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Temps de lecture estimé : 10 mn
18/01/22
Résumé:  Découverte de l’exhib
Critères:  fh fplusag collègues grosseins travail fdomine voir exhib -voyeur Exhib
Auteur : CarpediemAdlib            Envoi mini-message

Série : Caro

Chapitre 01 / 03
Réunion en visio

C’est toujours la même chose, l’année a à peine commencé que c’est déjà la course, il faudrait avoir bouclé les objectifs dès janvier !

Nous sommes vendredi et la semaine a été plus que longue, je suis crevé.

Allez, zou, il est 18 h, je referme mon PC et souhaite un bon week-end à Caroline qui est encore au téléphone. Eh oui, nous avons un bureau partagé, mais des horaires séparés.


J’arrive chez moi après avoir bouchonné quand je me rends compte que j’ai oublié mon portable sur le bureau. Et merde… je ne vais quand même pas le laisser tout le week-end ?!

Réfléchis un peu Raphaël, tu ne vas pas te refaire une heure de transport en commun, de quoi as-tu réellement besoin pour tenir deux jours sans ton smartphone… ? Ah oui, il y a les coordonnées de Maël que je dois voir demain soir.


Je prends ma tablette et envoie un mail à Caroline :


Caroline, si tu es toujours au taf, peux-tu me rendre un service ?


À peine une minute s’écoule avant que mon téléphone fixe ne sonne :





***




Caroline s’apprête à ranger le téléphone comme annoncé quand lui vient l’envie de regarder ce que peut contenir le smartphone d’un jeune homme de vingt-sept ans. Ça ne se fait pas, mais elle ne peut y résister.


8164. Et voilà ! Bon, un coup d’œil aux applis. Oh là là… je n’en connais pas la moitié. Ma pauvre Caroline, si à cinquante ans tu es déjà larguée… ! Ah, les photos. Mouais, Raphaël est sportif, ça, je le savais. Ah ! Une conquête, pas très intéressant. Oh, encore une conquête, plutôt mignonne et bien foutue la jeunette, mais les photos n’ont pas de quoi fouetter un chat. Eh bien, voilà, celle-là est pas mal. Un selfie sur la plage. Bon, au final, il n’y a rien de formidable dans son téléphone.


En refermant les applis que j’ai ouvertes, je constate que « Notes » est resté ouvert par Raphaël.


Allez, un p’tit coup d’œil et je le lui range dans son tiroir.


La première note est intitulée « Maîtresse ». Je l’ouvre et commence à la lire.


,Mais c’est un récit porno son truc ! Ah, je me disais bien quand même qu’un célibataire devait avoir ses petits secrets. Et il signe de son prénom, il a de l’imagination le petit. Wouah ! en plus, il en a écrit un paquet. Oh toi, mon coquin, méfie-toi, je te réserverai une bonne surprise un de ces jours. En attendant, je vais te faire une blague anonyme…


Elle repose le téléphone sur le bureau puis retire vivement sa veste de tailleur. Elle s’empresse de fermer la porte du bureau à clé et revient au bureau. Elle défait son chemisier puis retire son soutien-gorge et le pose sur le dossier du fauteuil de Raphaël, l’étiquette de la taille bien en évidence. Elle reprend le smartphone et prend la photo du soutien-gorge délicatement posé avec l’étiquette du 90D.


Eh voilà, mon coco, aucune preuve ni aucune certitude de qui a bien pu poser ça là et prendre la photo. J’en rigole d’avance. Ça t’apprendra à écrire des trucs cochons.

Caroline reprend ses vêtements et s’empresse de se rhabiller. Le téléphone rangé dans le tiroir, elle quitte le bureau pour le week-end.




***




Lundi matin, 8 h


Le week-end est terminé et je repars pour une nouvelle semaine de travail.

Ah, mon téléphone est là. Je regarde rapidement les différents messages. Aucune urgence, puis je me mets au boulot.


Caroline arrive une demi-heure plus tard.



La journée passe sans plus de découverte. En fin d’après-midi, nous recevons tous les deux un mail :


la réunion de rentrée se fera en visio pour l’ensemble des salariés. Mercredi prochain à 17 h. Présence de tous obligatoire – la Direction



Le soir même, alors que je cherche une photo dans mon téléphone, je tombe sur la photo du soutien-gorge. Je ne comprends pas ce qu’elle fait là puis je reconnais mon bureau. Qui a pu me faire cette blague ? Caroline ? Non, ça n’est pas vraiment son style. Elle a beau être sportive pour son âge, elle est malgré tout rondouillette et n’oserait certainement pas faire ça. En tout cas, il s’agit d’une femme à forte poitrine…

Brigitte, au service des achats ? Sa poitrine me paraît bien plus petite. 90D… Ophélie, la nouvelle commerciale ? Elle est toujours partie à 17 h, donc non. La femme de ménage ? Aucune idée… j’aurais préféré voir ce qui se cachait dessous. Ou alors Mélanie, de l’informatique, mais je ne vois pas comment le savoir. L’échantillon posé sur la chaise me laisse perplexe…




***




Mercredi – jour de la visio


J’ai mis un fin pantalon de costume gris et ma plus belle chemise blanche. Même si je n’interviens pas, il faut toujours faire bonne impression dans ce genre d’exercice. Je passe la matinée à organiser mon activité pour le premier trimestre.

Caroline a enfilé, comme d’habitude, un tailleur beige des plus stricts. La veste est fermée par ses trois crochets dissimulant un fin haut blanc à col roulé.



16 h 40



Sitôt Raphaël parti, Caroline file aux toilettes. Elle se dit qu’elle va pouvoir transformer un des récits de Raphaël en réalité. Elle verrouille la porte pour retirer veste et col roulé puis enlève son soutien-gorge qu’elle range. Elle remet son col roulé et sa veste en place, les trois crochets bien fermés. Elle jette un coup d’œil dans le miroir, personne ne peut se douter de ce qu’elle vient de faire. C’est bien la première fois qu’elle ose faire ça et elle en est déjà tout excitée.



16 h 57


Caroline s’installe dans le fauteuil face à moi. Elle ajuste sa caméra pour cadrer uniquement son visage.

Je reste concentré, car la visio démarre.


Ça fait désormais vingt minutes que les intervenants palabrent sans se soucier de l’intérêt qu’ils peuvent susciter. Caroline se penche pour réajuster sa caméra. Quelque chose attire mon regard, je jette un nouveau coup d’œil, mais elle s’est redressée. Elle m’adresse un sourire en levant les yeux au ciel, genre « C’est chiant, non ? ».


Je la trouverais presque sexy aujourd’hui dans son tailleur très très près du corps. Mince ! Caroline a voulu relâcher ses muscles et a allongé ses jambes toujours croisées loin devant elle, dans un long soupir de désintérêt à la visio.

Elle reprend sa position, mais je garde un œil sur ses jambes. Ce mouvement a fait remonter loin sa jupe qui peine à recouvrir ses cuisses.

Je les trouve belles d’ailleurs ses cuisses. Blanches, volumineuses, mais musclées.


Oh là là, ben voilà que tu reluques les cuisses de ta collègue, maintenant. Mon Raph, il va falloir te trouver une nouvelle copine.


Non, mais je rêve, Caroline a les yeux fixés sur son écran et moi sur sa culotte. Elle a décroisé ses jambes et me laisse voir une culotte que j’imagine en tulle, fine et transparente. Elle ne s’aperçoit de rien et surtout pas de l’effet que ça produit sur moi. Je tente de rester discret, un œil sur l’écran et l’autre entre ses cuisses.


Les résultats définitifs de l’année dernière sont présentés, je me concentre sur mon écran pour voir ce que ça a donné. Dix minutes de bonheur, nous avons dépassé la plupart des lignes !

Je me retourne vers Caroline qui me fait signe d’un pouce levé qu’elle aussi est contente.

Elle s’est reculée dans le fauteuil et a dégrafé les crochets de sa veste. Décidément, je la découvre sous un nouveau jour. Le col roulé blanc qu’elle porte est en fait très fin, car je réussis à voir ses tétons qui pointent au travers du tissu. Et à l’évidence, elle ne porte pas de soutien-gorge !

J’ai la confirmation que sa poitrine est vraiment grosse et mon pantalon de costume me semble très fragile d’un coup. Wouah, je peux vous dire que c’est la tempête sous mon caleçon et ça se voit.

Caroline reste concentrée sur la réunion, ouf…


Bon cette fois j’ai vraiment décroché de la réunion. Je me perds sur sa poitrine, je m’égare sous sa jupe. Je suis comme un fou dans ma tête et elle qui semble ne s’apercevoir de rien… je rêve, ma parole.

Elle se lève discrètement, s’approche de moi pour me chuchoter :



Elle quitte le bureau et, la main dans la poche de mon pantalon, je me caresse doucement. Je n’ai jamais vécu une telle situation et c’est incroyablement excitant.


La porte s’ouvre sur ma gauche, Caroline revient des toilettes. Je suis affalé dans le fauteuil lorsqu’elle se penche sur moi en faisant attention de ne pas rentrer dans le champ de la caméra.



Je reste bouche bée…

Le col roulé a disparu… Penchée comme elle l’est, le spectacle est splendide. Heureusement, la veste est encore retenue fermée par un crochet. Je n’ai qu’une envie, c’est de les saisir, les caresser, les embrasser…



J’ai du mal à la regarder dans les yeux, d’ailleurs son propre regard est vissé sur mon entrejambe qui déforme le pantalon.



Elle se dirige vers son fauteuil et s’assied très lentement. Sa tête est de nouveau tournée vers son PC.

D’une main, elle défait le dernier crochet de sa veste. Les pans s’écartent aussitôt, retenus de chaque côté par ses mamelons. L’arrondi de ses seins si blancs, si gros, me coupe le souffle. Ma main est cette fois posée sur mon pantalon.


Elle se penche sur le côté pour attraper son téléphone posé au sol. Son sein gauche jaillit de la veste. Sa position reprise, elle ne réajuste pas sa tenue. Ses doigts courent sur ce sein découvert, le soupèsent, tournent autour de son mamelon fièrement dressé. Elle ne me regarde toujours pas. Ses joues ont rosi et je comprends que cette situation ne doit pas être habituelle pour elle. Ses doigts disparaissent sous sa veste vers son autre sein. Elle le laisse dissimulé, mais les mouvements m’indiquent qu’elle joue aussi avec celui-ci.


De sa main gauche, elle pianote sur son téléphone.

« ting » ! Je reçois un SMS :


File aux toilettes, retire ton caleçon, et reviens t’installer en gardant ta braguette ouverte.


Sans chercher à comprendre, je me lève et pars retirer mon sous-vêtement comme demandé par Caroline.

Je reviens, inquiet de croiser un collègue. Dans le bureau, la visio se poursuit, mais nous ne sommes clairement plus à l’écoute.


Je me rassois et mon téléphone bipe à nouveau :


À toi de jouer maintenant, tout le monde est en visio…


J’hésite… mes mains ne bougent pas.


Ses jambes sont découvertes jusqu’en haut des cuisses. Elle me regarde cette fois et les écarte tout doucement. Caroline est vraiment surprenante. Notre émotion est partagée. Sa culotte a disparu. Elle me laisse accéder à son intimité. Son excitation est visible, tout comme la mienne.

J’expire profondément, réunis mon courage, puis extirpe mon sexe de mon pantalon. Tel un miroir, nous nous livrons l’un à l’autre. La respiration de Caroline est sonore, décousue. Je regarde mon propre gland reposer sur ma ceinture, ni l’un ni l’autre ne connaît la limite de ce jeu. J’ai l’impression de vivre un des récits que je prends tant de plaisir à écrire. C’est machinalement que je saisis ma queue et commence un lent va-et-vient. C’est Caroline qui perd désormais le contrôle. Les mains sur ses seins se font tendres, ses doigts tournent autour de ses tétons et se jouent de leur forme avant de les empoigner avec sensualité.


Nos écrans de PC deviennent noirs : la visio est terminée. Notre jeu aussi.

Caroline resserre ses jambes et réajuste sa jupe. Ses doigts referment avec dextérité la veste grande ouverte. Je range mon sexe et referme ma braguette. Il nous a fallu quelques secondes pour rendre un semblant de normalité à la scène. La réunion terminée, certains collègues des autres étages pourraient passer dans le couloir, nous ne voulons prendre aucun risque. Pourtant, Caroline me montre ses sous-vêtements et me les tend discrètement. Elle me demande mon caleçon en retour.

Ce sont nos premiers mots échangés depuis le début de la visio :



Je file aux toilettes avant de partir pour trente minutes de bus.




***




Il est 19 h, je suis dans le bus. Je reçois un SMS de Caroline :


Raphaël, ton album photo est surprenant… bon retour.


J’ouvre mon appli photos et ouvre la plus récente.


Oh là là… elle s’est jouée de moi le temps que j’aille aux toilettes et a pris trois selfies d’elle : le premier est une photo en plongée sur son décolleté savoureux, le flash fait ressortir leur blancheur ; le deuxième est une photo prise de profil, veste dégrafée et ouverte jusqu’à découvrir la quasi-totalité de ses seins (je me dis : le voilà mon 90D !) ; le dernier est une photo d’elle assise, jupe remontée à la limite de son sexe.


Elle a gagné ! Je bande à nouveau, dans le bus, sans caleçon… je tourne la tête vers la vitre et j’assume mon état, un grand sourire sur les lèvres.


Merci Caroline !