Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20542Fiche technique18884 caractères18884
Temps de lecture estimé : 11 mn
19/10/21
Résumé:  Cette fois, on veut jouer avec notre nouvelle découverte. Marie est joueuse, et j’ai l’œil qui traîne.
Critères:  fh fhh couple couplus extracon cocus candaul vacances piscine voir sandwich échange fessée portrait
Auteur : Blacksad22_      Envoi mini-message

Série : Marie, moi, et les autres...

Chapitre 02
Les vacances continuent

Résumé de l’épisode précédent :

Marie et moi sommes rejoints durant nos vacances par Paul, un ami d'enfance de Marie. Je découvre un peu involontairement les joies de regarder ma femme avec un autre.








Le lendemain, on en avait pas mal discuté, Marie et moi, et on s’était mis d’accord. On avait tous les deux bien aimé, et ça ne remettait pas en cause notre amour… Juste notre sexualité. Pas vrai ?


On en avait parlé, et c’était tout. J’avais salué Paul en me levant, sans lui dire que je savais et que je l’avais vu tringler ma femme toute la nuit. Ce secret était bien conservé.


L’après-midi passa, Paul et Marie étaient proches, mais Marie me couvrait de baisers, et de câlins. Comme pour montrer qu’elle était toujours à moi, après cette nuit torride avec un autre. Et j’aimais beaucoup.


On a profité de la piscine toute la fin de journée, et je voyais, avec une certaine satisfaction, Marie passer proche de moi, et de Paul, en glissant discrètement sa main sur nos parties, très peu couvertes. C’eut rapidement un très fort effet. Je voyais Paul rougir face à moi, je m’amusais bien, même si c’était toujours une sensation étrange.

Elle sortit de l’eau, marchant comme à un défilé, sous nos yeux intéressés.

Je discutais de tout et de rien avec Paul, jusqu’à ce que j’entende Marie m’appeler :



Je sortis de la piscine, m’excusant auprès de Paul, pour rejoindre Marie dans la maison.



Elle me poussa contre un mur pour m’embrasser. Je fus surpris, mais me laissait aller à son étreinte, posant mes mains sur ses hanches. Elle se pressait contre moi.

Elle me relâcha un instant pour me parler.



J’étais à la fois estomaqué, et séduis par cette perspective. Elle le sentit avant que je le lui formule, et me sourit. Je devais être rouge.



Elle posa son doigt sur mon torse, en regardant le sol, faisant mine d’être gênée.



Elle essaya de s’expliquer et de se justifier, en baragouinant qu’elle avait été excitée par nos regards à la piscine et qu’elle avait envie.


Je ris, et l’embrassai.



Elle sautilla, m’embrassa, et posa sa main sur mon sexe.



Je filais par une autre porte, pour me cacher entre des plantes, invisible depuis la piscine. J’étais un peu loin, mais je voyais tout.


Quelques secondes après, Marie revint se glisser à l’eau.



Elle s’installa proche de Paul.



En posant cette question, elle s’était retournée face à lui, portant ses cheveux pour en faire une queue de cheval, les seins en avant. Lui était assis sur le rebord, les pieds dans l’eau. Je les voyais de profil, tous les deux face-à-face. Très proches.


Il leva la tête.



Elle posa sa main sur son maillot de bain. Il se tortilla, gêné.



J’aimais ce qu’il se passait. Je sentais mon maillot doucement se tendre.

Marie revint à la charge.



Quel homme pourrait résister à ça ? Personne… Et pas Marc ! Il se pencha pour l’embrasser. Elle se colla à lui, entre ses jambes, lui caressant le torse.

Elle recula, pour l’aider à retirer son maillot, le laissant assis sur le rebord, dans la meilleure des positions.

Son sexe était déjà bien tendu. Elle le prit un peu en main, avant de pencher la tête dessus, pour le lécher délicatement.

Paul prit appui derrière lui en gémissant légèrement.


Je la vis descendre de plus en plus bas la tête sur son sexe. Quel spectacle ! Je caressai doucement mon sexe sous mon maillot. J’allais prendre mon temps.


Marie retira son haut de maillot, laissant apparaître ses magnifiques seins, et se remit à la tâche, sexe en bouche.

Paul la saisit par les cheveux pour lui imprimer deux mouvements plus lents, et plus profonds. Puis, il la releva, pour l’embrasser à pleine bouche.


Elle plaqua sa main sur son torse pour qu’il s’allonge sur le rebord… toujours les tibias dans l’eau.



Elle sortit de l’eau, retira son dernier morceau de maillot de bain, pour, à ma grande surprise, s’asseoir sur le visage de Paul. Elle le prit par les cheveux, le laissant poser ses mains sur ses fesses, et gémit.

Elle faisait doucement bouger ses hanches, en fermant les yeux.

Après quelques secondes, toujours assise sur lui, elle se tourna vers moi et me souffla un baiser.

C’était le signal pour moi. Je retirai mon maillot pour me caresser un peu plus efficacement.


Elle me regardait faire, au loin. Toujours en me fixant, elle me parla. C’était indirectement pour moi.



Je retournai mieux me cacher, la laissant libérer son amant de son étreinte humide.

Paul se releva, laissant Marie s’asseoir sur lui. Ils s’embrassèrent avec passion. Sa langue à lui glissait beaucoup entre ses seins, au rythme du déhanché de Marie. Les deux gémissaient de plus en plus fort. Ils n’avaient plus la timidité de la veille, Paul me pensant parti.



Paul se laissait aller. Et Marie aussi. Elle était déchaînée.



Il y eut un silence. J’étais haletant. Marie allait rarement sur ce terrain-là. Elle était encore timide avec moi.

Paul se redressa, la faisant basculer dans l’eau, dans un petit cri aigu.

Il la rattrapa rapidement après, pour la plaquer contre le rebord, dans l’eau. Une main sous la gorge, l’autre sous l’eau, probablement entre ses jambes.



Marie hocha la tête frénétiquement. Je ne le voyais pas sourire, mais je savais qu’il avait un air triomphant sur le visage. Qui ne l’aurait pas eu ?


Il la tourna sur elle-même, et la souleva pour la poser sur le bord de la piscine. Il accompagna le tout d’une gifle sur les fesses, qui claqua très fort.



Deuxième. Plus claquante encore. Elle poussa un petit cri. Puis une troisième, une quatrième, et ainsi de suite. À chaque coup, Marie gémissait.

Et puis, au bout d’un moment, il arrêta pour écarter ses jambes à l’horizontale et glisser sa tête dedans.

Marie se cambra pour poser sa main dans les cheveux de Paul.


Je ne regrettais pas une seule seconde d’avoir laissé Marie y aller. Elle savait que j’étais là et tentait parfois des petits regards en coin vers moi. J’avais envie de jouir devant ce spectacle qui n’avait pas de prix.


Après ses coups de langue bien placés, il la tira vers lui pour la remettre à l’eau, toujours dos à lui. Il lui chuchota quelque chose à l’oreille. Je vis le visage surpris de Marie passer à la malice. Elle hocha la tête, et se pencha un peu en avant, le laissant se préparer à ce qui ressemblait à la pénétration.

Elle s’accrochait au rebord, lui y allait doucement, amplifiant ses coups de reins progressivement. À chaque mouvement, de l’eau giclait autour d’eux.


Marie ne gémissait plus, elle criait de bonheur.


Il la plaqua contre lui, la tenant sous la gorge. Ses mouvements se firent plus forts, mais plus saccadés. Un dernier coup, puis un hurlement des deux amants, je devinai qu’il venait d’éjaculer à l’intérieur de Marie.

Et à cette pensée, et vision, je jouis à mon tour.


Je remontais mon maillot pour filer discrètement, laissant mon spectacle se terminer par un baiser langoureux.

Un peu plus tard, Marie revint me voir pour m’embrasser dans le cou, en se serrant contre moi. Elle me glissa quelques mots à l’oreille.



J’avais toujours du mal à retirer ces images de ma tête, pas parce qu’elles m’avaient choqué, mais parce que j’avais trouvé ça beau. Et rien que d’y penser, je sentis légèrement mon caleçon rétrécir.

J’embrassai Marie.


Une fois remis de mes émotions, je fis mine de revenir de la ville, comme si de rien n’était. Je m’amusais bien à regarder le jeu entre Marie et Paul, qui se regardaient discrètement en pouffant… Pas si discrets, finalement.


Nous étions en train de préparer le dîner pour une dernière soirée avec Paul qui avait décidé de partir le lendemain matin. Il nous l’avait annoncé un peu avant. Il avait eu peur, peut-être ? Marie et moi dans la cuisine, nous eûmes un début de discussion.



Silence. C’était une bonne idée. Ça n’allait pas être Paul qui allait refuser après l’après-midi endiablé qu’il avait passé.

J’avais un grand sourire.


Un baiser rapide sur ses lèvres.

Retour au repas.

Nous avions ouvert une bouteille de vin, puis deux. L’alcool commençait à drôlement monter.


Une fois le repas terminé, j’invitai les deux à passer au salon, pour boire un verre de digestif. Marie m’embrassa tendrement, en me chuchotant à l’oreille.



Je n’avais pas les idées très claires, mais ça m’avait beaucoup plu. On passait aux choses sérieuses.

Je m’installai sur un fauteuil, pour servir à Paul un verre, et discuter, en attendant Marie.



Il devint tout rouge, et se mit à bégayer.



Je souris. À cet instant, Marie entra dans le salon, vêtue d’un peignoir. Elle était allée se changer. Mais le peignoir ne resta pas longtemps. Il glissa le long de ses épaules, pour tomber au sol, la laissant face à nous deux, en lingerie fine. Elle me fixait droit dans les yeux, en s’avançant vers moi. Elle s’installa sur mes genoux, pour m’embrasser. Je passai doucement mes mains sur ses hanches, et sur son dos. Je sentis Paul crispé sur son fauteuil, à observer la scène.


Je me dégageai des lèvres de Marie pour l’observer en souriant.



Elle posa sa main sur l’entrejambe de Paul qui eut un mouvement de surprise. Elle lui sourit, d’un regard plein de désirs, avant de se mettre à genoux, face à moi.


Elle déboutonna mon pantalon, en passant doucement sa langue sur ses lèvres, pour les préparer à recevoir mon sexe déjà tendu. Je la regardai l’avaler délicatement. Elle plongea son regard dans le mien, montant et descendant sur mon sexe, et passa rapidement à regarder Paul. Il avait repris ses esprits. Son sexe était de sortie, tendu comme quelques heures avant, et il commençait à se caresser, en regardant ma femme à l’œuvre.


Étrangement, voir un homme se masturber devant votre femme qui vous suce, c’est très satisfaisant. Ça donne un sentiment de puissance.


Toujours mon sexe en bouche, Marie passa sa main pour saisir le sexe de Paul et se mettre à l’œuvre à son tour. Elle me regardait, comme pour chercher mon approbation. Je hochai la tête, en souriant. J’adorais ma nouvelle position.


Elle dégagea ses lèvres de mon pieu et alla les glisser le long de celui de Paul. Il avait rapproché son fauteuil pour que Marie soit parfaitement au centre.


Une main sur chaque sexe, la bouche sur celui d’un étranger, on entendait sa respiration forte, et quelques gémissements.


Elle repassa sur mon sexe, pour le lécher avec fougue. Elle le plaça entre ses deux seins, pour me chauffer d’autant plus. Elle cracha dessus, étalant sa salive tiède sur ma queue, et se releva. Elle me tourna le dos pour s’asseoir sur mes genoux, que je puisse la pénétrer. Elle regardait Paul, qui se branlait en l’observant. Après quelques mouvements de bassin, elle se pencha en avant pour fourrer sa tête entre les jambes de Paul, qui gémit doucement. Un bruit de succion bien caractéristique se fit rapidement entendre. Elle continuait de bouger son bassin sur ma queue, et je l’aidais à imprimer le bon mouvement. Paul tenait la tête de ma femme, et je lui donnais quelques claques légères sur l’arrière-train. C’était le summum du plaisir. Je voyais la femme que j’aime sucer quelqu’un d’autre, mais elle était assise sur ma queue. C’était génial. Quelques jours avant, j’aurais été choqué, mais l’évolution était arrivée bien vite, mais je ne regrettais rien.


Elle se releva, s’essuyant délicatement les lèvres, pour se retourner, et se mettre face à moi. Elle se cambra, les fesses face à Paul, le visage face au mien. Avec ses deux mains, elle tenait sa chatte écartée, probablement dégoulinante.


Paul tomba à genoux, pour y glisser sa langue. Je regardais à peine le visage de Marie se contracter de plaisir. Je passais ma main sur sa poitrine, pour y presser doucement ses tétons. Elle gémit, et plongea sa tête sur mon sexe, y donnant de grands coups de langue.


Après quelques instants de jeu de langue, Paul se redressa, posant sa main sur le dos de Marie. Il était debout, concentré. Je devinais bien à quoi… Il était en train de prendre Marie par-derrière. Je le sentis d’ailleurs, lorsqu’elle serra légèrement sa bouche, toujours sur mon sexe, surprise. Elle se libéra la bouche, pour me regarder, ses yeux brillants de plaisir.



Je la regardais jouir sur le sexe d’un autre, juste face à moi. Et pourtant, je me sentais puissant. Maître de la situation. Je lui saisis le visage pour l’embrasser à pleine bouche, en même temps que les coups de reins de Paul.


Elle gémissait à chaque va-et-vient de Paul, qui commençait à rougir lui aussi. Marie avait les yeux fermés, assise sur ses genoux, face à moi, dos à lui, elle montait et descendait sur son sexe. Moi j’observais cette scène en caressant ma queue. Marie était sublime. Son corps luisant de sueur tremblait de plaisir. Les mains de Paul qui lui frappaient les fesses, caressaient les hanches, les seins, et même le sexe, plissaient sa peau douce, la laissant en extase. Je la regardais et tombais amoureux d’elle chaque seconde… À chaque fois que son regard croisait le mien. Elle prenait du plaisir, ça se voyait. Paul brisa ce moment de silence, et de douces plaintes.



Marie se leva rapidement pour retomber à genoux devant lui. Je voyais maintenant son sublime postérieur rougi par les claques répétées de Paul. Elle avait placé ses seins sur la queue de Paul, pour l’astiquer et le faire venir. Après quelques bruits de peau, il eut un râle puissant. Il avait joui sur ma femme. Elle s’arrêta un instant, et se retourna vers moi pour me regarder en léchant ses seins. Je la voyais à genoux face à moi, devant l’homme qu’elle venait de faire gicler, en train d’avaler la moindre goutte de sa semence. Moi aussi j’allais venir.


Lorsqu’elle eut fini de passer sa langue sur sa peau, elle se releva, pour s’asseoir sur moi et faire glisser mon sexe en elle. Elle gémit très fort, basculant la tête en arrière. Je m’empressai de sucer ses tétons, en les mordillant légèrement. Ils avaient encore le goût de sa salive.


Son arrière-train basculait sur mon sexe, au rythme de ses cris, et des miens. Elle était déchaînée.


Elle ralentit un instant, pour venir me chuchoter à l’oreille, en y passant la langue.



Je sentis un frisson me parcourir. Même si elle venait de baiser un autre homme face à moi, j’étais toujours le sien. Et l’entendre me souffler ça m’emplit de plaisir.


Elle se releva, pour se mettre à nouveau à genoux entre mes jambes, en enfournant mon sexe dans sa bouche. Elle le suçait et le branlait comme si elle ne l’avait pas eu depuis des années. Comme tout au début de nos ébats fougueux. Elle l’avala jusqu’à la limite, passant sa langue sur mes boules. Elle y resta un instant, sans que je garde ma main sur elle. Et à force, je jouis à mon tour. Explosant au fond de sa gorge. Elle eut une petite toux, mais conserva sa tête sur mon sexe, et avala tout. Elle me regarda, avec un regard tendre, avant de m’embrasser fougueusement. Je l’aimais.