n° 20573 | Fiche technique | 14346 caractères | 14346 2475 Temps de lecture estimé : 10 mn |
10/11/21 |
Résumé: Entraînée dans de multiples dérives depuis qu’ils se sont installés au Pays basque, et alors qu’Antoine s’absente beaucoup, Laura se retrouve confrontée à des situations qui vont finir par la mettre en danger. | ||||
Critères: #aventure #lieuderencontre #lieupublic fh couleurs inconnu plage boitenuit danser pénétratio | ||||
Auteur : Djangerine Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Laura est une jeune femme de 26 ans extrêmement attractive. Originaire de la région parisienne où elle a fait ses études, elle a rencontré Antoine un an auparavant, qui rêvait de retourner vivre au Pays basque où il a grandi. En intégrant un cabinet-conseil dont une branche est basée à San Sebastian, elle a pu s’installer avec lui. Ils louent une villa avec piscine dans un joli village de la côte basque française. Elle travaille beaucoup à distance, participe à des réunions avec des clients et se déplace régulièrement en France et à l’étranger. Naturelle, entreprenante, amoureuse mais ouverte aux expériences, elle se retrouve un peu isolée à la différence d’Antoine qui a retrouvé de nombreux amis et qui l’entraîne dans de multiples dérives.
Les sorties s’enchaînaient, soirées privées, clubs en plein air, boîtes en centrent, villes, concerts, fêtes et férias ou simples tournées des bars, chaque nuit était l’occasion de vivre intensément, de se mélanger, de s’éclater. Locaux et touristes, habitués et nouveaux venus, solitaires et bandes entières se croisaient et se recroisaient dans un périmètre somme toute limité.
En l’absence d’Antoine, Laura ne résistait jamais très longtemps aux sollicitations. Toujours escortée de son fidèle Tony et d’autres copains et copines, elle sortait chaque soir plus longtemps.
Elle s’interrogeait sur ses motivations, cherchait-elle à se défouler, à croiser des copains ou bien à rencontrer d’autres gars, à ressentir leur désir, à participer à cette transe collective estivale propice aux excès en tous genres ?
Elle restait rarement sobre et dérapait de plus en plus souvent, rigolades potaches, paris idiots, flirts vite oubliés et même petites sauteries de fin de nuit, comme pour se soulager. Ça lui était déjà arrivé trois fois ces dernières semaines.
Elle ne culpabilisait pas par rapport à Antoine, au contraire, elle ne se faisait aucune illusion sur sa fidélité, l’imaginait en faire dix fois plus qu’elle, et considérait que la frustration née de son absence était le principal moteur de sa propre dérive.
*******
Ce soir-là, ils s’étaient rendus dans une boîte en plein air très courue de la côte basque face à l’océan, à l’abri d’une colline, les pieds dans l’eau, sono d’enfer, ambiance garantie.
Le début de soirée est agité, elle se fait draguer par beaucoup de gars, boit un peu trop vite, se défoule sur la petite piste encombrée. La plupart dansent, bras levés au-dessus de la tête, les contacts sont fréquents et sa poitrine mise en évidence attire regards et frôlements. Des gars viennent lui glisser des trucs à l’oreille qu’elle ne cherche pas à comprendre, des filles aussi. Quand elle quitte la piste, elle est aussitôt interpellée par une connaissance qui l’incite à boire ou à aller fumer. Un gars qu’elle a plusieurs fois croisé dans des soirées la branche, elle s’amuse de son approche, pas insensible à son charme, s’imagine dans ses bras en train de flirter, et même davantage. Puis la copine du gars se pointe et le rappelle à l’ordre. Il la laisse sur sa faim. D’autres gars lui succèdent, attirants ou énervants, lourds ou timides, elle ressent l’envie qu’ils ont de la sauter. Comme toutes les autres filles, se dit-elle, elle est là un peu pour ça, non ?
Elle est nerveuse, l’absence d’Antoine lui pèse. Elle observe ce brassage de corps dont il finit toujours par émerger de nouvelles étreintes. Tout en dansant, elle pense à ces clichés, fellations expédiées dans les toilettes, coups vite faits derrière une palissade ou sur la banquette arrière d’une bagnole.
Ça la dégoûte et pourtant elle a envie de baiser. Elle entraînerait Antoine sur la plage immédiatement s’il apparaissait, se donnerait à lui sans retenue, le laisserait user de son corps à sa guise, prête à se soumettre à ses désirs les plus pervers, prête à le laisser la partager avec qui il souhaiterait… Oui, mais il n’est pas là !
**********
Débarque alors le même groupe de mecs, celui avec qui ça avait dégénéré l’autre soir. Mais ils se montrent tout de suite très sympas, invitent les uns et les autres à boire et à fumer. Ils abordent Laura et ses copains, avouent qu’ils avaient tous un peu perdu la tête l’autre soir mais assurent que l’auteur de la prise à partie totalement incongrue de Laura n’est pas là, qu’il a été puni.
Ils travaillent les uns pour les autres organisés en commando, ciblent plusieurs filles, s’entendent sur leur stratégie d’approche. Organisés en commando, ils se dispersent mais maintiennent un contact visuel permanent.
Ils se font potes avec les mecs, flatteurs vis-à-vis des filles, se renseignent. Ils posent des questions sur Laura, sur sa relation avec Tony qu’ils observent, jamais loin d’elle…, apprennent que non, ce n’est pas son mec, que celui-ci n’est pas là en ce moment. Alors ils passent à l’action, un se fait copain avec Tony, trouve un sujet qui le branche et réussit à l’isoler. En même temps, Laura se laisse attirer par un autre, un grand black très enjôleur, un véritable athlète, qui joue avec elle en dansant et se met très vite à la peloter discrètement, sans qu’elle s’en offusque. Le rhum et les joints font leur effet.
Quelques instants plus tard, le gars la tient serrée contre lui, elle ne peut ignorer son sexe bandé contre son ventre, une véritable matraque dressée à la verticale qui lui remonte jusqu’au sternum. Ça l’excite prodigieusement de sentir cette queue bandée qui s’incruste dans son ventre et jusqu’entre ses seins.
Grisée et excitée, elle se laisse ensuite entraîner dans un espace un peu à l’écart. Pendue à son cou, elle le laisse l’embrasser et parcourir son corps.
Le garçon lui a pris la main et il lui fait effleurer son sexe par-dessus son jean. Toujours en se marrant, il lui a demandé de dégrafer son soutien-gorge puis le lui a retiré, avant de passer ses mains sous son chemisier pour jouer avec eux, les palpant et les agaçant longuement.
Elle rit beaucoup, il l’a fait s’asseoir sur ses genoux, elle sent son sexe à l’horizontale tendre le tissu et frotter contre sa culotte, il ne se lasse pas de malaxer ses seins tout en continuant à la faire boire et fumer. Ils discutent peu, s’embrassent beaucoup. Elle voit bien son manège, sait qu’elle est en train de partir en vrille, mais n’arrive pas à reprendre le contrôle.
Soudain, le garçon la fait se soulever et sans qu’elle ait le temps de réagir, dans le même mouvement, il a libéré sa queue, redressée à la verticale, puis écarté l’entrejambe de sa culotte. Elle vient aussitôt l’incruster entre ses lèvres, elle pousse un cri : un « Nooon ! » de défense, aussitôt doublé d’un grognement de plaisir.
Elle a cru une seconde qu’il tentait de la pénétrer par surprise, se rassure en sentant cette verge tendue qui épouse son sexe sur toute sa hauteur, l’inondant de sensations intenses.
Le mec est gonflé, il aurait pu tout aussi facilement la faire s’empaler sur lui, sans préalable et sans protection. Elle oscille entre révolte et laisser aller.
Mais sa gestuelle indique le contraire, elle ne résiste pas à l’envie de maintenir la pression et de coulisser imperceptiblement sur le membre qu’elle chevauche. Le garçon lui murmure :
Il accentue en même temps le mouvement de coulisse. La tenant par les fesses, il l’a fait monter et descendre, la garde intimement soudée à lui. La grosse queue du garçon fait monter son plaisir, les longs préliminaires l’ont bien échauffée et elle le lubrifie naturellement.
Elle ne serait pas cru capable de se comporter ainsi, de se livrer aussi facilement. Le gars ne l’a certes pas pénétrée, pas encore, mais elle a, dans son esprit, déjà accepté de se donner à lui.
Elle s’arrache soudain à son étreinte :
**********
Il fallait en finir, elle réfléchirait après. Rajustant ses vêtements, elle s’éloigne et descend sur la plage, l’entraînant derrière elle. À une centaine de mètres, elle avise un énorme rocher dans un coin faiblement éclairé. Elle s’en approche, son boy-friend du soir la rejoint en déchirant la pochette d’un préservatif.
Elle entend des cris et des soupirs pas très loin dans le noir, cet endroit n’est pas qu’un bon spot de surf, c’est aussi un spot de baise idéal, la plage, les rochers, la nuit noire, la proximité de cette boîte.
Il l’enlace par-derrière, faisant aussitôt remonter sa robe. Elle sent dans son dos qu’il a à nouveau sorti sa queue. Il enfile la capote d’une main experte, il a bien l’intention de reprendre sans attendre son ouvrage là où il l’a laissé et elle l’attend.
Il la fait se pencher légèrement en avant, vient se positionner derrière ses fesses, tâtonne un peu puis l’embroche d’une seule poussée. Le gars a laissé derrière lui toute délicatesse, il la prend à la hussarde.
Elle crie de douleur et prend peur, consciente de s’être mise toute seule dans une situation dangereuse, dans ce coin sombre, isolée de ses amis. Qu’est-ce que ce garçon peut bien avoir en tête ?
Néanmoins, la boîte n’est pas loin et puis la queue qui la prend lui donne à nouveau du plaisir. Le garçon la pilonne comme elle aime. Il la tient fermement par les hanches et elle sent sa queue, longue et large comme elle n’en a jamais pris, aller et venir en elle.
Une pensée la fait à nouveau sourire.
Le gars lui impose une longue séance, assure son emprise, puis il sort d’elle et la fait se retourner, reprend sa bouche puis la questionne :
Intimidée, elle répond par de petits « oui ». Il insiste lourdement :
Elle répond à nouveau d’un simple oui qui doit le laisser sur sa faim. Personne ne lui avait jamais posé de questions aussi rudes.
Il lui fait poser ensuite les bras à plat sur le bord du rocher puis, face à elle, soulevant ses jambes de ses deux bras, il amène son bassin vers lui. Sa bite vient à la rencontre de son pubis, s’incruste entre ses lèvres, il ajuste la visée. D’une seule poussée il l’emmanche à nouveau la faisant crier.
Il lui impose à nouveau une longue séance, écarte ses cuisses de ses bras, écartelant sa chatte à chacune de ses poussées. Elle se laisse à nouveau aller, apprécie cette domination qui lui donne un plaisir intense malgré la douleur liée aux positions qu’il lui fait adopter et au rocher qui martyrise ses bras et son dos.
Ça dure longtemps, elle s’épuise.
Le garçon veut à nouveau changer de position et lui fait reprendre pied.
Il enlève son T-shirt, l’étend sur le sable et s’allonge, son futal descendu à ses chevilles. Avant que Laura ne l’enjambe, il lui fait retirer sa culotte puis écarter les pans de son chemisier afin de pouvoir profiter de ses seins quand elle sera au-dessus de lui. Enfin il l’attire et la fait s’empaler sans plus attendre.
Il l’oblige à monter et à descendre d’elle-même sur sa queue. Elle se met à nouveau à jouir de la pénétration intense qu’il lui impose mais le garçon a une autre idée en tête, ses mains enserrent ses fesses et du bout des doigts il vint explorer son cul. Il cherche à s’introduire, puis il lui souffle :
Alarmée par la monstruosité de son projet, elle se met à gémir :
Elle continue néanmoins à monter et à descendre sur sa queue ne pouvant se soustraire à son étreinte.
Heureusement, le gars s’est déjà bien dépensé et l’évocation qu’il vient de faire de son envie finit par l’amener à ses limites.
Il s’agrippe à elle, se crispe dans un pilonnage intense, maltraite ses fesses, puis ralentit quand il sent la jouissance arriver, décompose ses mouvements. Il s’attache à la pénétrer de toute sa longueur en même temps qu’il se vide, puis il se fige enfin.
Elle s’écroule sur lui et ils restent ainsi un long moment, sa queue toujours fichée en elle diminuant progressivement de volume.
Ils se relèvent enfin, se rajustent. Elle ne cherche même pas à retrouver culotte et soutien-gorge qui gisent quelque part. Le sable s’est insinué partout en elle, dans ses cheveux, dans ses oreilles, sous ses seins, jusqu’entre ses fesses et dans son intimité. Il lui glisse,
Puis la questionne :
Baissant la tête, elle avoue un sage :
Reboutonné et son T-shirt poisseux enfilé, le gars se met en marche. Laura le suit, quelques mètres en arrière, soulagée que ce soit terminé, elle n’en aurait pas supporté davantage.
Dans le noir elle croit distinguer la silhouette de Tony. Les a-t-il épiés ? Une autre fille remonte péniblement de la plage, elle boite un peu, ses cheveux en bataille, son rimmel qui a coulé, ses vêtements mal ajustés ne laissent pas de doute sur ce qu’elle vient de faire. Laura la reconnaît, c’est une des filles qui dansait près d’elle tout à l’heure.
Arrivée à proximité de la boîte, les exclamations joyeuses et l’excitation sur la piste ne l’attirent plus, elle se fixe un seul objectif, vital, rentrer chez elle, se laver, et ne plus penser à ce qu’elle vient de faire, oublier ce mec et les sensations qui l’ont submergée, reprendre ses esprits et le fil de sa vie.
Elle sent confusément qu’elle ne sortira pas indemne de cette aventure.
Elle bifurque. Son amant la rattrape, l’enlace et lui glisse :
Et il la laisse s’éloigner.
Ses mots la font frémir et résonnent longuement dans sa tête.
*******
Elle retrouve Tony plus loin qui lui offre de la raccompagner. Elle lui demande,
Elle est désemparée, assommée par les effets conjugués de l’alcool, de ce qu’elle a fumé, des décharges de ses jouissances successives et de l’angoisse qui la submerge.
Ils récupèrent le scooter de Tony et rentrent sans plus parler.
Contrairement à la fois précédente, Tony file directement chez lui.