n° 20526 | Fiche technique | 21763 caractères | 21763Temps de lecture estimé : 13 mn | 07/10/21 |
Résumé: Je poursuis l’initiation de mon jeune voisin. Il réussi à me faire jouir et obtient le droit de me faire l’amour, pour mon plus grand plaisir. En parallèle, mon chéri, confiné dans un autre endroit, entame une relation avec une jeune voisine. | ||||
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Auteur : Rebecca38 |
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Résumé de l’épisode précédent :
Je m’appelle Rébecca, je suis en couple libre et me retrouve seule pendant le confinement. Après avoir aperçu mon jeune voisin se masturber, je suis prise du soudain fantasme de faire découvrir les plaisirs du sexe à ce jeune homme. Je ne veux pas me contenter de le dépuceler, mais vraiment l’initier le mieux possible. Poussée par mon mari Joseph qui se retrouve confiné en un lieu différent du mien, j’entreprends une formation progressive pour essayer de faire de lui le meilleur amant possible.
À la fin du premier épisode, Alex vient de goûter pour la première fois à mon sexe sans malheureusement réussir à me faire jouir. Je sens pourtant bien le réel potentiel de mon élève…
Jour 4
Seconde tentative d’Alex qui ne réussit malheureusement pas à me faire jouir. Je ne pus pas lui en vouloir, il avait bien retenu et appliqué les conseils que je lui avais donnés. Il fit preuve de beaucoup de douceur, d’application, et me donna beaucoup de plaisir, mais cela ne suffit pas… il manqua le petit quelque chose qui aurait pu faire toute la différence.
Je le sentis déçu, bien évidemment car il prit ça pour un échec, mais vu la fellation que je lui fis à l’issue, il comprit bien que je ne lui en voulais pas et n’allais pas arrêter là son « éducation ». Il avait dû se branler avant car il avait tenu bien plus longtemps que la fois précédente. Il put avoir un panel bien plus large de mes « talents buccaux »… Il eut l’air de particulièrement apprécier voir son sexe disparaître entièrement dans ma bouche ! J’avoue avoir moi aussi été très excitée par ma propre prestation.
Le soir, après que j’eus raconté mon « cours » à Joseph, celui-ci m’annonça qu’il avait fait la connaissance d’une jeune voisine charmante… La fille des personnes qui habitaient la maison voisine de la maison où il faisait les travaux. Elle était venue passer le confinement chez ses parents suite à la séparation d’avec son copain. Âgée de 20 ans, elle s’appelait Sophia, avait de longs cheveux noirs, des yeux marron, un cul et des jambes normales, mais surtout une paire de seins assez importante vu ce que Joseph avait pu en voir au travers des habits.
Joseph me demanda, pour la forme, si je voulais bien qu’il fasse plus ample connaissance avec elle… Étant donnée la situation, je ne pus que l’inciter, lui aussi, à agrémenter son confinement !
Jour 5
Nouvelle tentative. Il passa très près de me faire jouir. Je crus plusieurs fois que cela allait venir, je ne sais pas pourquoi mais ça ne voulut pas ! Les mystères du corps féminin…
Alex fit preuve d’initiatives, me lécha dans plusieurs positions et m’excita vraiment. Nous commençâmes classiquement : moi, allongée sur le dos, les jambes écartées. Puis je resserrai mes jambes et les tirai vers moi. Je sentais vraiment bien ses doigts glisser en moi… Il s’allongea ensuite sur le dos et je vins chevaucher son visage. Alors qu’il me léchait, j’ondulais du bassin pour y frotter mon sexe. Bien qu’il fût recouvert de ma cyprine, il me lécha avec application tout en caressant mes fesses et mes seins.
Je finis par me mettre à quatre pattes. Pour la première fois, il glissa trois, puis quatre doigts en moi. Il semblait impressionné de voir mon sexe s’ouvrir comme cela pour accueillir sa main… le plaisir qu’il me procurait y était pour beaucoup. J’étais appuyée sur les avant-bras, le visage enfoui dans les draps pour étouffer mes soupirs. Alors qu’il agitait frénétiquement ses doigts en moi, je crus vraiment que j’allais jouir… mais non.
Finissant par le stopper, je lui dis pour le rassurer que ce n’était pas sa faute. Je lui expliquai que Joseph aussi n’arrivait pas toujours à me faire jouir, et que s’il ne me donnait pas de plaisir je ne serais pas trempée comme cela. Je me sentais gênée pour lui. Je le consolai avec une nouvelle pipe que je fis durer longtemps, stoppant plusieurs fois juste avant qu’il n’explose. Je coinçai son sexe pour le branler entre mes seins et cette caresse lui plut particulièrement. Quand il n’en put vraiment plus, je le laissai éjaculer sur mes seins.
De son côté, Joseph avait invité Sophia à boire un café pour discuter avec elle. Même si elle n’était habillée que d’un jean stretch et d’un t-shirt près du corps, il avait pu ainsi mieux apprécier son corps, notamment sa poitrine. Il me confirma qu’elle devait bien faire un 90C… voire D. Elle avait de petites lunettes noires rectangulaires, le genre de lunettes qui peut faire petite fille toute sage, ou à l’opposé, une fille très coquine. Avec son talent habituel, Joseph la « cuisina » un peu. Il apprit qu’elle avait quitté son copain quelques semaines avant le confinement. Cela faisait trois ans qu’ils étaient ensemble, mais depuis pas mal de temps ça n’allait plus trop. Comme c’était sa seule vraie histoire, elle avait longuement hésité à rompre. Depuis, à part une rencontre d’un soir aidée par l’alcool en boîte de nuit (avant les fermetures), elle n’avait pas vu de garçon.
Comme ses parents n’étaient pas du genre à discuter de ses problèmes de cœur, elle était contente d’en parler avec Joseph, même s’ils ne se connaissaient qu’à peine.
Jour 6
Ça y est ! Alex me fit jouir avec sa bouche et ses doigts. Qu'avait-il fait de différent par rapport à la veille ? Je n’en savais rien. Il m’avait déjà léché dans plusieurs positions, il y avait déjà eu un « faux départ ». Désormais à quatre pattes, il me lécha et me pénétra de ses doigts alternativement quand il trouva la bonne position. Les yeux fermés, la tête appuyée sur le lit, je me mis à imaginer que ce n’était pas ses doigts mais son sexe qui était en moi… Que c’était lui qui me prenait en levrette ! Cela provoqua un déclic en moi et je sentis que le plaisir montait pour de bon. Mes soupirs augmentèrent pour se transformer en cris.
Il comprit ce qui se passait et se mit à agiter de plus en plus vite ses phalanges en moi. Une vague de plaisir monta pour me mener à un orgasme assez intense, orgasme que j’exprimai bruyamment. Quand il sentit que cela redescendait, il ralentit le mouvement de ses doigts jusqu’à les retirer pour de bon.
Je restai plusieurs minutes la tête contre le matelas à reprendre mes esprits. Quand je rouvris les yeux, il était allongé à côté, me fixant avec un petit sourire de satisfaction.
Je mentis un peu…
Je me mis à le sucer avec application et envie. Par moment lentement, par moment plus énergiquement. Ma langue titillait son gland, puis je me forçais à avaler entièrement son sexe. Au bout d’un moment, je stoppai, laissant ma bouche au-dessus de son gland et le fixant doit dans les yeux :
Sans le laisser répondre, je pris ses mains, les posai sur mes cheveux et me remis à le sucer. Au début, il se contenta de suivre mon rythme puis se prit au jeu, surtout quand j’avalais entièrement son sexe ! Puis il finit par m’avouer qu’il allait jouir et enleva ses mains, pensant que j’allais arrêter de le sucer. Mais je n’en fis rien, bien au contraire ! Je tenais la base de son sexe que je branlais énergiquement alors que ma bouche allait et venais sur son gland. J’accélérai, je sentis vite son sexe se contracter… il éjacula dans ma bouche. Je continuais à le sucer et le branler jusqu’à ce que son plaisir retombe et j’essayai d’avaler tout le sperme qu’il avait déversé. Un peu coula le long de sa verge et j’eus à cœur de la nettoyer complètement avant qu’elle ne ramollisse.
À peine était-il parti que j’appelais Joseph pour lui raconter tous les détails. Il parut fort excité par mon récit. Je lui demandai également s’il avait progressé avec sa jeune voisine, il me dit qu’elle devait venir prendre l’apéro le soir et qu’il espérait bien voir s’il y avait une opportunité de coucher avec elle ou non.
Je demandais à Joseph de quand même bien faire attention avec elle et de ne pas lui faire croire qu’il pourrait y avoir des sentiments…
Jour 7
C’est le grand jour pour Alex, il va pénétrer une femme pour la première fois ! Je décide de le laisser faire, de le laisser découvrir cette sensation sans vraiment le coacher, pour qu’il soit détendu. Histoire de l’exciter, même si je n’ai pas trop de doutes sur ses qualités à avoir un sexe bien dur, je mets le paquet question tenue : string et soutien-gorge en dentelle mauve, bas autofixants noirs.
Quand je lui ouvre la porte, je vois bien qu’il apprécie ma toilette. Sans un mot, je l’entraîne dans la chambre, lui demande de se déshabiller et m’allonge sur le lit. Son sexe est déjà tendu. Je l’invite à s’allonger à côté de moi après m’avoir remis des préservatifs que je glisse sous mon oreiller.
Il vient se lover contre moi et m’embrasse, me caresse. L’excitation monte vite. Il me débarrasse de mon soutien-gorge, joue avec mes seins, puis ôte mon string pour me lécher avec application. Mon élève a bien retenu la leçon côté préliminaires ! J’ai très envie de le sucer mais je préfère ne pas trop l’exciter pour qu’il ne jouisse pas trop vite.
Après quelques minutes, j’attrape un des préservatifs et le lui tends.
Il met la protection et revient sur moi. Je glisse ma main entre nos corps et saisis son sexe. Je le fais glisser contre mes lèvres qui s’écartent facilement. Mon regard ne quitte pas le sien. Je le fais patienter quelques secondes en empêchant son sexe de glisser en moi, puis le relâche. D’une poussée, il me pénètre. Après être resté figé quelques secondes, il se met à bouger. Il n’a aucun mal à me pénétrer entièrement. Mes mains caressent son dos, ses fesses, et tentent inconsciemment de le calmer quand il veut aller trop vite. Les siennes sont hésitantes, saisissant un coup mes seins, puis mes cuisses, ou se glissant sous mes fesses. Sa naïveté me plaît même si je sais bien que je ne jouirais pas aujourd’hui (enfin, alors qu’il me pénètre…).
Au bout de deux ou trois minutes, il ralentit presque jusqu’à l’arrêt.
Comme pour le rassurer, je l’embrasse tendrement. Il répond à mes baisers, continuant à bouger en moi au ralenti. Puis, n’en pouvant plus, je le sens accélérer fortement et jouir. Je force un peu mes soupirs alors qu’il atteint l’orgasme. Alors qu’il reprend son souffle, allongé sur moi, je le caresse tendrement. En sentant qu’il commence à se ramollir, je saisis la base de son sexe pour l’ôter avant que le préservatif ne glisse. Je le fais s’allonger à côté de moi.
Il s’exécute et m’interroge du regard.
Une fois qu’il est parti, je sors un gode et pense un peu à moi. Même si je n’en ai pas besoin, je lèche le jouet, m’imaginant sucer la queue d’Alex. Puis j’imagine la suite du programme… Alex me prenant dans diverses positions. Je ne mets pas longtemps à jouir, puis vais calmer mes ardeurs avec une bonne douche.
Le soir, Joseph m’annonce qu’il a déjà réussi à faire l’amour avec Sophia… Il n’a pas perdu de temps !
Comme au moment où j’écris ce récit, Joseph est revenu chez nous, il a bien voulu se prêter au jeu et raconter lui-même ce qui s’est passé. Je lui cède donc la place pour raconter :
Sophia était venue pour l’apéro, vêtue d’un jean stretch noir et d’un t-shirt vert pâle, tendu par son impressionnante poitrine. Un peu timide au début, je la mis vite l’aise, et les deux bières qu’elle but très rapidement la détendirent bien !
Assez rapidement, j’orientai la conversation sur sa vie sexuelle avec son copain pour voir si j’avais une chance de parvenir à mes fins ou pas. J’appris donc que c’était le seul mec qu’elle avait eu : rencontré au lycée, première fois commune, mais pas trop de folies question sexe. Enfin, par rapport à ce que lui racontaient ses copines, elle ne faisait rien d’extraordinaire avec son mec et prenait plus de plaisir en se caressant. Mais bon, elle était amoureuse et se disait que ça devait être normal, que c’était ses copines qui exagéraient leurs vies sexuelles pour se la raconter.
Puis la fin du lycée, l’été passa et chacun se retrouva dans une fac différente. La distance n’aida pas forcément, surtout que son mec était dans une fac où les soirées étaient nombreuses… ainsi que les tentations ! Même si certaines de ses copines qui étaient à la même fac que lui lui disaient qu’il la trompait, elle ne voulait pas y croire. Puis un soir, quelques semaines avant le confinement, voulant lui faire une surprise elle alla le voir et le trouva avec une autre fille. Forcément, elle le largua et eut du mal à faire passer le chagrin.
Poussée par ses copines, début mars, elle finit avec un mec rencontré en boîte, mais qui se révéla aussi nul, voire pire que son ex, au lit. Le confinement se déclenchant, elle vint chez ses parents pour se faire chouchouter et faire passer ce chagrin d’amour.
Après qu’elle m’eut conté toute l’histoire, j’entrepris de la rassurer :
Elle sourit, mi-gênée, mi-flattée.
Tout en me répondant, elle bombait le torse pour les faire ressortir encore plus. Et là, l’alcool aidant, elle se lança :
Elle ôta son t-shirt et me dévoila sa poitrine majestueuse. Mon seul regret fut qu’elle portait un soutien-gorge en coton simple et non de la jolie dentelle. J’admirais donc ces deux objets qui me faisaient envie alors qu’elle me regardait fièrement.
Je crois que ma tournure la surprit plus que ma demande en soi, et elle acquiesça du regard. Je posai donc mes mains sur ses seins, les découvrant lentement. Ils étaient fermes juste comme il le fallait. Habilement, j’arrivai à faire sortir un téton du soutien-gorge et le titillai du bout du doigt. Elle semblait apprécier mes caresses. Mes mains se firent plus aventureuses et gagnèrent son dos. Sans qu’elle ne puisse réagir pour m’en empêcher, je dégrafai son soutien-gorge, dévoilant ses seins. Surprise, elle croisa ses bras sur sa poitrine pour les cacher. D’un doigt sur la bouche, je la rassurai :
Elle finit par enlever ses bras. Je pus reprendre mes caresses et jouer de manière plus insistante avec ses tétons. Elle apprécia mes actions et commença à soupirer doucement. J’approchai ma bouche de la sienne. Juste avant de l’embrasser, je lui murmurai :
Puis je l’embrassai. Au début, elle fut timide, je dus aller chercher avec insistance sa langue, puis elle se lâcha. Nous nous embrassâmes avec plus de fougue et je l’attirai pour qu’elle vienne s’asseoir à califourchon sur moi. Mes mains parcoururent son dos, ses fesses, ses cuisses. Puis ma bouche descendit vers ses seins que je dévorai à pleine bouche. Les yeux fermés, la tête penchée en arrière, elle me laissa faire.
Je la fis ensuite basculer sur le canapé pour pouvoir déboutonner son jean et le lui ôter. Je découvris un petit string en coton blanc que je fis glisser immédiatement pour divulguer son sexe.
Ma bouche s’empara de son sexe déjà trempé. Vu les soupirs que je lui arrachai, soit elle était vraiment en manque de sexe, soit aucun de ses partenaires n’avait pris la peine de s’occuper dignement d’elle.
Puis nous nous relevâmes, je basculai le clic-clac en position lit et mis un préservatif. Elle s’allongea sur le dos et je la pris en missionnaire.
Elle était très expressive dans ses soupirs. Nous basculâmes pour qu’elle vienne me chevaucher. Elle s’agita sur moi alors que mes mains jouaient avec ses seins. Sentant la jouissance venir, je saisis ses fesses, les écartai et me mis à la pilonner de toutes mes forces. Les bras tendus en appui de chaque côté de mon visage, elle ferma les yeux et cria de plus en plus fort. Ses seins se balançaient devant mon visage et me procuraient une vision de rêve.
Nous jouîmes ensemble puis je me retirai. Elle resta immobile sur moi quelques secondes pour reprendre ses esprits, puis parut gênée. Elle se releva et commença à se rhabiller. Je lui attrapai le bras et la regardai avec douceur :
Sophia rentra donc chez elle, l’esprit troublé.