n° 20613 | Fiche technique | 16979 caractères | 16979 2828 Temps de lecture estimé : 12 mn |
02/12/21 |
Résumé: Entraînée dans de multiples dérives depuis qu’ils se sont installés au Pays basque, et alors qu’Antoine s’absente beaucoup, Laura se retrouve confrontée à des situations qui vont finir par la mettre en danger. | ||||
Critères: #aventure fh ff hotel fellation pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Djangerine Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Laura est une jeune femme de 26 ans extrêmement attractive. Originaire de la région parisienne où elle a fait ses études, elle a rencontré Antoine un an auparavant, qui rêvait de retourner vivre au Pays basque où il a grandi. En intégrant un cabinet-conseil dont une branche est basée à San Sebastian, elle a pu s’installer avec lui. Ils louent une villa avec piscine dans un joli village de la côte Basque française. Elle travaille beaucoup à distance, participe à des réunions avec des clients et se déplace régulièrement en France et à l’étranger. Naturelle, entreprenante, amoureuse mais ouverte aux expériences, elle se retrouve un peu isolée à la différence d’Antoine qui a retrouvé de nombreux amis et qui l’entraîne dans de multiples dérives.
L’intermède sexuel avec Annabelle a définitivement regonflé Laura. Elle entend bien reprendre sa vie en main, et peut-être même jouir de la situation si tout se passe comme elles l’ont prévu.
C’est donc un peu moins angoissée qu’elle se rend à son rendez-vous. Elle s’installe en terrasse, observe les magasins et terrasses de cette rue très commerçante et finit par repérer Annabelle, dissimulée derrière un laurier rose à une autre terrasse, qui manipule le smartphone sophistiqué qu’elle s’est fait prêter pour l’occasion.
Antéro ne va cependant pas se laisser faire aussi facilement. Il commence par la faire poireauter un bon moment, puis il surgit dans son dos, bondissant sur son siège comme un félin et la faisant sursauter d’effroi. Il l’ignore ensuite, pas un mot, pas un sourire, pas un geste tendre, il n’en a jamais eu, qu’espère-t-elle ? L’arrivée du serveur détend une seconde l’atmosphère.
Elle reste bien droite sur sa chaise, tendue mais déterminée à ne pas faire le premier pas. Lui, renversé en arrière, semble énervé de se trouver là, de devoir s’afficher à côté d’elle, de devoir lui parler.
Brisant le silence, il finit par lâcher, agacé :
Le garçon se redresse agacé, hésite à l’envoyer promener.
Il ne semble pas trop apprécier les appellations utilisées et ne répond pas.
Redevenant sérieuse, elle change de sujet :
Ces propos ont à nouveau fait monter l’inquiétude de Laura : cherche-t-il à l’impressionner, à lui faire peur ? Que sait-il d’Antoine ?
Elle voulait le faire parler et c’est lui qui cherche à la faire parler… d’Antoine. Elle change de sujet pour ne pas montrer son trouble.
Elle ne relève pas. il s’impatiente, trouve que l’interrogatoire a assez duré :
Elle se lève néanmoins, pense à s’échapper, déstabilisée par les sous-entendus, mais l’inquiétude n’a pas fait disparaître l’envie qui s’était installée. Elle a quand même appris quelques trucs sur lui, en tout cas plus que lors de leurs premières rencontres. La bête de sexe s’est attendrie mais ses intentions restent mystérieuses !
*******
Ils rejoignent la chambre. La porte refermée, il reprend subitement son attitude énervée, dominatrice, il veut lui faire payer son changement de posture, ses questions impertinentes. Elle reste passive, en proie au doute. Il l’embrasse brièvement, la fout à poil en deux minutes, prend possession de son corps de manière désordonnée, la rudoie, empoigne ses fesses et ses seins sans ménagement, la bascule sur le lit et la prend aussitôt. Elle est pourtant réceptive.
Il cherche à nouveau à la soumettre, lui impose une longue séance, cuisses relevées et ouvertes, il coulisse en elle de toute sa longueur. Elle aime son corps, et sa queue lui rappelle les sensations déjà éprouvées. Il la fixe, comme s’il voulait rétablir sa domination mais il se rend compte que la peur qu’il voyait précédemment dans ses yeux a disparu, remplacée par un intense questionnement. Elle le laisse faire, ne détourne pas son regard, se soumet à son scénario et finit par le désarçonner. Il se détache, roule sur le dos et lui laisse l’initiative.
Laura le prend dans sa main, le parcourt de ses lèvres tout en le caressant, attentive à lui donner du plaisir, puis finit par se redresser, l’enjambe pour s’empaler sur lui et s’active d’elle-même sur sa queue, s’investit bien plus qu’elle n’aurait imaginé le faire.
Il reprend parfois le contrôle mais il n’a plus toute l’initiative. Du coup, l’échange est plus long, elle ménage la montée de sa jouissance et celle de son amant, fait durer là où elle avait hâte d’en terminer, profite de son corps, de son sexe en pleine érection, de cette baise libératrice qu’elle n’espérait pas aussi exaltante. Plusieurs fois, elle pense à Annabelle, au plaisir délicat qu’elle lui a donné, en même temps qu’elle se fait prendre et décide de le pousser dans ses retranchements.
Lui apprécie, même s’il garde son air farouche. Il retrouve ses accès de rudesse quand il change de position et la pilonne sans ménagement en levrette, qu’il la fait gémir quand il s’enfonce trop fort en elle. Et puis il s’intéresse à ses fesses, elle n’a pas l’intention de se livrer mais le laisse s’exciter. Il arrive à s’introduire mais elle le contrôle, utilise tous ses muscles pour s’adapter à sa gestuelle sans le laisser s’emballer. Antéro s’énerve, une barrière l’arrête toujours à mi-course. Il est frustré de ne pas arriver à ses fins, d’autant que la compression et les allers-retours font monter sa pression.
Elle l’arrête, se remet sur le dos face à lui. Il la domine, en appui sur ses bras, menaçant, sa queue pointée à l’horizontale, mais c’est elle qui avance le bras, l’attrape et se met à le branler fermement, avec l’intention de faire monter son plaisir avant l’assaut final. Sa queue bien lubrifiée coulisse dans sa main. Elle adore sentir sa tige dure, parcourue de veines, prise de spasmes sous sa caresse, ses doigts n’en font pas le tour. Elle le trouve tellement hot avec cet air méchant, s’amuse de ses extravagances verbales, en jouit même et laisse entendre quelques souffles de plaisir. Enfin, elle l’attire, le dirige, établit le contact avec son propre sexe d’un mouvement circulaire, le retient ensuite afin qu’il la pénètre lentement, s’ouvre pendant qu’il s’enfonce en elle, la distendant. Elle se relâche alors et le laisse la prendre plus à sa guise, augmentant progressivement la cadence et l’amplitude de ses coups de reins.
Elle s’agrippe à ses reins, ils harmonisent leurs souffles, parfaitement imbriqués. C’est dans cette position qu’une formidable jouissance finit par les terrasser simultanément et les laisse inertes.
Antéro reprend ses esprits plus vite qu’elle, et comme les fois précédentes s’apprête à la quitter rapidement, mais, de manière surprenante, il revient l’embrasser sur les lèvres et parcourir son corps de la main avant de tourner les talons.
Serait-ce un adieu ? se demande-t-elle une seconde. L’aurait-elle poussé dans ses retranchements au point qu’il veuille arrêter là ? Ou bien est-ce une manifestation de tendresse, la première ?
Elle a envie de continuer maintenant qu’elle se sent moins vulnérable. Sa curiosité la pique et ses remords sur la mise en péril de son couple s’estompent.
*******
Elle rapplique le soir même chez Annabelle et lui raconte sa rencontre dans le détail, évoque ses allusions surprenantes sur Antoine puis s’attarde sur les fantaisies sexuelles de son amant, employant volontairement des mots crus, en rajoute même un peu. Elle lui dit combien son aide lui a été précieuse pour échapper à la domination de son amant. Annabelle l’écoute, impassible.
Le souvenir de leur dernière séance s’impose à Laura. Elle s’interrompt, rougit un peu, interroge timidement Annabelle.
Annabelle, impassible, la fixe, un sourire moqueur aux lèvres. Elles sont toutes deux debout dans le salon comme l’autre fois. Laura hésite, Annabelle reste immobile.
Laura s’avance, lève timidement ses mains vers Annabelle, touche ses épaules, effleure ses seins. Annabelle reste toujours immobile. Laura se fait plus volontaire, elle se souvient de la rapidité d’action d’Annabelle et l’imite. Elle presse ses seins puis les découvre, Annabelle ne porte pas de soutien-gorge. Petits, bien dessinés, elle les embrasse en même temps qu’elle descend ses mains, empoigne ses fesses à travers sa jupe. Elle lève les yeux, Annabelle la regarde tendrement, les yeux plissés, son sourire semble l’encourager à oser davantage.
Elle décide de changer de scénario, tombe à genoux, défait l’attache de la jupe. Annabelle ne porte pas de culotte. Elle observe le large tatouage qui orne son ventre, d’une hanche à l’autre, sous le nombril, cinq roses épanouies, dans les tons gris et vieux rose, magnifiques. Son regard descend à son pubis, taille courte, les grandes lèvres découvrent un clitoris bandé qui semble attendre sa caresse.
Elle avance la tête, c’est avec ses lèvres et sa langue qu’elle veut la faire jouir. Annabelle debout se prête au jeu, avance son pubis, monte une jambe pour lui faciliter l’accès. Laura n’a jamais fait ça à une fille mais applique les mêmes recettes que quand elle suce un mec. Elle lèche, elle pompe, elle salive abondamment.
Annabelle semble apprécier et l’encourage :
Laura surprise lève la tête. Annabelle narquoise lui montre un godemiché qu’elle a attrapé dans le meuble auquel elle est appuyée. Elle le lui tend.
La situation dérape à nouveau, elle n’anticipait pas une telle dérive. Elle se saisit néanmoins du gode, un bel engin… presque exactement de la taille du sexe de son amant, en bakélite noire. Elle songe que ce n’est pas un hasard, se souvient qu’elle l’a décrit à son amie, écartant ses mains pour évaluer sa longueur, arrondissant pouces et index de ses deux mains pour en décrire le diamètre. Annabelle a préparé son coup dans les moindres détails. Elle essaye de le prendre dans sa bouche, n’y arrive pas beaucoup plus qu’elle n’a pu le faire dans l’après-midi, puis le lèche sur toute sa longueur. Annabelle la mate, les yeux luisants, jouissant du spectacle de cette fille magnifique jouant avec ce gode noir monstrueux. Laura renouvelle plusieurs fois l’opération, se disant qu’elle fait ça encore mieux avec ce gode que quelques heures plus tôt avec la bite de son amant.
Elle reprend le cunnilingus qu’elle prodiguait à Annabelle en même temps que, toujours agenouillée, elle engage un doigt dans son sexe afin de préparer l’introduction. Les lèvres recouvertes de sa salive s’écartent facilement et elle prend possession de l’antre humide et chaud. Laura se dit que sans être lesbienne la situation l’excite quand même beaucoup, elle adore faire ça à son amie. Elle introduit un deuxième doigt, constate la réceptivité d’Annabelle à ses mouvements puis présente le gode, l’introduit lentement en la faisant geindre.
Elle se met à aller et venir tout doucement, le gode prend sa place, engagé sur quelques centimètres, il distend la chatte d’Annabelle qui ne se plaint pas. Au contraire, elle mouille abondamment !
Laura sourit en pensant que ça, elle n’a pas pu le faire à son amant. Elle se penche à nouveau, lape le clitoris qu’elle couvre de salive, descend sa langue entre les lèvres, lèche le gode qu’elle fait coulisser plus avant.
En même temps lui revient le propos d’Annabelle : « tu vas me prendre comme il a fait ! ». Est-ce qu’elle veut que je lui mette ce truc dans le cul ? Probablement, elle a semblé très excitée par mes évocations de sodomie ! se dit-elle.
Tout en continuant à faire coulisser le gode, Laura avance timidement sa main entre les fesses d’Annabelle jusqu’à venir effleurer son anus, appuie du bout de son index sur le sphincter qui réagit en s’ouvrant un peu puis en se refermant sur sa phalange.
Elle lève la tête, rencontre ses yeux :
Annabelle n’a pas répondu mais n’a esquissé aucun geste de retrait. C’est donc ça qu’elle a en tête !
Déconcertée d’avoir à accomplir un tel acte, Laura continue longuement à faire coulisser l’engin en même temps qu’elle tâtonne avec son index, évaluant l’élasticité du sphincter qui semble l’aspirer puis la repousser au rythme de la respiration d’Annabelle et de ses allées et venues avec le gode. Elle teste avec un deuxième doigt, le majeur est aspiré sans souci, rajoute l’annulaire qui prend également sa place.
Elle s’imagine en proie à un tel projet, elle ne se laisserait certainement pas mettre un truc pareil. C’est quand même beaucoup plus dur et rigide que la queue d’un mec, et froid en plus ! Si c’est ce qu’elle veut ! se convainc-t-elle.
Elle extrait l’objet de bakélite et vient appuyer le gland proéminent sur le sphincter, mais s’alarme aussitôt :
Elle interpelle son amie.
Laura reste interdite, n’ose pas forcer, craignant de blesser son amie, mais elle est surprise de voir le sphincter s’animer, s’ouvrir pour venir emboucher la pointe du phallus et l’aspirer. Laura n’a qu’à le maintenir, Annabelle pousse à nouveau et l’absorbe en trois mouvements. Le sphincter se referme et emprisonne le gland noir, lui arrachant un cri rauque.
Troublée par son observation, Laura reprend sa caresse en même temps qu’elle fait aller et venir timidement le cylindre noir. Elle la reprend avec ses doigts, vient à nouveau la lécher et sent Annabelle commencer à se contracter au rythme de sa triple activité tout en soufflant bruyamment. Son corps entier s’anime, ses jambes se raidissent, sa main vient plaquer la tête de Laura contre son sexe, son bassin se mobilise pour accentuer la faible activité de la main qui tient le gode.
Annabelle vient ensuite très vite, jouit dans une gestuelle convulsive qui désarçonne Laura, accompagnée d’une série d’onomatopées suggestives. Elle reste tendue quelques instants puis, envahie par une douce torpeur, expulse l’objet que tient Laura et se redresse.
Étonnée et ravie d’avoir mené à bien cette opération incertaine, Laura lève les yeux vers son amie qui la contemple, souriante, les yeux voilés par la jouissance, mais encore moqueuse.
Elle attrape Laura, la fait se redresser et l’enlace.