n° 20601 | Fiche technique | 18833 caractères | 18833Temps de lecture estimé : 11 mn | 26/11/21 |
Résumé: Anola sera initiée par Sophie. | ||||
Critères: fplusag anniversai amour lingerie travesti trans caresses init -initiat -transsex | ||||
Auteur : Mirabel Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Transition Chapitre 03 / 11 | Épisode suivant |
Résumé de l’épisode précédent :
Anola a involontairement conquis Sophie, qui vient pour lui souhaiter un bon anniversaire, et aussi pour essayer de la séduire.
Le dimanche suivant,
Driiiing ! On sonne à la porte. C’est vrai qu’il est onze heures, heure très raisonnable pour les visites, mais nous n’attendions personne et notre tenue est un peu mini. Léna va ouvrir ; c’est Sophie, qui vient nous surprendre, avec une bouteille de champagne à la main.
Moi, dans ma tenue, je me sens un peu gênée, mais Léna est parfaitement à l’aise, surtout avec Sophie, et répond :
Sophie semble surprise pendant quelques secondes, nous regarde l’une et l’autre :
Léna verse le champagne. Sophie lève son verre, vient trinquer avec moi :
Léna me prévient :
Sophie se marre :
Elle s’approche, me souhaite « Bon Anniversaire » m’embrasse sur les deux joues et aussi sur mes lèvres. Cette fois, ce n’est pas un hasard, je constate qu’elle sait très bien viser mais je suis gênée qu’elle l’ait fait en présence de Léna. Je me tourne pour savoir si Léna a vu son baiser. Oui, cela ne pouvait pas lui échapper. Mais elle me sourit et me fait un clin d’œil pour me rassurer.
Sophie trinque ensuite avec elle, l’embrasse à son tour et lui dit :
Léna répond :
Sophie semble surprise :
J’ai assisté à cette conversation malgré moi, et j’ai compris que ma vie allait encore changer. J’ai un petit frisson dans mon ventre. Sophie s’approche de moi, me met une main sur l’épaule, et je sens une sorte de courant qui passe : c’est son charme magnétique qui opère, je suis sans défense, elle me subjugue, et me demande :
Sa main glisse de mon épaule à mon cou, d’un geste tendre, elle arrange un peu mes cheveux et me caresse au passage. Elle me chuchote à l’oreille :
Comment résister ? Je suis comme hypnotisée, elle est si belle, son parfum me fait tourner la tête :
Elle n’a pas encore coupé le cordon, puisqu’elle m’accorde la permission de minuit comme si j’étais encore mineure. Sophie me tend la main pour me faire lever, et machinalement, passe doucement sa main sur un de mes seins. Je sursaute, la regarde. Elle se penche vers moi, approche ses lèvres, cette fois je lui offre les miennes et ma langue, et elle s’en occupe avec beaucoup de délicatesse. J’ai hâte de partir avec elle, bien que je sois un peu stressée.
oooOOOooo
Sophie nous emmène dans la banlieue toulousaine, à l’Union, dans un quartier résidentiel. Pendant le trajet, je suis tendue, peut-être sans raison, et elle s’en aperçoit. Elle pose sa main sur ma cuisse pour me calmer, et j’ai un petit mouvement de recul incontrôlé. Elle retire sa main :
Elle arrête sa voiture devant un portail qui s’ouvre comme par enchantement, nous sommes arrivées chez elle, dans une villa, pas énorme, mais superbe. Nous entrons, j’ai l’impression de me trouver dans un film américain !
Elle rit :
Nous sommes devant l’escalier qui mène au perron, devant l’entrée. Sophie me précède et le spectacle qu’elle m’offre en montant les marches est impressionnant. Je ne sais pas si elle en est consciente, mais le balancement de ses hanches et de ses fesses est des plus érotiques. J’imagine un homme la suivre, il aurait certainement une érection monumentale ! Il est vrai que les hommes galants montent les escaliers devant une femme. Il en reste peut-être qui se souviennent de cet usage, mais malheureusement ce sont des vieux… En tous cas, moi je suis une femme, je peux profiter du spectacle et je ne m’en prive pas !
Arrivée sur le perron, après avoir ouvert la lourde porte de la maison, Sophie me passe un bras sur mes épaules et me fait entrer avec elle. Je découvre un grand hall superbe, les meubles et la déco sont un peu rétro, mais moi je préfère ce style à l’ultra-moderne des standards américains.
Je me demande comment une si belle femme peut rester seule. Serait-ce parce qu’elle est homo ? Elle me semble plutôt bisexuelle. Je ne vais pas faire ma curieuse, on verra plus tard. Je crois que la solitude lui pèse et qu’elle a besoin de moi.
C’est ce que je fais. Je lui tends mes bras, mais… problème ! Elle est du genre mannequin de 1,80 m, et moi une mini qui culmine à 1,58 m. J’avais l’intention de lui proposer mes lèvres, puisqu’elle les avait appréciées, mais ma bouche se retrouve au niveau de sa poitrine !
Elle est pleine de ressources et trouve très rapidement la solution… elle fait passer son caraco par-dessus sa tête, enlève son élégant soutien-gorge et me dit :
Je lui obéis sans rechigner. J’ai oublié depuis longtemps que ma mère devait m’appeler bébé, mais mon instinct me dit ce qu’il faut faire pour téter. Sophie adore et moi aussi. Je descends doucement vers ses seins et happe l’un des tétons. Le second est pris entre mon pouce et mon index, je commence à sucer et à caresser, et elle à gémir et à se tortiller.
Elle ne résiste pas bien longtemps :
Oui, moi ça me plaît bien. On change de côté et on recommence, je ne vais pas l’abandonner en cours de route. À un moment, elle me dit :
Elle prend ce bout entre ses lèvres qu’elle resserre « en cul de poule ». Elle le suce par petits coups, et à chaque aspiration l’effleure d’un petit coup de langue. Un peu comme si mon doigt lui baisait sa bouche. Sur mon doigt la sensation est magique, je commence à avoir une érection. Elle m’explique :
Bien compris, je recommence. Je suce plus lentement et j’ai l’impression que son plaisir est beaucoup plus fort. Donc, j’insiste. Et elle me semble de plus en plus chaude.
Dans sa chambre, des meubles de style, qui appartenaient probablement à ses parents, et un lit trop grand pour une seule personne. Mais pour deux, cela va aller… Nous nous asseyons sur le lit.
Elle me caresse les cheveux, descend vers ma joue puis vers mon cou, approche ses lèvres et me suce le lobe de l’oreille ! C’est une nouvelle sensation que je ne connaissais pas, j’enlève immédiatement mes clips pour lui faciliter la tâche, et elle en profite goulûment. Au passage, pour mieux se rapprocher de moi, elle a empaumé un de mes seins, le caresse doucement et fait gonfler mon mamelon. J’adore les caresses à travers un fin soutien-gorge, j’ai l’impression que le tissu augmente mes sensations. Je lui rends la pareille, ma main a immédiatement trouvé une place sur sa poitrine nue et je sens ses tétons venir me saluer. Puis elle me déshabille habilement, et en profite pour me faire quelques caresses coquines. Quand nous sommes nues, elle me propose :
Elle éclate de rire :
Son expression me fait penser à un chien malade, mais je m’exécute. La sensation de sa peau, si douce, me donne des frissons, des frissons de bien-être. Je suis bien. Mon pénis coulisse avec une grande facilité entre ses jambes, contre sa chatte et sans doute son clito : elle a mis de l’huile ou une crème sur son périnée. J’ai l’impression d’être dans un étui. Je rampe un peu pour atteindre ses lèvres, et nous nous embrassons fougueusement ; un baiser qui se prolonge, nos seins qui se taquinent, et qui me donnent de plus en plus de doux frissons. Elle m’invite :
Je commence lentement. Surprise, à chaque « pénétration » elle me serre en contractant ses muscles. Elle me rend folle ! Elle a les yeux mi-clos, un petit sourire, comme si elle voulait me dire « Tu ne connaissais pas ? » Je vais un peu plus vite, elle soupire, ses yeux se ferment, elle se met à trembler, écarte brusquement ses cuisses et crie :
Dans cette position, je ne peux rien faire d’autre que la pénétrer. Immédiatement, elle hurle « ouiii », et elle jouit violemment. Elle me fait éjaculer sans que je ne puisse me retenir. Je me demande si j’ai bien fait… quand elle me dit :
Avec ses jambes dans mon dos, elle me retient en elle. Elle contracte régulièrement les muscles de son vagin, je me sens prisonnière, avec ma bite enserrée, comme si une main voulait me masturber. J’avais commencé à débander, mon érection reprend très rapidement. Je suis un peu dans les vapes, j’entends :
J’ai « tenu » autant que j’ai pu. Elle a eu plusieurs orgasmes. J’ai éjaculé encore deux fois, avant d’être vidée. Quand j’ai voulu me retirer, elle m’a retenue en elle :