n° 20479 | Fiche technique | 44219 caractères | 44219 7854 Temps de lecture estimé : 32 mn |
12/09/21 |
Résumé: Christine et Philippe se découvrent une vraie complicité pour certaines pratiques amoureuses. | ||||
Critères: #confession #totalsexe #sexetarifé fh fplusag fépilée cérébral noculotte lingerie massage caresses cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio fdanus fsodo hdanus | ||||
Auteur : Amarella Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Mes amours avec Philippe Chapitre 02 / 03 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent:
Christine éprouve des difficultés financières. Épisodiquement, elle rencontre des hommes auprès desquels elle demande une aide financière après une nuit d'amour. Un soir, elle rencontre Philippe, qui s'avère être un bon amant, élégant, délicat et généreux. Elle a accepté de le revoir.
La semaine s’écoula rapidement. Je n’eus aucune nouvelle de lui jusqu’au dimanche soir, où je reçus un message :
- — coucou, ça va, t’as passé un bon WE ?
Il m’avait demandé d’être laconique, je renvoyai un émoticon avec un pouce levé.
Le mardi, nouveau message :
- — Toujours OK pour jeudi soir ? »
Je renvoyai le même émoticon !
Le mercredi soir, nouveau message :
- — tu aimes les huîtres ?
- — J’adore ça !
Et je réponds par l’émoticon applaudissements. J’espère qu’il comprendra.
Le jeudi soir, je rentre vers 18 h, car je sais qu’il me faut un peu de temps pour me préparer. Prendre une douche, m’habiller. J’ai déjà réfléchis comment j’allais m’habiller : petite robe d’été d’un joli vert léger, sans manches, assez décolletée sur le devant ainsi que sur l’arrière. Pas de dessous, ni en haut ni en bas, juste des bas autofixants, escarpins à talons. La robe est juste moulante ce qu’il faut, elle englobe bien les seins, les soutiens, et on voit bien les tétons pointer, ça devrait lui plaire… Si toutefois on devait sortir, je me changerais.
Il était ponctuel, et arriva les bras chargés de sacs et paquets. Nos retrouvailles furent chaudes, en commençant par un long baiser bien langoureux et humide, alors qu’il avait toujours ses paquets dans les mains !
On finit par se séparer. Je le remerciai du fond du cœur pour le cadeau de la semaine passée, il me dit que ça lui faisait plaisir, qu’il avait envie de me voir heureuse, que je le méritais. Il était charmant.
Il me montra ce qu’il avait amené : un premier sac avec deux douzaines d’huîtres Marennes d’Oléron, N° 2, label rouge, hmmmm… on allait se régaler. Dans un autre il avait amené deux bouteilles de blanc chardonnay.
Rires !
Un autre sac contenait une boîte de tarte aux fruits qui avaient l’air délicieuse. Le dernier sac contenant un paquet cadeau, qu’il m’offrit.
C’était des dessous. Plus précisément, un ensemble assorti culotte/soutien-gorge d’un beau rose saumon, avec de la belle dentelle, surtout le soutien-gorge. La culotte, elle, était plutôt minimaliste, et s’apparentait plus à un string brésilien. Quand je regardai de plus près, je m’aperçus qu’il était fendu en son milieu ! Je lui fis remarquer en riant en lui montrant l’ouverture :
On riait à gorge déployée !
Et il m’entraîna sur le canapé, recommença à m’embrasser à pleine bouche, ses mains commencèrent leurs investigations sur tout mon corps. Elles s’intéressèrent d’abord à mes seins, elles trouvèrent un chemin par les ouvertures de la robe sous les bras et elles commencèrent à me malaxer, à me pétrir les nichons avec vigueur.
Les tétons ne tardèrent pas à pointer, et il fit exprès de tendre ma robe pour qu’on les voie bien pointer sous la robe. Ça avait un côté indécent qui m’excita beaucoup, et je sentis que lui aussi. Il avait abandonné ma poitrine pour descendre plus bas, et il commença à farfouiller sous la robe. Il se rendit vite compte que je ne portais pas de culotte.
Effectivement, je sentais son sexe contre moi à travers ses vêtements et il avait dû grandir de cinq centimètres d’un coup. Il était à nouveau super excité, top.
Il me fit mettre à genoux sur le canapé, rehaussa ma robe jusqu’à ma poitrine. Puis il se pencha et commença à passer sa langue le long de ma raie, puis sur la vulve, les lèvres. Je me cambrais et m’écartais le plus possible pour lui faciliter la tâche, et il me fit alors une séance de léchage absolument délicieuse, insérant sa langue profondément dans mon vagin.
C’était prodigieux, mais j’eus comme l’impression que ça ne pourrait pas être bien long. Il était super excité, avait déjà baissé son pantalon et son boxer et s’apprêtait à me pénétrer.
Juste eu le temps de lui rappeler de mettre un chapeau, ce qu’il fit rapidement, et il était en moi. Il commença des allers et retours rapides et je sentais bien que ça n’allait pas durer longtemps. En plus, la position n’était pas idéale, il se trouvait trop bas, et ça ne me donnait pas beaucoup de sensations. Mais il était tellement excité qu’il continua ainsi et jouit rapidement en poussant des « ahhh », « ouiiii », « ohhhh ».
J’étais plus que frustrée. Je n’avais quasiment rien senti. Je me dégageai de lui le plus rapidement possible. Il était toujours dans sa jouissance, mais il se rendit compte que je n’étais pas très contente. Il se confondit en excuses… qu’il était navré, désolé, que ça faisait des jours qu’il attendait ce moment, qu’il l’avait tellement imaginé, qu’il s’était fait des films !
Je me laissai faire, et il m’embrassa à pleine bouche. Au début, je fis exprès de ne pas réagir, mais je finis par lui rendre son baiser, et nos langues s’emmêlèrent, et comme le baiser dura un long moment, je finis par oublier et lui pardonner.
J’enlevai la robe et enfilai le soutien-gorge. Je fus étonné, il avait trouvé la bonne taille du premier coup.
J’enfilais le string. Il n’y avait vraiment pas beaucoup de tissu. Sur le côté, il remontait très haut sur les hanches, une petite bande de dentelle sur le haut des fesses, deux ficelles ente les jambes pour qu’il puisse être ouvert, deux mini triangles de dentelle sur le devant. À tel point que ma toison qui n’était pourtant pas très fournie débordait du tissu faisant comme une paire de moustaches. Je luis dit :
Ça nous fit beaucoup rire !
Il fut un peu interloqué.
Je l’emmenai dans la salle de bains, attrapai une petite tondeuse à cheveux, allai dans la douche
Je lui passai la tondeuse, qu’il passa comme je lui avais montré, et hop, les poils superflus disparurent.
Je pris un rasoir, passai un peu de gel de rasage là où on voyait encore les racines des poils et rasais les vilaines racines.
Au total, l’opération avait pris moins de cinq minutes. J’ouvris le string pour voir ma toison qui avait encore bien diminué. Il me dit qu’ainsi j’étais encore plus féminine. On retourna dans le salon. Il m’admira, me fit tourner sur moi-même.
Je me regardais dans le grand miroir, je me trouvais effectivement assez sexy, et je me dis qu’habillée ainsi je pourrais poser pour certains magazines pour hommes.
On alla dans la cuisine pour tout préparer. Il se chargea de l’ouverture des huîtres, je préparais les tartines beurrées, sauce ail et vinaigre, citrons, je mis la table, débouchai une bouteille de chardonnay. Cinq minutes plus tard, la dégustation commençait. Elles étaient vraiment délicieuses. On se régalait.
Il n’y avait plus de pain, je me levais pour aller en chercher dans la cuisine, mais quand je passai devant lui, il me bloqua en passant son bras autour de ma taille. Puis avec sa main me fit comprendre de me pencher en avant. Je m’exécutais, prenant appui sur la table, je ne voyais pas trop où il voulait en venir.
De son autre main, il m’incita à écarter les jambes, je continuais de lui obéir. Puis il mit son majeur dans la bouche, l’humidifia, et l’introduisit dans mon sexe, un peu, puis plus profondément, le fit tourner en moi. Mon sexe était encore humide de tout à l’heure, il agita encore un peu son doigt en moi, comme pour recueillir cette humidité, puis le ressortit et le porta à sa bouche, le suçant, léchant jusqu’à la dernière goutte. Il répéta encore l’opération à trois reprises, à chaque fois en essayant de prélever le plus de jus possible de mon intimité. Et à chaque fois, il répétait :
Il me relâcha.
Ce qui le fit beaucoup rire. Je ne compris l’allusion qu’avec un temps de retard ! Je me mis à rire aux éclats également.
J’allais chercher le pain, nous finîmes les huîtres. Au final, j’avais calé à la dixième. Il en avait mangé cinq ou six de plus que moi.
Il nous restait les tartes aux fruits. On décida d’en manger une moitié chacun. Pendant le repas, on avait discuté de choses et d’autres, sans aborder ni le sujet du sexe ni de l’amour, du conjoint, etc.
Je me levai pour débarrasser la table, j’étais toujours en soutif et string. Il me reluqua à nouveau et me dit :
Il me prit la main pour aller dans la chambre, sans oublier son verre de chardonnay.
Arrivé dans la chambre j’eus une idée : j’avais des bougies, j’en allumai deux ce qui donna une lumière très feutrée. J’allumai aussi un bâtonnet d’encens parfumé, pour achever de nous mettre dans l’ambiance.
On s’allongea dans le lit l’un à côté de l’autre, sans qu’on sache trop ce qui allait se passer. Ce fut lui qui eut l’idée.
Ce que je fis. Il commença alors à me pétrir doucement les épaules, la nuque, le dos, le creux du dos, tout ça très délicatement, c’était pas des caresses, c’était plus appuyé, c’était très décontractant. Je me laissai faire, il continua sur les fesses, toujours délicatement, puis les cuisses, les jambes, puis l’intérieur des cuisses, il me demanda de les écarter un peu.
Puis il dégrafa le soutif, et me demanda ensuite de me retourner. Il enleva le soutif, et se mit alors à me pétrir les seins, délicatement, longuement, parfois en les pressant vers le haut avec ses deux mains, comme pour en faire sortir le lait, cherchant a faire gonfler mes tétons, parfois dans l’autre sens, comme pour les faire dégonfler.
Effectivement, mes tétons réagissaient et se tendaient, ce qu’il ne manqua pas de remarquer. Il me demanda si j’avais de l’huile pour massage, je lui répondis que je regrettais de ne pas en avoir.
Il descendit sur les cuisses, les jambes, puis remonta aux cuisses, me demanda de les écarter un peu pour masser l’intérieur. Je commençai à voir ou il voulait en venir, mais c’était très agréable, aussi je continuai à jouer le jeu… Il me demanda de me retourner à nouveau, glissa un gros coussin sous mon ventre de façon à ce que mon postérieur soit bien proéminent, et là je compris vraiment ou il voulait en venir. Il recommença à me pétrir les fesses, se rapprochant à chaque fois un peu plus de l’intérieur.
Puis à plusieurs reprises il déposa de la salive dans mon entrejambe, et passa doucement le côté de sa main pour bien l’étaler partout. Il massait maintenant mon intimité avec son avant-bras, le faisant tourner, ou de haut en bas. La sensation était tout à fait délicieuse, et je commençai à être très excitée.
Il continua ses mouvements longtemps, très longtemps, remettant de la salive régulièrement, ce qui fait que, ajouté à ma mouille, j’avais l’entrecuisse littéralement trempé. Et il continua, continua, chaque fois mon excitation montait d’un cran. Et progressivement, le massage se fit plus précis, autour de mon anus. Il me fit écarter les cuisses encore un peu plus, et sans vergogne se mit a me caresser exclusivement cette zone.
C’était très doux, bien lubrifié, ses doigts jouaient avec mon anus, à plusieurs reprises je pensais qu’il allait l’introduire, mais il ne le fit pas. Toujours en me tripotant cette zone, il vint s’allonger près de moi, et me susurra à l’oreille :
Dans un souffle, je lui répondis :
J’étais proche de l’extase et je préférais me réserver pour d’autres jeux à cet endroit plus tard dans la soirée. Il obéit une fois encore, et vint me mettre de grands coups de langue dans mon intimité. Il savait maintenant où je réagissais le mieux et ne se privait pas d’exciter cette zone.
Je m’abandonnais totalement, il m’écartait les cuisses, à croire qu’il m’avait coupé en deux, mais c’était si bon de sentir sa langue au tréfonds de moi. Le jeu se poursuivit encore quelques minutes, je ne savais plus où j’étais, et sur un coup de langue encore plus appuyé, je sombrais dans l’extase. Je ne sais pas combien de temps je restais dans cet état de plénitude parfaite, mais quand je revins à moi ça m’avait paru long, très long…
Il était allongé près de moi, me regardant.
Je me remis sur le dos et me collai à lui.
Je me rapprochai encore de lui, ma bouche tout contre son oreille :
Encore moins fort :
Il allait parler mais je mis un doigt sur ses lèvres.
Il eut un petit sursaut, je maintenais mon doigt sur ses lèvres.
Il eut un nouveau sursaut.
J’enlevai mon doigt de sa bouche.
Nos langues se mélangèrent, ses mains parcoururent mon corps, et très vite se retrouvèrent sur mon pubis. J’ouvris les jambes en grand, il immisça ses doigts dans mon entrecuisse, avant de m’insérer son majeur dans le vagin.
J’étais encore trempée de sécrétions, il s’en humidifia le doigt le plus possible, et comme tout à l’heure le porta à sa bouche. Il le suça en partie, et me donna ensuite son doigt à sucer en me regardant. Je me mis à le lécher délicatement. Il recommença l’opération mais cette fois me donna directement son doigt à sucer. Ce que je fis goulûment. Il réitéra le jeu encore une fois et je m’exécutais.
Après ces petits jeux et cette conversation savoureuse, son sexe s’était bien redressé, j’attrapai un préservatif et lui enfilai délicatement jusqu’à la garde.
Je me mis sur le dos, les jambes bien relevées, il se mit sur moi, je refermai mes jambes derrière sa tête, et lui dis de me prendre. Là encore, je voyais bien qu’il n’allait pas tenir longtemps, qu’il était surexcité après ce que nous avions fait et dit. Je le poussai un peu plus à bout :
Évidemment, j’avais à peine prononcé ces dernières paroles qu’il jouit longuement. Il était beau à voir, il était comme tétanisé, tous les muscles tendus qui ressortaient. Puis il finit par se détendre et reprit ses esprits.
Il revint s’allonger tout près de moi.
Je lui répondis tout contre son oreille.
En lui léchant l’oreille et parlant tout bas :
Il n’avait pas encore retiré sa capote. Je l’entraînais dans la salle de bains.
On passa sous la douche, on s’arrosa mutuellement, évidemment on joua à s’éclabousser, il y avait de l’eau partout. On se savonna mutuellement, en insistant bien évidemment sur les zones érogènes, on procéda au rinçage, et essuyages. On était tout beau, on sentait bon, et il s’apprêtait à repartir dans la chambre.
Je sortis un coupe-ongle, je lui attrapai la main droite et je lui coupai les ongles de l’index, du majeur et de l’annulaire aussi court que je pus, puis je passai un petit coup de lime à ongles. Idem pour la main gauche. Il était très intrigué.
On allait retourner dans la chambre quand soudain j’eus une idée. Dans l’entrée, j’ai deux miroirs sur pieds, assez grands et orientables. J’en pris un, lui dit de prendre l’autre. Dans la chambre, j’en disposai un à la tête du lit, l’autre au pied. Je m’installai sur le lit, et lui demandai de les ajuster pour que je puisse voir dans le miroir ce qui allait se passer derrière moi. Après quelques tâtonnements, la disposition semblait bonne.
Je lui demandai si ça allait, il me répondit qu’il se sentait un peu fébrile, que tous ces préparatifs l’impressionnaient. C’était à mon tour de le rassurer, que tout allait bien se passer.
Je me couchais sur le ventre, remis le gros coussin sous mon bassin, pour bien rehausser le postérieur. Je lui fis retoucher légèrement la position des miroirs pour y voir mes fesses en plein cadre. Je ne m’étais jamais vue ainsi, mais la position était particulièrement suggestive, digne de figurer dans un film X.
Il commença à me laper l’entre-fesse, mais il s’était mis dans le champ du miroir, je ne voyais que ses cheveux. Il fallut que je me tourne un peu, qu’il déplace le miroir au pied du lit pour que j’aie une vue de trois quarts. Il recommença à me lécher, et là c’était superbe, je voyais sa langue titiller mon anus, comme si je regardais un film de cul.
C’était super excitant. Il s’appliquait vraiment, léchant avec beaucoup d’entrain, je sentais mon excitation monter. Il continua ainsi de longues minutes, puis repris le massage qu’il m’avait fait tout à l’heure, avec le plat de la main. Je n’en ratais pas une miette en contemplant le miroir, c’était fabuleux. Puis il commença à approcher ses doigts, d’abord en faisant comme des papouilles, puis de plus en plus précisément en faisant des caresses circulaires au bord de mon anus. Les caresses se firent insistantes, le doigt faisant mine de s’insérer, avant de ressortir. C’était un délice, à observer d’une part, et par les sensations. Je lui dis :
Il trouva le tube, il était neuf, sur le tube était marqué « lubrifiant anal », il n’y avait pas d’équivoque, on ne pouvait pas confondre avec le dentifrice !
Dans le miroir, je vis qu’il ouvrit le tube, en mis un peu au bout de son doigt. On passait aux choses sérieuses. Il approcha son doigt de mon anus, déposa le gel tout autour, titillant son doigt à la porte de mon anus, comme pour m’asticoter, car il savait que je voyais tout. Puis il l’approcha de l’entrée, et doucement l’enfonça, pas plus loin que l’ongle dans un premier temps, et commença à le tourner tantôt dans un sens, tantôt dans l’autre.
J’étais déjà bien émoustillée et en voulais plus mais ne dis rien. Il dut comprendre et enfonça un peu plus son doigt, jusqu’à la première phalange. Ça rentrait tout seul. De son autre main il remit du gel sur ma petite rondelle, et enfonça son doigt encore un peu plus loin, à la deuxième phalange, le ressortit, remis du gel et le ré-entra, et là, il poussa jusqu’au bout. Dans le miroir je ne voyais plus rien de son doigt qui avait complètement disparu dans mon petit fourreau.
Il le ressortit complètement, et là, il approcha le tube de lubrifiant dudit fourreau. Il en inséra le bout et pressa le tube, juste un petit peu, mais j’avais senti le gel couler en moi. Il me remit le doigt, et l’enfonça doucement jusqu’au fond, ça rentrait tout seul, le lubrifiant faisant son effet.
Ça me faisait toujours autant d’effet, en ressenti, et à voir. Là, il se mit à faire aller et venir son doigt, doucement dans un premier temps, puis un peu plus rapidement et surtout plus profondément. Je sentais bien qu’à chaque mouvement il aurait voulu aller plus loin, mais c’est sa main qui l’arrêtait.
Il changea de mouvement, et je compris alors qu’il voulait me dilater mon petit orifice : son doigt à moitié enfoncé en moi il entama des mouvements circulaires, comme pour repousser les parois. Et il essayait d’imprimer des cercles de plus en plus larges, à tel point que dans le miroir je voyais mon anus commencer à s’ouvrir. Je vis qu’il voulut m’insérer un deuxième doigt, mais je le retins :
Il s’exécuta, mis deux doigts dans le préservatif et les présenta devant mon anus. Quand il les enfonça, ça rentra aussi facilement que lorsqu’il avait mis le premier. Alors il continua ses mouvements dilatants, enfonçant, tournant, écartant les parois. Ça devenait très, très chaud, je pense qu’on aurait pu figurer en bonne place dans un film porno.
Il continua comme ça un long moment puis ressortit ses doigts. Je vis dans le miroir qu’il insérait maintenant l’annulaire dans le préservatif. J’étais un peu inquiète, lui dis de faire très doucement, je me dégageai une main pour être prête à l’arrêter le cas échéant.
Mais il fit très doucement, les trois doigts s’immiscèrent dans mon petit trou sans aucune résistance, et puis il les ressortit, et me remis le tube de gel dans le cul, et cette fois en fit sortir une bonne dose.
Je sentis que ça coulait en moi. Il remit ses trois doigts en moi, et les fis aller et venir, doucement et peu profondément dans un premier temps, puis je sentis qu’il les poussait au plus loin qu’il pouvait aller. J’avais l’impression qu’il m’écartelait le cul.
Il me bourra comme ça tant qu’il put, puis reprit ses mouvements de va-et-vient, mais cette fois au plus profond qu’il pouvait. À chaque fois ça faisait « slosh » « slosh », et il continuait à aller et venir, je ne ressentais aucune douleur, que du plaisir, et là, ça commençait à monter vite en moi.
La position totalement indécente, ses doigts qui me fourrageaient l’anus, ce que je voyais dans le miroir, mon excitation était à son comble. Il retira ses doigts, et mon anus ne se referma pas aussitôt, pendant un instant il resta grand ouvert, puis il se referma doucement.
C’est à ce moment-là qu’il réintroduisit ses trois doigts bien au fond de moi. Puis il les ressortit. Il continua ce manège une bonne dizaine de fois. Ce que je voyais dans le miroir me rendait folle d’excitation. Il prit alors une autre capote, se la mit sur le kiki, et se pencha à mon oreille pour me dire :
Je le vis mettre une bonne dose de gel sur le bout de la capote, puis il positionna son sexe devant mon petit trou et exerça une légère poussée. Son gland entra doucement en moi facilement. Mais je voyais dans le miroir que la plus grande partie de son sexe était encore à l’extérieur.
Il continua de pousser, cette fois je voyais qu’une petite moitié était entrée en moi. Il poussa encore, on arrivait au trois quarts. Il commença alors des va-et-vient dans mon anus, ça coulissait facilement, tout en procurant une excitation infinie. Il faisait ça tranquillement, sans se presser. Mais petit à petit il rentrait un peu plus profondément en moi, et ça chaque fois c’est presque son sexe entier qui disparaissait en moi.
Et puis on changea de dimension, il accéléra légèrement, mais surtout il se mit à me pistonner complètement, poussant son sexe le plus loin qu’il le pût en moi. Je sentais ses couilles venir battre contre mes fesses, et il accélérait, et toujours plus fort. Je n’en pouvais plus, j’avais l’impression que mon cul était écartelé de toute part, chauffé au rouge.
C’était la jouissance absolue, divine, je crois que je hurlai, je perdis toute notion de temps, d’espace, totalement à mon plaisir, à notre plaisir, car je crois qu’il jouissait aussi. J’eus l’impression de tomber dans les pommes…
Quand je revins à moi, je sentis qu’il était encore en train de me caresser, enfin, de me caresser l’intérieur de l’anus, car il avait ses trois doigts qui s’agitaient à l’intérieur.
Je lui demandais :
On s’enlaça, s’embrassa longuement. Puis il me dit :
Il me montra le tube de gel : il n’en manquait pas tant que cela…
Et vraiment tout bas, tout près de son oreille :
Je remets le coussin, me couche dessus, sortant bien le postérieur. Il se met à genoux à côté de moi, et approche sa bouche de mes fesses. Je vois encore mieux que tout à l’heure, sa tête étant placée différemment. Il entreprend de me passer la langue sur l’anus, et je suis à nouveau l’actrice et la spectatrice d’un film particulièrement osé.
Je vois très nettement sa langue se poser et aller et venir sur mon petit orifice. Il continue son manège un bon moment, déclenchant une vague de désir en moi. Et puis il me dit :
Je le vois remettre son doigt en moi. Il rentre facilement, l’orifice étant encore bien lubrifié. Il recommence à le faire tourner en moi en essayant de m’écarter et me dilater.
Je lui demande :
Il s’exécuta, je sentis le froid du gel rentrer en moi, puis son doigt chaud qu’il fit coulisser puis tourner, avant de me l’enfoncer au plus profond de moi.
Ça l’encourageait, il reprit ses mouvements pour m’écarter. Je voyais tout dans le miroir. C’était monstrueusement scabreux, mais totalement délicieux.
Il ne se fit pas prier. Il reprit une capote, y glissa ses trois doigts et me les appliqua, mais avant me remit une bonne dose de gel. Ils rentrèrent comme dans du beurre, j’étais encore ouverte de l’épisode de tout à l’heure. Il me le fit remarquer.
Il recommença à tourner ses doigts en moi, puis à me pistonner, et essayer d’aller au tréfonds de moi. Je l’encourageais.
Il m’écouta, enfonçant doucement ses doigts autant qu’il le pouvait. J’étais à nouveau super excitée. Puis il changea, je ne vis pas trop ce qu’il faisait, en allongeant le cou, je vis dans le miroir qu’il avait mis le pouce dans la capote, et commençait à l’insérer dans mon fondement.
De ses quatre autres doigts, il commença à stimuler mon vagin, stimulation qui se transforma rapidement en pénétration. Je me voyais ainsi doublement pénétrée : le pouce dans l’anus, et quatre doigts dans le sexe.
C’était nouveau et terriblement excitant de sentir une main d’homme entière en moi. Et il entreprit de me pistonner de ses doigts, en douceur dans un premier temps, puis plus fermement. Il remit du gel dans les deux orifices, et continua de jouer de ses doigts en moi. Il poussa doucement ses doigts dans mon vagin, d’une poussée continue, et à un moment donné, il entra également la paume de sa main. J’étais littéralement écartelée. Il m’inséra son pouce encore plus profond dans l’anus. C’est toute sa main qui était en moi.
J’en pleurais presque de bonheur tant l’excitation était forte. Il me dit :
Je poussais un hurlement :
Et il se mit à bouger sa main d’avant en arrière, mais toujours avec la paume bien dans mon vagin. Il fit ça pendant ce qui me sembla une éternité remettant du gel de temps en temps. Je ne sentais plus mon cul ni mon vagin, mais c’était bon. Il m’attrapa la main, et me fit toucher sa verge qui était à un niveau de dureté moyen.
Il me demanda :
Il se mit face à moi et me présenta sa bite. Elle était encore un peu flasque. Je pris son gland dans ma bouche et entrepris de légères succions, passant régulièrement la langue, déposant plein de salive sur sa tige, qui dégoulinait de partout. Son sexe se mit à durcir doucement, aussi je continuais mes succions, jeux de langues, et salivages. Mais la situation n’évoluait pas vite, il fallait quelque chose de plus fort. J’attrapais le tube de gel, et m’en mis sur un doigt, tout en lui disant :
J’approchais mon doigt de son anus, je pensai qu’il allait m’en empêcher, mais au contraire il écarta les jambes. Je lui fis un massage de la prostate, puis de la région anale, et doucement introduisis mon doigt. Je lui pratiquais toujours des succions de plus en plus fortes, et son sexe se remit au garde à vous. Aussitôt, je lui enfilais une capote et lui dis :
Il me remit une dose de gel dans l’anus, approcha son sexe et me pénétra. Il s’accrocha de mes hanches et démarra ses coups de piston. On ne disait plus rien, on n’avait pas encore le souffle court, on s’échauffait, ça risquait de durer longtemps. Effectivement, on le fit un bon moment dans cette position.
Puis j’eus à nouveau envie de changer, je le fis asseoir sur le lit, face au miroir et vins m’empaler sur lui, de dos. Là, c’est moi qui menais la danse, et je montai et descendais sur lui. Il m’aidait en me soulevant les fesses. Lui et moi on voyait clairement dans le miroir que son sexe disparaissait dans mon anus. C’était une vision tout à fait excitante. Je lui dis :
Il mouilla abondamment son doigt, le passa sur mon clito, et ce fut mes mouvements de montée et descentes qui l’excitèrent.
Je me dégageai de lui, il m’inséra encore une fois le tube, déposa et peu de gel, et je n’empalai à nouveau sur lui.
On entreprit de le faire et refaire, et c’est vrai que ça donnait de nouvelles sensations, une pénétration encore plus intense. Après de nombreuses entrées et sorties, il me dit :
Je contractai mes muscles fessiers au maximum. Il émit un « wourff », et dit :
Je comprimai, mais un peu moins.
La sensation changea du tout au tout, pour lui comme pour moi.
Je me remis à genoux, bien cambrée, il me remit un bon paquet de gel, me pénétra, et là, je comprimai mes muscles. Il commença des va-et-vient puissants. Je me sentais écartelée, mais à chaque fois il arrivait à me forcer et à entrer profond en moi. Je sentais à nouveau le plaisir me submerger. Je me mis à faire jouer mes muscles fessiers, tantôt en les contractant, tantôt en les relâchant, et il se mit à pousser des « ahh », « ohhh », « hmmm », je sentis qu’il n’allait pas tarder à jouir.
Dommage que je voyais plus dans le miroir, mais les sensations étaient vraiment extraordinaires, je me laissai glisser doucement, le plaisir me submergea, je crois que Philippe aussi jouissait, mais je ne savais plus trop, j’étais plus vraiment là.
Je me réveillais doucement, il était allongé à côté de moi.
Il partit dans la salle de bains. Quand il revint, je l’attirai vers moi pour lui dire à l’oreille :
Je lui fis un petit bisou et partis à la salle de bains.
Quelques minutes plus tard, quand je revins, je vis tout de suite qu’il s’était endormi. Il dormait comme un enfant, avec un sourire presque angélique. Je mis l’alarme du smartphone à 7 h, j’avais un rendez-vous à 9 h, donc aucune nécessité de me lever trop tôt. Je crois que je m’endormis immédiatement.
Au matin, quand l’alarme sonna, il n’était plus là. Je ne l’avais pas entendu se lever ni quitter l’appartement. Je déjeunai, me préparai et, alors que je partais, je reçus un message de Philippe :
- — Désolé, tu dormais profondément quand je me suis levé, j’ai pas voulu te réveiller. À bientôt
C’était assez laconique. Je ne savais pas trop ce qu’il voulait dire par « À bientôt », mais je n’avais pas d’autre choix qu’attendre de ses nouvelles. La journée se passa trop vite, j’avais trop de choses à faire, je dus ramener du boulot à la maison. En rentrant, j’eus une intuition et regardai sous le vide-poche. Il y avait encore deux billets, mais ceux-ci étaient couleur sépia.