n° 20628 | Fiche technique | 14963 caractères | 14963Temps de lecture estimé : 8 mn | 09/12/21 |
Résumé: Marie envoie une photo d’elle à un collègue. Il n’est pas déçu, et moi non plus. | ||||
Critères: fh couplus extracon cocus candaul collègues douche amour voir exhib fellation préservati | ||||
Auteur : Blacksad22_ Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Marie et moi découvrons un peu par hasard les joies du candaulisme, grâce à Paul, son meilleur ami.
Les dernières vacances s’étaient achevées dans la joie et le bonheur, tous les deux à la découverte de notre nouvelle passion. Paul était reparti tout content, et Marie et moi n’avions jamais autant fait l’amour, et jamais avec autant d’intensité. J’aimais bien ce nouvel élément dans notre relation. Si ça s’était fait plutôt brusquement, sans qu’on me demande mon avis, j’avais évolué. Et Marie m’avait promis que je serais au courant de tout. Et inversement.
Mais qui dit « fin de vacances », dit « retour à la vie répétitive » du boulot, mais pas aujourd’hui. J’étais bien au bureau, mais la journée avait pris un sacré tournant. J’étais devant mon ordi depuis le matin, et je m’ennuyais ferme. J’avais un peu de travail, mais pas assez pour occuper la journée. Alors je tournais un peu en rond.
Je sentis une vibration dans ma poche. Un message de Marie. Enfin une photo. Je l’ouvris sans me douter de rien, mais je sursautais lorsque je pus en voir la nature. Je remis mon téléphone dans ma poche, levant la tête, pour vérifier que personne n’avait été témoin de ma surprise. Je me levais pour me diriger innocemment vers les toilettes, pour regarder tranquillement.
Une photo de Marie, allongée sur notre lit, nue, en train de se toucher. Je scrutai les moindres détails, mais je ne pus trouver un seul défaut. Elle était sublime. Je sentis doucement une érection monter. Mais elle fut plus déterminée lorsque je vis son message avec.
- — Je peux envoyer ça à un collègue ? Je lui dirais que c’est une erreur.
Elle avait l’air de passer une bien plus belle journée que moi. Ou du moins, elle pensait à s’amuser.
Je regardais encore la photo, me demandant quel collègue pouvait bien mériter d’observer un tel chef-d’œuvre. Puis, je répondis :
- — Oh que oui. Tu m’as donné envie de toi maintenant.
Je sortis des toilettes, pour retourner à mon bureau.
- — Mais je veux que tu me racontes ses réponses maintenant.
Je n’avais rien à faire, alors j’avais envie d’en savoir un peu plus.
Elle me renvoya un cœur rouge, puis plus rien. La réponse devait se faire attendre. Puis une bonne heure plus tard, je reçus un screenshot de sa conversation. La fameuse photo. Avec un autre message.
- — Oh non, désolé, ce ne t’était pas destiné ! Je suis gênée !
Lui, il avait répondu sobrement :
- — Ahah, ça arrive. Ton mari a bien de la chance. J’essayerai d’oublier ce que j’ai vu.
J’aimais beaucoup sa réponse. Il était poli, mais laissait une très, très large ouverture. Et Marie avait plongé dedans.
- — En tout cas, garde ça pour toi.
Deuxième message :
- — Enfin, secret !
- — OK, je la garde pour moi alors.
Oh le vilain. Il jouait franc jeu.
Puis, plus rien. Marie me disait qu’il ne répondait plus. Mais quelques minutes plus tard, il y eut du nouveau. Je pus voir la suite par screenshots interposés.
Il avait envoyé une photo de son sexe, à priori tendu, vu sa taille, avec la légende « comme ça t’as aussi un dossier sur moi », et quel dossier ! Il s’était pris en photo devant le miroir des toilettes, pantalon baissé. Je ne l’avais jamais rencontré. Sûrement un nouveau. En tout cas, son sexe pendait légèrement au-dessus de la moitié de sa cuisse. Il soulevait légèrement sa chemise, laissant apparaître ses abdos saillants. Il n’était pas dupe.
Marie lui avait répondu.
- — Oh. Eh bien, ça valait le coup de se tromper.
J’admirais le culot de ce collègue. Il avait répondu :
- — J’adorerai retirer le « se » à ta phrase.
Marie était aux anges. Elle avait envoyé une autre photo, prise de plus bas, où on voyait clairement son sexe humide. Il ne répondit pas immédiatement, mais joignit à son tour une photo de son sexe, en beaucoup plus gros plan.
Je m’étais à nouveau redirigé aux toilettes, par souci de discrétion. Même s’il n’y avait personne au bureau aujourd’hui, je ne pouvais pas regarder de telles photos comme ça.
Un autre screen de Marie.
- — Ta queue me donne envie.
- — Elle n’attend que ça !
- — Alors, viens maintenant chez moi !
Puis, notre adresse. C’était si alléchant. J’avais commencé à me caresser doucement, imaginant la suite qui allait arriver. Puis un message de Marie.
- — Il est là dans 10 min. Tu peux venir discrètement après, je laisserai la fenêtre du jardin ouverte. Je veux que tu voies ça. Je t’aime.
Ni une, ni deux, je pris la direction de la maison, prétextant un problème avec ma femme qui nécessitait mon retour. Personne n’allait s’y opposer.
Je m’efforçais de respecter les limitations de vitesse pour rentrer à la maison. J’avais une gaule d’enfer. Je m’imaginais tout un tas de scènes, bien avant d’arriver à la maison. Cet après-midi avait pris un tournant surprenant, mais j’étais bien heureux de le voir se profiler de cette façon. Et le mystère de l’identité du collègue rajoutait de l’excitation.
Après un quart d’heure de trajet, qui semblait une éternité, je pus enfin me garer un peu plus loin, pour finir le trajet à pieds. Je ne voulais pas faire fuir ce charmant amant.
Comme promis, la fenêtre du jardin était ouverte, et je pus m’y faufiler discrètement. Une fois à l’intérieur de notre maison, je n’ai pas eu besoin d’en savoir plus. On entendait très clairement Marie jouir à l’étage. Dans notre lit à nous. Ah les fumiers.
Je montais l’escalier, esquivant soigneusement les marches grinçantes, pour déboucher devant la porte de la chambre, entrouverte. Je n’avais plus qu’à me régaler.
Marie, sur le dos, les jambes écartées, et son collègue, un homme musclé, a priori légèrement plus vieux que moi, enfoncé en elle, tenant ses chevilles pour la pénétrer plus facilement. Il y allait à fond. Je ne voyais que son dos, mais ses contractions et ses mouvements secs témoignaient d’une chose : aucun sentiment dans cette affaire, il était venu pour la baiser, et ça se voyait. Il grognait par moments, entre deux petits cris de Marie.
Il se retira, pour la laisser replier ses jambes.
Un ordre, sec et précis. Marie ne se fit pas prier, et mit en avant sa croupe luisante. Même moi, je le voyais d’ici. Elle avait le teint rouge et transpirant. Ses petits cheveux de devant, habituellement toujours ondulés, étaient plaqués sur son front.
Son collègue la saisit par la taille, l’approchant contre son sexe, pour se glisser en elle. Elle ferma les yeux au moment de la pénétration. Il grogna, puis la saisit d’un coup sec par les cheveux, amorçant ses coups de reins.
Une fois encore, il y allait fort. On entendait résonner ses cuisses contre celles de Marie. Elle avait toujours la tête coincée en arrière, par une poigne vigoureuse. La deuxième main libre se balada sur sa poitrine, malaxant ses seins un par un, pour remonter jusqu’à sa gorge. Elle était à lui, et il lui faisait comprendre.
J’en devenais presque un peu jaloux. Avec Paul ou les quelques autres fois avec des inconnus, c’était différent. Là, Marie était violemment dominée, par quelqu’un qui savait que j’existais. Et qui devait en tirer du plaisir. J’en étais si dur…
Son collègue lui relâcha les cheveux pour la plaquer contre le lit, et s’enfoncer encore plus profond en elle. Et plus rapidement.
Marie peinait à articuler.
C’était bien ça. Il tirait du plaisir à la savoir avec moi. Tant mieux, parce que j’en tirais aussi du plaisir. Et Marie aussi, visiblement.
Il s’était mis à crier. Et Marie ne put que lui répondre en criant :
J’avais la main enfouie dans mon pantalon. C’était incroyable. Tout ce qu’il se passait était incroyable.
Ses coups commençaient à perdre en intensité, et je le vis se reculer. Marie retomba sur le lit, à bout de force.
Il retira le préservatif qu’il avait visiblement sur son sexe, pour se diriger vers la table de chevet. J’étais content qu’il en ait porté un. Un minimum de sécurité.
Sur cette table, il prit le téléphone de Marie, et alla s’installer sur elle, jambes au-dessus de son abdomen.
Sage intention. Je l’aimais bien ce mec finalement. Je vis Marie engloutir le sexe tendu qu’elle avait sous les yeux, et je le vis rire, en filmant la scène du dessus.
Non, non, je ne t’en voulais pas. J’arrivais doucement à ma fin, sur le point de jouir.
Marie était toujours affairée sur le manche de chair, aidée par son collègue, qui lui tenait la tête de sa main libre.
Puis il se mit à gémir plus fort qu’à l’accoutumée, et fut pris de quelques spasmes. Il se retira d’un coup de sa bouche, pour jouir sur le visage de ma femme, surprise, et descendant sur sa poitrine.
Il laissa échapper un souffle de plaisir, en essuyant son sexe sur les joues de celle qu’il venait d’asperger.
Il n’avait vraiment que le mot salope à la bouche, celui-là. Je me décalai rapidement dans la chambre d’amis, le laissant sortir, tout en remettant sa chemise. Je terminai mon affaire de mon côté, sans grand mal. J’avais encore de sacrées images en tête. La croupe rouge de Marie, son visage à bout de souffle, son corps trempé de sueur… Je vins très rapidement. Quelques instants plus tard, la porte d’entrée claqua. Il était parti.
J’entrais dans la chambre, pour voir Marie, toujours allongée sur le lit, essouflée, et couverte de semence.
Elle releva la tête, pour me regarder.
J’avais envie d’elle. Même dans son état. C’était presque encore plus excitant. Mais je la laissais filer sous la douche, la suivant de très près.
Je me déshabillai, en la regardant glisser sous la douche, se nettoyant de son activité précédente. Je venais de jouir, quelques secondes plus tôt, mais j’étais déjà dur. Elle glissait ses mains sur sa peau, en me regardant. L’eau commençait à devenir vapeur, emplissant la pièce d’une chaleur douce et agréable.
Je me joignis à elle, passant sous l’eau chaude, pour la serrer contre moi, posant mes lèvres sur les siennes. Elle passait ses mains sur mon dos et dans mes cheveux, en m’embrassant avec une rare passion, comme si elle voulait me redécouvrir entièrement. Mes mains glissaient le long de son corps, suivant les gouttes d’eau.
Je profitais d’un instant de liberté pour lui glisser quelques mots à l’oreille.
Elle replongea sur mes lèvres, me plaquant contre le mur, passant sa main sur mon sexe. Nos deux corps étaient soudés, comme si on ne pouvait plus jamais nous séparer. Peu importe qui passait par-là, nous étions unis. Et c’était exactement pour ça que j’aimais toute cette histoire. Parce que chaque fois, c’était comme le premier jour.
Je commençais à gémir, et elle reprit de plus belle, encore plus fort.
Elle tomba à genoux, me laissant presque seul. J’accompagnais son mouvement en caressant son dos, pour en remontant ses cheveux. Elle m’engloutissait entièrement. C’était le summum. Une détermination que j’avais rarement ressentie. Ses lèvres glissaient avec passion le long de mon membre, laissant la salive se noyer avec l’eau qui ruisselait sur nos corps.
J’allais jouir, et je le lui fis comprendre. Mais ça ne servit qu’à la faire redoubler d’efforts. L’excitation était telle, que je finis par jouir dans sa bouche, la regardant avaler chaque goutte. N’en laissant aucune déborder. Elle se releva, pour m’embrasser tendrement.
Je la suivis hors de la douche, la serrant contre moi. Quelle journée ! Nous nous écroulâmes sur les draps, nous glissant sous la couette, pour terminer notre journée, blottis l’un contre l’autre, suspendus à nos lèvres respectives.