaine, qu’il gagnait très bien sa vie.
Je lui racontai ma vie, styliste, divorcée, indépendante, avec des hauts et des bas… le temps de dire tout ça, on avait fini nos verres.
Il proposa de grignoter quelque chose ici, je lui dis que je connaissais bien, qu’ils faisaient des salades mixtes qu’on pouvait presque composer à volonté, idem pour les sauces. Il dit que ça lui convenait, et il fit revenir le serveur. Chacun de nous se composa la salade de ses rêves, et on continua de papoter. Jusqu’à présent, il avait soigneusement évité d’évoquer un point de sa vie, ce que je lui fis remarquer en le tapotant d’un doigt sur son majeur :
Je ris !
Il ne me demanda pas pourquoi j’avais l’habitude. Il y eut un petit silence… rompu par le serveur qui venait nous proposer des desserts, ou cafés.
Je déclinais, la salade était plus que copieuse, j’avais presque trop mangé. Philippe demanda donc l’addition, je lui proposai de payer ma part, mais il me dit en riant qu’il n’était même pas un gentilhomme, car il allait payer avec sa carte pro, et que ça passerait en charges pour l’entreprise. Je lui dis que, vu comme ça, j’acceptai. C’est ce qu’il fit, puis nous quittâmes le restaurant.
Dehors, il me proposa de marcher un peu, tout en continuant à discuter. Je lui dis d’accord, et que j’habitais à 15 min à pied, environ. Nous marchions lentement, en parlant de choses et d’autres, l’air était encore doux et c’était très agréable.
Au bout d’un quart d’heure, on arriva donc en bas de mon immeuble. Et là, il y eut un moment de flottement… Pendant tout le trajet, je m’étais posé la question : il va me demander de monter ou pas ? Et moi ? Je l’invite à monter ou pas ?
Finalement, ce fut moi qui brisai le silence :
Il sourit.
J’habitais au 2e, mais on dut monter à pied car l’ascenseur semblait coincé au 6e. Je le fis entrer dans mon petit home, lui pris son blouson, enlevai ma veste. Il me fit remarquer que j’étais encore plus belle sans ma veste, j’ai ri et je l’ai remercié. Je lui dis de s’asseoir ou il voulait, canapé, fauteuil, poufs, et lui demandai s’il voulait un café, corsé ou un déca… il me dit corsé, que ça ne l’empêchait pas de dormir.
J’allais donc préparer deux expressos, un corsé et un déca, et quand je revins il s’était finalement installé dans le canapé. Je m’installai à côté de lui, et on commença à touiller et boire nos cafés. Mais au bout de quelques secondes, il me regarda dans les yeux, me prit les doigts du bout de la main et me dit :
Je ne savais pas trop quoi dire… je ris ! Il avança alors son visage vers moi, cherchant mes lèvres. Il était séduisant, je m’avançai à mon tour, nos lèvres se touchèrent et ne se quittèrent plus. Au début, ce ne fut que de simples jeux de lèvres, puis nos langues commencèrent à s’entremêler. Il s’était rapproché de moi, ses mains étaient sur moi, me caressant la tête, m’effleurant le cou, descendant sur les épaules. Nos langues essayaient de s’immiscer le plus loin possible dans la bouche de l’autre, appuyant avec force sur la langue de l’autre, nos dents s’entrechoquaient. Ses mains courraient sur mon corps, mon dos, mes épaules, ma taille, une m’avait attrapé un sein à travers mon chemisier et le palpait sans vergogne, ce qui ne tarda pas à le faire réagir… et le téton commença à pointer. Philippe s’en rendit compte, ses caresses se firent plus précises, une main était descendue sur mon collant et remontait doucement sous ma jupe. Jusqu’à ce qu’il se rende compte que je ne portais pas de collants mais des bas ! Il en fut si étonné qu’il lâcha mes lèvres.
Je ris aux éclats !
Comme je riai, il en profita pour m’embrasser à nouveau et fourrager avec sa langue dans ma bouche. Sa main droite n’était pas inactive et il remontait toujours plus haut sur la cuisse. Sa main gauche s’employait à faire se dresser le deuxième téton, toujours au travers du chemisier. Quand sa main droite commença à vouloir farfouiller dans la culotte, je me dégageai doucement et lui dis :
Sur le coup, il eut l’air un peu déçu, mais d’un autre côté il comprit que maintenant l’affaire était entendue…
Je partis donc dans la salle de bain, prenant dans le placard du couloir de quoi me changer et lui réserver une petite surprise.
Arrivée dans la salle de bains, j’enlevai tout à toute vitesse, me douchai à l’eau à peine tiède, savonnant l’intimité au savon à la lavande pour que ça sente bon, me rinçai abondamment, m’essuyai consciencieusement, et me rhabillai : bas, porte-jarretelles, soutif rouge, string brésilien assorti, et une jolie nuisette, noire un peu transparente, bien serrée à la taille.
Quand je revins dans le salon, je fus accueillie par un :
Philippe était un peu interloqué, ne savait plus trop quoi dire.
Je baissai la lumière au maximum avec la télécommande, et le rejoignis dans le canapé.
Il me dévorait des yeux !
Je me levai.
J’allai contre lui et m’assis sur ses genoux.
Et il m’embrassa à nouveau, sa langue s’enfourna dans ma bouche, ma langue fit pareil, ses mains reprirent leurs explorations respectives.
Les choses s’accéléraient, sa main droite était arrivée au string, mais je gardais sagement les cuisses serrées pour l’instant. Sa main gauche avait réussi à atteindre mon sein droit sous le soutif et le tripotait sans vergogne. Je commençai à défaire sa chemise du pantalon, puis dégrafai les boutons. C’est moi qui lui enlevai sa chemise, puis son T-shirt, et il fut bien obligé de me lâcher. Il était là torse nu, il était plutôt bien foutu, pas de ventre, de beaux pectoraux, assez poilu, j’aimais bien. Ayant ses deux mains libres, il défit le nœud de la nuisette, puis l’ouvrit en grand, et se rinça l’œil tant qu’il put.
Moi, j’avais entrepris de défaire sa ceinture, puis le zip du pantalon. Mais je pouvais pas aller plus loin vu que j’étais sur ses genoux. Je dus me lever, il enleva ses chaussures, je tirais sur le pantalon pour le faire descendre, et l’enlever complètement. Il restait le boxer. Je sentis au travers du tissu que son sexe était bien dur.
Je tirai délicatement sur le boxer pour ne pas risquer de lui tordre le kiki. J’enlevai le boxer. Le kiki en question était au garde-à-vous, c’était pas un gros kiki, mais il était dans une bonne moyenne. Il était déjà tout baveux. Je le pris entre mes mains :
Avant d’aller plus loin, il y avait une petite opération à faire. J’allais chercher dans le meuble du salon une petite boîte dans laquelle j’avais quelques préservatifs. J’en pris un. Je lui demandai s’il préférait le mettre lui-même ou que je m’en occupe. Il répondit qu’il voulait bien que ce soit moi qui le fasse. J’ouvris l’emballage, sortis la capote, la lui plaçais sur le gland, et la déroulais doucement. Je crois qu’il était au bord de la jouissance.
Puis je me plaçais debout face à lui, qui était toujours assis, puis je passai ma main derrière sa tête et j’attirai son visage vers mon sexe. Il comprit tout de suite, il fit rouler mon string vers le bas et dévoila mon sexe. Quand il le vit, il eut encore un moment d’étonnement. Il avait vu tout de suite que, si sur la partie haute du pubis, il y avait un trapèze de poils, la partie plus basse était totalement épilée. Épilée, et non pas rasée. J’étais face à lui jambes légèrement écartées et il tentait de mettre sa langue entre mes cuisses. Évidemment, c’était loin d’être la meilleure position, mais je le laissais s’escrimer ainsi quelques minutes. Au bout d’un moment, je me tournai légèrement pour mettre un pied sur le canapé, mes cuisses étant ainsi beaucoup plus ouvertes.
Il descendit un peu du canapé, bascula la tête en arrière, et il put passer maintenant sa langue sur mon intimité, du clito au vagin. Il ne s’en priva pas, mouillant abondamment à chaque coup de langue. J’étais très émoustillée, et je commençais à mouiller abondamment. Associé au savon à la lavande, cela devait avoir bon goût car il disait souvent.
On avait tous les deux le souffle plus court. Pour que sa langue puisse s’immiscer encore mieux dans mon sexe, j’écartai un peu plus les cuisses, mettant mon pied non plus sur le canapé mais sur son épaule. Je me tenais à sa tête pour ne pas tomber. Dans cette position, sa langue pouvait pénétrer allègrement mon vagin, et il ne s’en priva pas, car il avait bien senti que cela me procurait un plaisir réel.
Mais la position était difficile à tenir, aussi bien pour lui que pour moi, j’avais failli tomber par deux fois. Je décidai (pour l’instant, c’est moi qui décidais) de changer de position. Je m’allongeai sur le dos, les fesses posées sur le rebord du canapé, bien relevées, bien ouvertes. Il comprit de suite et se mit à genoux face à moi. J’avais déjà les cuisses grandes ouvertes, mais il les écarta davantage et entreprit de me lécher du haut en bas, du clitoris à l’anus, en pressant fortement avec sa langue, essayant de l’insérer partout où c’était possible. Parfois, il insistait plus sur une zone, le clito, puis l’anus, puis le vagin, à chaque fois en déversant des litres de salive, que je sentais couler le long de ma raie. J’étais très excitée mais lui l’était encore plus.
Je lui fis sentir que je voulais changer. Pour une première fois, on allait faire classique : je m’allongeais sur le dos sur le canapé. Il vint sur moi et me pénétra doucement, puis il commença à aller et venir dans mon sexe, mais je voyais que déjà il se retenait et que ça n’allait pas durer longtemps, il criait au rythme où il s’agitait en moi, de plus en plus vite jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir et je le sentis avoir des tremblements, comme des convulsions, lorsqu’il jouit. J’avoue que j’étais un peu frustrée. Si le film avait super bien commencé, la fin s’était avérée très moyenne. Je le laissai reprendre ses esprits, jusqu’à ce qu’il se relève.
Il était bien conscient de la situation, il s’agenouilla près de moi, me dit qu’il avait bien vu que je n’avais pas vraiment joui, mais qu’il était super excité et qu’il n’avait pas pu se contrôler. Je lui répondis :
Il ne tarda pas à revenir au salon. Je lui pris la main et lui dis :
On passa dans la chambre, défit le couvre-lit, et nous allongeâmes. Philippe était à poil, moi j’avais encore mes bas et porte-jarretelles, mon soutif, ma nuisette ouverte.
Il m’attira vers lui, me caressant doucement le dos. il me demanda :
Ce petit échange verbal commençait à ranimer mister kiki, je lui dis :
En même temps, je lui attrapais son kiki avec la main et commençais à le caresser. Il semblait réagir plus aux paroles qu’aux actes parce qu’il ne se passa pas grand-chose. Je décidai de changer de tactique, je m’approchai de lui, et attrapai ce kiki dans ma bouche. Il était encore flasque et je pus le gober en entier jusqu’aux couilles. Je ne le suçai pas vraiment, je le faisais bouger dans ma bouche. Là il commença à gonfler, j’aimais bien le sentir grossir en moi, et le garder en entier dans ma bouche le plus longtemps possible. Je l’entendis dire des « Hmmm… hmmmm ».
Pour ma part, ma langue était toujours occupée à lui masser le gland et je sentis que ça ne pourrait durer beaucoup plus longtemps, son sexe devenait super dur et était complètement arc-bouté dans ma bouche, à un moment je n’ai plus pu tenir et j’ouvris la bouche pour le libérer. Il était complètement au garde à vous, et je ne sais pas comment j’avais fait pour garder cet engin en bouche.
J’attrapais un préservatif dans le tiroir de la table de nuit, l’ouvris et le lui déroulai sur la tige. Il se laissa faire comme un enfant bien sage,
je continuai de lui caresser le sexe et ses boules et lui susurrai à l’oreille :
Ce que je fis, et il se mit sur moi, se tenant sur une main, de l’autre il mouilla ses doigts avec de la salive, les approcha de ma vulve et lubrifia abondamment, l’extérieur puis l’intérieur, à plusieurs reprises. Quand il me pénétra, ce fut un délice, j’avais les jambes par-dessus ses épaules, assez resserrées, et je sentais réellement son sexe se frotter dans le mien. Ses va-et-vient étaient assez lents mais profonds, à chaque fois il essayait d’aller plus loin, et je sentais ses couilles venir battre contre moi. La sensation de plaisir montait doucement en moi, et par bonheur il continuait. Il me dit :
C’est ce que je fis, le serrant du mieux que je pouvais, mais à un moment je ne pouvais plus contrôler, et me laissais aller au plaisir. Il me lutinait de plus en plus vite, de plus en plus fort, en essayant de durcir son sexe au maximum, et tout d’un coup je fus transportée par un orgasme violent ! Je me crispai, je crois que je hurlai, c’était vraiment d’une intensité rare. Je ne sais pas combien de temps cela dura, mais quand je redescendis de mon nuage, il était toujours là à aller et venir en moi, mais beaucoup plus doucement. Je rouvris les yeux, il me souriait, et me dit :
Il me libéra, j’attrapai deux coussins un peu épais, les ajustai, et mis les genoux dessus. Je posai les bras sur le montant de la tête de lit, cambrai les reins. Il me dit :
Il entreprit donc de me lécher l’entrejambe. Étant donné la position, c’est mon anus qui se trouvait être le plus accessible, et il commença donc par là. En même temps, ses doigts s’activaient sur mon petit bouton, qui se gonfla doucement. Je sentis des doigts s’insérer en moi sans que je puisse dire combien, mais ils me remplissaient bien le vagin. Il se mit à les replier légèrement à l’intérieur de moi, massant la paroi avec l’anus, alors que sa langue continuait de me lécher le petit trou. C’était une sensation extraordinaire que je ne me rappelais pas avoir ressentie. J’étais à nouveau très excitée. Je lui dis :
Il exécuta mes ordres consciencieusement, déposa des tonnes de salive dans ma chatte avant de m’embrocher. Embrocher est le terme, car il n’y alla pas par quatre chemins, se retrouvant au fond de moi dès la première poussée.
Il était idéalement placé derrière moi, c’est pour ça que je m’étais installée sur les coussins, et la pénétration était bien profonde. Il était accroché fermement à mes hanches et allait et venait en moi sans retenue. Je sentais à nouveau ses couilles venir taper contre mes fesses, et à chaque fois que sa queue allait au fond de moi cela produisait un bruit qui ressemblait à « shlosh ». Je sentais aussi que son plaisir commençait à venir, car il accompagnait chaque coup de reins d’un « oui » évocateur.
Le plaisir commençait à revenir en moi, et je m’y abandonnais doucement. Maintenant, quand il s’enfonçait en moi, il essayait de durcir et tendre sa bite aussi fort qu’il le pouvait, essayant de me soulever du sol. Je ressentais alors son engin coulisser le long de la paroi anale, ce qui m’excitait encore davantage. À un moment, je me sentis basculer à nouveau, le plaisir m’inonda, je perdis la notion du temps… c’était merveilleux, j’avais l’impression de voler comme un oiseau, hors du temps et de la gravité.
C’est lui qui me fit revenir sur terre, lui aussi avait pris son pied si intensément qu’il ne tenait presque plus sur ses genoux ! On avait failli s’écrouler sur le lit ! Pour l’instant, il était encore en moi, le sexe encore dur, il faisait de petits allers et retours. Mais, à un moment donné, le kiki devint trop mou, et sortit de mon sexe.
J’en profitai pour m’écrouler sur le lit.
On resta un long moment comme ça, immobiles, à ne rien dire. Ce fut lui qui trancha le silence :
Quand il revint il s’écroula à son tour dans le lit, mais je ne sais pas comment il fit, on se retrouva en position tête-bêche. Lui était complètement nu, moi j’avais toujours mon soutien-gorge et mes bas. Ce qu’il me fit remarquer.
Ce qu’il fit, dégrafant délicatement le soutif, déposa un bisou sur chaque téton. Puis il retira les bas, je dus l’aider pour le porte-jarretelles, il ne savait pas trop s’il fallait l’enlever par en haut ou par le bas ! Et on se retrouva à nouveau tête-bêche, il avait sa tête à hauteur de mon sexe, duquel il n’arrivait pas à détourner le regard.
J’écartai un peu les jambes.
Je finis par m’exécuter ouvrant les jambes en grand. Il s’en approcha et contempla à sa guise, toucha un peu.
Grosse rigolade entre nous !
Il contemplait toujours ma chatte.
Je regardai le réveil : il était à peine 23 heures.
Je filais sous la douche. Il n’avait pas éjaculé en moi, mais mon sexe coulait toujours de sécrétions diverses, et je tenais à être toute pimpante pour la suite, si Philippe arrivait à tenir ses engagements ! Sinon, j’avais bien une idée pour la suite mais il était trop tôt pour lui en parler.
Je commençai à prendre ma douche quand je m’aperçus qu’il était à l’entrée de la salle de bains, et qu’il me regardait au travers de la vitre dépolie.
Il me rejoignit dans la douche. Je lui tendis le pommeau de douche.
Il le fit avec beaucoup d’application, et évidemment, me demanda d’ouvrir mes cuisses pour pouvoir m’arroser partout. Je lui tendis le gel douche :
Il commença à me savonner les épaules puis le dos et les bras. Puis il commença à s’occuper des seins avec beaucoup de cœur, passant et repassant, le haut, le bas, les tétons, et de nouveau le haut… c’était ma fois plutôt agréable. Il descendit sur le ventre, puis les cuisses, et les jambes. Il restait les fesses, qu’il frotta et massa avec beaucoup d’entrain, puis l’entrejambe pour lequel il me demanda d’écarter davantage les jambes. Il était très méticuleux, et le nettoyage complet fut particulièrement long, bien sûr, à croire que l’endroit était particulièrement sale. Mais je le laissais faire, amusée. Il me rinça tout le corps avec la même application, puis il m’essuya consciencieusement. Et alors que je ne m’y attendais pas, il me souleva, m’emporta ainsi jusqu’à la chambre et me déposa sur le lit comme une fleur.
Il me passa la langue sur l’épaule.
Je lui mis un doigt sur les lèvres en faisant :
Le temps qu’on discute de tout ça et son kiki commença doucement à se réveiller. De totalement flasque, il était passé à demi-flasque.
Ce qu’il fit.
Il descendit, je me mis dans la même position, mais tête-bêche, la bouche à hauteur de son sexe.
L’avantage d’être sur le côté est que les deux mains sont disponibles. J’enfournai donc son sexe dans ma bouche tout en lui caressant doucement les couilles. Je ne sais pas si c’est mes caresses ou le fait qu’il avait déjà entrepris de me lécher l’anus, mais son sexe gonfla à vue d’œil. Je changeai un peu de technique et lui aspirai doucement le gland, par petites succions. D’une main je continuais de lui caresser les bourses, et de l’autre je commençais à passer mes doigts dans la région de la prostate et de son petit cul. J’eus envie d’y introduire un doigt, mais je me dis que ça pouvait attendre plus tard.
Il s’occupait maintenant plus de ma vulve, y déposant des litres de salive. Il semblait apprécier le massage rectal, car il enchaînait les « oui », les « oh oui », et les « que c’est bon ». J’étais moi-même assez excitée, mais comme je n’étais pas sûre qu’il puisse me faire jouir qu’avec sa bouche, je préférai une fin plus « classique ». Je me dégageai, me mis dans la position dont on venait de parler et lui dis :
Il trouva une capote et l’enfila rapidement, se mit sur moi et me pénétra doucement. La position était particulière, la pénétration pas très profonde, c’était plus une sensation de chatouillis, mais c’était très agréable. Il allait et venait gentiment en moi, sans se presser, et j’avais le sentiment que ça pouvait continuer comme ça longtemps. Et puis il changea légèrement de position, écartant davantage ses jambes et relevant un peu plus la mienne. La pénétration fut alors plus profonde, et en même temps mon sexe s’était resserré autour du sien, ce qui me procura des sensations beaucoup plus intenses. Mais il continuait toujours à son rythme de sénateur.
J’avais l’impression qu’il n’était pas près de jouir, alors que moi ça pouvait être imminent s’il accélérait un peu. Je lui dis d’aller plus vite, et comme toujours, il m’obéit. Il accéléra donc et je sentis à nouveau ses testicules venir battre contre mes fesses. Puis je le vis porter son index à la bouche, y mettre un peu de salive, et avant que je comprenne vraiment ce qu’il avait en tête, je sentis son index contre mon petit trou, mais qui ne cherchait pas vraiment à y rentrer, juste à le caresser de façon un peu appuyée. C’était tout à fait agréable et je sentis une nouvelle fois le plaisir me subjuguer, je voyais des étoiles par milliers.
C’est alors que ce petit coquin, voyant que l’orgasme arrivait, profita de cet instant pour enfiler son index dans mon anus. Je ne sais pas pourquoi, cela décupla la jouissance et ce fut comme un feu d’artifice partout en moi. Lorsque je repris mes esprits, il continuait d’aller et venir en moi, son doigt toujours dans mon petit cul.
Je pouvais difficilement ne pas le reconnaître.
Il commença par le retirer, puis l’enfonça le plus loin qu’il put, avant de le retirer à nouveau en appuyant bien contre la paroi côté vagin pour sentir son sexe qui était de l’autre côté. Évidemment, je poussais un « ohhhh » mais la sensation était loin d’être désagréable. Et il l’avait bien compris ce petit coquin. Il me demanda si j’en voulais à nouveau, je lui répondis « plus tard ». Il ne m’interrogea pas sur le « plus tard » :
On changea de position, je le fis s’allonger sur le dos, et je vins m’empaler sur son sexe à califourchon. Au début, je me contentais de bouger le torse d’avant en arrière, puis des mouvements amples de haut en bas, j’essayais de resserrer mon vagin le plus que je pouvais, tout en continuant de monter et descendre. Je sentais bien que ça lui faisait de l’effet, mais il n’était pas encore près de jouir. Pour l’exciter davantage, j’eus l’idée de lui dire des phrases salaces :
Et en même temps, je mis un doigt dans sa bouche pour qu’il le lèche.
Il lécha.
Il ouvrit. Mon doigt s’approcha de son anus. Je continuai à monter et descendre sur son sexe. Mon doigt trouva son petit cul et commença à le masser. Je sentis que son excitation grimpa en flèche.
Il écarta. Son cul était maintenant à ma portée. Je plaçais mon index sur son orifice.
Je lui enfilai mon index dans son cul. Il était incroyablement serré, ça rentrait à peine et j’ai le doigt fin. Il fit :
Là, je sentis qu’il était prêt à exploser.
Et là, il ne tint plus et jouit le souffle court, je sentis la capote se remplir de son sperme
Je le laissais reprendre ses esprits. Après trois éjaculations, son kiki ramollissait à vitesse grand V.
Je me penchai sur lui et lui déposai un tendre baiser sur les lèvres.
J’avais toujours mon index dans son anus, je le gigotai un peu pour le lui rappeler, puis le retirai doucement.
À ce moment de notre relation, je n’avais pas envie de lui révéler que les plus belles sensations que j’avais eues en matière de sexe (!) ; que mes orgasmes les plus intenses avaient eu lieu lorsqu’on s’occupait de mon petit endroit !
On était toujours allongés sur le lit. Il me caressait nonchalamment tout le corps.
C’est vrai qu’il n’était que 0 h 30.
Ensuite, il fallut retrouver ses vêtements… il y en avait partout, salon, chambre, couloir, salle de bain. Ça nous fit bien rigoler. De ces rires fous qu’ont les amants après de longues étreintes !
Il allait partir, il me tenait dans ses bras.
C’était là l’instant crucial où j’essayai de profiter de la situation.
Ce faisant, il se retourna, sortit son portefeuille, et sortit un ou des billets qu’il glissa sous le vide-poche du meuble du couloir, mais je ne pus voir précisément combien.
On s’embrassa encore longuement et fougueusement, puis il partit et j’allai me coucher le cœur léger. J’avais passé une très belle soirée, il y avait longtemps que je n’avais pas eu de telles sensations. Je me demandais si je n’étais pas en train de tomber amoureuse. En plus, sous le vide-poche, je trouvai deux beaux billets verts…