n° 20565 | Fiche technique | 14751 caractères | 14751 2453 Temps de lecture estimé : 10 mn |
03/11/21 |
Résumé: Entraînée dans de multiples dérives depuis qu’ils se sont installés au Pays basque, et alors qu’Antoine s’absente beaucoup, Laura se retrouve confrontée à des situations qui vont finir par la mettre en danger. | ||||
Critères: #aventure fh fhh copains piscine boitenuit nudisme fellation pénétratio jeu | ||||
Auteur : Djangerine Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Mon beau militaire Chapitre 01 / 06 | Épisode suivant |
Chez eux, l’été, ils avaient l’habitude de rester à poil une bonne partie de la journée, et pas seulement pour profiter de la piscine ou pour prendre le soleil sur la terrasse. Ils s’étaient même amusés à ça en présence d’amis intimes, en particulier avec Tony puisqu’il était très souvent chez eux, mais lui gardait toujours son maillot.
Bien sûr, Tony ne pouvait s’empêcher de mater les jolis seins de Laura ou ses petites fesses, il ne s’en lassait pas, mais ils s’étaient tous habitués à cette promiscuité, convaincus que cette liberté symbolisait leur amitié et leur confiance réciproque.
Tony ne se sentait plus gêné par la semi-bandaison que continuait à lui provoquer cette proximité érotique, Laura se contentait d’en sourire quand elle la remarquait mais généralement elle n’y faisait pas attention.
Tony était tellement souvent chez eux qu’ils avaient même un jour fait l’amour sur le sofa de la terrasse alors qu’il était dans la maison. Ils l’avaient oublié, mais lui n’avait rien raté de leur partie de jambes en l’air et de la succession des positions qu’ils avaient adoptées, d’une pipe interminable à une levrette énergique qui avait secoué les seins de Laura en tous sens. C’est plus tard qu’ils s’étaient rendu compte de sa présence. Confus, il n’avait pas nié les avoir regardés à leur insu. Bien que mal à l’aise, Laura l’avait assuré qu’elle ne lui en voulait pas, que c’était leur faute, c’était à eux de faire attention.
Banalisant l’incident, ils avaient par la suite recommencé, ne se préoccupant plus de sa présence, d’ailleurs de plus en plus proche.
Un jour à la fin d’un après-midi un peu trop arrosé dans les bars du village, ils étaient rentrés tous les trois. Affalés sur le sofa de la terrasse, les deux amoureux avaient commencé à s’enlacer, Laura s’était vite retrouvée à moitié nue. Tony allongé sur une chaise longue les matait, excité par les formes plantureuses de son amie. Antoine très exhibitionniste se faisait sucer en maintenant Laura à quatre pattes à côté de lui. Tony pouvait profiter d’une très jolie vue sur ses fesses et sur ses seins qui se balançaient au rythme des va-et-vient de sa bouche sur la queue d’Antoine.
Laura était gênée de se donner ainsi en spectacle mais n’arrivait pas à se soustraire à l’emprise d’Antoine. La séance se poursuivait, Tony ne quittait pas du regard Laura, le buste droit maintenant, ses seins tressautaient à chaque mouvement d’Antoine qui la faisait le chevaucher, face à lui, en la tenant par les hanches.
Celui-ci prit conscience de la présence de Tony de l’autre côté de la piscine, figé, nerveux. Désinhibé par l’alcool et excité par le scénario qu’il imaginait, il l’interpella,
Tony sursauta puis s’approcha hésitant en contournant la piscine. Antoine stoppa son activité mais maintenait fermement Laura empalée sur lui.
Abasourdie par l’idée de son mec, Laura se rendait bien compte que leur attitude vis-à-vis de Tony était pour le moins perverse. Il était également vrai qu’à plusieurs occasions au cours de soirées, Antoine l’avait incitée à sucer un de leurs copains et s’était réjoui du spectacle. Antoine insistait :
Laura n’avait toujours pas dit mot, consciente du dérapage dans lequel ils s’engageaient, mais subissant la situation, elle s’était tournée vers Tony, conciliante. Celui-ci bafouilla inquiet :
Choqué par les mots employés par son ami, Tony se trouvait acculé.
Maladroitement, il commença à déboutonner sa braguette. Antoine poussa Laura vers lui. S’arrachant à lui, elle se rapprocha de Tony. C’est elle qui fit descendre pantalon et caleçon, libérant le sexe qu’elle avait déjà vu vaguement bandé mais jamais en pleine érection comme maintenant. Il était vraiment très long.
Antoine s’était redressé à son tour et était venu derrière Laura, il la fit se pencher en avant puis se mettre à quatre pattes, cuisses écartées pour la reprendre. En même temps, Laura qui avait pris le sexe de Tony en main avança sa bouche.
Elle le prit alors qu’Antoine la pénétrait à nouveau avec force, la projetant sur Tony et l’obligeant à l’engloutir plus que ce qu’elle aurait voulu. Il se mit à aller et venir avec de grands mouvements de bassin pendant qu’elle tentait tant bien que mal de prodiguer une fellation convenable à leur invité. Antoine s’amusait de la voir s’étrangler en avalant la queue de son pote.
Tony, complètement déstabilisé par la situation, n’en bandait pas moins, chaque parcelle de sa queue tendue comme un arc captait intensément la caresse des lèvres qui l’encerclaient, de la langue qui s’enroulait autour de lui, de la bouche qui l’aspirait presque tout entier et allait provoquer inexorablement sa jouissance.
Honteux de se livrer à cet acte dépravé avec la femme de son ami, il ne résista néanmoins pas plus de trois minutes avant de se crisper, prévenant Laura de l’imminence de son éjaculation, puis de se mettre à trembler, à gémir en même temps que ses jets partaient, soigneusement dirigés par Laura sur une serviette.
Elle continua à le caresser avec douceur pendant qu’il reprenait son souffle et qu’Antoine, quand même surpris par l’intensité de l’effusion à laquelle il venait d’assister, s’activait afin d’en finir. Il vint très vite et les deux amants sombrèrent dans une douce torpeur.
Au comble de la confusion, Tony avait déjà disparu.
Du fait de son travail, Antoine devait souvent s’absenter pour des périodes plus ou moins longues. En son absence, Tony accompagnait souvent Laura lors des sorties avec leur groupe d’amis, protecteur, se sentant responsable de Laura vis-à-vis de son ami d’enfance. Il dormait souvent à la maison. Laura était plutôt contente de ne pas se retrouver seule, bien que trouvant son rôle de chaperon un peu déplacé et ambigu.
Un dimanche matin elle se leva et le trouva dans la cuisine déjà occupé à son ordinateur. Mais se pointant les seins à l’air comme à son habitude, elle ne put que constater l’effet immédiat qu’elle lui fit. Il avait beau se tortiller sur son tabouret, croiser et décroiser ses jambes, son maillot ne laissait rien ignorer de sa bandaison. Elle ne put s’empêcher de le taquiner :
Tony était vraiment confus mais l’évocation de Laura avait encore fait empirer sa confusion. Gênée à son tour, Laura essayait maladroitement de se rattraper :
Le sexe de Tony tendait son maillot, semblable à un piquet de tente. Tous deux désemparés, ils ne savaient plus quoi dire. Tony fit mine de battre en retraite vers l’étage, mais Laura crut devoir le rattraper :
Tony était statufié.
Laura s’enhardissait.
Se rapprochant elle passa elle-même une main dans le short de Tony et l’attrapa. Tony était tétanisé, effrayé par l’idée de trahir la confiance de son ami en son absence. Laura le rassura :
Elle avait commencé à le masturber d’une main ferme, faisant descendre son maillot de l’autre. Rassuré, Tony se détendait et commençait à jouir de la caresse qu’elle lui prodiguait.
La situation excitait également Laura.
Elle s’étonnait elle-même de parler aussi crûment.
Tony ne répondit pas mais s’en empara avec avidité. Laura se pencha et le prit dans sa bouche. Elle fit coulisser ses lèvres sur la queue du garçon le couvrant de salive, appréciant la tige longue et fine, bien raide. Elle aimait jouer avec et sentait son ventre s’embraser. Elle se rendait compte, un peu tard, que la situation n’avait rien à voir avec celle de l’autre jour. Sans l’effet de l’alcool et de sa baise avec Antoine, la pipe un peu anodine de ce lointain dimanche se transformait aujourd’hui en quelque chose de beaucoup plus ambigu, mais elle ne pouvait plus reculer maintenant.
La position était inconfortable, elle l’invita à aller sur le sofa. Il s’y assit et elle vint se mettre à quatre pattes perpendiculairement pour le reprendre. Il pouvait dans cette position jouer avec ses seins qui se balançaient à chaque mouvement.
Se laissant aller sur le dos il les délaissa néanmoins et tendant le bras, se mit à caresser les hanches puis les cuisses de Laura, remontant ensuite vers ses fesses qu’il n’avait jusque-là jamais touchées. Laura le laissait faire, quand même surprise. Il se risqua à passer une main sous sa culotte, furtivement d’abord, puis affermissant son geste il vint enserrer successivement chaque fesse. Il avait envie de lui rendre sa caresse.
Laura sans le vouloir vint au-devant de son intention, écartant légèrement les jambes et se cambrant davantage, lui envoyant un signal, il comprit qu’il pouvait s’aventurer plus loin.
Du bout de ses doigts, Tony descendit sur ses fesses en entraînant la culotte, jusqu’à venir effleurer ses lèvres qu’il savait parfaitement épilées, mais dont il sentit toute l’humidité. Il descendit encore jusqu’à trouver son clitoris et se mit à le caresser. Laura était vraiment surprise de son audace mais appréciait la caresse. Tony lui-même n’y croyait pas et sentait sa propre jouissance venir.
Il accentua la caresse de ses doigts et banda ses abdominaux pour se contenir. Laura avait capté le message, elle s’appliquait encore davantage, pompant le sexe de son compagnon avec application et le branlant en rythme. Peu soucieuse de jouir elle-même, elle voulait l’amener rapidement à se libérer.
Tony avait compris qu’il ne tiendrait pas. Submergé, il délaissa le clitoris et d’un réflexe de possession il enfonça deux doigts dans la chatte de Laura au moment où il déchargeait. Cette pénétration inattendue la fit se cambrer et elle jouit en même temps qu’un premier jet de sperme jaillissait et l’éclaboussait. Elle dirigea les suivants sur le ventre de son camarade de jeu.
Elle le branla consciencieusement jusqu’à ce qu’il soit complètement apaisé et qu’il s’affaisse, groggy.
Il sursauta soudain, prenant conscience que sa main se trouvait toujours dans la culotte et deux doigts enfoncés dans la chatte de la femme de son meilleur ami. Il s’empressa de les retirer et ils purent se redresser, à nouveau tout à fait confus.
Tony lui dit quand même timidement :
Un autre jour, alors qu’ils participaient, toujours en l’absence d’Antoine, à une soirée particulièrement débridée, certains des convives dépassèrent les bornes.
Laura fut prise à partie par des garçons qu’ils ne connaissaient pas. Dans un premier temps, elle se prêta au jeu des provocations, mais un des gars eut un geste totalement déplacé, se collant derrière elle et saisissant ses seins alors qu’elle dansait. Il se trémoussait victorieux, agrippé à ses trophées qu’il pressait outrageusement en même temps qu’il mimait un coït, debout collé contre ses fesses. Laura criait pour qu’il la laisse et eut du mal à se dégager. Ses amis accourus à son secours, une échauffourée s’en suivit, le gars prit deux bonnes droites qui l’allongèrent mais ses propres copains s’en mêlèrent et la situation faillit bien dégénérer. Le gars était bien bourré et ses copains reconnurent qu’il l’avait bien cherché, faisant redescendre la tension.
Laura et ses amis préférèrent néanmoins quitter la soirée qui touchait d’ailleurs à sa fin. Tony et un de ses amis la raccompagnèrent. Laura quand même un peu bourrée s’excusait de leur avoir pourri la soirée, reconnaissant qu’elle avait un peu cherché les ennuis, ayant fortement provoqué les lourdauds qui l’avaient embêtée.
Arrivés chez elle, elle se crut obligée de les inviter à profiter de la piscine, la soirée avait été chaude pour tout le monde. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent tous les trois presque à poil, s’ébattant dans l’eau fraîche, elle seule avait gardé une culotte de maillot. Évidemment, elle remarqua vite que les deux garçons bandaient et l’inévitable arriva.
Les deux garçons se mirent à flirter avec elle à tour de rôle, la frôlant, l’attrapant en jouant, des mains s’égarèrent sur ses seins, sur ses fesses comme plus tôt dans la soirée, mais le contexte était amical et consenti. Comme cela s’était produit quelques fois ces derniers temps, Laura se retrouva en train de branler Tony dans l’eau.
Le problème c’était qu’ils étaient trois. L’autre, elle ne le connaissait pas mais c’était un ami que Tony disait sûr. Il lui garantit qu’elle pouvait lui faire confiance. L’autre avait bien vu leur jeu et devait fantasmer de pouvoir y participer. Laura se laissa convaincre assez facilement par Tony et accepta que l’autre garçon les rejoigne. Elle se mit à s’occuper en même temps de ses deux invités.
Ce qu’elle n’avait pas anticipé c’est qu’à eux deux, forcément ils avaient deux queues et quatre mains. Les queues elle arrivait à en faire son affaire, suçant l’une et branlant l’autre à tour de rôle. Mais les mains elle ne les maîtrisait pas. Outre qu’elle se faisait malaxer ardemment les nichons, elle eut rapidement deux mains dans sa culotte. D’abord sages, lui tripotant les fesses, puis venant la branler elles aussi à tour de rôle, elles se firent plus entreprenante, la pénétrant d’abord par devant puis aussi par derrière, la faisant vite geindre de plaisir et de douleur.
C’est le copain de Tony qui s’intéressait à son cul, la doigtant effrontément. Ce garçon allait vite en besogne. Tony lui, toujours respectueux, prenait sa chatte avec ses doigts, en alternance du massage de son clito, avec une expertise qu’il lui avait plusieurs fois démontrée. Elle termina l’exercice avec plusieurs doigts dans sa chatte et deux plantés dans son cul, qui la pénétraient en cadence en même temps que Tony branlait son clitoris, la faisant haleter.
Heureusement, les garçons jouirent assez vite, tellement excités de la soumettre à leurs douces tortures, et après l’avoir faite crier de plaisir.
Après le départ des garçons, et après avoir retrouvé ses esprits, Laura se sentit un peu perdue. L’alcool n’expliquait pas tout, les gars surexcités et l’agression dans la boîte puis la débauche dans sa piscine, c’est elle qui provoquait tout ça, même Tony semblait penser que tout devenait possible.