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Temps de lecture estimé : 10 mn
02/11/21
Résumé:  Alex me procure beaucoup de plaisir et son initiation devient des plus intéressantes.
Critères:  fh hplusag fplusag hagé jeunes voisins profélève grosseins fdomine voir lingerie caresses fellation préservati pénétratio init -initiat -extraconj
Auteur : Rebecca38

Série : Les joies du confinement

Chapitre 03
Alex apprend vite

Résumé de l’épisode précédent :

Je m’appelle Rébecca, femme en couple libre qui se retrouve seule pendant le confinement. Après avoir aperçu mon jeune voisin se masturber, j’ai été prise d’un soudain fantasme de faire découvrir les plaisirs du sexe à ce jeune homme. Je ne voulais pas me contenter de le dépuceler mais de vraiment l’initier le mieux possible. Poussée par mon mari Joseph qui se retrouvait confiné en lieu différent de moi, j’ai entrepris une formation progressive pour essayer de faire de lui le meilleur amant possible.

À la fin du premier épisode, Alex venait de goûter pour la première fois à mon sexe, sans malheureusement arriver à me faire jouir. Mais je sentais bien le réel potentiel de mon élève.

Dans le second épisode, à force de persévérance et d’application, Alex arrivait à me faire jouir avec sa bouche et ses doigts. Pour le récompenser, nous avons fait l’amour pour la première fois. En parallèle, mon mari a entamé une relation sexuelle avec Sophia, une jeune femme qui, larguée par son copain, est venue se confiner chez ses parents. L’alcool aidant, elle a cédé aux avances de mon homme.








Jour 8 :


Le nouvel objectif : me faire jouir en missionnaire !


Je veux lui montrer que c’est une position à ne pas négliger et qu’il n’y a pas besoin de faire des acrobaties et de prendre des positions fatigantes pour faire jouir sa partenaire.


Nous avons fait l’amour deux fois avec Alex aujourd’hui.


Tout en essayant de le laisser faire pour qu’il découvre par lui-même, je l’ai conseillé sur comment adapter l’angle de sa pénétration en positionnant ses jambes, varier son rythme quand il bouge en moi, ne pas hésiter à rester complètement planté en moi et appuyer son os pelvien pour faire pression sur mon clito. Il a bien appliqué mes conseils et a joui une première fois.


Après une pause de 30 minutes environ, j’ai à peine eu à le sucer pour qu’il rebande. Nous avons donc pu recommencer nos travaux. Il m’a procuré beaucoup de plaisir mais n’a pas réussi à me faire jouir.



Jour 9 :


Ça y est, mon élève m’a fait jouir en me pénétrant !


Comme la veille, il m’a déjà prise une première fois et a joui sans m’amener moi-même à l’orgasme, même s’il m’avait procuré beaucoup de plaisir. Je lui ai dit qu’il ne lui manquait pas grand-chose, qu’il était sur la bonne voie.


Surmotivé, il ne m’a pas laissé de repos et s’est remis à me caresser et me lécher avec beaucoup d’application. J’étais trempée et savourais ce traitement si agréable. Et, avantage de la jeunesse, il a très vite rebandé. Il m’a donc à nouveau pénétrée et je sentais le plaisir tout proche. Il alternait pénétration et léchage de mon sexe pour mon plus grand plaisir. Et cela marcha ! Je l’ai enserré de mes jambes, il a saisi le haut de chacune de mes cuisses pour bien les remonter et a commencé à me prendre plus rapidement. Sentant la vague monter en moi, j’ai commencé à enfoncer mes ongles dans son dos. Il a compris le message, s’est appuyé sur ses mains de chaque côté de mes épaules et s’est mis à me pilonner de plus en plus vite, ses yeux rivés dans les miens. Il voyait bien que mon regard devenait fuyant, que mes cris étaient peu contrôlés. Mes mains crispées sur ses fesses, suivant les mouvements de son bassin, je me laissais totalement aller, profitant de cette onde de plaisir montant en moi.


Alors que nous avions tous les deux le souffle haletant, que chacun de ses coups de reins me fît encore plus perdre pied, je l’ai senti commencer à jouir. Les contractions de son sexe en moi ont déclenché ma propre jouissance et nous avons joui ensemble. Il a continué à s’agiter en moi de longues secondes après avoir fini d’éjaculer, ne me laissant pas reprendre pied. Puis il a stoppé et est resté immobile allongé sur moi. Une fois nos souffles repris, il a pu lire dans mon regard que je n’avais pas simulé. Nous nous sommes embrassés tendrement avant qu’il ne se retire et ne s’allonge à côté de moi. Je l’ai laissé retirer le préservatif et même si je lui avais précisé au début de notre arrangement que je ne voulais pas de sentiments ni d’attache, je me suis collée contre lui et me suis endormie, la tête sur sa poitrine encore transpirante…


Le soir, j’ai tout raconté à Joseph. Même si je sentais bien une pointe de jalousie en lui (plus du fait de ne pas pouvoir avoir de nouvelles de Sophia que du fait que j’ai pris mon pied), il m’a encouragée à continuer, me donnant même des idées intéressantes pour l’éducation de mon élève…



Jour 10 :


Aujourd’hui, « pause éducative » pour mon élève ! Pas de leçon, mais une session de récompense, de remise des prix on dirait dans l’Éducation nationale.


Vu l’énergie et le travail qu’il a mis depuis le début et le plaisir qu’il m’a procuré hier, je me devais bien de lui accorder une journée rien que pour lui.


Après mûre réflexion, j’ai choisi ma tenue : soutien-gorge push up et string en dentelle noire et rouge, bas et porte-jarretelles noirs, jupe noire moulante, chemisier blanc légèrement transparent, escarpins noirs à hauts talons.


Quand il a sonné, je lui ai ouvert la porte en prenant une pose des plus explicites (de trois quarts face, une main sur les hanches, une main contre le mur, une jambe fléchie, une tendue, les fesses en arrière pour bien mettre mes fesses en évidence). Il m’a admiré quelques secondes puis s’est approché et a commencé à m’enlacer. Je l’ai laissé m’embrasser et l’ai emmené vers la chambre. Plantée face à lui, je lui ai expliqué le programme :



Immédiatement, je l’ai déshabillé et ai découvert son sexe déjà tendu. Assise sur le bord du lit, je l’ai sucé quelques secondes puis l’ai fait s’allonger sur le lit. Debout face à lui, j’ai commencé à me déshabiller lentement. Un par un j’ai défait les boutons de mon chemisier que j’ai fait glisser négligemment le long de mes bras. Tout en ondulant légèrement du bassin, je me caressais les seins, le ventre, les fesses ou les cuisses. Alex, le sexe toujours bien tendu, n’en perdait pas une miette. Je voyais qu’il mourrait d’envie de se caresser mais avait la présence d’esprit de ne pas faire monter trop vite son excitation pour pouvoir profiter au maximum de mon numéro. Puis je me suis tournée et me suis penchée vers l’avant pour bien mettre en valeur mes fesses. D’une main, je m’appuyais contre le mur et de l’autre, je caressais mon derrière bien moulé par la jupe. Ma main descendait sur mes cuisses et faisait lentement remonter ma jupe pour découvrir une partie du liseré de mes bas.


J’étais moi–même très excitée par mon numéro et mon sexe était déjà tout trempé. Je défis le zip de ma jupe et la fis glisser lentement le long de mes cuisses, dévoilant tour à tour mon porte-jarretelles, mon string couvrant si peu mes fesses, les lanières tenant mes bas, puis les liserés de mes bas, et enfin mes jambes entières.


Me tournant à nouveau face à lui, je restai jambes écartées à me caresser indolemment et le laissant m’admirer. Certains me trouveront peut-être prétentieuse mais je voyais bien à son regard que, même si nous avions déjà partagé beaucoup de choses intimes, il était littéralement suspendu à mes actions.


M’approchant doucement à quatre pattes, je vins me mettre à califourchon sur lui et l’embrassai lentement. Alors qu’il voulait me caresser, je saisis ses poignets pour plaquer ses mains sur le lit.



Appuyée contre lui, je l’embrassai et frottai mon sexe contre le sien. Je me redressai un peu pour dégrafer mon soutien-gorge et libérer mes seins que je caressais devant lui. Puis je me laissais glisser vers ses jambes, arrêtant mon visage au niveau de son sexe. Je le pris en bouche lentement pour tour à tour, l’avaler entièrement ou le titiller du bout de la langue.


J’essayais de ne pas trop le faire « monter en pression » pour qu’il garde de la réserve pour la suite du programme. Je me remis à nouveau debout au pied du lit pour retirer le dernier bout de tissu qui empêchait son sexe de rentrer en moi. Je me mis d’abord de dos, jambes serrées, dos cambré et fesses en arrière. Une main sur chaque côté de mon string, je le fis descendre avec une lenteur exagérée, l’arrêtant quelques secondes au bas de mes fesses puis le laissant couler le long de mes jambes. Me retournant face à lui, au lieu de venir me positionner sur lui, je posai une jambe sur le lit écartant outrageusement mes cuisses. Les mains sur les seins à les caresser, je fixai intensément mon jeune amant qui se redressa un peu en s’appuyant sur les avant-bras.


Ma main droite alla vers ma bouche et je suçai mes doigts avant de les diriger vers mon sexe, détail plus pour la mise en scène que par réel besoin de lubrifier mes doigts, car trempée comme je l’étais, je n’en avais vraiment pas besoin. Je me caressai le sexe d’abord en surface puis glissai un puis deux doigts dedans. J’essayais de ne pas quitter son regard mais mes yeux étaient attirés par son sexe tendu qui n’attendait que d’entrer en moi. Le plaisir montait continuellement en moi et je crois que j’aurais pu rapidement jouir ainsi. Des cris m’échappaient, mon corps se cambrait inconsciemment. Jamais je n’avais ressenti un tel pouvoir, non pas de domination envers mon élève, mais de guide vers le plaisir.


Je lui dis de mettre un préservatif et quelques secondes plus tard, j’étais à califourchon au-dessus de lui. Je saisis son sexe et le présentai contre le mien pour le frotter le long de mes lèvres. Alors que je ne le voulais pas particulièrement, son gland fut comme aspiré par mon sexe. Ce fut comme si nos deux corps trop excités ne voulaient pas attendre et me laisser jouer avec mon amant. Je restai donc quelques secondes avec juste son gland en moi, puis d’un coup, me laissai tomber sur lui pour l’enfoncer entièrement en moi. J’étais tellement excitée qu’il n’eut aucun mal à me pénétrer. J’en étais même à me demander s’il, passez-moi l’expression, « touchait les bords ».


Penchée sur lui, je l’embrassais et faisais bouger mon bassin autour de son sexe. Je montais et descendais sur lui, le souffle déjà court. Je veillais à ne pas aller trop vite car je sentais bien que mon élève était déjà très excité par mon numéro depuis le début et je ne voulais pas qu’il jouisse trop vite. Même si je lui avais dit qu’il devait profiter, j’avais envie d’aller au bout de mon programme. Puis je me redressai, les bras tendus en appui sur sa poitrine, et continuais de bouger sur lui, les yeux le plus souvent fermés, des soupirs de plaisir m’échappant. Puis, je réalisai d’un coup que je lui avais interdit de me toucher au début et, qu’en bon élève, il m’obéissait. J’attrapai donc ses mains pour venir les poser sur mes mains.



Aussitôt dit, aussitôt fait. Ses mains se mirent à pétrir mes seins, pincer mes tétons, glisser le long de mon dos pour saisir mes hanches puis mes fesses. Désordonnées au début, ses caresses se firent rapidement plus appliquées, venant chercher mes cuisses, jouant avec les liserés de mes bas, coulant le long de mes mollets jusqu’à mes pieds. C’est alors que je me rendis compte que j’avais toujours mes escarpins. Bien sûr, quand nous faisions l’amour debout ou dans un lieu insolite, il m’arrivait souvent de garder mes talons pour mieux dessiner mes fesses et mes jambes et ainsi plaire à mon cher Joseph. Mais c’est une chose que je ne faisais jamais quand je faisais l’amour au lit, plus par côté pratique que pour éviter d’abîmer les draps. Mais en voyant comment il les caressait, je compris mieux l’insistance de Joseph pour que je les garde au lit et me promis de le satisfaire dès que nous nous retrouverons. Par moment, Alex se soulevait pour venir embrasser mes seins dont les tétons pointaient fièrement.


Quand je sentis qu’il était près de la jouissance, je stoppai mes mouvements et le retirai de mon corps. Je m’avançai au-dessus de lui pour venir mettre mon sexe au-dessus de son visage. Instantanément, il souleva sa tête pour venir lécher mon sexe inondé. Ses mains saisirent mes fesses pour venir plaquer mon bassin contre son visage. Sa langue glissait entre mes lèvres, son nez jouait inconsciemment avec mon clito. De mon côté, je frottais mon bassin contre son visage, étalant bien malgré moi (quoique…) ce liquide si particulier qui coulait de mon être, signe du plaisir que j’éprouvais.


Quand j’estimai que son plaisir était un peu redescendu, je retirai mon sexe et revins me mettre accroupie au-dessus de sa verge, mais en lui tournant le dos. Je le fis à nouveau rentrer en moi et je me mis à monter et descendre le long de son sexe. Il saisit mon bassin pour m’accompagner et me soutenir dans mes mouvements. Pour avoir plus d’appui, je mis mes mains de chaque côté de son torse et me penchai en arrière au-dessus de lui. Ses mains allèrent vers mes seins qu’il tenait fermement. Je ne tins malheureusement pas longtemps cette position pourtant si souvent effectuée dans les films X où les actrices doivent avoir une réelle condition physique pour tenir plusieurs minutes ainsi en appui.


Son sexe toujours en moi, je revins me mettre à califourchon le dos droit, mes cuisses le long des siennes (les amateurs de Kamasutra reconnaîtront la position de la chevauchée arrière). Je me contentais d’onduler du bassin, profitant de lui. Puis je me penchai plus en avant (pour rejoindre la position de la pause normande) pour lui offrir une vue incomparable sur mes fesses qui claquaient contre son corps et mon vagin qui allait et venait sur son sexe tendu, tiré vers le bas. Rapidement, je sentis qu’il était encore proche de jouir. Je stoppais à nouveau pour revenir à la position classique de l’Andromaque.



Je me remis donc à m’agiter sur lui, lui exprimant clairement mon plaisir. Ma jouissance aussi était proche et je devais presque me forcer à ne pas jouir avant lui ! Heureusement, rapidement, je sentis qu’il releva un peu les genoux pour venir caler ses cuisses contre mes fesses et prendre appui dessus. Il saisit mes fesses fermement, les écarta et commença à s’agiter rapidement en moi. Instantanément, mon plaisir s’enflamma également. Je me laissais tomber sur lui, ma poitrine contre la sienne, la tête sur le côté, criant de plus en plus. Ses mouvements accélérèrent encore, ses mains bougeant mes fesses pour qu’elles viennent à la rencontre de ses cuisses et claquent dessus.


Il explosa dans un grand râle, continuant de me pilonner alors que moi aussi j’atteignis l’orgasme, le manifestant bruyamment. Traversée par une vague de plaisir, j’étais totalement passive en sentant son sexe encore bouger en moi, ne sachant pas quand j’allais redescendre. Il finit par s’arrêter et nous restâmes immobiles, cherchant tous les deux à reprendre notre souffle. C’est lui qui eut la présence d’esprit de se retirer avant que le préservatif ne risque de glisser de son sexe ramolli.


Je roulai pour m’allonger à côté de lui et m’endormis instantanément…